Mouais... un dessin pas encore maîtrisé, des premières pages colorées pas très belles... ça va sûrement s'améliorer par la suite donc attendons avant de critiquer 8)
Après rien de très très neuf, on rigole pas mal dans cette histoire, l'humour est bien servi mais le noeud de l'histoire et l'énigme de la quête de la fille ne m'ont pas franchement intéressé... à lire pour l'humour ou pour passer le temps mais pas à acheter... vraiment rien de très neuf ou de très captivant !
Lefred-Thouron est un descendant de Reiser et autres Wolinski : il fait de l'humour de presse en quantité non négligeable avec pour support un dessin très... heu... minimal. Techniquement, c'est le genre de dessin d'humour qui se fait dans la minute, aussi vite qu'il le faudrait pour raconter une bonne blague de comptoir par exemple. Pas beau mais relativement efficace.
Je connais surtout Lefred-Thouron par ses dessins dans le magazine Fluide Glacial. Là, ils accompagnent le plus souvent un texte humoristique écrit par un autre et servent pour illustrer ce texte tout en rajoutant une touche d'humour en plus sur le même thème que le texte. Et comme d'habitude, le texte en question est assez drôle, je souris aussi en regardant vite fait ce dessin qui l'accompagne.
Mais la vérité, c'est qu'à mes yeux, ces dessins d'humour ne se suffisent vraiment pas à eux-mêmes. J'ai eu du mal à ne serait-ce que sourire durant ma lecture.
C'est idem pour les gags en une bande ou en une planche : ce n'est clairement pas le genre d'humour de presse qui me fait rire. C'est assez convenu, potable mais vraiment sans plus, d'autant plus que le dessin ne rajoute rien du tout à l'humour.
Dispensable...
Byun Byung Jun oppose à la pression urbaine moderne son dessin élégant, sa poésie champêtre et sa candeur intemporelle. Mais la mièvrerie est au détour du building...
On a très vite envie de le baffer, ce Bong-gu. Personne ne peut le moucher, ce sale gosse morveux et teigneux ? Et difficile de ne pas détester ces personnages sans réelle expression, qui passent énormément de temps à se regarder de part et d'autre d'une rue, d'une impasse... C'est dommage, car la couverture laissait présager de quelque chose de sympathique. Le dessin du Coréen est agréable, intéressant, mais mal utilisé, je trouve... Pourquoi abuser de ces vues en plongée ?
En définitive, ne restent que la couverture et quelques jolis plans sur la mère de Bong-gu...
Voilà un tome (je n'ai lu que le premier) qui ne m'a pas vraiment emballé. Sans compter que le scénario ne brille pas par son originalité, il n'a pas provoqué chez moi une suspension de la respiration lorsqu'il s'agissait de suivre Jack dans ses tribulations.
Le dessin, lui, est cependant plutôt bon, et les couleurs sympas.
A lire éventuellement si, comme moi, on le trouve chez Maxi-livres pour 3 euros en broché, entre 2 trains.
Des histoires courtes policières mettant en scène une sorte de détective privé intelligent et sûr de lui malgré son physique d'amateur de copieux repas.
Le dessin est moyen, noir et blanc et assez restreint au niveau des décors. Les personnages ne sont pas moches mais pas très évolués techniquement parlant. c'est un dessin potable pour une série B du monde de la BD.
Quant aux scénarios de ces histoires courtes, il n'est pas très évolué non plus. Reprenant quelques thèmes classiques des films noirs de gangsters dans les années 20, les récits n'ont rien de bien originaux. Je reprocherais même une certaine facilité au tout tant les choses réussissent trop facilement à cet Agent de la National qui accumulent coincidences et interlocuteurs naïfs.
Si j'avais un vrai reproche à faire à cette BD, ce serait surtout le lettrage et la traduction. Le lettrage fait vraiment amateur, parfois difficile à lire tant on dirait quelqu'un qui a écrit cela à la main comme une simple lettre à un ami. Et au niveau de l'écriture, le nombre de fautes d'orthographe dans tous les textes, narrations et dialogues, est vraiment rédhibitoire : on dirait que ça a été écrit par un collégien par moments.
C'est pas trop mal pour passer le temps, ça se laisse lire, mais ça reste une série très moyenne et tout à fait dispensable car n'apportant rien de neuf ni rien de vraiment réussi.
Cette bd vaguement inspirée de la série-tv Les Drôles de Dames est lié, pour moi, au magasine Tintin où je lisais les aventures de ces jolies nanas sans vraiment de convictions.
C'était loin d'être ma série préférée. Déjà à cette époque, je trouvais le scénario quelconque.
Le dessin de Renaud était, lui, plutôt réussi même si on pouvait parfois déceler quelques imperfections liées au peu d'expérience de l'auteur à cette époque.
Cette série est, à mon avis, à éviter.
Dans la lignée de Titeuf avec beaucoup moins de personnages. Les sujets abordés sont beaucoup moins variés que dans Titeuf, cela tourne toujours autour de gags sur : « comment sortir avec une fille quand on a 15 ans !». Les dessins sont plutôt superficiels, très moyens. A bouquiner au rayon Fnac…pour tuer le temps entre 12H et 14H.
