J'ai plutôt bien aimé la série TV Heroes dont je n'ai vu que la première saison. J'étais donc assez curieux de savoir quel pouvait être le scénario d'un comics issu de cette série. Après lecture, il s'avère qu'il s'agit à peu près du récit des quelques évènements qui ont précédé la série, s'attardant sur les actions de personnages annexes histoire de donner, en principe, plus de profondeur à l'ensemble.
Dans les faits, c'est franchement médiocre.
Le dessin des premiers chapitres est tout simplement mauvais, à peine mieux que le niveau amateur. Le dessinateur change par la suite ou en fonction des épisodes mais le résultat reste de qualité très moyenne.
Les premiers chapitres sont une redite du début de la série, présentant les personnages que l'on connaît en quelques pages avant de les oublier tous ou presque par la suite. Mais mieux vaut connaître la série pour comprendre ces passages car ils sont plutôt mal racontés et pas clairs pour qui ne sait pas déjà quels sont les pouvoirs des personnages concernés. Dans tous les cas, cette cinquantaine de pages n'apporte rien à celui qui a vu la série tv.
On s'attache ensuite à quelques personnages comme le père de la pompom girl, l'homme capable de se transformer en bombe atomique, ou encore et surtout la femme-soldat israélienne capable d'"entendre" toutes les communications électroniques, femme qui apparaît à peine dans la série TV. Le scénario nous raconte une intrigue de complot, de combats, de courses-poursuites sans saveur et pas très bien racontée. Une fois de plus, cela n'apporte presque rien à la série TV et c'est de médiocre qualité pris indépendamment de cette dernière.
Bref, il s'agit là d'une série purement commerciale sans intérêt et de mauvaise qualité.
D'ordinaire, j'aime les décors poétiques et oniriques à base de landes battues par le vent et de falaises au dessus de la mer. Mais ces histoires courtes ne m'ont pas plu. Même si leur côté absurde ne me gêne pas, elles sont trop courtes mais surtout trop lugubres à mon goût. Elles fleurent un peu le début des années 80 par leur style désuet. Le dessin réalise ne m'a pas séduit et fait preuve de quelques défauts. Et la poésie de l'ensemble ne m'a pas touché car trop souvent orientée vers la tragédie et la mort.
Je ne trouve pas le résultat terrible.
Mudwog, c'est un drôle de mélange de fantasy, de trash et de non-sense.
Le dessin est tout à fait intéressant. Techniquement maîtrisé et soigné, il ne manque pas de caractère même s'il n'est pas toujours très clair. C'est en tout cas du beau boulot de pro.
Les histoires contenues dans cet album, maintenant, sont assez... inattendues. Bavardes à la manière de poèmes grivois, elles nous mènent à la rencontre de personnages quelque part entre les gnomes, les ogres, les géants et les trolls, dans une ambiance un peu déjantée et paillarde. Difficile de résumer leurs contenus après cela.
Dans les faits, je n'ai guère été charmé. Les histoires sont confuses et pas très séduisantes à mon goût. Il y a un petit côté soixante-huitard qui ne me plait pas vraiment. J'ai pas accroché.
La série ne doit pas être mauvaise au vu de la réputation qu'elle a acquise. Cependant, les aventures et les déboires de cette bande de motards au milieu des années 70 n'a pas rencontré mon attachement. Il y a un côté absolument sympathique indéniable.
Je crois que ce qui me rebute, c'est cette présentation de case et cette manière de dessiner qui est représentative de la vieille bd d'antan qui me faisait déjà fuir. Fort heureusement, la bd a su évoluer ces dernières années tant au niveau scénario qu'au niveau graphisme. Cela explique également son succès ainsi que ma passion renouvelée.
Joe Bar Team s'adresse principalement aux nostalgiques d'une époque révolue où l'on jouait au flipper dans les bars, où l'on pouvait encore rouler vite. Ces Daltons du volant que l'on invite à faire une bourre, ou cela passe ou ça casse...
Je lis cette série dans Tchô, et je n’accroche vraiment pas.
