Vendeur de pierres… Voilà un métier intéressant. Enfin, quand on ne sait plus quoi faire… Ou qu’on a épuisé à peu près tous les métiers les plus inutiles du monde, comme le héros de cette BD. Vraiment, c’est un homme qui ne sert à rien. Et écrire une histoire là-dessus, eh bien ça ne sert pas non plus. Même si l’histoire permet de parler de certaines traditions du Japon, l’intérêt de cette histoire approche du zéro absolu. Peut-être que l’histoire contient une part d’autobiographie, mais bof bof. Le dessin de Tsuge est, quant à lui, assez laid. Anguleux, « sale », irrégulier, il est plutôt désagréable à l’œil. Etrange, d’ailleurs, que l’on ne voie pas le visage de la femme du héros avant la page 120.
Bref, c’est un peu chiant, c’est long, c’est pas beau. On passe.
De cette BD, j'aime bien le dessin. Frais, dynamique, joliement colorisé, il offre de jolies filles et des cases très efficaces. Bien foutu, plaisant à regarder, ça aurait pu faire une bonne BD.
Mais l'ennui, c'est que je n'accroche pas du tout au scénario. Je passe outre le côté racoleur des filles sans arrêt parfaites et seins nus car, puisque c'est l'idée non déguisée du scénario, ça passe relativement bien. Le problème, c'est qu'à côté de cela, je n'ai ri à aucun des moments sensés être drôles (et surtout pas aux noms des personnages à base de mauvais jeux de mots ou clins d'oeil) et le récit lui-même m'a singulièrement ennuyé.
Trop léger scénaristiquement parlant pour m'intéresser un tant soit peu, le dessin ne suffit pas à me donner envie de voir plus loin que ce premier tome.
Globalement j'aime bien les BDs de König mais je dois avouer que sur ce recueil là, je n'ai pas apprécié grand chose. On retrouve le dessin et les thèmes typiques abordés par König mais le tout est mis en scène sous la forme de petits gags en une image, un strip ou quelques planches. Certains ne sont même pas des gags mais juste des récits réalistes ou un peu poétiques. Mais dans l'ensemble, je n'ai été ni touché, ni amusé ni même intéressé la plupart du temps.
Un recueil de BDs à l'époque inédites mais sûrement parce que ce n'était pas les meilleures de König.
J'aime beaucoup le dessin de Mo-Cdm alors je me suis dit d'emblée que cette BD devait être bien.
Et effectivement, cette BD d'humour est plutôt bien dessinée. D'ailleurs on reconnaitra le professeur de Forbidden Zone du même auteur.
Mais hélas, comme Forbidden Zone, une fois le dessin passé, ben... ce n'est pas franchement drôle. Sur tout l'album, j'ai souri à 2 gags seulement ! Et tout le reste, j'ai trouvé les récits un peu poussifs et surtout les chutes prévisibles et... pas drôles. Ce sont des gags globalement déjà-vus sur le thème de la SF, des gros martiens à tentacules et autres science-fictionneries.
J'ai trouvé vraiment dommage de gâcher un si bon dessin parce que le scénario n'est pas du tout à la hauteur.
J'ai lu les tomes 1 et 2 et c'est une déception, je suis dans un bon jour donc je ne mets pas la note fatidique...
Déjà le dessin est moche. En général je n'aime pas dire ça, je préfère dire que je n'ai pas aimé, mais la c'est un fait le dessin est moche. Les personnages ont des visages géométriques sans trait, duquel il ne se dégage absolument aucune émotion. Ni peur, ni colère, ni rien.
Ensuite l'histoire est plate. Le tome 1 est digne d'un roman à l'eau de rose pour jeune adolescente. Andy aime un jour Shona, puis Karen, puis à nouveau Shona et encore Karen..... Ensuite il y a bien un peu d'action et d'aventure, mais ça reste superficiel, pas assez approfondi !
Curieusement, le texte recueilli chez l'éditeur recèle plus de richesse, de matière que l'album dont il parle.
