J'aime bien les aventure de Franky même si le dessin n'est pas terrible, les gags sur les sports extrêmes sont drôles et tellement vrais. Certains tomes laissent à désirer, surtout le 4 et le 5, mais dans l'ensemble j'ai bien rigolé et je les relis avec plaisir !!!
Pas mal... Je n'ai pas été totalement captivé mais c'est une bonne BD.
Déjà le dessin est très bon. La colorisation aussi est bien faite mais j'ai eu quelques soucis à apprécier un grand nombre de choix de couleurs que je trouvais peu harmonieux voire trop pêtants par moment. Le décor comme ces couleurs ont une touche nettement "années 80" à mes yeux.
Ensuite le scénario est vraiment intéressant sur le plan Historique, avec cette page méconnue et peu reluisante de la politique étrangère Française. J'ai appris pas mal de choses lors de cette lecture.
Néanmoins, le scénario en lui-même ne m'a pas tellement accroché. L'enquête du journaliste, personnage principal de cette BD, se fait de manière bien linéaire et sans grand rebondissements. De même, l'intrigue et le thriller qui se noue autour ne m'a pas franchement convaincu, non pas que ce soit irréaliste mais parce que ça n'a pas grand chose d'original ni de vraiment prenant.
Dans un genre très similaire, cette fois en Algérie plutôt qu'en Indochine, je trouve que ces auteurs ont mieux réussi Azrayen en comparaison.
Bien sans plus. Bien pour l'histoire à moitié originale de ce sorcier maléfique raté et toute sa clique comprenant un crapaud ensorcelé par le génialissime et inégalé ancêtre du premier. Mais pourtant j'aime pas trop les dessins, beaucoup de pleines pages si bien que ça se lit assez vite, et surtout des teintes violets ou autres qui sont peut-être là pour ajouter un effet contesque. Bref un conte assez banal j'ai envie de dire, une espèce de mélange entre légende arthurienne et dragons machin chose, mais qui peut néanmoins interesser les fans du genre.
Note approximative : 2.5/5
J'ai un avis mitigé sur cette BD mais globalement j'ai quand même peiné pour la lire.
Les 100 premières pages ne m'ont guère captivé, notamment à cause de cet argot/dialecte que les auteurs nous ont inventé là pour les différents personnages et qui est parfois ardu à suivre d'autant qu'il y a pas mal de dialogues, mais aussi parce que l'histoire se traine un peu au départ.
Mais c'est dommage car le conte en lui-même est plutôt joli et j'ai bien apprécié le passage quand ils sont tous montés dans l'arbre. Pourtant à nouveau, j'ai des soucis avec la narration et je n'ai jamais vraiment réussi à entrer dans l'histoire, allant même jusqu'à m'arrêter deux fois en cours de lecture.
Il y a de bons côtés dans ce Conte en BD mais je trouve qu'il a été trop tiré en longueur et que la narration est plutôt poussive et l'histoire pas suffisamment captivante.
Les deux premiers tomes de Coma se déroulent dans une ambiance bien particulière. Des enfants et adolescents se retrouvent coincé dans une contrée parallèle entre la vie et la mort, une jungle dans laquelle il essaie d’échapper aux « piqueurs ». Le lecteur est pris par le rythme de l’intrigue et les motivations (parfois bien glauques) de ses personnages.
La série aurait pu s’arrêter après le deuxième tome. Dupré a néanmoins décidé de la continuer en approfondissant le passé d’un de ses personnages. Ce 3 eme tome est intéressant mais n'a, pour l’instant, pas trop de rapport avec les deux premiers. L’atmosphère y est beaucoup plus réaliste et Dupré, qui était très à l’aise pour mettre en scène des décors naturels, montre vite ses limites quand il s’agit de mettre en scène le monde contemporain... J’avoue avoir un peu du mal à considérer ce 3e tome comme faisant partie de la même série que les deux premiers. Non pas qu’il soit mauvais... l’atmosphère d’un patelin américain est, à mon avis, très bien rendue, mais il m’est difficile de voir où l’auteur veut en venir et ce que ce récit en flash-back va apporter à la série... Le quatrième tome devrait répondre à mes interrogations.... A découvrir, une série très intéressante.
Encore un auteur qui s'exprime à la première personne et en N&B. Ce n'est pas à proprement parler une autobiographie mais la relation de certains événements de l'enfance de Craig Thompson, qui l'ont marqué, ainsi que son premier amour, sur fond d'éducation chrétienne ultra rigide.