Déjà je ne trouve pas du tout le dessin beau. Les gags ne me font presque jamais rire.
Comme si tous les barbares étaient des gros débiles :)
Alors 3 gags par mois ça passe durement avec moi, je n’imagine pas en album…
A oublier.
Il fallait y penser ! Mettre une troupe de soldats déjantés à la conquête de l'espace. Ils font "atomiser" les planètes à cause de leurs bêtises et pousse un petit "oups". C'est pas très marrant car on prend vite fait et cause pour les pauvres petites créatures inoffensives.
On retrouve le décors de films comme Starship Troupers ou bien encore Star Wars avec quelques clins d'oeil pour d'autres films culte comme Alien.
Les couleurs sont beaucoup trop traitées informatiquement pour être véritablement belles. Les dessins paraissent également trop ronds; ce n'est pourtant pas si désagréable à la vue !
Les auteurs ont voulu faire passer avec ces albums un moment de franche rigolade pour les lecteurs amateurs de science-fiction. Cela prend quelque fois mais de trop rare fois à mon goût.
J'ai fini par me lancer, pourtant ça faisait longtemps que je retardais cette lecture.
Période Glaciaire m'avait conquis par son originalité et son graphisme.
Ici il est question également d'originalité, mais trop : c'est conceptuel et expérimental.
Je ne suis jamais rentré dans l'histoire.
Le dessin est indescriptible, évolutif dans le trait avec des couleurs changeantes et parfois très vives. Ca touche, ... ou pas, on est plus dans de l'art que dans de la BD.
A lire avant d'investir.
Mon sentiment se rapproche de ceux exprimés par Alix et Spooky. Ce recueil d’histoires courtes sur des phénomènes paranormaux liés aux fantômes ne m’a pas vraiment convaincu.
Comme dans tout recueil, il y a du bon et du moins bon. De grandes pointures se sont associées au projet mais sans forcer sur leur talent et le résultat s’en ressent. Le dessinateur qui m’a le plus convaincu est encore un inconnu, Hervé Duphot, pour "U-65" qui a un trait proche de celui de Bonhomme. Dommage que ce récit m’ait été trop hermétique. Sinon, "Star Luda", le récit se passant à Sarajevo, est sans conteste le plus abouti. Les autres récits sont soit trop convenus, soit trop bref, soit peu compréhensible. Une histoire de convaincante sur neuf, c’est bien maigre . . .
Bref, un album dispensable.
Quand j'ai vu les deux premiers tomes à la bibliothèque, je les ai immédiatement empruntés. J'aime bien apprendre des choses sur le Japon et j'espérais en savoir plus sur les mikos ainsi que sur les monstres du folklore japonais. Malheureusement, je fus très déçu par cette série (il faudrait un jour que je fasse la liste des bds/comics/mangas qui m'ont insatisfait).
Les seules choses que j'ai aimées sont les moments où en voit le quotidien des mikos. Le reste n'est pas franchement captivant. Je pense que le problème vient de l'héroïne qui est encore une étudiante. On a donc droit à une intrigue à la ''Card Captor Sakura'', mais avec des monstres à la place des cartes. Il y a aussi une intrigue amoureuse banale qui me fait bailler d'ennui. Finalement, il semblerait qu'il y ait un méchant principal, mais comme je ne n'ai pas l'intention de lire la fin, je ne le saurai jamais.
Ce "hors-série" de Ray n'a pas un grand intéret. Pour ceux qui ne connaissent pas Ray, il n'y a aucun intérêt à lire se H-S... Ce serait comme lire "le petit roy" sans avoir lu La Nef des fous.
Pour les autres, on trouvera quelques chapitres (100 pages) qui auraient pu être intégrés à Ray. C'est bien dans l'esprit de la série originale et se laisse lire sans rien lui apporter de plus au niveau de sa compréhension.
Pour le reste du manga, 2 histoires sans aucun rapport avec Ray font office de bouche-trou. Absolument inutiles, ces 2 histoires sont, qui plus est, assez navrantes.
Totalement dispensable pour tous donc.
