Que dire de plus que ce que mon vote indique !
Cette série est un classique de la bande dessinée. Une série qui a traversé les décennies comme ses héros, nous apprenant l'histoire de l'aviation américaine, les évolutions des avions, etc. avec plein d'explications techniques.
Des dessins bien réalisés, très réels, de belles scènes, de beaux décors, de belles histoires.
Certes, certains détracteurs diront que certains albums se résument à des scènes de batailles aériennes ou que les pilotes sont très stylés et typés, qu'ils font encore jeunes à notre époque pour des papys de la seconde guerre mondiale mais bon ... n'est-ce pas là l'avantage d'être un héros de BD ???
Bergèse a par ailleurs très bien repris les personnages en main. Félicitations car pas facile de succéder à Mr Victor Hubinon.
Mon fils de 13 ans les a tous lus et je peux vous dire que ces yeux brillent de la même manière que les miens lorsque je découvrais les histoires de Buck, Tumbler et Sonny.
Encore une bande dessinée trop souvent mal jugée et trop peu appréciée à mon sens.
Je n'ai jamais eu la chance de l'avoir en collection, mais j'ai pu apprécier les dessins, la morale, les couleurs et les histoires grâce à l'hebdomadaire Spirou que je lisais et relisais chaque semaine. Son changement de nom (les jungles perdues) et une légère évolution des personnages et des histoires ne m'ont jamais perturbé, au contraire.
Bref, de très bons souvenirs en y repensant et au moment où je lisais la BD, que des bons moments de lecture.
Directement venu du royaume des mors, Mort Cinder qui a été successivement, le témoin, la victime, l'acteur d'événements passés, surgit dans la vie d'un vieil antiquaire, Ezsra Winston, l'entrainant par là même dans ses diverses aventures qui ont été reprises dans ces deux albums.
Une bande dessinée avant-gardiste réalisée dans les années soixante qui s'adresse à un public adulte et exigeant, qui révolutionne le genre. Breccia fait preuve d'une virtuosité graphique rare, pour ces histoires dessinées en noir et blanc. Des jeux d'ombres et de lumières, des taches noires, des personnages d'un réalisme rare, font de cette série un chef d'oeuvre de la bande dessinée. On est bien loin du conformisme de la bande dessinée franco belge de la même période.
Breccia est bel et bien un de ceux qui, avec Toppi et Battaglia, ont révolutionné le genre.
A découvrir de toute urgence.
Un incontournable de la bande dessinée américaine.
Un foisonnement d'idées incroyable dévoilant la vie aventureuse d'un petit garçon vivant à cheval dans son monde imaginaire, peuplé d'extra-terrestres, de cowboys ou encore de bonshommes de neige monstrueux. On se plonge dedans avec délectation en se remémorant notre enfance, pas aussi fantasmagorique que celle-ci (Calvin est quasi-schizophrène), complice des sales petites blagues de ce turbulent petit blondinet.
Cette série aurait pu être parfaite si elle n'avait autant duré, entraînant une répétition de pas mal de gags. En revanche, la conclusion est tout simplement grandiose !
Eh bien je m'attendais à une BD paresseuse. Au contraire elle déborde de vie à chaque page.
J'étais impressionné par la facilité qu'a l'auteur de nous faire comprendre les sentiments et le vécu de tous les personnages sans dialogue, uniquement avec quelques plans sur des visages et des mains.
Bien sûr on revit l'aventure de tout ce melting-pot de migrants ayant cherché un monde meilleur en Amérique en toquant à la porte de Ellis Island. Un monde de prime abord bien connu mais qui se révèle vite bien étrange : l'écriture, les moyens de transport, les animaux, la nourriture,... tout nous est incompréhensible et ainsi nous pouvons nous identifier au personnage central qui pourrait finalement être n'importe lequel d'entre nous.
Un graphisme splendide, un concentré d'humanisme. A mettre entre toutes les mains.
