"Les Filles Electriques" est l'une des séries de Zep qui m'aura le plus fait rire ou sourire, sans doute car c'est l'une des plus... mûres (je veux dire, à comparer à Titeuf dont je ne suis pas du tout le public cible).
Après lecture puis relecture, cet album m'a bien amusé. L'humour est souvent juste et touche pile "là où ça fait mal" pour celui qui n'a pas que des bons souvenirs de son adolescence et des filles inaccessibles.
Et comme le dessin est sympa et bien colorisé, je trouve que c'est une bonne BD d'humour.
Du bon Léturgie!
De l'humour trash, de l'humour bien lourd, tout ce que j'aime (en particulier chez les Léturgie)!
Ne passez pas à côté de cet album à hurler de rire!
Pour les dessins, ils sont toujours aussi bien, vivants, ronds... bien, quoi.
Je ne sais pas franchement quoi dire pour inciter à la lecture de cet album.
Il est beaucoup plus facile de le lire que d'en parler, mais arriver à passionner le lecteur tout au long de l'histoire rien qu'en parlant de soi prouve bien que c'est un petit chef-d'oeuvre et que Seth est un grand.
Une excellente série (aux dessins un peu moyens) qui mélange habilement l'horreur, l'onirique et l'humour (merci Groucho).
Malgré la masse d'histoires produites, ce n'est jamais répétitif et il est difficile de lâcher son volume avant la fin.
Bien sûr les histoires ne sont pas toutes égales mais l'ensemble reste très bon.
Dragon Ball est un manga drôle et frais qui fleure bon la nostalgie. Les aventures de ce gamin tellement naïf qu'il en est débile sont servies notamment par des seconds rôles jouissifs.
La série aurait dû s'arrêter lorsque Sangoku était jeune et je ne recommande l'achat que pour les 10 premiers volumes (environ). Ensuite ça vire un peu trop au bourrinage intempestif et l'humour est nettement moins bon, c'est pour ça que je ne mets pas 5 étoiles.
Et puis la série est bien mieux sur papier qu'en DA.
Même si cette série est plus destinée à un public jeune, elle n'en reste pas moins très sympathique.
Le duo formé par les personnages principaux est très convainquant et donne un côté joyeux à l'intrigue.
Pour les dessins, c'est du Meynet plutôt moyen mais pas franchement dégueulasse non plus.
Une bonne série qui ne prend pas la tête.
Très belle histoire que nous brossent là les deux auteurs, Chevalier nous pond un scénario très dense même si de facture classique pour de l'Heroic Fantasy, tout en sachant éviter le manichéisme propre à la grande majorité de ce type de production. Les personnages sont bien campés et l'on suit leurs pérégrinations avec un plaisir croissant. Attention cependant, cette histoire demande un minimum de concentration (2 lecture sont fortement recommandées). Les dessins de Ségur sont très beaux, certaines planches sont carrément sublimes, cependant les couleurs ont un peu vieilli.
Au final, ces Légendes sont un classique de l'Heroic Fantasy, cependant je n'irai pas parler d'oeuvre culte car, comme dit ci-dessus, le traitement graphique date un peu. Pour moi une série culte se doit d'être avant tout intemporelle et c'est ici le (tout petit hein !!!) défaut de cette production.
Une BD sans parole de très bon niveau, même si c'est trop vite lu, dont il serait dommage de passer à côté.
Les dessins sont très vivants et on adhère tout de suite.
Pourtant au départ on se demande où l'auteur peut aller pour raconter une histoire toute bête d'un personnage juste méchant. Et pourtant je l'ai dévoré (pas parce que ça se lit vite, mais parce que c'est franchement bien).
Un album à avoir ou au moins à avoir lu.
J'ai été agréablement surpris par la qualité de cette série.
Au niveau du dessin, Joëlle Savey nous offre un travail impeccable, très agréable à regarder, malgré une colorisation parfois un peu moyenne. Sans que ce soit exceptionnel, les planches sont jolies et les albums beaux dans leur ensemble.
Au niveau du scénario ensuite, pour ceux qui sont curieux de l'Histoire de la Russie et des régions d'Asie Centrale telles que la Perse, le Turkmenistan, l'Ouzbekistan du XVIIe siècle, cette BD est une vraie mine d'or. Tout est parfaitement documenté, excellemment illustré, et le scénario est d'une intelligence agréable.