J'ai eu un mal fou à terminer cette histoire. La raison est triple:
- Je ne supporte pas cet anti-héros. Il est ni drôle, ni très bête, ni bagarreur, ni méchant, ni beau, ni... Il est affligeant, d'une nullité totale.
- Dessin pas beau, même après 300 pages de lecture.
- Beaucoup trop long!!!!!! (Vous me direz, quand on n'aime pas ça sera toujours trop long! Oui mais 400 pages de BD, y a de l'abus quand même)
2/5 parce que malgré tout, y a tout de même une (en réalité 3) histoire qui tient debout et une certaine sensibilité.
Donc BD à lire pour les curieux et les patients.
Chacune de ces courtes histoires étant scénarisée et dessinée par des auteurs différents, cela donne évidemment un résultat assez hétérogène : certaines sont sympas, d’autres, bien dessinées, mais, sur l’ensemble, rien n’est vraiment enthousiamant. Petite BD assez sympa pour se plonger dans l’ambiance d’Halloween, mais rien d’inoubliable.
Nouvelle série de la part des auteurs de Le Tueur, « Les cyclopes » leur permet de changer de registre en exploitant la science-fiction. Le résultat m’est apparu mitigé aussi bien graphiquement et scénaristiquement. Le dessin de Jacamon est très agréable à contempler. Cependant, j’ai été surpris d’apercevoir de temps en temps des cases où j’ai eu l’impression que l’auteur a utilisé un logiciel de photomontage notamment lors des vues extérieures avec ce ciel aux tons jaunâtres en rupture avec le sol d’une tonalité violette. Certaines planches m’ont demandé beaucoup d’attention (manque de lisibilité) car elles sont traitées d’une couleur trop sombre et trop uniforme à mon goût.
L’histoire reprend l’idée de base de Reality Show de Morvan. Ce qui m’a gêné dans le scénario de Matz, c’est la relative « rapidité » du personnage principal à se hisser comme héros dans une société hyper-blasée suite à un acte héroïque. Il y a dans cette ascension fulgurante quelque chose qui ne me semble pas vraiment pertinent dans ce monde imaginé par l’auteur. Autre chose qui m’a semblé louche dans ce scénario, c’est la représentation d’un homme bardé de diplômes et au passé riche en référence qui est au… chômage ! Bizarre…
Finalement, « La recrue » m’a déçu à cause de ces défauts. Bédé à lire malgré tout…
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Samurai Champloo
Mouais... un dessin pas encore maîtrisé, des premières pages colorées pas très belles... ça va sûrement s'améliorer par la suite donc attendons avant de critiquer 8) Après rien de très très neuf, on rigole pas mal dans cette histoire, l'humour est bien servi mais le noeud de l'histoire et l'énigme de la quête de la fille ne m'ont pas franchement intéressé... à lire pour l'humour ou pour passer le temps mais pas à acheter... vraiment rien de très neuf ou de très captivant !
Je suis gland
Lefred-Thouron est un descendant de Reiser et autres Wolinski : il fait de l'humour de presse en quantité non négligeable avec pour support un dessin très... heu... minimal. Techniquement, c'est le genre de dessin d'humour qui se fait dans la minute, aussi vite qu'il le faudrait pour raconter une bonne blague de comptoir par exemple. Pas beau mais relativement efficace. Je connais surtout Lefred-Thouron par ses dessins dans le magazine Fluide Glacial. Là, ils accompagnent le plus souvent un texte humoristique écrit par un autre et servent pour illustrer ce texte tout en rajoutant une touche d'humour en plus sur le même thème que le texte. Et comme d'habitude, le texte en question est assez drôle, je souris aussi en regardant vite fait ce dessin qui l'accompagne. Mais la vérité, c'est qu'à mes yeux, ces dessins d'humour ne se suffisent vraiment pas à eux-mêmes. J'ai eu du mal à ne serait-ce que sourire durant ma lecture. C'est idem pour les gags en une bande ou en une planche : ce n'est clairement pas le genre d'humour de presse qui me fait rire. C'est assez convenu, potable mais vraiment sans plus, d'autant plus que le dessin ne rajoute rien du tout à l'humour. Dispensable...
Cours, Bong-Gu!
Byun Byung Jun oppose à la pression urbaine moderne son dessin élégant, sa poésie champêtre et sa candeur intemporelle. Mais la mièvrerie est au détour du building... On a très vite envie de le baffer, ce Bong-gu. Personne ne peut le moucher, ce sale gosse morveux et teigneux ? Et difficile de ne pas détester ces personnages sans réelle expression, qui passent énormément de temps à se regarder de part et d'autre d'une rue, d'une impasse... C'est dommage, car la couverture laissait présager de quelque chose de sympathique. Le dessin du Coréen est agréable, intéressant, mais mal utilisé, je trouve... Pourquoi abuser de ces vues en plongée ? En définitive, ne restent que la couverture et quelques jolis plans sur la mère de Bong-gu...