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Heroes
J'ai plutôt bien aimé la série TV Heroes dont je n'ai vu que la première saison. J'étais donc assez curieux de savoir quel pouvait être le scénario d'un comics issu de cette série. Après lecture, il s'avère qu'il s'agit à peu près du récit des quelques évènements qui ont précédé la série, s'attardant sur les actions de personnages annexes histoire de donner, en principe, plus de profondeur à l'ensemble. Dans les faits, c'est franchement médiocre. Le dessin des premiers chapitres est tout simplement mauvais, à peine mieux que le niveau amateur. Le dessinateur change par la suite ou en fonction des épisodes mais le résultat reste de qualité très moyenne. Les premiers chapitres sont une redite du début de la série, présentant les personnages que l'on connaît en quelques pages avant de les oublier tous ou presque par la suite. Mais mieux vaut connaître la série pour comprendre ces passages car ils sont plutôt mal racontés et pas clairs pour qui ne sait pas déjà quels sont les pouvoirs des personnages concernés. Dans tous les cas, cette cinquantaine de pages n'apporte rien à celui qui a vu la série tv. On s'attache ensuite à quelques personnages comme le père de la pompom girl, l'homme capable de se transformer en bombe atomique, ou encore et surtout la femme-soldat israélienne capable d'"entendre" toutes les communications électroniques, femme qui apparaît à peine dans la série TV. Le scénario nous raconte une intrigue de complot, de combats, de courses-poursuites sans saveur et pas très bien racontée. Une fois de plus, cela n'apporte presque rien à la série TV et c'est de médiocre qualité pris indépendamment de cette dernière. Bref, il s'agit là d'une série purement commerciale sans intérêt et de mauvaise qualité.
Route des falaises
D'ordinaire, j'aime les décors poétiques et oniriques à base de landes battues par le vent et de falaises au dessus de la mer. Mais ces histoires courtes ne m'ont pas plu. Même si leur côté absurde ne me gêne pas, elles sont trop courtes mais surtout trop lugubres à mon goût. Elles fleurent un peu le début des années 80 par leur style désuet. Le dessin réalise ne m'a pas séduit et fait preuve de quelques défauts. Et la poésie de l'ensemble ne m'a pas touché car trop souvent orientée vers la tragédie et la mort. Je ne trouve pas le résultat terrible.
Mudwog
Mudwog, c'est un drôle de mélange de fantasy, de trash et de non-sense. Le dessin est tout à fait intéressant. Techniquement maîtrisé et soigné, il ne manque pas de caractère même s'il n'est pas toujours très clair. C'est en tout cas du beau boulot de pro. Les histoires contenues dans cet album, maintenant, sont assez... inattendues. Bavardes à la manière de poèmes grivois, elles nous mènent à la rencontre de personnages quelque part entre les gnomes, les ogres, les géants et les trolls, dans une ambiance un peu déjantée et paillarde. Difficile de résumer leurs contenus après cela. Dans les faits, je n'ai guère été charmé. Les histoires sont confuses et pas très séduisantes à mon goût. Il y a un petit côté soixante-huitard qui ne me plait pas vraiment. J'ai pas accroché.
Joe Bar Team
La série ne doit pas être mauvaise au vu de la réputation qu'elle a acquise. Cependant, les aventures et les déboires de cette bande de motards au milieu des années 70 n'a pas rencontré mon attachement. Il y a un côté absolument sympathique indéniable. Je crois que ce qui me rebute, c'est cette présentation de case et cette manière de dessiner qui est représentative de la vieille bd d'antan qui me faisait déjà fuir. Fort heureusement, la bd a su évoluer ces dernières années tant au niveau scénario qu'au niveau graphisme. Cela explique également son succès ainsi que ma passion renouvelée. Joe Bar Team s'adresse principalement aux nostalgiques d'une époque révolue où l'on jouait au flipper dans les bars, où l'on pouvait encore rouler vite. Ces Daltons du volant que l'on invite à faire une bourre, ou cela passe ou ça casse...