Le récit est plein de sensibilité et merveilleusement secondé par un dessin original, inventif, et d'une sinuosité très sensuelle. On est emporté dans le tourbillon de patchwork des souvenirs, des images et des sentiments de Thompson, et on voit pas le temps et les 582 pages passer.
En même temps, une fois le bouquin (peut-on parler d'album ?) refermé, si on reste bluffé par sa virtuosité graphique, et son indéniable poésie, on se dit aussi que ce n'est que la banale première histoire d'amour d'un ado rêveur et solitaire.
Joli album.
On sent bien les origines de la dessinatrice.
Du monde de l'animation, Alim le tanneur a hérité d'une extrême rigueur dans l'élaboration des personnages, d'un cadrage quasi cinématographique et d'expressions très réussies.
Mais aussi, d'après moi, d'un manque de vie.
Là où un Guarnido profite de la bd pour lâcher son trait, Virignie Augustin n'arrive pas vraiment à sortir des impératifs du monde de l'animation. Son trait neutre, quasi inexistant, et la mise en couleur très propre me donnent l'impression d'être devant une suite d'arrêts sur image.
Sinon, comme Don Lope, je ne suis pas plus emballé que ça par le scénario. Scénario qui de toute façon n'en est qu'au tout début, et peut encore évoluer dans un sens comme dans l'autre.
Je ne suis pas un fan de Batman et j'ignore quasiment tout de ses aventures en BD, j'ai juste le souvenir de quelques parutions périodiques en noir et blanc que je lisais sans conviction, c'était naïf, Batman neutralisait ses adversaires avec ses "Batgadgets".
J'ai lu cet album surtout parce qu'il est d'Alan Moore.
Le but de cet ouvrage est de définir les origines du Joker, mais pas seulement, en fait l'auteur met en scène deux éternels antagonistes et nous montre que finalement ils sont plus proches que ce que l'on pourrait penser.
L'idée est bonne mais j'ai quand même ressenti une frustration.
Les dessins sont à la hauteur et pour moi il n'y a pas de "défauts" dans cette BD, mais rien à faire, je n'arrive pas à être totalement convaincu. C'est bien mais léger.
Cependant ça reste de facture correcte et l'album n'est pas très cher alors...
Tout d'abord, en voyant la couverture, ma première impression fût de trouver le titre assez racoleur. Oui, il faut savoir que L'Etoile Noir est sortie en 1982, c'est à dire en pleine période Star Wars. On pouvait donc imaginer que le scénario de cette bd n'aurait été qu'un vulgaire plagia de la trilogie de Lucas. Mais étant fan de S-F et de Gimenez, je me suis lancé, malgrè tout, dans la lecture de cet album et je ne le regrette pas.
Sans être transcendant, le scénario de Barreiro est plutôt réussi. Des mercenaires de l'espace sont engagés par un mystérieux inconnu pour une mission à haut-risques. Sur une idée de base assez classique, le scénariste nous offre une histoire de space-opéra fluide et assez agréable à lire. J'ai constaté que Barreiro était très généreux concernant les détails techniques car il nous gratifie de plusieurs plans ainsi que de descriptions de vaisseaux plutôt réalistes.
Les protagonistes du récit ne manquent pas d'humour et on suit leurs aventures avec beaucoup de plaisir.
Bon, il est clair que cet album a quand même 22 ans et de ce fait, le dessin de Gimenez est moins abouti que son travail actuel. Pourtant, on retrouve déjà une certaine précision concernant les décors et les engins spatiaux.
J'ai donc passé un agréable moment en lisant L'Etoile Noir.
Si vous êtes amateur de space-opéra et de S-F en général, je pense que ce one-shot vous conviendra !
Premier album de Capucine, elle signe là une bien jolie entrée. On sent une grande tendresse dans ces pages, finalement faites des "petits rien" qui accompagnent la grossesse. N'y cherchez pas de grande aventure ni de grand message, ce n'est pas le propos de cet album.
Le dessin semble s'affirmer au fur et à mesure. En particulier les visages et les attitudes me paraissent gagner pas mal en souplesse, l'expressivité étant (à quelques petites exceptions près) bonne du début à la fin. Et puis j'aime assez le dessin de Capucine, tout simplement.
A noter que le dessin de couverture est (à mon avis, hein) nettement moins réussi... simplement à cause des yeux et de l'expression du visage, qui font un peu froid...