Car Le Vol d'Icare est un récit qui, passée une ou deux pages, devient carrément ennuyeux. On passe très rapidement sur la vie d'Icare, fils-à-papa qui joue les amateurs de classes défavorisées, à une quête d'identité sans la moindre épaisseur. Icare lui-même à le charisme d'un bigorneau. On se dit qu'on va se rattraper sur l'utilisation des mythes grecs. Mais non, ça reste très superficiel, alors qu'il y avait matière à écrire un récit de plus grande ampleur. Les décors ? Schréder ose quelques fantaisies architecturales, mais n'est pas EP Jacobs ou Andreas qui veut... Surtout que son dessin, assez daté "ligne claire vieille école" (comme le souligne pierig sur une autre de ses séries) est quand même suranné...
Tiens ? Une oeuvre de jeunesse de Gibrat ? Voilà une curiosité. C'est ce que je me suis dit en découvrant cette BD.
Les histoires courtes de Visions Futées semblent dater de la même époque que les premiers Goudard. Le style de Gibrat n'y est vraiment pas encore maîtrisé. Tant dans le dessin que dans les couleurs et la mise en page, cela sent encore l'amateurisme. Dans certaines cases de certains récits, on sent pointer ce qui fera la beauté des futures oeuvres de l'auteur, mais on en est quand même encore loin.
Quant aux scénarios de ceux qui ont donné ces histoires à dessiner à Gibrat, ils touchent vraiment à tout, allant de la SF au faits divers réel en passant par des contes modernes et autres satyres sociales. Mais dans l'ensemble, il n'y a vraiment rien qui ressorte du lot même si ça se laisse lire (quoique la narration et la mise en page assez ratée ne facilite pas toujours la fluidité de lecture).
Bref, une oeuvre de jeunesse qui pourrait vaguement intéresser les curieux mais sans plus.
J'ai commencé par l'enquête Corse et j'ai trouvé ça pas mal: un dessin désormais connu (surtout par la presse) et un humour sympa, un peu inégal mais bon dans l'ensemble.
J'ai alors décidé de lire les albums précédents.... "Les disparus d'apostrophes" et "Un détective dans le Yucca"... et je trouve ça très mauvais, je n'adhère aucunement à cet humour, je décroche même pas un sourire. Certains gags sont passables (ceux relatif à une satyre de la société et de la politique), les autres tombent immanquablement à plat.
Donc 2/5 grâce à l'enquête corse en espérant que, parti sur la lancée de l'enquête corse, "Les aventures de Jack Palmer" vont devenir maintenant intéressantes.
Du point de vu personnel cette B.D est un coup de coeur (à cause du fait que j'aime déjà le groupe) même si elle souffre un peu son "indépendance" par ce qui semblera de l'amateurisme.
B.D enfanté d'un collectif de dessinateurs, scénarisé par une actrice de films Z et porno (et co-réalisatrice du film "Bai*e moi!") elle pêche par une narration assez confuses ... visuellement le dessin et les couleurs, kitsh criardes ou psychédéliques tape à l'oeil sont la pour frapper les mirettes mais n'arrangent pas toujours la compréhension ... le tout rappellera assez le "K.O.G" magazine de B.D Underground qui ne dura que deux tomes (que je possède ^^) ...
Bref, un petit O.V.N.I pas exceptionnel mais à réserver aux fans de Punish.
Trois personnages ayant en commun une part sombre en eux sont réunis dans une histoire finalement assez molle.
Wolverine, le Punisher et Ghost Rider vont tout bonnement se voir proposer un alléchant pacte avec le diable.
Même si ces personnages ne sont pas totalement similaires, il y a assez de ressemblance et d'opposition à la fois entre eux, pour en tirer matière intéressante, hélas ce n'est pas le cas. Les personnages se retrouveront juste face à un choix, contre un adversaire quasiment invincible et paf! Ils vaincront quand même en étant aidé par une chute un peu facile.
Cette BD ne vaut que pour sa partie graphique, Romita Jr assure toujours de façon aussi impressionnante aux pinceaux, de plus les encrages de Klaus Janson sont bons, de ce point de vue c'est une réussite. Malheureusement cela ne suffit pas à faire de ce comic un chef-d'oeuvre.
