Le MBZ est un jeu de combat, dans de bêtes salles de jeux les différents protagonistes se mettent des roustes virtuelles. Il y a un classement, des fans, des groupies, des idoles (pour les groupies c'est mieux) et un néophyte ayant trouvé sa carte de membre par hasard (mais enfin quoi! C'est l'élu ce mec!) qui va latter tous les types qui passent leur vie à squatter l'espace de jeu.
Le p'tit nouveau va monter une équipe suite à un défi, on voit qu'il a quelques petits soucis familiaux... Et... Euh c'est à peu prés tout en fait la série s'interrompt au bout de trois tomes, mais bon ce n'est pas trop grave en fait. A moins d'être fan de combats mous et sans dynamisme remplis d'effets spéciaux, de dessins à l'informatique à deux balles, de couvertures pourries, de culottes courtes et de séries inachevées.
Bref R.I.P Zéro one...
Un détail amusant: Gantz, série commise par le même auteur, est encore plus nulle.
Au cas où vous seriez intéressés par Zéro One c'est disponible d'occase en grande quantité et pour pas cher chez n'importe quel bouquiniste.
Manga sombre et violent datant de 1980, Satsuma présente un aspect historique pour l'instant très poussé, plus encore que dans Lone Wolf & Cub. S'il ressemble un peu à ce dernier, le propos est plus vaste puisqu'il traite d'une époque, d'un climat social, d'une révolte. Les parenthèses (encore plus) historiques sont d'ailleurs multiples, parfois un peu complexes (les termes japonais ne facilitant pas la compréhension immédiate) mais pas pesantes pour autant, au contraire.
La "réalité" de l'époque est très bien décrite, ainsi que l'état d'esprit de la population. Par moments ce manga aurait presque un aspect documentaire, comme lorsque l'auteur décrit les différents métiers exercés par les samouraïs (p.60-71), qui montre un souci poussé de documentation et qui apprend pas mal de choses sur ces métiers et façons de faire.
La première scène, en grande partie muette et assez longue (60 pages), fait preuve de violence, presque de cruauté. Très dynamique, sa lisibilité n'est pas toujours parfaite (alors que dans le reste de l'album tout est très fluide), mais elle donne bien le ton. Le dessin présente très peu de trames, et ressemble parfois beaucoup à celui de Lone Wolf & Cub, dynamique et vraiment agréable. Un point noir tout de même : la police de caractères quand les personnages crient, toute distordue, et surtout assez illisible...
Très bien pour l'instant, assez passionnant (même s'il établit surtout l'ambiance, le climat et l'état d'esprit des différentes classes), ce premier tome augure d'une suite prometteuse.
Et en plus la jaquette est très belle et les notes de fin de volume intéressantes et enrichissantes. Aucune raison de s'en priver, donc. :)
Tiens, je ne connaissais pas cet auteur. J'ai pris l'album plus par curiosité que par réel intérêt. Mais je dois avouer que ça se lit bien, très bien même. Ce sont des instantanés, des regards un peu décalés sur la banalité de la vie, des moments apparemment sans intérêt. Mais le regard d'Ayroles magnifie ces moments de rien, on suit ces saynètes avec délice, grâce également à un dessin avide de détails. Très sympa. :)
Des auteurs inconnus pour ce que j'en sais, une auto-édition par le scénariste, une BD dont je n'avais jamais entendu parler, Mashémalo a été une bonne surprise pour moi alors que c'est une BD qui semble être passée totalement inaperçue.
Commençons par le dessin. Il est très particulier. Le dessinateur est japonais mais son style mélange le style enfantin francobelge et de nombreuses inspirations destinées à faire ressembler les cases de cette BD à des estampes japonaises. Le résultat est surprenant, parfois maladroit notamment pour les visages, parfois bien réussi sur certaines "estampes", et globalement je le trouve très lisible et agréable. L'ennui, ce sont les couleurs. Est-ce que comme le dessin, ce sont des couleurs destinées à rappeler celles de certaines estampes ? Je n'en sais rien, mais à moins que ces estampes soient garnies de jaune, de violet et de orange "qui tâche", moi je n'aime pas ça. Avec une colorisation plus moderne, ces dessins auraient pu donner quelque chose de vraiment très bien, mais là, la couleur gâche tout.
