Ce manga fait par le créateur d’Albator est un peu mieux que ce dernier, mais possède aussi des défauts.
L'histoire ? En gros, un petit garçon, Tetsuro Hoshino, veut avoir un corps robotisé qu'il peut obtenir gratuitement sur une planète éloignée de la Terre. Pour il y aller, il va dans un train spatial accompagné d'une mystérieuse femme nommé Maetal. Chaque planète qui se trouve sur leur route est une escale et il s'y passe évidemment toujours quelque chose.
Les différentes histoires ne sont pas mauvaises au départ, mais je trouve que les fins sont bâclées la plupart du temps. Les deux personnages principaux sont sur une planète, il se passe un truc et ils le règlent souvent facilement. De plus, ça devient vraiment lassant à la longue de les voir se promener de planète en planète.
Attiré par les notes élogieuses des avis précédents et par une bonne critique de magazine, j'étais heureux d'aller m'acheter cette BD, dont le dessin me plaisait beaucoup.
Je suis déçu et j'en suis bien triste !
Comme je le disais, le dessin est tout à fait à mon goût : c'est léché, léger et rigolo.
L'idée de départ du scénario est prometteur : un garçon a le "super pouvoir" d'arrêter la pluie au-dessus de sa tête, sans savoir comment, ni pourquoi. Ce don est assez ridicule, il faut bien le dire, et je m'attendais à être étonné et à rigoler à chaque page. Rien de cela, je me suis plutôt ennuyé.
C'est sûr, cette BD est plutôt tendre et émouvante mais je n'ai pas réussi à être captivé par elle. J'en attendais autre chose... c'est un rendez-vous manqué.
Dans le style "détournement de super pouvoir", je préfère Comix Remix dont l'intrigue est plus soutenue.
Alec Severin est un auteur d’exception en marge des productions actuelles. Dessinateur et illustrateur hors pair, il a décidé de ranger ses crayons pour cause d'incompatibilité avec ses convictions religieuses. Ses productions ont souvent été confidentielles. Gratin fait partie de ces dernières.
Bien que j’éprouve une affection particulière pour ses récits, je dois avouer que Gratin est une déception, tant sur le plan graphique que narratif. Les planches sont terriblement brouillonnes avec un trait qui tient davantage de l’esquisse que d’un dessin achevé. Le découpage est saccadé et difficilement lisible. D’ailleurs, figure sur bon nombre de planches une numérotation des cases pour ne pas perdre le lecteur. En plus de ces griffonnages tortueux, Alec Severin propose un récit peu passionnant et assez lent qui dévoile trop peu de choses sur les événements passés. J’ai décroché plusieurs fois et il m’a été difficile d’en venir à bout. Le côté fantastique qui survient dans le dernier tiers de l’album me semble dispensable. Je ne vois pas trop ce que cela apporte. Le final est lui aussi un peu torpillé... Déçu pour le coup... :(
Bien que cet album puisse se lire seul, d’autres aventures de Gratin étaient prévues... J’imagine que les planches se trouvent toujours dans les cartons d’Alec Severin.
Cela ne casse franchement pas des briques. C'est presque sommaire et bestial dans l'approche de la féminité. J'irai même un peu plus loin en affirmant que c'est lamentable voire un peu malsain car le récit associe un enfant complice dans cette spirale dégénérative. Je n'ai absolument pas senti le goût de la farce ou de la caricature tant cette bd semble se prendre au sérieux. A la limite, je me dis que c'était dans l'état d'esprit des années 80.
L'intrigue reste banale dans sa simplicité. Le dessin est tout juste correct. Une bd jetable à défaut d'être louable... Parlez-moi d'autre chose !
Voilà une BD bien curieuse. Le dessin de Cinna ne m'a pas convaincue, bien qu'il ne soit pas complètement mauvais, mais on a l'impression que la colorisation de certaines cases n'a pas été complètement finie.
