Voilà un petit opus à la lecture légère, deux chroniques intimistes de la classe moyenne espagnole, avec un brin de folie qui fait l'originalité des récits. Dommage cependant que F. Sollis ne s'éloigne pas plus des sentiers maintenant bien battus par les géniaux Dupuy & Berbérian ou Michel Rabbagliatti, pour ne pas donner ce petit goût de déjà lu...
J'ai acheté ce diptyque pour le personnage de vétérinaire (je le suis moi même), mais ça n'est vraiment pas mon truc. Le premier volume m'avait laissé sur ma faim, mais dans l'espoir d'un final série B un peu original. Las, j'ai refermé le second volume avec l'impression d'éteindre le poste après un téléfilm de plus. Impression renforcée par le classicisme du dessin de Stalner, qui ne sort pas vraiment des sentiers battus. Pas exactement ce que j'attends d'une lecture en bande dessinée.
Une petite histoire sympa, mais c'est vraiment léger... Certes, le dessin de Jean-Pierre Duffour est agréable, retransmet bien l'ambiance onirique, mais l'histoire ne vole pas bien haut, et manque de solidité... Ceci dit, ça permet de passer 5 minutes sans trop s'ennuyer. :)
On retrouve ici l'auteur de Love Hina pour sa première oeuvre. Et déjà le style et là :
1 seul gars un peu bête, pas doué avec les filles mais entouré de jolies filles quand même, et les aventures souvent sans queue ni tête bien que mieux contenues que dans Love Hina.
Pas de grande originalité si ce n'est que la "magical girl" chère aux japonais n'a pas de baguette mais des "pouvoirs optionnels". Mais pas de grands défauts non plus, l'histoire et les graphismes se bonifient avec les volumes et seul le personnage de Fortie est une erreur de l'auteur (qui la fait régresser petit à petit pour finir par lui faire prendre un rôle de bibelot).
A réserver aux collectionneurs de shonen ou aux fans de Ken Akamatsu.
Un manga souvent cité en référence en matière de shonen et pourtant...
Ce manga est loin d'être aussi bon que l'on peut le lire assez souvent (un effet de mode peut-être ?). Tout d'abord parce que le scénario de départ et d'une originalité zéro : un étudiant raté dans une pension de filles... vu et revu 1000 fois (Ah ! My Goddess !, Maison Ikkoku, Ai Yori Aoshi,...).
Les gags sont lourds voire très lourds, basés sur la répétitivité, ils deviennent vite lassants. Le style loufoque est... heu... comment dire... loufoque ! Ne cherchez pas de logique à l'enchaînement des "aventures", tout est justifié par l'absurde... On peut aimer mais c'est spécial. C'est le seul manga que je connaisse où l'on peut voir des tortues voler d'ailleurs.
Quant à l'histoire d'amour : je t'aime, je te tape, je t'aime pas, je t'aime... peut-être (!). C'est peut-être crédible mais fort peu touchant.
Enfin, les penchants incestueux de la soeur de Keitaro ne sont pas un exemple à donner à des mineurs à mon humble avis.
En conclusion, ce manga se laisse lire, surtout si l'on adhère à l'humour. D'autant plus que les graphismes sont assez beaux. Mais passé l'effet de mode, il n'a intrinsèquement rien pour devenir culte.
Non, rien à faire, je ne suis pas rentré dans ce diptyque qui se veut un huis clos fantastique surfant sur la vague des maisons hantées. Je suis pourtant amateur du dessin de Sorel et des scénarios de Mosdi. Mais ici, la sauce n’a pas pris dès le début. Même si les planches de Sorel sont bien reconnaissables, je les trouve nettement moins réussies qu’à l’accoutumée. Le dessin est un peu brouillon et la mise en couleur plutôt rébarbative . . . La première partie s’attarde sur des événements inquiétants qui se produisent dans un relais de montagne où un groupe d’amis y ont trouvé refuge. Les évènements s’accélèrent dans la deuxième partie pour aboutir à un final bien trop conventionnel et décevant. J’aurais envie de dire "tout ça pour ça". Bref, mieux vaut lire Algernon Woodcock . . .