Ensuite, le scénario aussi est spécial. Spécial surtout parce qu'avec un tel dessin et des visages enfantins, et aussi avec de tels titres de BD plutôt lourdingues, on s'attend à quelque chose de léger, humoristique, un peu lourd. Mais non, c'est très adulte. Les lames tuent vraiment, le sang gicle vraiment, le sexe est bien présent également. Et l'histoire est plutôt bonne, ma foi, très moderne en fait. J'ai beaucoup aimé suivre ce héros qu'est Mashémalo (dommage qu'il aie un nom aussi ridicule). Et par dessus tout, je trouve les dialogues de cette BD vraiment très bons, au point de rigoler vraiment sur certaines réparties du rônin.
Etonnant donc que cette série un peu OVNI. Dommage que cela manque un peu de maîtrise et que les couleurs soient ratées, car cela aurait pu être franchement bien.
Un manga, relativement difficile à classer et à noter.
Ce n'est pas un manga qui est très distrayant et très fort émotionnellement, sûrement du fait de la pudeur et de la distance que l'auteur entretient avec ses histoires.
Cependant c'est cette distance qui fait la force de ce tome et qui permet à la fois de faire des histoires plaisantes à lire, qui soulèvent des questions sur l'amour, et qui leur donne une certaine force.
J'aime beaucoup le style de dessin très épuré, qui entretient cette pudeur et cette tendresse qui caractérise les mangas de Ejine Yamaji.
Les histoires ne sont pas toutes aussi bien traitées et la première est réellement au dessus de toutes. Certaines histoires pourront être trouvées ennuyeuses, ce qui peut faire hésiter à l'achat.
Mais c'est au moins à lire une fois.
Je ne vais pas répéter ce que d'autres ont dit mais le point fort indéniable de cette série c'est tout l'aspect psychologique du tueur professionnel. C'est vraiment bien on s'y croirait.
Contrairement à certains, j'ai beaucoup aimé le dessin. Je trouve le trait très tranchant et incisif. S'ajoute à cela que les couleurs sont un vrai régal.
Cette BD doit être absolument lue mais attention, contrairement à beaucoup de série policière, ici, l'action est relèguée au second plan. Cette série montre avant tout ce qui se passe dans la tête d'un tueur... alléchant non ?
L'histoire du Freeman tueur infaillible de l'organisation les 108 dragons, par la suite Freeman deviendra la tête de cette organisation, voilà ce que raconte ce manga. Le problème c'est que seulement deux tomes sont parus, on a donc seulement droit à une présentation du personnage.
Freeman est élu (contraint) par les aînés pour devenir le tueur le plus parfait et impitoyable des 108 dragons, dans les deux premiers tomes on voit sa formation, puis certaines de ses actions, ensuite certains choix s'offrent à lui et ils auront des conséquences assez dramatiques. Au niveau du scénario je trouve que c'est relativement interessant.
Pour les dessins voyez la galerie ou feuilletez avant d'acheter, moi je déteste ce style j'ai peur de ne pas être objectif à ce sujet.
En fait si je met seulement 2/5 c'est parce que même si j'aime bien le scénario, il y a pas mal de scènes de sadisme gratuites, et ça pour moi c'est inexcusable j'ai horreur de la facilité.
Beaucoup parlent du film dans leurs avis, je ne l'ai pas vu (j'aime bien Gans mais je suis allergique à son acteur fétiche désolé) mais j'ai vu les OAV qui composent la série et c'est très inégal, les graphismes varient, la qualité de l'animation varie également d'un épisode à l'autre. Mais bon j'ai pu en apprendre un peu plus sur l'histoire. Pour les fans du manga c'est à voir, pour les autres...
Situation:
Ce manga est redoutablement sombre et macabre. Les dessins se marient extrêmement bien avec le contexte.
Ambiance religieuse malsaine avec tragédies et scènes violentes voire choquantes!!!
On sent le jeu BLOOD à plein nez!!! (far west satanique)
Scénario:
Le premier tome n'est qu'un défouloir d'hémoglobine. Oubliez-le. Seul le dessin est intéressant.