Les Livres de Vie (Le Livre de Jack / Sam)
Voilà un tome (je n'ai lu que le premier) qui ne m'a pas vraiment emballé. Sans compter que le scénario ne brille pas par son originalité, il n'a pas provoqué chez moi une suspension de la respiration lorsqu'il s'agissait de suivre Jack dans ses tribulations. Le dessin, lui, est cependant plutôt bon, et les couleurs sympas. A lire éventuellement si, comme moi, on le trouve chez Maxi-livres pour 3 euros en broché, entre 2 trains.
L'Agent de la National
Des histoires courtes policières mettant en scène une sorte de détective privé intelligent et sûr de lui malgré son physique d'amateur de copieux repas. Le dessin est moyen, noir et blanc et assez restreint au niveau des décors. Les personnages ne sont pas moches mais pas très évolués techniquement parlant. c'est un dessin potable pour une série B du monde de la BD. Quant aux scénarios de ces histoires courtes, il n'est pas très évolué non plus. Reprenant quelques thèmes classiques des films noirs de gangsters dans les années 20, les récits n'ont rien de bien originaux. Je reprocherais même une certaine facilité au tout tant les choses réussissent trop facilement à cet Agent de la National qui accumulent coincidences et interlocuteurs naïfs. Si j'avais un vrai reproche à faire à cette BD, ce serait surtout le lettrage et la traduction. Le lettrage fait vraiment amateur, parfois difficile à lire tant on dirait quelqu'un qui a écrit cela à la main comme une simple lettre à un ami. Et au niveau de l'écriture, le nombre de fautes d'orthographe dans tous les textes, narrations et dialogues, est vraiment rédhibitoire : on dirait que ça a été écrit par un collégien par moments. C'est pas trop mal pour passer le temps, ça se laisse lire, mais ça reste une série très moyenne et tout à fait dispensable car n'apportant rien de neuf ni rien de vraiment réussi.
Brelan de Dames
Cette bd vaguement inspirée de la série-tv Les Drôles de Dames est lié, pour moi, au magasine Tintin où je lisais les aventures de ces jolies nanas sans vraiment de convictions. C'était loin d'être ma série préférée. Déjà à cette époque, je trouvais le scénario quelconque. Le dessin de Renaud était, lui, plutôt réussi même si on pouvait parfois déceler quelques imperfections liées au peu d'expérience de l'auteur à cette époque. Cette série est, à mon avis, à éviter.
Focu
Dans la lignée de Titeuf avec beaucoup moins de personnages. Les sujets abordés sont beaucoup moins variés que dans Titeuf, cela tourne toujours autour de gags sur : « comment sortir avec une fille quand on a 15 ans !». Les dessins sont plutôt superficiels, très moyens. A bouquiner au rayon Fnac…pour tuer le temps entre 12H et 14H.
Jimmy Corrigan
J'ai eu un mal fou à terminer cette histoire. La raison est triple: - Je ne supporte pas cet anti-héros. Il est ni drôle, ni très bête, ni bagarreur, ni méchant, ni beau, ni... Il est affligeant, d'une nullité totale. - Dessin pas beau, même après 300 pages de lecture. - Beaucoup trop long!!!!!! (Vous me direz, quand on n'aime pas ça sera toujours trop long! Oui mais 400 pages de BD, y a de l'abus quand même) 2/5 parce que malgré tout, y a tout de même une (en réalité 3) histoire qui tient debout et une certaine sensibilité. Donc BD à lire pour les curieux et les patients.
Les Cauchemars d'Halloween
Chacune de ces courtes histoires étant scénarisée et dessinée par des auteurs différents, cela donne évidemment un résultat assez hétérogène : certaines sont sympas, d’autres, bien dessinées, mais, sur l’ensemble, rien n’est vraiment enthousiamant. Petite BD assez sympa pour se plonger dans l’ambiance d’Halloween, mais rien d’inoubliable.
Cyclopes
Nouvelle série de la part des auteurs de Le Tueur, « Les cyclopes » leur permet de changer de registre en exploitant la science-fiction. Le résultat m’est apparu mitigé aussi bien graphiquement et scénaristiquement. Le dessin de Jacamon est très agréable à contempler. Cependant, j’ai été surpris d’apercevoir de temps en temps des cases où j’ai eu l’impression que l’auteur a utilisé un logiciel de photomontage notamment lors des vues extérieures avec ce ciel aux tons jaunâtres en rupture avec le sol d’une tonalité violette. Certaines planches m’ont demandé beaucoup d’attention (manque de lisibilité) car elles sont traitées d’une couleur trop sombre et trop uniforme à mon goût. L’histoire reprend l’idée de base de Reality Show de Morvan. Ce qui m’a gêné dans le scénario de Matz, c’est la relative « rapidité » du personnage principal à se hisser comme héros dans une société hyper-blasée suite à un acte héroïque. Il y a dans cette ascension fulgurante quelque chose qui ne me semble pas vraiment pertinent dans ce monde imaginé par l’auteur. Autre chose qui m’a semblé louche dans ce scénario, c’est la représentation d’un homme bardé de diplômes et au passé riche en référence qui est au… chômage ! Bizarre… Finalement, « La recrue » m’a déçu à cause de ces défauts. Bédé à lire malgré tout…