Les proportions de la petite fille sont un peu bizarres, une grosse tête et un petit corps, un peu comme dans certains dessins animés. De plus, quel âge a cette gamine ? Physiquement pas plus de 3 ou 4, mentalement peut-être 7 ou 8 ans, ça ne colle pas. Mr. Deeds a une tête aussi de petit enfant alors que c'est déjà un homme, bien que ce personnage soit assez original.
L'histoire n'a rien de transcendant, le problème c'est que la plupart du temps j'ai eu l'impression de lire une BD jeunesse, c'est vraiment du fantastique pour gamins. Pour l'instant il n'y a rien qui fasse vraiment peur, peut-être cela changera-t-il par la suite.
Ma première déception de la collection Trilogies d'EP.
A l’origine, je pense que c’était une bonne idée que de faire une bd traitant avec humour la profession de psychologue. Il y a des situations cocasses qui donnent largement matière avec tous les dégénérés qu'il y a sur terre.
Cependant le sujet s’épuise très vite au fil des albums. Trop, c’est trop ! Une seule bd aurait largement suffit, quitte à traiter un autre corps de métiers à chaque volume.
J’ai beaucoup plus été séduit par une aventure rocambolesque de Sigmund Freud de Larcenet que par les gags répétitifs de cette série où l’on s’ennuie très vite.
C’est un recueil de courtes histoires humoristiques qui ont pour trame le seigneur des anneaux. Les quatre premières histoires sont plutôt drôles, après le reste se détériore. Le pire est vraiment la dernière, celle de Morvan ...saprr… aucun intérêt ! Cette bd vous arrachera quelques sourires néanmoins, elle est à lire une fois et surtout à ne pas acheter neuf…en occase pourquoi pas. Concernant les dessins, évidement il varie à chaque histoire puisque les auteurs sont différents, mais je trouve que ce principe du recueil très déstabilisant car on n’a pas le temps d’accrocher.
Je n’irais pas à dire que c’est mauvais, mais plutôt commun voir lassant après quelques pages. En plus toutes les blagues se passent en classe, il faudrait de temps en temps sortir « l’élève » du contexte école. Les dessins ne sont pas vilains mais je trouve les vêtements des élèves et le décor de la salle de classe ringards, vieillots, ce qui dénote totalement dans les derniers albums où les enfants parlent de console de jeux.
Après la lecture du premier tome.
Visiblement, cette série n'est pas pour moi. Je me suis demandé ce qu'il fallait en retenir...
Je n'ai pas aimé le scénario et le dessin ne m'a pas vraiment convaincu.
A l'occasion, si je peux mette la main sur le T2, je le lirai car le tome 1 est tellement vide que lui mettre un 2/5, est le mieux que je puisse faire aujourd'hui.
Une entrée en matière clairement ratée, j'espère que la suite sera meilleure.
Une petite BD qui annonce un mélange de genre, qui commence comme un western mais n'en est hélas plus un au bout de deux pages.
Seul le personnage de Billy, nous lie vaguement au genre Western, l'ambiance est fantastique et baigne dans un univers « Freaks » délirant ou humour et défouraillages dament le pion à l'angoisse. On est dans le léger et le divertissement.
Le scénario de Eric The Goon Powell n'est pas vraiment mauvais mais d'une certaine manière c'est moins déjanté, plus classique dans la forme que The Goon.
Pour qui aime le genre comme moi, ça passe mais il y a un petit goût de « comme Goon en moins Bien »...
Les dessins sont plutôt réussis, les trognes des personnages sont amusantes, le loup garou ressemble à Chewbacca… c'est marrant. Dommage que la mauvaise qualité d'impression dont souffre l'album (floutant carrément certaines pages) porte préjudice au dessin de Kyle Hotz.
Bref, une petite BD facilement oubliable...
