Je viens juste de découvrir cette BD que je trouve fantastique. Même si les dessins sont plus ou moins conventionnels, le thème et les personnages développés donnent à cette série une profondeur sociale rarement aperçue dans l’art de la BD. En effet Sillage fait le tour de la nature humaine et des problèmes de société et n’apporte aucune réponse « toute faite ». L’univers est celui de Star Wars avec un peu plus de fantaisie et beaucoup plus de fond.
Bonne lecture et vivement le prochain.
Revax
Et dire que j'était passé à côté lors de la parution !
Le scénario est en béton, les dessins superbe, l'ambiance envoutante et les personnages à couper le souffle.
Aux premières pages, j'ai craint que le scénario ne se vautre dans le sexe et la violence, pour se terminer en règlement de compte comme à OK corral ou dans un mauvais épisode du Justicier, mais point du tout. Quel suspense, et quel contrepied pour finir.
Vraiment un grand bravo aux auteurs.
Le tome 3, "le dernier chant des Malaterre", atteint des sommets en matière de BD, aussi bien sur la forme que sur le fond. Tout est travaillé, ciselé, les personnages, l'histoire, la part entre ce qui est clairement expliqué et ce qui est laissé à la rélexion du lecteur. C'est peut-être l'oeuvre la plus riche qu'il m'ait été donnée de lire en BD. Je redécouvre des détails à chaque nouvelle lecture, et j'ai dû la relire une vingtaine de fois sans senitr le début du commencement d'une lassitude.
J'adore le personnage du chevalier, l'histoire des trois soeurs, la relation touchante de Mariotte et de son joli moine défroqué. J'adore les allusions très discrètes au fantastique. J'adore la fin. En fait je n'ai rien à en redire. Cette BD est parfaite.
Comme il a été dit plus bas, les deux premiers tomes sont plus quelconques. Le premier est très sympa, le deuxième franchement bizarre et pas génial. Mais le troisième, le troisième ! Indispensable.
« Je suis un enfant trouvé… »
Par cette phrase, le livre d’Hector Malot débute. Yann Dégruel l’a tout simplement reprise pour commencer la série "Sans Famille". Il adapte au format du neuvième art un classique de la littérature française. Contrairement au dessin animé qui l’a déçu, l’auteur souhaite être le plus fidèle possible au livre. Ainsi on ne s’étonne pas de trouver, et on lit même avec plaisir, des phrases d’Hector Malot. Cela permet de ressentir toute la profondeur et l’émotion du livre associé à un dessin remarquablement beau. Ce premier tome d’une série de six se lit avec plaisir tant l’histoire est émouvante et très bien contée. Rémi apprend dans cet album qu’il a été recueilli par les Barberin, il a alors huit ans et sa vie va en être bouleversée...
Le dessin de Yann Dégruel n’est pas banal. Les formes ne sont pas réellement délimitées, le dessin est peu encré et les traces de crayonnés sont visibles; celles-ci donnent un charme au dessin. Le visage de Rémi est angélique, et ses yeux sont si expressifs que les cases du visage du petit garçon en gros plan sont sublimes. Le dessinateur joue beaucoup sur le regard, ainsi les cases ne montrant que cela sont assez nombreuses et valent mieux que trop de paroles. Il a également pris soin de ne pas tomber dans le mélodrame, en ajoutant à son récit des touches d’humour. Celles-ci sont données par la troupe du Signor Vitalis, et plus particulièrement par l’attitude de M. Joli Cœur, le singe.
Les couleurs, pastelles aux teintes le plus souvent brunes, créent une atmosphère particulière difficile à décrire. On s’y sent bien comme dans la famille que n’a pas Rémi. L’auteur a peut-être voulu nous faire partager une atmosphère familiale dont a été privé le jeune héros. Le marron est une couleur neutre, ainsi, elle convient aussi bien, aux scènes de colères, que de tristesse. Vers la fin de l’album, les couleurs sont plus vives et à teinte dominante verte. Elles correspondent au changement de vie de Rémi, peut-être un signe d’espoir pour le futur…
Yann Dégruel s’est parfaitement imprégné du livre. Ce premier tome, qui correspond aux cinq premiers chapitres du livre, est si agréable que cet album pour la jeunesse plaira à coup sûr aux grands enfants que nous sommes restés…
Mise en page très intéressante avec des jeux de couleurs différents par planche, d'où creation d'ambiances multiples. Graphisme limpide et harmonieux.