Au fil des tomes, 6 maintenant: l'histoire sombre s'installe : complot folie et perversion de chacun des personnages transforment cette série du banal hachoir en une monstrueuse machination satanique ou des demi-dieux/démons s'affrontent...
Dessin:
Tout simplement magnifique. Quel talent ce dessinateur!!!! Les personnages ont un charisme incroyable. Ces traits secs et tranchants comme une lame sont tout simplement magnifiques!!!
En tout cas moi j'adore!!!!
Je refais un nouvel avis après avoir lu le 4e tome qui clotûre le cycle. Cette série est tout simplement époustouflante! Il est vrai que le thème n'est pas neuf (pousser des personnes au meurtre avec une promesse d'argent à la clé) mais la manière dont c'est traité dans cette BD est tout à fait jubilatoire. Vu la qualité des trois premiers albums, j'appréhendais un peu le 4e album qui devait terminer le cycle. Et j'ai eu tort! Car ce dernier album est largement à la hauteur des précédents. Bien plus, l'histoire devient plus sordide encore qu'auparavant et prend une dimension sans précédents.
Quant au dessin, on peut le trouver très conventionnel et quelconque au premier abord. Mais on se rend compte au fil des lectures qu'il sert parfaitement le scénario, n'étant pas si malhabile qu'il n'y paraît.
Vous l'aurez compris, "Les Enchaînés" vaut vraiment le détour. Avis à tous les amateurs de thrillers gores et de jeux diaboliques.
Une histoire bien barrée, même si je ne suis pas un fou de ce genre d'humour c'est un album que j'ai trouvé sympa.
Au niveau du dessin c'est vraiment top, un style que je trouve assez original en plus.
Même si c'est un genre différent de ce que j'ai pour habitude de lire je suis satisfait de cet album que j'ai acheté au hasard et d'occase en me fiant aux dessins.
Bref, une bonne petite surprise quoi!
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Zero One
Le MBZ est un jeu de combat, dans de bêtes salles de jeux les différents protagonistes se mettent des roustes virtuelles. Il y a un classement, des fans, des groupies, des idoles (pour les groupies c'est mieux) et un néophyte ayant trouvé sa carte de membre par hasard (mais enfin quoi! C'est l'élu ce mec!) qui va latter tous les types qui passent leur vie à squatter l'espace de jeu. Le p'tit nouveau va monter une équipe suite à un défi, on voit qu'il a quelques petits soucis familiaux... Et... Euh c'est à peu prés tout en fait la série s'interrompt au bout de trois tomes, mais bon ce n'est pas trop grave en fait. A moins d'être fan de combats mous et sans dynamisme remplis d'effets spéciaux, de dessins à l'informatique à deux balles, de couvertures pourries, de culottes courtes et de séries inachevées. Bref R.I.P Zéro one... Un détail amusant: Gantz, série commise par le même auteur, est encore plus nulle. Au cas où vous seriez intéressés par Zéro One c'est disponible d'occase en grande quantité et pour pas cher chez n'importe quel bouquiniste.