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L'Homme sans talent
Vendeur de pierres… Voilà un métier intéressant. Enfin, quand on ne sait plus quoi faire… Ou qu’on a épuisé à peu près tous les métiers les plus inutiles du monde, comme le héros de cette BD. Vraiment, c’est un homme qui ne sert à rien. Et écrire une histoire là-dessus, eh bien ça ne sert pas non plus. Même si l’histoire permet de parler de certaines traditions du Japon, l’intérêt de cette histoire approche du zéro absolu. Peut-être que l’histoire contient une part d’autobiographie, mais bof bof. Le dessin de Tsuge est, quant à lui, assez laid. Anguleux, « sale », irrégulier, il est plutôt désagréable à l’œil. Etrange, d’ailleurs, que l’on ne voie pas le visage de la femme du héros avant la page 120. Bref, c’est un peu chiant, c’est long, c’est pas beau. On passe.
Sexy Gun
De cette BD, j'aime bien le dessin. Frais, dynamique, joliement colorisé, il offre de jolies filles et des cases très efficaces. Bien foutu, plaisant à regarder, ça aurait pu faire une bonne BD. Mais l'ennui, c'est que je n'accroche pas du tout au scénario. Je passe outre le côté racoleur des filles sans arrêt parfaites et seins nus car, puisque c'est l'idée non déguisée du scénario, ça passe relativement bien. Le problème, c'est qu'à côté de cela, je n'ai ri à aucun des moments sensés être drôles (et surtout pas aux noms des personnages à base de mauvais jeux de mots ou clins d'oeil) et le récit lui-même m'a singulièrement ennuyé. Trop léger scénaristiquement parlant pour m'intéresser un tant soit peu, le dessin ne suffit pas à me donner envie de voir plus loin que ce premier tome.
Marrons glacés
Globalement j'aime bien les BDs de König mais je dois avouer que sur ce recueil là, je n'ai pas apprécié grand chose. On retrouve le dessin et les thèmes typiques abordés par König mais le tout est mis en scène sous la forme de petits gags en une image, un strip ou quelques planches. Certains ne sont même pas des gags mais juste des récits réalistes ou un peu poétiques. Mais dans l'ensemble, je n'ai été ni touché, ni amusé ni même intéressé la plupart du temps. Un recueil de BDs à l'époque inédites mais sûrement parce que ce n'était pas les meilleures de König.
Les Aventures de Nukle et Harwar
J'aime beaucoup le dessin de Mo-Cdm alors je me suis dit d'emblée que cette BD devait être bien. Et effectivement, cette BD d'humour est plutôt bien dessinée. D'ailleurs on reconnaitra le professeur de Forbidden Zone du même auteur. Mais hélas, comme Forbidden Zone, une fois le dessin passé, ben... ce n'est pas franchement drôle. Sur tout l'album, j'ai souri à 2 gags seulement ! Et tout le reste, j'ai trouvé les récits un peu poussifs et surtout les chutes prévisibles et... pas drôles. Ce sont des gags globalement déjà-vus sur le thème de la SF, des gros martiens à tentacules et autres science-fictionneries. J'ai trouvé vraiment dommage de gâcher un si bon dessin parce que le scénario n'est pas du tout à la hauteur.
Le Cercle des sentinelles
J'ai lu les tomes 1 et 2 et c'est une déception, je suis dans un bon jour donc je ne mets pas la note fatidique... Déjà le dessin est moche. En général je n'aime pas dire ça, je préfère dire que je n'ai pas aimé, mais la c'est un fait le dessin est moche. Les personnages ont des visages géométriques sans trait, duquel il ne se dégage absolument aucune émotion. Ni peur, ni colère, ni rien. Ensuite l'histoire est plate. Le tome 1 est digne d'un roman à l'eau de rose pour jeune adolescente. Andy aime un jour Shona, puis Karen, puis à nouveau Shona et encore Karen..... Ensuite il y a bien un peu d'action et d'aventure, mais ça reste superficiel, pas assez approfondi !