JJJ
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Galaxy Express 999
Ce manga fait par le créateur d’Albator est un peu mieux que ce dernier, mais possède aussi des défauts. L'histoire ? En gros, un petit garçon, Tetsuro Hoshino, veut avoir un corps robotisé qu'il peut obtenir gratuitement sur une planète éloignée de la Terre. Pour il y aller, il va dans un train spatial accompagné d'une mystérieuse femme nommé Maetal. Chaque planète qui se trouve sur leur route est une escale et il s'y passe évidemment toujours quelque chose. Les différentes histoires ne sont pas mauvaises au départ, mais je trouve que les fins sont bâclées la plupart du temps. Les deux personnages principaux sont sur une planète, il se passe un truc et ils le règlent souvent facilement. De plus, ça devient vraiment lassant à la longue de les voir se promener de planète en planète.
Il fera beau demain
Attiré par les notes élogieuses des avis précédents et par une bonne critique de magazine, j'étais heureux d'aller m'acheter cette BD, dont le dessin me plaisait beaucoup. Je suis déçu et j'en suis bien triste ! Comme je le disais, le dessin est tout à fait à mon goût : c'est léché, léger et rigolo. L'idée de départ du scénario est prometteur : un garçon a le "super pouvoir" d'arrêter la pluie au-dessus de sa tête, sans savoir comment, ni pourquoi. Ce don est assez ridicule, il faut bien le dire, et je m'attendais à être étonné et à rigoler à chaque page. Rien de cela, je me suis plutôt ennuyé. C'est sûr, cette BD est plutôt tendre et émouvante mais je n'ai pas réussi à être captivé par elle. J'en attendais autre chose... c'est un rendez-vous manqué. Dans le style "détournement de super pouvoir", je préfère Comix Remix dont l'intrigue est plus soutenue.
Gratin
Alec Severin est un auteur d’exception en marge des productions actuelles. Dessinateur et illustrateur hors pair, il a décidé de ranger ses crayons pour cause d'incompatibilité avec ses convictions religieuses. Ses productions ont souvent été confidentielles. Gratin fait partie de ces dernières. Bien que j’éprouve une affection particulière pour ses récits, je dois avouer que Gratin est une déception, tant sur le plan graphique que narratif. Les planches sont terriblement brouillonnes avec un trait qui tient davantage de l’esquisse que d’un dessin achevé. Le découpage est saccadé et difficilement lisible. D’ailleurs, figure sur bon nombre de planches une numérotation des cases pour ne pas perdre le lecteur. En plus de ces griffonnages tortueux, Alec Severin propose un récit peu passionnant et assez lent qui dévoile trop peu de choses sur les événements passés. J’ai décroché plusieurs fois et il m’a été difficile d’en venir à bout. Le côté fantastique qui survient dans le dernier tiers de l’album me semble dispensable. Je ne vois pas trop ce que cela apporte. Le final est lui aussi un peu torpillé... Déçu pour le coup... :( Bien que cet album puisse se lire seul, d’autres aventures de Gratin étaient prévues... J’imagine que les planches se trouvent toujours dans les cartons d’Alec Severin.
Parlez-moi de mort
Cela ne casse franchement pas des briques. C'est presque sommaire et bestial dans l'approche de la féminité. J'irai même un peu plus loin en affirmant que c'est lamentable voire un peu malsain car le récit associe un enfant complice dans cette spirale dégénérative. Je n'ai absolument pas senti le goût de la farce ou de la caricature tant cette bd semble se prendre au sérieux. A la limite, je me dis que c'était dans l'état d'esprit des années 80. L'intrigue reste banale dans sa simplicité. Le dessin est tout juste correct. Une bd jetable à défaut d'être louable... Parlez-moi d'autre chose !