Satsuma - L'Honneur de ses Samouraïs
Manga sombre et violent datant de 1980, Satsuma présente un aspect historique pour l'instant très poussé, plus encore que dans Lone Wolf & Cub. S'il ressemble un peu à ce dernier, le propos est plus vaste puisqu'il traite d'une époque, d'un climat social, d'une révolte. Les parenthèses (encore plus) historiques sont d'ailleurs multiples, parfois un peu complexes (les termes japonais ne facilitant pas la compréhension immédiate) mais pas pesantes pour autant, au contraire. La "réalité" de l'époque est très bien décrite, ainsi que l'état d'esprit de la population. Par moments ce manga aurait presque un aspect documentaire, comme lorsque l'auteur décrit les différents métiers exercés par les samouraïs (p.60-71), qui montre un souci poussé de documentation et qui apprend pas mal de choses sur ces métiers et façons de faire. La première scène, en grande partie muette et assez longue (60 pages), fait preuve de violence, presque de cruauté. Très dynamique, sa lisibilité n'est pas toujours parfaite (alors que dans le reste de l'album tout est très fluide), mais elle donne bien le ton. Le dessin présente très peu de trames, et ressemble parfois beaucoup à celui de Lone Wolf & Cub, dynamique et vraiment agréable. Un point noir tout de même : la police de caractères quand les personnages crient, toute distordue, et surtout assez illisible... Très bien pour l'instant, assez passionnant (même s'il établit surtout l'ambiance, le climat et l'état d'esprit des différentes classes), ce premier tome augure d'une suite prometteuse. Et en plus la jaquette est très belle et les notes de fin de volume intéressantes et enrichissantes. Aucune raison de s'en priver, donc. :)
Notes mésopotamiennes
Tiens, je ne connaissais pas cet auteur. J'ai pris l'album plus par curiosité que par réel intérêt. Mais je dois avouer que ça se lit bien, très bien même. Ce sont des instantanés, des regards un peu décalés sur la banalité de la vie, des moments apparemment sans intérêt. Mais le regard d'Ayroles magnifie ces moments de rien, on suit ces saynètes avec délice, grâce également à un dessin avide de détails. Très sympa. :)
Mashémalo
Des auteurs inconnus pour ce que j'en sais, une auto-édition par le scénariste, une BD dont je n'avais jamais entendu parler, Mashémalo a été une bonne surprise pour moi alors que c'est une BD qui semble être passée totalement inaperçue. Commençons par le dessin. Il est très particulier. Le dessinateur est japonais mais son style mélange le style enfantin francobelge et de nombreuses inspirations destinées à faire ressembler les cases de cette BD à des estampes japonaises. Le résultat est surprenant, parfois maladroit notamment pour les visages, parfois bien réussi sur certaines "estampes", et globalement je le trouve très lisible et agréable. L'ennui, ce sont les couleurs. Est-ce que comme le dessin, ce sont des couleurs destinées à rappeler celles de certaines estampes ? Je n'en sais rien, mais à moins que ces estampes soient garnies de jaune, de violet et de orange "qui tâche", moi je n'aime pas ça. Avec une colorisation plus moderne, ces dessins auraient pu donner quelque chose de vraiment très bien, mais là, la couleur gâche tout. Ensuite, le scénario aussi est spécial. Spécial surtout parce qu'avec un tel dessin et des visages enfantins, et aussi avec de tels titres de BD plutôt lourdingues, on s'attend à quelque chose de léger, humoristique, un peu lourd. Mais non, c'est très adulte. Les lames tuent vraiment, le sang gicle vraiment, le sexe est bien présent également. Et l'histoire est plutôt bonne, ma foi, très moderne en fait. J'ai beaucoup aimé suivre ce héros qu'est Mashémalo (dommage qu'il aie un nom aussi ridicule). Et par dessus tout, je trouve les dialogues de cette BD vraiment très bons, au point de rigoler vraiment sur certaines réparties du rônin. Etonnant donc que cette série un peu OVNI. Dommage que cela manque un peu de maîtrise et que les couleurs soient ratées, car cela aurait pu être franchement bien.
Sweet lovin' baby
Un manga, relativement difficile à classer et à noter. Ce n'est pas un manga qui est très distrayant et très fort émotionnellement, sûrement du fait de la pudeur et de la distance que l'auteur entretient avec ses histoires. Cependant c'est cette distance qui fait la force de ce tome et qui permet à la fois de faire des histoires plaisantes à lire, qui soulèvent des questions sur l'amour, et qui leur donne une certaine force. J'aime beaucoup le style de dessin très épuré, qui entretient cette pudeur et cette tendresse qui caractérise les mangas de Ejine Yamaji. Les histoires ne sont pas toutes aussi bien traitées et la première est réellement au dessus de toutes. Certaines histoires pourront être trouvées ennuyeuses, ce qui peut faire hésiter à l'achat. Mais c'est au moins à lire une fois.