Car en effet, l'histoire de la BD ne se borne pas à une représentation Historique de cette époque troublée. J'ai suivi agréablement les aventures de Roslav, le jeune héros. Elles mêlent en trois tomes guerres, diplomatie, amour, chasse au trésor, évasion... Et le tout, je le répète, est bien construit, cohérent, et loin d'une simple suite de péripéties sans intérêt ni intelligence.
Bref, moi qui ne suis pas particulièrement fana de BDs historiques, j'ai franchement apprécié celle-ci, tant sur sa forme que sur son contenu.
Petit bémol, hélas, le troisième tome est sorti en 1999 et la série n'a pas continué depuis. Il semble que la dessinatrice ait préféré reprendre plutôt le flambeau de Souvenirs de Toussaint, sans que je sache si elle comptera revenir ensuite sur Taïga avec Giroud. Heureusement, ces 3 premiers tomes forment quasiment un cycle qui se suffit à lui-même.
Pour ma part, mon avis seras peut-être influencé par le fait que je connais Toppi et que je suis très admiratif de son travail.
La légende de Potosi est comme son nom une légende. une sorte de conte. La structure narrative du conte sert quasiment uniquement une morale et un propos très précis. C'est le cas ici et il est vrai que cela donne lieu a des raccourcis qui accélèrent la narration et font que l'on pourrait se trouver désorientés dès lors qu'on attend une justification à tout acte et action. Cette histoire est baignée dans une sorte de fatalité qui suit son court inéluctable, en emportant le héros vers sa destinée, quoiqu'il fasse.
De son côté, le trait vif et très composé de Toppi est toujours un vrai régal, bien qu'effectivement s'éloignant parfois de la pure expression pour verser dans la quasi abstraction.
Cet album est une assez bonne approche du travail de Toppi, bien que je lui préfère ses traitements en noir et blanc comme Sharaz-De , Myetzko ou Warramunga.
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Happy Girls (Les Filles Electriques)
"Les Filles Electriques" est l'une des séries de Zep qui m'aura le plus fait rire ou sourire, sans doute car c'est l'une des plus... mûres (je veux dire, à comparer à Titeuf dont je ne suis pas du tout le public cible). Après lecture puis relecture, cet album m'a bien amusé. L'humour est souvent juste et touche pile "là où ça fait mal" pour celui qui n'a pas que des bons souvenirs de son adolescence et des filles inaccessibles. Et comme le dessin est sympa et bien colorisé, je trouve que c'est une bonne BD d'humour.
Space Cake
Du bon Léturgie! De l'humour trash, de l'humour bien lourd, tout ce que j'aime (en particulier chez les Léturgie)! Ne passez pas à côté de cet album à hurler de rire! Pour les dessins, ils sont toujours aussi bien, vivants, ronds... bien, quoi.
La Vie est belle malgré tout
Je ne sais pas franchement quoi dire pour inciter à la lecture de cet album. Il est beaucoup plus facile de le lire que d'en parler, mais arriver à passionner le lecteur tout au long de l'histoire rien qu'en parlant de soi prouve bien que c'est un petit chef-d'oeuvre et que Seth est un grand.
Dylan Dog
Une excellente série (aux dessins un peu moyens) qui mélange habilement l'horreur, l'onirique et l'humour (merci Groucho). Malgré la masse d'histoires produites, ce n'est jamais répétitif et il est difficile de lâcher son volume avant la fin. Bien sûr les histoires ne sont pas toutes égales mais l'ensemble reste très bon.
Dragon Ball
Dragon Ball est un manga drôle et frais qui fleure bon la nostalgie. Les aventures de ce gamin tellement naïf qu'il en est débile sont servies notamment par des seconds rôles jouissifs. La série aurait dû s'arrêter lorsque Sangoku était jeune et je ne recommande l'achat que pour les 10 premiers volumes (environ). Ensuite ça vire un peu trop au bourrinage intempestif et l'humour est nettement moins bon, c'est pour ça que je ne mets pas 5 étoiles. Et puis la série est bien mieux sur papier qu'en DA.