4,5/5 pour être plus précis.
Bel objet (belle couverture bien épaisse, pages robustes, sous cellophane) méritant son prix, fiduciaire et littéraire.
Une sacré version alternative du célèbre conte, revisité façon La Bête est morte (qui décrivait déjà l'horreur sous couvert de légèreté). Ses couleurs très années 30 et ces larges illustrations (parfois pleine page) renforcent encore l'impression de lire un vieux livre de contes pour enfant.
Sauf que là, il s'agit clairement d'un album destiné à un public adulte vu ses réguliers débordements trash, éclaboussant au passage d'autres contes et personnages bien connus (ce livre recèle un nombre incalculable de références discrètes ou non). En plus, il me rappelle le caractère tout de même cruel de certains contes de Charles Perrault (avant retouche par d'autres) à la différence qu'ici l'album se finit sur un florilège de twists.
La BD aborde beaucoup de sujets graves, pour certains malheureusement encore actuels, et les mélange dans la trame d'une histoire complètement différente ou chaque personnage a une incidence sur la suite de l'histoire, plus ou moins tardivement.
Les seuls passages non-muets - en noir et blanc - nous offrent les "aventures" de Jiminy, non plus le criquet mais le cafard. Il n'a en fait aucun rôle à tenir à part celui de proposer des sortes d'intermède délirant sur la vie de looser. Sympa mais pas indispensable.
En conclusion, un fauve d'or qui mérite largement une bonne place dans votre bibliothèque.
J’ai adoré cette histoire de moines indignes et si attachants. Quelle merveilleuse idée que de faire incarner à chacun un des péchés capitaux, et quel talent dans la narration de leur aventure. Décidément, Ayroles est un tout grand de la bd actuelle. Il parvient à n’oublier aucun ingrédient indispensable dans ce qui aurait pu n’être qu’un one-shot secondaire. Contexte historique, humour, aventure, contrepied à la morale bienpensante et créativité : que demander de plus ?
Le dessin de Luigi Critone, artiste dont j’ignorais jusqu’à l’existence, est en totale adéquation avec l’histoire. Très soigné et très lisse, il est à mes yeux diablement séduisant, et constitue le contre-pied parfait. Son impact est plus efficace que celui qu’un dessinateur humoristique classique aurait pu amener.
L’ensemble constitue une divine réussite dans une collection qui m’aura par ailleurs plus souvent déçu qu’à son tour.
Que je sois damné si ces sept moines ne deviennent pas de diaboliques idoles.
Etant un peu coquin moi même, je trouve cette série vraiment géniale.
C'est un vrai coup de cœur, car le style tout en rondeur des dessins de personnage est excellent, les filles y sont très glamour et les couleurs vive et chaudes donne encore plus de sensualité.
Les minis histoires sont hilarantes, dans les deux premiers volumes c’est les aventures et déboires sexuels d’un jeune garçon qui n’est pas sans rappeler le dessinateur (Arthur De Pins), tandis que le troisième raconte l’histoire de l’une de ses conquêtes du volume 2, Clara la rouquine débridé qui consomme les hommes mais qui cherche l’amour…….
Il y aura forcement au moins l’un des sketchs de cette série qui vous rappellera une anecdote vécu. Très contemporaine, elle dépeint les relations homme/femme du 21ème siècle et le sexe y est montrer sans tabou et avec beaucoup d’humour, ATTENTION ce n’est pas un porno.
Je trouve le volume 3 vraiment excellent car la plupart des histoires sont coécrites par des femmes et elles n’y vont pas avec le dos de la cuillère, cela donne encore plus de caché à cette série. Pour donner une référence TV ont peu les comparer à « Sex and the city ».
De plus ce que j’aime chez fluide glacial c’est que leur séries sont le plus souvent en dessous de 10 euros, ce qui est un luxe de nos jours et ce qui n’est pas le cas de tous les éditeurs.
