La promesse est une des ses lectures franchement bizarroïdes quand on la commence mais qui trouve tout son sens à la fin. Voilà une bd qui m'a laissé une impression assez forte !
Je peux dire que l'émotion est passée. Je trouve également que la construction de ces deux histoires en parallèle est assez bien menée puisqu'il y a finalement un sens à tout cela au travers d'une promesse réalisée. Je dois ajouter que l'un des récits se situe dans un univers totalement loufoque où l'on peut croiser le chanteur M comme faire de mauvaises rencontres.
L'autre histoire se situe dans notre réalité et va trouver un écho au travers d'une quête de sentiments.
J'ai adoré cette exploration intimiste de l'âme humaine qui nous transporte au coeur même de l'émotion. C'est une grande expérience qui tient sa promesse !
Vider la corbeille traite du monde de l'entreprise et des rapports entre collègues ou hiérarchiques. C'est bizarre mais on reconnait plusieurs stéréotypes des gens qu'on peut véritablement y croiser. Bien sûr, c'est un peu tourné à l'excès mais il y a de cela.
Je retrouve le personnage de Stanislas que j'avais côtoyé en DRH peu sympathique dans Une épaisse couche de sentiments. J'aurais sans doute mieux fais de commencer ma lecture par ce one shot pour une question de bon sens chronologique. Au début, je me suis posé des questions en me disant que cela ne pouvait pas être le même personnage, si sympathique, si avenant envers les autres. Oui, on a droit à suivre une évolution digne du jeune Skywalker en Dark Vador.
J'ai eu également plaisir à retrouver un auteur que j'aime bien aux commandes à savoir Sébastien Gnaedig. Il n'est pas très prolifique en qualité d'auteur de bd mais il a surtout développé des collections comme celle de Futuropolis ou encore "Tohu Bohu" aux Humanoïdes Associés et même "Aire libre" ou "Repérages" chez Dupuis. Bref, là où il passe, il ne nous offre que de la qualité et nous fait découvrir des auteurs de talents. Je crois que c'est l'un des grands manitous de la bd moderne en France actuellement. Je l'admire beaucoup par rapport à tout ce qu'il a apporté. Il est encore jeune et fera sans nul doute encore parler de lui.
Pour en revenir à vider la corbeille, c'est bien entendu une bd de qualité qu'il faut lire au moins une fois dans sa vie si on est intéressé par les arcanes impitoyables du monde du travail.
Cette série a tout pour exaspérer. Le personnage est un cliché du genre : il plaît aux filles, il n'a peur de rien, il s'en sort toujours (pire que Bruce Willis dans "Piège de Cristal"), il est riche, il comprend tout plus vite que les autres, il aime se battre... et pourtant ça fonctionne, c'est efficace, pas de prise de tête.
Les dessins sont hauts en couleur, rafraîchissants.
Une BD pop corn, pleine d'explosions, de rebondissements, de l'autodérision...
J'ai été agréablement surpris par cette série, le suspens est au rendez vous, et les crimes sont assez gores, ils se marient parfaitement au côté très obscur, très noir de l'ambiance générale assez glaçante.
Les enquêtes de la protagoniste sont associées et souvent guidées par le côté surnaturel de la série, qui intervient sous forme de rêves et qui relie certains personnages entre eux et les mettent donc sur des pistes insoupçonnées.
Je miserais également sur 11 tomes. Coté dessin, l'ambiance est parfaitement orchestrée par des décores finement dessiné et plutôt froid, j'ai appris aussi que ce serait la 1ère série du dessinateur comme l'a précisé Miranda dans son avis. Une vraie réussite en tout cas. N'hésitez pas! A part si vous comptez vous fendre la poire, ce ne sera pas la XIeme plaie qui vous arrachera un sourire !
Tout simplement génial !
Il est vrai que ce tome se présente plus comme un prologue à une intrigue plus vaste. On ne sent la tournure que va prendre la série qu'à la fin du tome (une trahison... mais n'en disons pas plus). Il reste que l'univers créé est original, les monstres charismatiques et la petite fille attachante. L'ambiance est dépaysante, notamment grâce aux couleurs chatoyantes, au design des objets, et aux caractéristiques de chaque freaks.
La réflexion sur la différence, la tolérance, sans être moralisatrice sert parfaitement le scénario. Vivement le prochain tome !
Je ne comprends pas non plus la note plutôt moyenne de cette série que je trouve excellente.
La personnalité du personnage principal (alpha) est plus complexe que dans la plupart des BD du même genre. Il laisse parfois ses sentiments ou ses convictions interférer avec ses missions. Des missions qui sont parfois complexes, mais surtout réalistes. Pas d'explosions à gogo ou d'effets grandiloquent pour rester spectaculaires ou tendues. Les méchants sont réussis, avec une mention spéciale pour la tueuse de "Scala" et "jeux de puissants" que j'adore.