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Franky Snow
J'aime bien les aventure de Franky même si le dessin n'est pas terrible, les gags sur les sports extrêmes sont drôles et tellement vrais. Certains tomes laissent à désirer, surtout le 4 et le 5, mais dans l'ensemble j'ai bien rigolé et je les relis avec plaisir !!!
Les oubliés d'Annam
Pas mal... Je n'ai pas été totalement captivé mais c'est une bonne BD. Déjà le dessin est très bon. La colorisation aussi est bien faite mais j'ai eu quelques soucis à apprécier un grand nombre de choix de couleurs que je trouvais peu harmonieux voire trop pêtants par moment. Le décor comme ces couleurs ont une touche nettement "années 80" à mes yeux. Ensuite le scénario est vraiment intéressant sur le plan Historique, avec cette page méconnue et peu reluisante de la politique étrangère Française. J'ai appris pas mal de choses lors de cette lecture. Néanmoins, le scénario en lui-même ne m'a pas tellement accroché. L'enquête du journaliste, personnage principal de cette BD, se fait de manière bien linéaire et sans grand rebondissements. De même, l'intrigue et le thriller qui se noue autour ne m'a pas franchement convaincu, non pas que ce soit irréaliste mais parce que ça n'a pas grand chose d'original ni de vraiment prenant. Dans un genre très similaire, cette fois en Algérie plutôt qu'en Indochine, je trouve que ces auteurs ont mieux réussi Azrayen en comparaison.
L'Histoire d'un Sorcier (Bafflerog le Sorcier)
Bien sans plus. Bien pour l'histoire à moitié originale de ce sorcier maléfique raté et toute sa clique comprenant un crapaud ensorcelé par le génialissime et inégalé ancêtre du premier. Mais pourtant j'aime pas trop les dessins, beaucoup de pleines pages si bien que ça se lit assez vite, et surtout des teintes violets ou autres qui sont peut-être là pour ajouter un effet contesque. Bref un conte assez banal j'ai envie de dire, une espèce de mélange entre légende arthurienne et dragons machin chose, mais qui peut néanmoins interesser les fans du genre.
Le Quartier évanoui
Note approximative : 2.5/5 J'ai un avis mitigé sur cette BD mais globalement j'ai quand même peiné pour la lire. Les 100 premières pages ne m'ont guère captivé, notamment à cause de cet argot/dialecte que les auteurs nous ont inventé là pour les différents personnages et qui est parfois ardu à suivre d'autant qu'il y a pas mal de dialogues, mais aussi parce que l'histoire se traine un peu au départ. Mais c'est dommage car le conte en lui-même est plutôt joli et j'ai bien apprécié le passage quand ils sont tous montés dans l'arbre. Pourtant à nouveau, j'ai des soucis avec la narration et je n'ai jamais vraiment réussi à entrer dans l'histoire, allant même jusqu'à m'arrêter deux fois en cours de lecture. Il y a de bons côtés dans ce Conte en BD mais je trouve qu'il a été trop tiré en longueur et que la narration est plutôt poussive et l'histoire pas suffisamment captivante.
Coma
Les deux premiers tomes de Coma se déroulent dans une ambiance bien particulière. Des enfants et adolescents se retrouvent coincé dans une contrée parallèle entre la vie et la mort, une jungle dans laquelle il essaie d’échapper aux « piqueurs ». Le lecteur est pris par le rythme de l’intrigue et les motivations (parfois bien glauques) de ses personnages. La série aurait pu s’arrêter après le deuxième tome. Dupré a néanmoins décidé de la continuer en approfondissant le passé d’un de ses personnages. Ce 3 eme tome est intéressant mais n'a, pour l’instant, pas trop de rapport avec les deux premiers. L’atmosphère y est beaucoup plus réaliste et Dupré, qui était très à l’aise pour mettre en scène des décors naturels, montre vite ses limites quand il s’agit de mettre en scène le monde contemporain... J’avoue avoir un peu du mal à considérer ce 3e tome comme faisant partie de la même série que les deux premiers. Non pas qu’il soit mauvais... l’atmosphère d’un patelin américain est, à mon avis, très bien rendue, mais il m’est difficile de voir où l’auteur veut en venir et ce que ce récit en flash-back va apporter à la série... Le quatrième tome devrait répondre à mes interrogations.... A découvrir, une série très intéressante.