Non je ne suis pas auvergnat et non je n’ai pas les mains crochus, mais en tant que Jean-Pierre Koff de la BD je peux dire :
« Cette série c’est pas de la merde ».
Rapport qualité/prix, foncé les yeux fermés.
Au début, j'étais un peu sceptique sur la qualité de l'album. Je trouvais l'idée vraiment farfelue. Puis, j'ai commencé à la trouver pas mal et finalement j'ai adoré cet album. Dumontheuil a très bien exploité son sujet. J'aime la façon dont il montre l'absurdité du monde et l'hypocrisie des gens. SPOILER Le 'rêve' du dernier Simon Virjusse se transformera ainsi en cauchemar. FIN DU SPOILER
Il y a tout de même une chose que je n'ai pas aimée. La fin. J'aurais aimé un vrai final qui clôture l'histoire. SPOILER Même si c'est pas mal de voir que Simon est prisonnier d'une situation dont il ne peu plus s'échapper. FIN DU SPOILER
Johan et Pirlouit est à mes yeux l’œuvre suprême de Peyo. Je dis bien Johan ET Pirlouit, car les deux premiers tomes sont on ne peut plus dispensables. Mais, à partir du « Lutin du Bois aux Roches » jusqu’au « Sortilège de Maltrochu », cette vision enfantine et enchanteresse du moyen-âge est LA référence du genre. Ce sont ces bd qui m’ont inspiré ma passion des châteaux-forts, et je les en remercie. La série sera bien plus tard reprise par le fils de Peyo, avec un certain talent mais sans égaler le père. J’avoue cependant un petit faible pour « La Rose des Sables », album qui sortait nos héros de leur environnement habituel.
Bien plus variée que la série des Schtroumpfs, cette collection se doit de figurer dans votre bibliothèque si vous êtes friands de l’école franco-belge de l’époque.
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Votre vote
Buck Danny
Que dire de plus que ce que mon vote indique ! Cette série est un classique de la bande dessinée. Une série qui a traversé les décennies comme ses héros, nous apprenant l'histoire de l'aviation américaine, les évolutions des avions, etc. avec plein d'explications techniques. Des dessins bien réalisés, très réels, de belles scènes, de beaux décors, de belles histoires. Certes, certains détracteurs diront que certains albums se résument à des scènes de batailles aériennes ou que les pilotes sont très stylés et typés, qu'ils font encore jeunes à notre époque pour des papys de la seconde guerre mondiale mais bon ... n'est-ce pas là l'avantage d'être un héros de BD ??? Bergèse a par ailleurs très bien repris les personnages en main. Félicitations car pas facile de succéder à Mr Victor Hubinon. Mon fils de 13 ans les a tous lus et je peux vous dire que ces yeux brillent de la même manière que les miens lorsque je découvrais les histoires de Buck, Tumbler et Sonny.
Boulouloum et Guiliguili (Les Jungles Perdues)
Encore une bande dessinée trop souvent mal jugée et trop peu appréciée à mon sens. Je n'ai jamais eu la chance de l'avoir en collection, mais j'ai pu apprécier les dessins, la morale, les couleurs et les histoires grâce à l'hebdomadaire Spirou que je lisais et relisais chaque semaine. Son changement de nom (les jungles perdues) et une légère évolution des personnages et des histoires ne m'ont jamais perturbé, au contraire. Bref, de très bons souvenirs en y repensant et au moment où je lisais la BD, que des bons moments de lecture.
Mort Cinder
Directement venu du royaume des mors, Mort Cinder qui a été successivement, le témoin, la victime, l'acteur d'événements passés, surgit dans la vie d'un vieil antiquaire, Ezsra Winston, l'entrainant par là même dans ses diverses aventures qui ont été reprises dans ces deux albums. Une bande dessinée avant-gardiste réalisée dans les années soixante qui s'adresse à un public adulte et exigeant, qui révolutionne le genre. Breccia fait preuve d'une virtuosité graphique rare, pour ces histoires dessinées en noir et blanc. Des jeux d'ombres et de lumières, des taches noires, des personnages d'un réalisme rare, font de cette série un chef d'oeuvre de la bande dessinée. On est bien loin du conformisme de la bande dessinée franco belge de la même période. Breccia est bel et bien un de ceux qui, avec Toppi et Battaglia, ont révolutionné le genre. A découvrir de toute urgence.