Un berger libère un génie qui lui promet de réaliser beaucoup de vœux, mais sans en préciser le nombre. Le berger décide d'en profiter pour libérer une princesse captive et l'épouser. Las, voilà que le génie se met à exaucer tous ses souhaits, même les plus irréfléchis. Dur dur de réfléchir à ce qu'on va dire avant de parler. Parti d'une idée de génie, Didier Millotte se retrouve malheureusement dans la situation de son héros, incapable de maîtriser sa pensée pour en sortir quelque chose de cohérent et d'exploiter les énormes possibilités du scénario. L'histoire tire à hue et à dia dans toutes les directions et dilapide les bonnes idées sans vraiment construire quelque chose de cohérent.
Et pourtant Mo-Cdm est vraiment doué pour dessiner ses décors. Et pourtant Gaël (connu sur le net sous le pseudo de Gä) est assez touchant et drôle quand il parle divorce et vie familiale sur son blog. Et pourtant, Les Blattes est un joli album physiquement parlant et qui dispose au passage d'une belle promotion de la part du Lombard.
Mais voilà, je n'ai vraiment pas trouvé ça terrible...
Côté dessin, peu de choses à reprocher. Les décors de Mo-cdm sont très bons. Les personnages, dessinés par Gaël, sont moins maîtrisés techniquement parlant, moins fins et détaillés, mais pas mauvais quand même. Les Blattes ont d'ailleurs un physique qui n'est pas sans rappeler le couple de goths dans Les Voisins du 109 du très bon Coyote. Quant aux couleurs, rien à dire, elles collent bien à la BD.
Mais le vrai soucis vient des histoires elles-mêmes et surtout des gags. L'idée de base, c'est un groupe amateur de musicos 'rock trash hard metal, etc...' qui voudrait bien se la jouer 'super groupe de stars du rock' mais qui galère de plans foireux en plans foireux et surtout n'arrive JAMAIS à faire leur premier concert. L'ennui pour moi, déjà, c'est que ce thème est assez restreint et, on le constate assez vite à la lecture, le résultat se trouve assez répétitif. Mais surtout, même quand ce n'est pas répétitif, je dois hélas dire que... je n'ai pas trouvé ça drôle du tout. Humour trop premier degré, gags prévisibles, personnages assez peu attachants et différenciés, réactions caricaturales des personnages , etc... J'ai lu cet album en espérant pouvoir me payer un moment de plaisir et si ce n'est rire à gorge déployée, au moins sourire agréablement... Raté...
Bref, un assez joli album mais que je n'ai pas trouvé drôle du tout alors que c'est le but. Un peu dommage quand même...
Les dessins sont merveilleux! Ils (re)donnent l'envie d'aller zyeuter les originaux. Donc si on aime les peintures de Van Gogh, on aimera les dessins de Smudja.
Mais j'avoue m'être ennuyé à la lecture. Pire, j'ai trouvé la narration trop discontinue, les dialogues peu travaillés... Cette BD est une interprétation tellement personnelle de l'auteur qu'elle en devient difficile à suivre pour le lecteur.
Le visuel est sans aucun doute très réussi... mais cela ne suffit pas pour rattraper tout le reste.
Bof bof bof... pas terrible! En voyant cette bd de Turk et De Groot, je m'attendais à une série divertissante genre Léonard. Mais là, les histoires tournent en rond. Le shérif et Robin Dubois n'ont pas la même saveur que Léonard et son disciple. Les gags sont lourdeaux, c'est lassant à force...
Pour les dessins, c'est basique. C'est pas du grand art, mais ça passe.
En résumé... bof bof bof.