Blankets - Manteau de neige
Encore un auteur qui s'exprime à la première personne et en N&B. Ce n'est pas à proprement parler une autobiographie mais la relation de certains événements de l'enfance de Craig Thompson, qui l'ont marqué, ainsi que son premier amour, sur fond d'éducation chrétienne ultra rigide. Le récit est plein de sensibilité et merveilleusement secondé par un dessin original, inventif, et d'une sinuosité très sensuelle. On est emporté dans le tourbillon de patchwork des souvenirs, des images et des sentiments de Thompson, et on voit pas le temps et les 582 pages passer. En même temps, une fois le bouquin (peut-on parler d'album ?) refermé, si on reste bluffé par sa virtuosité graphique, et son indéniable poésie, on se dit aussi que ce n'est que la banale première histoire d'amour d'un ado rêveur et solitaire.
Alim le tanneur
Joli album. On sent bien les origines de la dessinatrice. Du monde de l'animation, Alim le tanneur a hérité d'une extrême rigueur dans l'élaboration des personnages, d'un cadrage quasi cinématographique et d'expressions très réussies. Mais aussi, d'après moi, d'un manque de vie. Là où un Guarnido profite de la bd pour lâcher son trait, Virignie Augustin n'arrive pas vraiment à sortir des impératifs du monde de l'animation. Son trait neutre, quasi inexistant, et la mise en couleur très propre me donnent l'impression d'être devant une suite d'arrêts sur image. Sinon, comme Don Lope, je ne suis pas plus emballé que ça par le scénario. Scénario qui de toute façon n'en est qu'au tout début, et peut encore évoluer dans un sens comme dans l'autre.
Killing Joke (Batman - The Killing Joke/Rire et Mourir/Souriez !)
Je ne suis pas un fan de Batman et j'ignore quasiment tout de ses aventures en BD, j'ai juste le souvenir de quelques parutions périodiques en noir et blanc que je lisais sans conviction, c'était naïf, Batman neutralisait ses adversaires avec ses "Batgadgets". J'ai lu cet album surtout parce qu'il est d'Alan Moore. Le but de cet ouvrage est de définir les origines du Joker, mais pas seulement, en fait l'auteur met en scène deux éternels antagonistes et nous montre que finalement ils sont plus proches que ce que l'on pourrait penser. L'idée est bonne mais j'ai quand même ressenti une frustration. Les dessins sont à la hauteur et pour moi il n'y a pas de "défauts" dans cette BD, mais rien à faire, je n'arrive pas à être totalement convaincu. C'est bien mais léger. Cependant ça reste de facture correcte et l'album n'est pas très cher alors...
L'Étoile noire
Tout d'abord, en voyant la couverture, ma première impression fût de trouver le titre assez racoleur. Oui, il faut savoir que L'Etoile Noir est sortie en 1982, c'est à dire en pleine période Star Wars. On pouvait donc imaginer que le scénario de cette bd n'aurait été qu'un vulgaire plagia de la trilogie de Lucas. Mais étant fan de S-F et de Gimenez, je me suis lancé, malgrè tout, dans la lecture de cet album et je ne le regrette pas. Sans être transcendant, le scénario de Barreiro est plutôt réussi. Des mercenaires de l'espace sont engagés par un mystérieux inconnu pour une mission à haut-risques. Sur une idée de base assez classique, le scénariste nous offre une histoire de space-opéra fluide et assez agréable à lire. J'ai constaté que Barreiro était très généreux concernant les détails techniques car il nous gratifie de plusieurs plans ainsi que de descriptions de vaisseaux plutôt réalistes. Les protagonistes du récit ne manquent pas d'humour et on suit leurs aventures avec beaucoup de plaisir. Bon, il est clair que cet album a quand même 22 ans et de ce fait, le dessin de Gimenez est moins abouti que son travail actuel. Pourtant, on retrouve déjà une certaine précision concernant les décors et les engins spatiaux. J'ai donc passé un agréable moment en lisant L'Etoile Noir. Si vous êtes amateur de space-opéra et de S-F en général, je pense que ce one-shot vous conviendra !
Corps de Rêves
Premier album de Capucine, elle signe là une bien jolie entrée. On sent une grande tendresse dans ces pages, finalement faites des "petits rien" qui accompagnent la grossesse. N'y cherchez pas de grande aventure ni de grand message, ce n'est pas le propos de cet album. Le dessin semble s'affirmer au fur et à mesure. En particulier les visages et les attitudes me paraissent gagner pas mal en souplesse, l'expressivité étant (à quelques petites exceptions près) bonne du début à la fin. Et puis j'aime assez le dessin de Capucine, tout simplement. A noter que le dessin de couverture est (à mon avis, hein) nettement moins réussi... simplement à cause des yeux et de l'expression du visage, qui font un peu froid...