Calvin et Hobbes
Un incontournable de la bande dessinée américaine. Un foisonnement d'idées incroyable dévoilant la vie aventureuse d'un petit garçon vivant à cheval dans son monde imaginaire, peuplé d'extra-terrestres, de cowboys ou encore de bonshommes de neige monstrueux. On se plonge dedans avec délectation en se remémorant notre enfance, pas aussi fantasmagorique que celle-ci (Calvin est quasi-schizophrène), complice des sales petites blagues de ce turbulent petit blondinet. Cette série aurait pu être parfaite si elle n'avait autant duré, entraînant une répétition de pas mal de gags. En revanche, la conclusion est tout simplement grandiose !
Là où vont nos pères
Eh bien je m'attendais à une BD paresseuse. Au contraire elle déborde de vie à chaque page. J'étais impressionné par la facilité qu'a l'auteur de nous faire comprendre les sentiments et le vécu de tous les personnages sans dialogue, uniquement avec quelques plans sur des visages et des mains. Bien sûr on revit l'aventure de tout ce melting-pot de migrants ayant cherché un monde meilleur en Amérique en toquant à la porte de Ellis Island. Un monde de prime abord bien connu mais qui se révèle vite bien étrange : l'écriture, les moyens de transport, les animaux, la nourriture,... tout nous est incompréhensible et ainsi nous pouvons nous identifier au personnage central qui pourrait finalement être n'importe lequel d'entre nous. Un graphisme splendide, un concentré d'humanisme. A mettre entre toutes les mains.
Pinocchio (Winshluss)
4,5/5 pour être plus précis. Bel objet (belle couverture bien épaisse, pages robustes, sous cellophane) méritant son prix, fiduciaire et littéraire. Une sacré version alternative du célèbre conte, revisité façon La Bête est morte (qui décrivait déjà l'horreur sous couvert de légèreté). Ses couleurs très années 30 et ces larges illustrations (parfois pleine page) renforcent encore l'impression de lire un vieux livre de contes pour enfant. Sauf que là, il s'agit clairement d'un album destiné à un public adulte vu ses réguliers débordements trash, éclaboussant au passage d'autres contes et personnages bien connus (ce livre recèle un nombre incalculable de références discrètes ou non). En plus, il me rappelle le caractère tout de même cruel de certains contes de Charles Perrault (avant retouche par d'autres) à la différence qu'ici l'album se finit sur un florilège de twists. La BD aborde beaucoup de sujets graves, pour certains malheureusement encore actuels, et les mélange dans la trame d'une histoire complètement différente ou chaque personnage a une incidence sur la suite de l'histoire, plus ou moins tardivement. Les seuls passages non-muets - en noir et blanc - nous offrent les "aventures" de Jiminy, non plus le criquet mais le cafard. Il n'a en fait aucun rôle à tenir à part celui de proposer des sortes d'intermède délirant sur la vie de looser. Sympa mais pas indispensable. En conclusion, un fauve d'or qui mérite largement une bonne place dans votre bibliothèque.