Le tome 10 est en fait un dossier (style "XIII : l'enquête"), sympathique, mais pas indispensable.
L'orientation prise dans la saison 2 relance la série. Vivement la suite !
J'ai acheté cette BD, intrigué par la couverture. Je dois dire que j'ai été très agréablement surpris par l'histoire qui m'a tout simplement captivé. La petite fille est à la fois attachante et dérangeante, comme l'inventeur d'ailleurs. L'ambiance et le rythme donné à l'intrigue est parfaitement maîtrisé.
J'attends la suite avec impatience.
Et une pépite de plus chez Futuropolis !!!
Certes, il ne s'agit que du tome introductif mais le charme opère déjà.
Le scénario d'Etienne Le Roux semble fait pour Vincent Froissard. Ce dernier avait déjà montré un style étonnant dans Felicidad qui n'avait pas un scénario aussi intéressant et que l'éditeur avait fait abréger faute de ventes.
Vincent Froissard utilise les mêmes techniques mais se fait des petits plaisirs ravivant sans cesse la partie graphique.
L'histoire est surprenante, dès le début du récit le personnage Alexandre de Humboldt nous avertit de l'irrationalité du récit qui va suivre.
J'attends beaucoup de la suite de cette série en espérant qu'il ne s'agira pas que d'un feu de paille.
En l'état, je conseille vivement la découverte de cette BD unique et sublime.
Je ne saurais trop vous dire ce que j'aime dans cette bd, je trouve le 1° tome risible sur tous les points, mais ça remonte très fort par la suite avec d'excellents tomes 2, 3, 5 et des personnages comme Felony et le gros baraqué chasseur de garou. Je ne sais pas trop ce que l'auteur cherche avec les derniers tomes, mais moi j'ai perdu ce plaisir étrange qu'était la lecture de Kran.
J'ai été agréablement surpris par cette bd, bien que je n'aimais pas le dessin et que le départ était un peu difficile, j'ai malgré tout passé un excellent moment. Le scénario peu original et quelques citations bidon laissent tout de même entrevoir le talent du scénariste, avec quelque phrases/dialogues cultes (notamment avec le diable).
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
La Promesse
La promesse est une des ses lectures franchement bizarroïdes quand on la commence mais qui trouve tout son sens à la fin. Voilà une bd qui m'a laissé une impression assez forte ! Je peux dire que l'émotion est passée. Je trouve également que la construction de ces deux histoires en parallèle est assez bien menée puisqu'il y a finalement un sens à tout cela au travers d'une promesse réalisée. Je dois ajouter que l'un des récits se situe dans un univers totalement loufoque où l'on peut croiser le chanteur M comme faire de mauvaises rencontres. L'autre histoire se situe dans notre réalité et va trouver un écho au travers d'une quête de sentiments. J'ai adoré cette exploration intimiste de l'âme humaine qui nous transporte au coeur même de l'émotion. C'est une grande expérience qui tient sa promesse !
Vider la corbeille
Vider la corbeille traite du monde de l'entreprise et des rapports entre collègues ou hiérarchiques. C'est bizarre mais on reconnait plusieurs stéréotypes des gens qu'on peut véritablement y croiser. Bien sûr, c'est un peu tourné à l'excès mais il y a de cela. Je retrouve le personnage de Stanislas que j'avais côtoyé en DRH peu sympathique dans Une épaisse couche de sentiments. J'aurais sans doute mieux fais de commencer ma lecture par ce one shot pour une question de bon sens chronologique. Au début, je me suis posé des questions en me disant que cela ne pouvait pas être le même personnage, si sympathique, si avenant envers les autres. Oui, on a droit à suivre une évolution digne du jeune Skywalker en Dark Vador. J'ai eu également plaisir à retrouver un auteur que j'aime bien aux commandes à savoir Sébastien Gnaedig. Il n'est pas très prolifique en qualité d'auteur de bd mais il a surtout développé des collections comme celle de Futuropolis ou encore "Tohu Bohu" aux Humanoïdes Associés et même "Aire libre" ou "Repérages" chez Dupuis. Bref, là où il passe, il ne nous offre que de la qualité et nous fait découvrir des auteurs de talents. Je crois que c'est l'un des grands manitous de la bd moderne en France actuellement. Je l'admire beaucoup par rapport à tout ce qu'il a apporté. Il est encore jeune et fera sans nul doute encore parler de lui. Pour en revenir à vider la corbeille, c'est bien entendu une bd de qualité qu'il faut lire au moins une fois dans sa vie si on est intéressé par les arcanes impitoyables du monde du travail.