Double M
Même si cette série est plus destinée à un public jeune, elle n'en reste pas moins très sympathique. Le duo formé par les personnages principaux est très convainquant et donne un côté joyeux à l'intrigue. Pour les dessins, c'est du Meynet plutôt moyen mais pas franchement dégueulasse non plus. Une bonne série qui ne prend pas la tête.
Légendes des Contrées Oubliées
Très belle histoire que nous brossent là les deux auteurs, Chevalier nous pond un scénario très dense même si de facture classique pour de l'Heroic Fantasy, tout en sachant éviter le manichéisme propre à la grande majorité de ce type de production. Les personnages sont bien campés et l'on suit leurs pérégrinations avec un plaisir croissant. Attention cependant, cette histoire demande un minimum de concentration (2 lecture sont fortement recommandées). Les dessins de Ségur sont très beaux, certaines planches sont carrément sublimes, cependant les couleurs ont un peu vieilli. Au final, ces Légendes sont un classique de l'Heroic Fantasy, cependant je n'irai pas parler d'oeuvre culte car, comme dit ci-dessus, le traitement graphique date un peu. Pour moi une série culte se doit d'être avant tout intemporelle et c'est ici le (tout petit hein !!!) défaut de cette production.
La Teigne
Une BD sans parole de très bon niveau, même si c'est trop vite lu, dont il serait dommage de passer à côté. Les dessins sont très vivants et on adhère tout de suite. Pourtant au départ on se demande où l'auteur peut aller pour raconter une histoire toute bête d'un personnage juste méchant. Et pourtant je l'ai dévoré (pas parce que ça se lit vite, mais parce que c'est franchement bien). Un album à avoir ou au moins à avoir lu.
Taïga
J'ai été agréablement surpris par la qualité de cette série. Au niveau du dessin, Joëlle Savey nous offre un travail impeccable, très agréable à regarder, malgré une colorisation parfois un peu moyenne. Sans que ce soit exceptionnel, les planches sont jolies et les albums beaux dans leur ensemble. Au niveau du scénario ensuite, pour ceux qui sont curieux de l'Histoire de la Russie et des régions d'Asie Centrale telles que la Perse, le Turkmenistan, l'Ouzbekistan du XVIIe siècle, cette BD est une vraie mine d'or. Tout est parfaitement documenté, excellemment illustré, et le scénario est d'une intelligence agréable. Car en effet, l'histoire de la BD ne se borne pas à une représentation Historique de cette époque troublée. J'ai suivi agréablement les aventures de Roslav, le jeune héros. Elles mêlent en trois tomes guerres, diplomatie, amour, chasse au trésor, évasion... Et le tout, je le répète, est bien construit, cohérent, et loin d'une simple suite de péripéties sans intérêt ni intelligence. Bref, moi qui ne suis pas particulièrement fana de BDs historiques, j'ai franchement apprécié celle-ci, tant sur sa forme que sur son contenu. Petit bémol, hélas, le troisième tome est sorti en 1999 et la série n'a pas continué depuis. Il semble que la dessinatrice ait préféré reprendre plutôt le flambeau de Souvenirs de Toussaint, sans que je sache si elle comptera revenir ensuite sur Taïga avec Giroud. Heureusement, ces 3 premiers tomes forment quasiment un cycle qui se suffit à lui-même.
La légende de Potosi
Pour ma part, mon avis seras peut-être influencé par le fait que je connais Toppi et que je suis très admiratif de son travail. La légende de Potosi est comme son nom une légende. une sorte de conte. La structure narrative du conte sert quasiment uniquement une morale et un propos très précis. C'est le cas ici et il est vrai que cela donne lieu a des raccourcis qui accélèrent la narration et font que l'on pourrait se trouver désorientés dès lors qu'on attend une justification à tout acte et action. Cette histoire est baignée dans une sorte de fatalité qui suit son court inéluctable, en emportant le héros vers sa destinée, quoiqu'il fasse. De son côté, le trait vif et très composé de Toppi est toujours un vrai régal, bien qu'effectivement s'éloignant parfois de la pure expression pour verser dans la quasi abstraction. Cet album est une assez bonne approche du travail de Toppi, bien que je lui préfère ses traitements en noir et blanc comme Sharaz-De , Myetzko ou Warramunga.