Sept Missionnaires
J’ai adoré cette histoire de moines indignes et si attachants. Quelle merveilleuse idée que de faire incarner à chacun un des péchés capitaux, et quel talent dans la narration de leur aventure. Décidément, Ayroles est un tout grand de la bd actuelle. Il parvient à n’oublier aucun ingrédient indispensable dans ce qui aurait pu n’être qu’un one-shot secondaire. Contexte historique, humour, aventure, contrepied à la morale bienpensante et créativité : que demander de plus ? Le dessin de Luigi Critone, artiste dont j’ignorais jusqu’à l’existence, est en totale adéquation avec l’histoire. Très soigné et très lisse, il est à mes yeux diablement séduisant, et constitue le contre-pied parfait. Son impact est plus efficace que celui qu’un dessinateur humoristique classique aurait pu amener. L’ensemble constitue une divine réussite dans une collection qui m’aura par ailleurs plus souvent déçu qu’à son tour. Que je sois damné si ces sept moines ne deviennent pas de diaboliques idoles.
Péchés mignons
Etant un peu coquin moi même, je trouve cette série vraiment géniale. C'est un vrai coup de cœur, car le style tout en rondeur des dessins de personnage est excellent, les filles y sont très glamour et les couleurs vive et chaudes donne encore plus de sensualité. Les minis histoires sont hilarantes, dans les deux premiers volumes c’est les aventures et déboires sexuels d’un jeune garçon qui n’est pas sans rappeler le dessinateur (Arthur De Pins), tandis que le troisième raconte l’histoire de l’une de ses conquêtes du volume 2, Clara la rouquine débridé qui consomme les hommes mais qui cherche l’amour……. Il y aura forcement au moins l’un des sketchs de cette série qui vous rappellera une anecdote vécu. Très contemporaine, elle dépeint les relations homme/femme du 21ème siècle et le sexe y est montrer sans tabou et avec beaucoup d’humour, ATTENTION ce n’est pas un porno. Je trouve le volume 3 vraiment excellent car la plupart des histoires sont coécrites par des femmes et elles n’y vont pas avec le dos de la cuillère, cela donne encore plus de caché à cette série. Pour donner une référence TV ont peu les comparer à « Sex and the city ». De plus ce que j’aime chez fluide glacial c’est que leur séries sont le plus souvent en dessous de 10 euros, ce qui est un luxe de nos jours et ce qui n’est pas le cas de tous les éditeurs. Non je ne suis pas auvergnat et non je n’ai pas les mains crochus, mais en tant que Jean-Pierre Koff de la BD je peux dire : « Cette série c’est pas de la merde ». Rapport qualité/prix, foncé les yeux fermés.
Le Roi cassé
Au début, j'étais un peu sceptique sur la qualité de l'album. Je trouvais l'idée vraiment farfelue. Puis, j'ai commencé à la trouver pas mal et finalement j'ai adoré cet album. Dumontheuil a très bien exploité son sujet. J'aime la façon dont il montre l'absurdité du monde et l'hypocrisie des gens. SPOILER Le 'rêve' du dernier Simon Virjusse se transformera ainsi en cauchemar. FIN DU SPOILER Il y a tout de même une chose que je n'ai pas aimée. La fin. J'aurais aimé un vrai final qui clôture l'histoire. SPOILER Même si c'est pas mal de voir que Simon est prisonnier d'une situation dont il ne peu plus s'échapper. FIN DU SPOILER
Johan et Pirlouit
Johan et Pirlouit est à mes yeux l’œuvre suprême de Peyo. Je dis bien Johan ET Pirlouit, car les deux premiers tomes sont on ne peut plus dispensables. Mais, à partir du « Lutin du Bois aux Roches » jusqu’au « Sortilège de Maltrochu », cette vision enfantine et enchanteresse du moyen-âge est LA référence du genre. Ce sont ces bd qui m’ont inspiré ma passion des châteaux-forts, et je les en remercie. La série sera bien plus tard reprise par le fils de Peyo, avec un certain talent mais sans égaler le père. J’avoue cependant un petit faible pour « La Rose des Sables », album qui sortait nos héros de leur environnement habituel. Bien plus variée que la série des Schtroumpfs, cette collection se doit de figurer dans votre bibliothèque si vous êtes friands de l’école franco-belge de l’époque. Inévitable.