Le Tueur
Je ne vais pas répéter ce que d'autres ont dit mais le point fort indéniable de cette série c'est tout l'aspect psychologique du tueur professionnel. C'est vraiment bien on s'y croirait. Contrairement à certains, j'ai beaucoup aimé le dessin. Je trouve le trait très tranchant et incisif. S'ajoute à cela que les couleurs sont un vrai régal. Cette BD doit être absolument lue mais attention, contrairement à beaucoup de série policière, ici, l'action est relèguée au second plan. Cette série montre avant tout ce qui se passe dans la tête d'un tueur... alléchant non ?
Crying freeman
L'histoire du Freeman tueur infaillible de l'organisation les 108 dragons, par la suite Freeman deviendra la tête de cette organisation, voilà ce que raconte ce manga. Le problème c'est que seulement deux tomes sont parus, on a donc seulement droit à une présentation du personnage. Freeman est élu (contraint) par les aînés pour devenir le tueur le plus parfait et impitoyable des 108 dragons, dans les deux premiers tomes on voit sa formation, puis certaines de ses actions, ensuite certains choix s'offrent à lui et ils auront des conséquences assez dramatiques. Au niveau du scénario je trouve que c'est relativement interessant. Pour les dessins voyez la galerie ou feuilletez avant d'acheter, moi je déteste ce style j'ai peur de ne pas être objectif à ce sujet. En fait si je met seulement 2/5 c'est parce que même si j'aime bien le scénario, il y a pas mal de scènes de sadisme gratuites, et ça pour moi c'est inexcusable j'ai horreur de la facilité. Beaucoup parlent du film dans leurs avis, je ne l'ai pas vu (j'aime bien Gans mais je suis allergique à son acteur fétiche désolé) mais j'ai vu les OAV qui composent la série et c'est très inégal, les graphismes varient, la qualité de l'animation varie également d'un épisode à l'autre. Mais bon j'ai pu en apprendre un peu plus sur l'histoire. Pour les fans du manga c'est à voir, pour les autres...
Priest
Situation: Ce manga est redoutablement sombre et macabre. Les dessins se marient extrêmement bien avec le contexte. Ambiance religieuse malsaine avec tragédies et scènes violentes voire choquantes!!! On sent le jeu BLOOD à plein nez!!! (far west satanique) Scénario: Le premier tome n'est qu'un défouloir d'hémoglobine. Oubliez-le. Seul le dessin est intéressant. Au fil des tomes, 6 maintenant: l'histoire sombre s'installe : complot folie et perversion de chacun des personnages transforment cette série du banal hachoir en une monstrueuse machination satanique ou des demi-dieux/démons s'affrontent... Dessin: Tout simplement magnifique. Quel talent ce dessinateur!!!! Les personnages ont un charisme incroyable. Ces traits secs et tranchants comme une lame sont tout simplement magnifiques!!! En tout cas moi j'adore!!!!
Enchaînés
Je refais un nouvel avis après avoir lu le 4e tome qui clotûre le cycle. Cette série est tout simplement époustouflante! Il est vrai que le thème n'est pas neuf (pousser des personnes au meurtre avec une promesse d'argent à la clé) mais la manière dont c'est traité dans cette BD est tout à fait jubilatoire. Vu la qualité des trois premiers albums, j'appréhendais un peu le 4e album qui devait terminer le cycle. Et j'ai eu tort! Car ce dernier album est largement à la hauteur des précédents. Bien plus, l'histoire devient plus sordide encore qu'auparavant et prend une dimension sans précédents. Quant au dessin, on peut le trouver très conventionnel et quelconque au premier abord. Mais on se rend compte au fil des lectures qu'il sert parfaitement le scénario, n'étant pas si malhabile qu'il n'y paraît. Vous l'aurez compris, "Les Enchaînés" vaut vraiment le détour. Avis à tous les amateurs de thrillers gores et de jeux diaboliques.
Qui a tué l'idiot ?
Une histoire bien barrée, même si je ne suis pas un fou de ce genre d'humour c'est un album que j'ai trouvé sympa. Au niveau du dessin c'est vraiment top, un style que je trouve assez original en plus. Même si c'est un genre différent de ce que j'ai pour habitude de lire je suis satisfait de cet album que j'ai acheté au hasard et d'occase en me fiant aux dessins. Bref, une bonne petite surprise quoi!