Wayne Shelton
Cette série a tout pour exaspérer. Le personnage est un cliché du genre : il plaît aux filles, il n'a peur de rien, il s'en sort toujours (pire que Bruce Willis dans "Piège de Cristal"), il est riche, il comprend tout plus vite que les autres, il aime se battre... et pourtant ça fonctionne, c'est efficace, pas de prise de tête. Les dessins sont hauts en couleur, rafraîchissants. Une BD pop corn, pleine d'explosions, de rebondissements, de l'autodérision...
La XIe Plaie
J'ai été agréablement surpris par cette série, le suspens est au rendez vous, et les crimes sont assez gores, ils se marient parfaitement au côté très obscur, très noir de l'ambiance générale assez glaçante. Les enquêtes de la protagoniste sont associées et souvent guidées par le côté surnaturel de la série, qui intervient sous forme de rêves et qui relie certains personnages entre eux et les mettent donc sur des pistes insoupçonnées. Je miserais également sur 11 tomes. Coté dessin, l'ambiance est parfaitement orchestrée par des décores finement dessiné et plutôt froid, j'ai appris aussi que ce serait la 1ère série du dessinateur comme l'a précisé Miranda dans son avis. Une vraie réussite en tout cas. N'hésitez pas! A part si vous comptez vous fendre la poire, ce ne sera pas la XIeme plaie qui vous arrachera un sourire !
Caravane
Tout simplement génial ! Il est vrai que ce tome se présente plus comme un prologue à une intrigue plus vaste. On ne sent la tournure que va prendre la série qu'à la fin du tome (une trahison... mais n'en disons pas plus). Il reste que l'univers créé est original, les monstres charismatiques et la petite fille attachante. L'ambiance est dépaysante, notamment grâce aux couleurs chatoyantes, au design des objets, et aux caractéristiques de chaque freaks. La réflexion sur la différence, la tolérance, sans être moralisatrice sert parfaitement le scénario. Vivement le prochain tome !
Alpha
Je ne comprends pas non plus la note plutôt moyenne de cette série que je trouve excellente. La personnalité du personnage principal (alpha) est plus complexe que dans la plupart des BD du même genre. Il laisse parfois ses sentiments ou ses convictions interférer avec ses missions. Des missions qui sont parfois complexes, mais surtout réalistes. Pas d'explosions à gogo ou d'effets grandiloquent pour rester spectaculaires ou tendues. Les méchants sont réussis, avec une mention spéciale pour la tueuse de "Scala" et "jeux de puissants" que j'adore. Le tome 10 est en fait un dossier (style "XIII : l'enquête"), sympathique, mais pas indispensable. L'orientation prise dans la saison 2 relance la série. Vivement la suite !
Mr. Deeds
J'ai acheté cette BD, intrigué par la couverture. Je dois dire que j'ai été très agréablement surpris par l'histoire qui m'a tout simplement captivé. La petite fille est à la fois attachante et dérangeante, comme l'inventeur d'ailleurs. L'ambiance et le rythme donné à l'intrigue est parfaitement maîtrisé. J'attends la suite avec impatience.
Le Dernier Voyage d'Alexandre de Humboldt
Et une pépite de plus chez Futuropolis !!! Certes, il ne s'agit que du tome introductif mais le charme opère déjà. Le scénario d'Etienne Le Roux semble fait pour Vincent Froissard. Ce dernier avait déjà montré un style étonnant dans Felicidad qui n'avait pas un scénario aussi intéressant et que l'éditeur avait fait abréger faute de ventes. Vincent Froissard utilise les mêmes techniques mais se fait des petits plaisirs ravivant sans cesse la partie graphique. L'histoire est surprenante, dès le début du récit le personnage Alexandre de Humboldt nous avertit de l'irrationalité du récit qui va suivre. J'attends beaucoup de la suite de cette série en espérant qu'il ne s'agira pas que d'un feu de paille. En l'état, je conseille vivement la découverte de cette BD unique et sublime.
Krän
Je ne saurais trop vous dire ce que j'aime dans cette bd, je trouve le 1° tome risible sur tous les points, mais ça remonte très fort par la suite avec d'excellents tomes 2, 3, 5 et des personnages comme Felony et le gros baraqué chasseur de garou. Je ne sais pas trop ce que l'auteur cherche avec les derniers tomes, mais moi j'ai perdu ce plaisir étrange qu'était la lecture de Kran.
La Forêt
J'ai été agréablement surpris par cette bd, bien que je n'aimais pas le dessin et que le départ était un peu difficile, j'ai malgré tout passé un excellent moment. Le scénario peu original et quelques citations bidon laissent tout de même entrevoir le talent du scénariste, avec quelque phrases/dialogues cultes (notamment avec le diable).