Héroïne caractérielle, boudeuse, jolie... Humaine, quoi!
Scénario intéressant; pour une fois que ce sont les humains qui ont été découverts par les autres races...
Prenez un zeste de "XIII", un doigt du "fugitif"(la série TV) et du "Caméleon" (autre série TV), et vous obtenez "Monster", véritable thriller politique qui ne peut vous laisser indifférent. J'ai lu les 12 volumes ce week end et je suis encore sous le charme, pour ne pas dire encore sous le choc. A ceux qui comme moi ne sont pas fans de manga, je leur conseille cette bd fleuve, qui donne un sacré coup de vieux aux bd tels "XIII", ou autres avatars. Un must! Incontournable.
Bon, maintenant je vais à l'assaut des "20th century boys". Bonne lecture.
Ca faisait longtemps que je ne l'avais pas relue, cette série, alors que c'était ma série culte il y a quelques années. Je l'ai relue hier avec un oeil neuf, qui avait oublié. Et je crois que j'ai eu un plaisir décuplé, j'ai retrouvé la joie de la découverte. Cette série est magistrale.
Le dessin est fabuleux et totalement en adéquation avec l'histoire, l'accumulation de détails n'est pas gratuite. Schuitten est féru d'architecture et ça se sent à chaque image. Son noir et blanc est somptueux (bon sang quelle patience !!!). Et les dialogues, le découpage, sont parfaits, l'histoire originale et passionnante, surprenante, poétique, philosophique... une telle osmose entre un dessinateur et son scénariste est rare.
Beaucoup de superlatifs pour une BD d'exception.
Et "La tour" est un chef d'oeuvre, vraiment.
Alors voici tout a fait l'archetype de l'album "classe". Outre le dessin et la mise en page surprenante, la forme de l'album elle-même est une vraie merveille. Décidément, Paquet commence vraiment à devenir l'une des plus fameuses maisons d'édition de BD.
Alors pour revenir au graphisme de l'album, c'est tout simplement prodigieux. Le dessin est exceptionnel, la mise en page très particulière et les couleurs de Jouvray sont extrêmement chaudes, et donc rajoutent un aspect très fort à cette oeuvre magistrale.
Quant au scénario, la poésie des textes et l'ambiance des situations sont telles que "Betty Blues" vous suivra encore bien après la lecture de ce chef d'oeuvre.
Incontournable.
C'est sûr, c'est une série incontournable, tonnerre de Brest !
Je dirais que la plus grosse réussite d'Hergé, ce sont les seconds rôles plutôt que Tintin lui-même. Qui ne connaît pas les insultes du capitaine Haddock, la surdité du professeur Tournesol, le "ah, je ris de me voir si belle en ce miroir", de la Castafiore, Lampion le casse-pieds, ou encore la fameuse réplique des Dupondt "je dirais même plus...". Tintin est d'un terne au milieu de tout ça !
Alors bien sûr, il y a polémique sur les premiers albums de la série (l'anticomunisme primaire de "Tintin au pays des soviets" et l'aspect colonialiste de "Tintin au Congo" ou du "lotus bleu"), mais si on regarde l'oeuvre dans son ensemble, ce n'est pas l'impression qu'elle laisse. Personnellement, ce que j'adore dans Tintin, hormis la force des personnages, j'en ai déjà parlé, c'est la construction des albums: on prend le temps de faire de l'humour, de planter quelques décors, de faire du "tourisme", sans jamais que ça gène la fluidité de l'histoire. Vraiment, peu d'auteurs maitrisent à ce point le 9ième art. Avec des séquences d'anthologie: le capitaine Haddock qui apprend qu'il va partir pour la lune, le bout de sparadrap qui fait le tour du monde, les Dupondt qui tentent d'arrêter la gouvernante de la Castafiore, la Castafiore qui écorche le patronyme du capitaine, etc, etc.
La quintessence du mouvement punk. Une bd qui file un peu la gerbe, tellement c'est cru. En plus, c'est plutôt bien déssiné. C'est la définition même de la bd trash.