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Des baleines et des puces
Voilà un petit opus à la lecture légère, deux chroniques intimistes de la classe moyenne espagnole, avec un brin de folie qui fait l'originalité des récits. Dommage cependant que F. Sollis ne s'éloigne pas plus des sentiers maintenant bien battus par les géniaux Dupuy & Berbérian ou Michel Rabbagliatti, pour ne pas donner ce petit goût de déjà lu...
Blues 46
J'ai acheté ce diptyque pour le personnage de vétérinaire (je le suis moi même), mais ça n'est vraiment pas mon truc. Le premier volume m'avait laissé sur ma faim, mais dans l'espoir d'un final série B un peu original. Las, j'ai refermé le second volume avec l'impression d'éteindre le poste après un téléfilm de plus. Impression renforcée par le classicisme du dessin de Stalner, qui ne sort pas vraiment des sentiers battus. Pas exactement ce que j'attends d'une lecture en bande dessinée.
Les Abysses phénoménaux
Une petite histoire sympa, mais c'est vraiment léger... Certes, le dessin de Jean-Pierre Duffour est agréable, retransmet bien l'ambiance onirique, mais l'histoire ne vole pas bien haut, et manque de solidité... Ceci dit, ça permet de passer 5 minutes sans trop s'ennuyer. :)
Ai non-stop !
On retrouve ici l'auteur de Love Hina pour sa première oeuvre. Et déjà le style et là : 1 seul gars un peu bête, pas doué avec les filles mais entouré de jolies filles quand même, et les aventures souvent sans queue ni tête bien que mieux contenues que dans Love Hina. Pas de grande originalité si ce n'est que la "magical girl" chère aux japonais n'a pas de baguette mais des "pouvoirs optionnels". Mais pas de grands défauts non plus, l'histoire et les graphismes se bonifient avec les volumes et seul le personnage de Fortie est une erreur de l'auteur (qui la fait régresser petit à petit pour finir par lui faire prendre un rôle de bibelot). A réserver aux collectionneurs de shonen ou aux fans de Ken Akamatsu.
Love Hina
Un manga souvent cité en référence en matière de shonen et pourtant... Ce manga est loin d'être aussi bon que l'on peut le lire assez souvent (un effet de mode peut-être ?). Tout d'abord parce que le scénario de départ et d'une originalité zéro : un étudiant raté dans une pension de filles... vu et revu 1000 fois (Ah ! My Goddess !, Maison Ikkoku, Ai Yori Aoshi,...). Les gags sont lourds voire très lourds, basés sur la répétitivité, ils deviennent vite lassants. Le style loufoque est... heu... comment dire... loufoque ! Ne cherchez pas de logique à l'enchaînement des "aventures", tout est justifié par l'absurde... On peut aimer mais c'est spécial. C'est le seul manga que je connaisse où l'on peut voir des tortues voler d'ailleurs. Quant à l'histoire d'amour : je t'aime, je te tape, je t'aime pas, je t'aime... peut-être (!). C'est peut-être crédible mais fort peu touchant. Enfin, les penchants incestueux de la soeur de Keitaro ne sont pas un exemple à donner à des mineurs à mon humble avis. En conclusion, ce manga se laisse lire, surtout si l'on adhère à l'humour. D'autant plus que les graphismes sont assez beaux. Mais passé l'effet de mode, il n'a intrinsèquement rien pour devenir culte.
Amnesia
Non, rien à faire, je ne suis pas rentré dans ce diptyque qui se veut un huis clos fantastique surfant sur la vague des maisons hantées. Je suis pourtant amateur du dessin de Sorel et des scénarios de Mosdi. Mais ici, la sauce n’a pas pris dès le début. Même si les planches de Sorel sont bien reconnaissables, je les trouve nettement moins réussies qu’à l’accoutumée. Le dessin est un peu brouillon et la mise en couleur plutôt rébarbative . . . La première partie s’attarde sur des événements inquiétants qui se produisent dans un relais de montagne où un groupe d’amis y ont trouvé refuge. Les évènements s’accélèrent dans la deuxième partie pour aboutir à un final bien trop conventionnel et décevant. J’aurais envie de dire "tout ça pour ça". Bref, mieux vaut lire Algernon Woodcock . . .