Root
Je lis cette série dans Tchô, et je n’accroche vraiment pas. Déjà je ne trouve pas du tout le dessin beau. Les gags ne me font presque jamais rire. Comme si tous les barbares étaient des gros débiles :) Alors 3 gags par mois ça passe durement avec moi, je n’imagine pas en album… A oublier.
Womoks
Il fallait y penser ! Mettre une troupe de soldats déjantés à la conquête de l'espace. Ils font "atomiser" les planètes à cause de leurs bêtises et pousse un petit "oups". C'est pas très marrant car on prend vite fait et cause pour les pauvres petites créatures inoffensives. On retrouve le décors de films comme Starship Troupers ou bien encore Star Wars avec quelques clins d'oeil pour d'autres films culte comme Alien. Les couleurs sont beaucoup trop traitées informatiquement pour être véritablement belles. Les dessins paraissent également trop ronds; ce n'est pourtant pas si désagréable à la vue ! Les auteurs ont voulu faire passer avec ces albums un moment de franche rigolade pour les lecteurs amateurs de science-fiction. Cela prend quelque fois mais de trop rare fois à mon goût.
Le Bibendum céleste
J'ai fini par me lancer, pourtant ça faisait longtemps que je retardais cette lecture. Période Glaciaire m'avait conquis par son originalité et son graphisme. Ici il est question également d'originalité, mais trop : c'est conceptuel et expérimental. Je ne suis jamais rentré dans l'histoire. Le dessin est indescriptible, évolutif dans le trait avec des couleurs changeantes et parfois très vives. Ca touche, ... ou pas, on est plus dans de l'art que dans de la BD. A lire avant d'investir.
Hanté (Soleil)
Mon sentiment se rapproche de ceux exprimés par Alix et Spooky. Ce recueil d’histoires courtes sur des phénomènes paranormaux liés aux fantômes ne m’a pas vraiment convaincu. Comme dans tout recueil, il y a du bon et du moins bon. De grandes pointures se sont associées au projet mais sans forcer sur leur talent et le résultat s’en ressent. Le dessinateur qui m’a le plus convaincu est encore un inconnu, Hervé Duphot, pour "U-65" qui a un trait proche de celui de Bonhomme. Dommage que ce récit m’ait été trop hermétique. Sinon, "Star Luda", le récit se passant à Sarajevo, est sans conteste le plus abouti. Les autres récits sont soit trop convenus, soit trop bref, soit peu compréhensible. Une histoire de convaincante sur neuf, c’est bien maigre . . . Bref, un album dispensable.
Asagiri - Les prêtresses de l'aube
Quand j'ai vu les deux premiers tomes à la bibliothèque, je les ai immédiatement empruntés. J'aime bien apprendre des choses sur le Japon et j'espérais en savoir plus sur les mikos ainsi que sur les monstres du folklore japonais. Malheureusement, je fus très déçu par cette série (il faudrait un jour que je fasse la liste des bds/comics/mangas qui m'ont insatisfait). Les seules choses que j'ai aimées sont les moments où en voit le quotidien des mikos. Le reste n'est pas franchement captivant. Je pense que le problème vient de l'héroïne qui est encore une étudiante. On a donc droit à une intrigue à la ''Card Captor Sakura'', mais avec des monstres à la place des cartes. Il y a aussi une intrigue amoureuse banale qui me fait bailler d'ennui. Finalement, il semblerait qu'il y ait un méchant principal, mais comme je ne n'ai pas l'intention de lire la fin, je ne le saurai jamais.
Ray+
Ce "hors-série" de Ray n'a pas un grand intéret. Pour ceux qui ne connaissent pas Ray, il n'y a aucun intérêt à lire se H-S... Ce serait comme lire "le petit roy" sans avoir lu La Nef des fous. Pour les autres, on trouvera quelques chapitres (100 pages) qui auraient pu être intégrés à Ray. C'est bien dans l'esprit de la série originale et se laisse lire sans rien lui apporter de plus au niveau de sa compréhension. Pour le reste du manga, 2 histoires sans aucun rapport avec Ray font office de bouche-trou. Absolument inutiles, ces 2 histoires sont, qui plus est, assez navrantes. Totalement dispensable pour tous donc.