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Sillage
Je viens juste de découvrir cette BD que je trouve fantastique. Même si les dessins sont plus ou moins conventionnels, le thème et les personnages développés donnent à cette série une profondeur sociale rarement aperçue dans l’art de la BD. En effet Sillage fait le tour de la nature humaine et des problèmes de société et n’apporte aucune réponse « toute faite ». L’univers est celui de Star Wars avec un peu plus de fantaisie et beaucoup plus de fond. Bonne lecture et vivement le prochain. Revax
l'Etoile du Désert
Et dire que j'était passé à côté lors de la parution ! Le scénario est en béton, les dessins superbe, l'ambiance envoutante et les personnages à couper le souffle. Aux premières pages, j'ai craint que le scénario ne se vautre dans le sexe et la violence, pour se terminer en règlement de compte comme à OK corral ou dans un mauvais épisode du Justicier, mais point du tout. Quel suspense, et quel contrepied pour finir. Vraiment un grand bravo aux auteurs.
Les Compagnons du Crépuscule
Le tome 3, "le dernier chant des Malaterre", atteint des sommets en matière de BD, aussi bien sur la forme que sur le fond. Tout est travaillé, ciselé, les personnages, l'histoire, la part entre ce qui est clairement expliqué et ce qui est laissé à la rélexion du lecteur. C'est peut-être l'oeuvre la plus riche qu'il m'ait été donnée de lire en BD. Je redécouvre des détails à chaque nouvelle lecture, et j'ai dû la relire une vingtaine de fois sans senitr le début du commencement d'une lassitude. J'adore le personnage du chevalier, l'histoire des trois soeurs, la relation touchante de Mariotte et de son joli moine défroqué. J'adore les allusions très discrètes au fantastique. J'adore la fin. En fait je n'ai rien à en redire. Cette BD est parfaite. Comme il a été dit plus bas, les deux premiers tomes sont plus quelconques. Le premier est très sympa, le deuxième franchement bizarre et pas génial. Mais le troisième, le troisième ! Indispensable.
Sans Famille
« Je suis un enfant trouvé… » Par cette phrase, le livre d’Hector Malot débute. Yann Dégruel l’a tout simplement reprise pour commencer la série "Sans Famille". Il adapte au format du neuvième art un classique de la littérature française. Contrairement au dessin animé qui l’a déçu, l’auteur souhaite être le plus fidèle possible au livre. Ainsi on ne s’étonne pas de trouver, et on lit même avec plaisir, des phrases d’Hector Malot. Cela permet de ressentir toute la profondeur et l’émotion du livre associé à un dessin remarquablement beau. Ce premier tome d’une série de six se lit avec plaisir tant l’histoire est émouvante et très bien contée. Rémi apprend dans cet album qu’il a été recueilli par les Barberin, il a alors huit ans et sa vie va en être bouleversée... Le dessin de Yann Dégruel n’est pas banal. Les formes ne sont pas réellement délimitées, le dessin est peu encré et les traces de crayonnés sont visibles; celles-ci donnent un charme au dessin. Le visage de Rémi est angélique, et ses yeux sont si expressifs que les cases du visage du petit garçon en gros plan sont sublimes. Le dessinateur joue beaucoup sur le regard, ainsi les cases ne montrant que cela sont assez nombreuses et valent mieux que trop de paroles. Il a également pris soin de ne pas tomber dans le mélodrame, en ajoutant à son récit des touches d’humour. Celles-ci sont données par la troupe du Signor Vitalis, et plus particulièrement par l’attitude de M. Joli Cœur, le singe. Les couleurs, pastelles aux teintes le plus souvent brunes, créent une atmosphère particulière difficile à décrire. On s’y sent bien comme dans la famille que n’a pas Rémi. L’auteur a peut-être voulu nous faire partager une atmosphère familiale dont a été privé le jeune héros. Le marron est une couleur neutre, ainsi, elle convient aussi bien, aux scènes de colères, que de tristesse. Vers la fin de l’album, les couleurs sont plus vives et à teinte dominante verte. Elles correspondent au changement de vie de Rémi, peut-être un signe d’espoir pour le futur… Yann Dégruel s’est parfaitement imprégné du livre. Ce premier tome, qui correspond aux cinq premiers chapitres du livre, est si agréable que cet album pour la jeunesse plaira à coup sûr aux grands enfants que nous sommes restés…
Sillage
Mise en page très intéressante avec des jeux de couleurs différents par planche, d'où creation d'ambiances multiples. Graphisme limpide et harmonieux. Héroïne caractérielle, boudeuse, jolie... Humaine, quoi! Scénario intéressant; pour une fois que ce sont les humains qui ont été découverts par les autres races...