Le Vol d'Icare
Curieusement, le texte recueilli chez l'éditeur recèle plus de richesse, de matière que l'album dont il parle. Car Le Vol d'Icare est un récit qui, passée une ou deux pages, devient carrément ennuyeux. On passe très rapidement sur la vie d'Icare, fils-à-papa qui joue les amateurs de classes défavorisées, à une quête d'identité sans la moindre épaisseur. Icare lui-même à le charisme d'un bigorneau. On se dit qu'on va se rattraper sur l'utilisation des mythes grecs. Mais non, ça reste très superficiel, alors qu'il y avait matière à écrire un récit de plus grande ampleur. Les décors ? Schréder ose quelques fantaisies architecturales, mais n'est pas EP Jacobs ou Andreas qui veut... Surtout que son dessin, assez daté "ligne claire vieille école" (comme le souligne pierig sur une autre de ses séries) est quand même suranné...
Visions futées
Tiens ? Une oeuvre de jeunesse de Gibrat ? Voilà une curiosité. C'est ce que je me suis dit en découvrant cette BD. Les histoires courtes de Visions Futées semblent dater de la même époque que les premiers Goudard. Le style de Gibrat n'y est vraiment pas encore maîtrisé. Tant dans le dessin que dans les couleurs et la mise en page, cela sent encore l'amateurisme. Dans certaines cases de certains récits, on sent pointer ce qui fera la beauté des futures oeuvres de l'auteur, mais on en est quand même encore loin. Quant aux scénarios de ceux qui ont donné ces histoires à dessiner à Gibrat, ils touchent vraiment à tout, allant de la SF au faits divers réel en passant par des contes modernes et autres satyres sociales. Mais dans l'ensemble, il n'y a vraiment rien qui ressorte du lot même si ça se laisse lire (quoique la narration et la mise en page assez ratée ne facilite pas toujours la fluidité de lecture). Bref, une oeuvre de jeunesse qui pourrait vaguement intéresser les curieux mais sans plus.
Les Aventures de Jack Palmer
J'ai commencé par l'enquête Corse et j'ai trouvé ça pas mal: un dessin désormais connu (surtout par la presse) et un humour sympa, un peu inégal mais bon dans l'ensemble. J'ai alors décidé de lire les albums précédents.... "Les disparus d'apostrophes" et "Un détective dans le Yucca"... et je trouve ça très mauvais, je n'adhère aucunement à cet humour, je décroche même pas un sourire. Certains gags sont passables (ceux relatif à une satyre de la société et de la politique), les autres tombent immanquablement à plat. Donc 2/5 grâce à l'enquête corse en espérant que, parti sur la lancée de l'enquête corse, "Les aventures de Jack Palmer" vont devenir maintenant intéressantes.
Deep Inside Punish Yourself
Du point de vu personnel cette B.D est un coup de coeur (à cause du fait que j'aime déjà le groupe) même si elle souffre un peu son "indépendance" par ce qui semblera de l'amateurisme. B.D enfanté d'un collectif de dessinateurs, scénarisé par une actrice de films Z et porno (et co-réalisatrice du film "Bai*e moi!") elle pêche par une narration assez confuses ... visuellement le dessin et les couleurs, kitsh criardes ou psychédéliques tape à l'oeil sont la pour frapper les mirettes mais n'arrangent pas toujours la compréhension ... le tout rappellera assez le "K.O.G" magazine de B.D Underground qui ne dura que deux tomes (que je possède ^^) ... Bref, un petit O.V.N.I pas exceptionnel mais à réserver aux fans de Punish.
Wolverine - Aux Coeurs des Ténèbres
Trois personnages ayant en commun une part sombre en eux sont réunis dans une histoire finalement assez molle. Wolverine, le Punisher et Ghost Rider vont tout bonnement se voir proposer un alléchant pacte avec le diable. Même si ces personnages ne sont pas totalement similaires, il y a assez de ressemblance et d'opposition à la fois entre eux, pour en tirer matière intéressante, hélas ce n'est pas le cas. Les personnages se retrouveront juste face à un choix, contre un adversaire quasiment invincible et paf! Ils vaincront quand même en étant aidé par une chute un peu facile. Cette BD ne vaut que pour sa partie graphique, Romita Jr assure toujours de façon aussi impressionnante aux pinceaux, de plus les encrages de Klaus Janson sont bons, de ce point de vue c'est une réussite. Malheureusement cela ne suffit pas à faire de ce comic un chef-d'oeuvre.