Mr. Deeds
Voilà une BD bien curieuse. Le dessin de Cinna ne m'a pas convaincue, bien qu'il ne soit pas complètement mauvais, mais on a l'impression que la colorisation de certaines cases n'a pas été complètement finie. Les proportions de la petite fille sont un peu bizarres, une grosse tête et un petit corps, un peu comme dans certains dessins animés. De plus, quel âge a cette gamine ? Physiquement pas plus de 3 ou 4, mentalement peut-être 7 ou 8 ans, ça ne colle pas. Mr. Deeds a une tête aussi de petit enfant alors que c'est déjà un homme, bien que ce personnage soit assez original. L'histoire n'a rien de transcendant, le problème c'est que la plupart du temps j'ai eu l'impression de lire une BD jeunesse, c'est vraiment du fantastique pour gamins. Pour l'instant il n'y a rien qui fasse vraiment peur, peut-être cela changera-t-il par la suite. Ma première déception de la collection Trilogies d'EP.
Les Psy
A l’origine, je pense que c’était une bonne idée que de faire une bd traitant avec humour la profession de psychologue. Il y a des situations cocasses qui donnent largement matière avec tous les dégénérés qu'il y a sur terre. Cependant le sujet s’épuise très vite au fil des albums. Trop, c’est trop ! Une seule bd aurait largement suffit, quitte à traiter un autre corps de métiers à chaque volume. J’ai beaucoup plus été séduit par une aventure rocambolesque de Sigmund Freud de Larcenet que par les gags répétitifs de cette série où l’on s’ennuie très vite.
L'Essayeur des Anneaux
C’est un recueil de courtes histoires humoristiques qui ont pour trame le seigneur des anneaux. Les quatre premières histoires sont plutôt drôles, après le reste se détériore. Le pire est vraiment la dernière, celle de Morvan ...saprr… aucun intérêt ! Cette bd vous arrachera quelques sourires néanmoins, elle est à lire une fois et surtout à ne pas acheter neuf…en occase pourquoi pas. Concernant les dessins, évidement il varie à chaque histoire puisque les auteurs sont différents, mais je trouve que ce principe du recueil très déstabilisant car on n’a pas le temps d’accrocher.
L'Elève Ducobu
Je n’irais pas à dire que c’est mauvais, mais plutôt commun voir lassant après quelques pages. En plus toutes les blagues se passent en classe, il faudrait de temps en temps sortir « l’élève » du contexte école. Les dessins ne sont pas vilains mais je trouve les vêtements des élèves et le décor de la salle de classe ringards, vieillots, ce qui dénote totalement dans les derniers albums où les enfants parlent de console de jeux.
Les aventures de Boro - Reporter photographe
Après la lecture du premier tome. Visiblement, cette série n'est pas pour moi. Je me suis demandé ce qu'il fallait en retenir... Je n'ai pas aimé le scénario et le dessin ne m'a pas vraiment convaincu. A l'occasion, si je peux mette la main sur le T2, je le lirai car le tome 1 est tellement vide que lui mettre un 2/5, est le mieux que je puisse faire aujourd'hui. Une entrée en matière clairement ratée, j'espère que la suite sera meilleure.
Billy the Kid et la Foire aux Monstres
Une petite BD qui annonce un mélange de genre, qui commence comme un western mais n'en est hélas plus un au bout de deux pages. Seul le personnage de Billy, nous lie vaguement au genre Western, l'ambiance est fantastique et baigne dans un univers « Freaks » délirant ou humour et défouraillages dament le pion à l'angoisse. On est dans le léger et le divertissement. Le scénario de Eric The Goon Powell n'est pas vraiment mauvais mais d'une certaine manière c'est moins déjanté, plus classique dans la forme que The Goon. Pour qui aime le genre comme moi, ça passe mais il y a un petit goût de « comme Goon en moins Bien »... Les dessins sont plutôt réussis, les trognes des personnages sont amusantes, le loup garou ressemble à Chewbacca… c'est marrant. Dommage que la mauvaise qualité d'impression dont souffre l'album (floutant carrément certaines pages) porte préjudice au dessin de Kyle Hotz. Bref, une petite BD facilement oubliable... JJJ