Monster
Prenez un zeste de "XIII", un doigt du "fugitif"(la série TV) et du "Caméleon" (autre série TV), et vous obtenez "Monster", véritable thriller politique qui ne peut vous laisser indifférent. J'ai lu les 12 volumes ce week end et je suis encore sous le charme, pour ne pas dire encore sous le choc. A ceux qui comme moi ne sont pas fans de manga, je leur conseille cette bd fleuve, qui donne un sacré coup de vieux aux bd tels "XIII", ou autres avatars. Un must! Incontournable. Bon, maintenant je vais à l'assaut des "20th century boys". Bonne lecture.
Les Cités obscures
Ca faisait longtemps que je ne l'avais pas relue, cette série, alors que c'était ma série culte il y a quelques années. Je l'ai relue hier avec un oeil neuf, qui avait oublié. Et je crois que j'ai eu un plaisir décuplé, j'ai retrouvé la joie de la découverte. Cette série est magistrale. Le dessin est fabuleux et totalement en adéquation avec l'histoire, l'accumulation de détails n'est pas gratuite. Schuitten est féru d'architecture et ça se sent à chaque image. Son noir et blanc est somptueux (bon sang quelle patience !!!). Et les dialogues, le découpage, sont parfaits, l'histoire originale et passionnante, surprenante, poétique, philosophique... une telle osmose entre un dessinateur et son scénariste est rare. Beaucoup de superlatifs pour une BD d'exception. Et "La tour" est un chef d'oeuvre, vraiment.
Betty Blues
Alors voici tout a fait l'archetype de l'album "classe". Outre le dessin et la mise en page surprenante, la forme de l'album elle-même est une vraie merveille. Décidément, Paquet commence vraiment à devenir l'une des plus fameuses maisons d'édition de BD. Alors pour revenir au graphisme de l'album, c'est tout simplement prodigieux. Le dessin est exceptionnel, la mise en page très particulière et les couleurs de Jouvray sont extrêmement chaudes, et donc rajoutent un aspect très fort à cette oeuvre magistrale. Quant au scénario, la poésie des textes et l'ambiance des situations sont telles que "Betty Blues" vous suivra encore bien après la lecture de ce chef d'oeuvre. Incontournable.
Les Aventures de Tintin
C'est sûr, c'est une série incontournable, tonnerre de Brest ! Je dirais que la plus grosse réussite d'Hergé, ce sont les seconds rôles plutôt que Tintin lui-même. Qui ne connaît pas les insultes du capitaine Haddock, la surdité du professeur Tournesol, le "ah, je ris de me voir si belle en ce miroir", de la Castafiore, Lampion le casse-pieds, ou encore la fameuse réplique des Dupondt "je dirais même plus...". Tintin est d'un terne au milieu de tout ça ! Alors bien sûr, il y a polémique sur les premiers albums de la série (l'anticomunisme primaire de "Tintin au pays des soviets" et l'aspect colonialiste de "Tintin au Congo" ou du "lotus bleu"), mais si on regarde l'oeuvre dans son ensemble, ce n'est pas l'impression qu'elle laisse. Personnellement, ce que j'adore dans Tintin, hormis la force des personnages, j'en ai déjà parlé, c'est la construction des albums: on prend le temps de faire de l'humour, de planter quelques décors, de faire du "tourisme", sans jamais que ça gène la fluidité de l'histoire. Vraiment, peu d'auteurs maitrisent à ce point le 9ième art. Avec des séquences d'anthologie: le capitaine Haddock qui apprend qu'il va partir pour la lune, le bout de sparadrap qui fait le tour du monde, les Dupondt qui tentent d'arrêter la gouvernante de la Castafiore, la Castafiore qui écorche le patronyme du capitaine, etc, etc.
Ranxerox
La quintessence du mouvement punk. Une bd qui file un peu la gerbe, tellement c'est cru. En plus, c'est plutôt bien déssiné. C'est la définition même de la bd trash. Moi, j'ai pas pu me résoudre à l'acheter.