Meilleurs voeux
Un berger libère un génie qui lui promet de réaliser beaucoup de vœux, mais sans en préciser le nombre. Le berger décide d'en profiter pour libérer une princesse captive et l'épouser. Las, voilà que le génie se met à exaucer tous ses souhaits, même les plus irréfléchis. Dur dur de réfléchir à ce qu'on va dire avant de parler. Parti d'une idée de génie, Didier Millotte se retrouve malheureusement dans la situation de son héros, incapable de maîtriser sa pensée pour en sortir quelque chose de cohérent et d'exploiter les énormes possibilités du scénario. L'histoire tire à hue et à dia dans toutes les directions et dilapide les bonnes idées sans vraiment construire quelque chose de cohérent.
Les Blattes
Et pourtant Mo-Cdm est vraiment doué pour dessiner ses décors. Et pourtant Gaël (connu sur le net sous le pseudo de Gä) est assez touchant et drôle quand il parle divorce et vie familiale sur son blog. Et pourtant, Les Blattes est un joli album physiquement parlant et qui dispose au passage d'une belle promotion de la part du Lombard. Mais voilà, je n'ai vraiment pas trouvé ça terrible... Côté dessin, peu de choses à reprocher. Les décors de Mo-cdm sont très bons. Les personnages, dessinés par Gaël, sont moins maîtrisés techniquement parlant, moins fins et détaillés, mais pas mauvais quand même. Les Blattes ont d'ailleurs un physique qui n'est pas sans rappeler le couple de goths dans Les Voisins du 109 du très bon Coyote. Quant aux couleurs, rien à dire, elles collent bien à la BD. Mais le vrai soucis vient des histoires elles-mêmes et surtout des gags. L'idée de base, c'est un groupe amateur de musicos 'rock trash hard metal, etc...' qui voudrait bien se la jouer 'super groupe de stars du rock' mais qui galère de plans foireux en plans foireux et surtout n'arrive JAMAIS à faire leur premier concert. L'ennui pour moi, déjà, c'est que ce thème est assez restreint et, on le constate assez vite à la lecture, le résultat se trouve assez répétitif. Mais surtout, même quand ce n'est pas répétitif, je dois hélas dire que... je n'ai pas trouvé ça drôle du tout. Humour trop premier degré, gags prévisibles, personnages assez peu attachants et différenciés, réactions caricaturales des personnages , etc... J'ai lu cet album en espérant pouvoir me payer un moment de plaisir et si ce n'est rire à gorge déployée, au moins sourire agréablement... Raté... Bref, un assez joli album mais que je n'ai pas trouvé drôle du tout alors que c'est le but. Un peu dommage quand même...
Vincent et Van Gogh
Les dessins sont merveilleux! Ils (re)donnent l'envie d'aller zyeuter les originaux. Donc si on aime les peintures de Van Gogh, on aimera les dessins de Smudja. Mais j'avoue m'être ennuyé à la lecture. Pire, j'ai trouvé la narration trop discontinue, les dialogues peu travaillés... Cette BD est une interprétation tellement personnelle de l'auteur qu'elle en devient difficile à suivre pour le lecteur. Le visuel est sans aucun doute très réussi... mais cela ne suffit pas pour rattraper tout le reste.
Robin Dubois
Bof bof bof... pas terrible! En voyant cette bd de Turk et De Groot, je m'attendais à une série divertissante genre Léonard. Mais là, les histoires tournent en rond. Le shérif et Robin Dubois n'ont pas la même saveur que Léonard et son disciple. Les gags sont lourdeaux, c'est lassant à force... Pour les dessins, c'est basique. C'est pas du grand art, mais ça passe. En résumé... bof bof bof.