C'est suite à la lecture de l'avis ci-dessus, et parce que j'avais beaucoup apprécié Adam Sarlech de Bezian, que j'ai acheté hier soir Ne touchez à rien après avoir fait quand même trois librairies parce qu'il n'est pas si facile à trouver.
Je l'ai lu le soir même, me mettant dans les circonstances idéales pour apprécier une BD d'ambiance et un peu d'effroi, la lisant passé minuit dans un appartement vide et silencieux.
Et le résultat, c'est que je trouve cette BD pas mauvaise mais je suis légèrement déçu car j'en attendais déjà trop.
J'aime le dessin de Bezian. Il est ici tout à fait bon, mais je déplore légèrement la colorisation qui me parait bien terne comparée à celle d'Adam Sarlech. Cependant, il réussit toujours à instiller en moi une certaine peur notamment quand il dessine ce couple de vieux cadavres inhérent à la fameuse maison de cette BD. Pourtant, ces personnages m'ont nettement moins effrayé que la vieille dame dans sa cage de verre dans le tome 2 d'Adam Sarlech par exemple.
De même, l'histoire est plutôt bonne, narrée de manière agréable et intelligente, mais elle n'a pas su me marquer comme je l'aurais désiré. Je n'y ai trouvé ni une grande originalité, ni une réelle ambiance de terreur et d'effroi. Je n'ai pas réussi à pénétrer dans l'histoire comme je l'aurais vraiment souhaité, j'en suis resté la plupart du temps assez éloigné tant et si bien que je n'ai pas ressenti l'émotion qui aurait dû rendre ce livre de très grande qualité.
Globalement, c'est une Bd de bonne qualité que je ne suis pas mécontent d'avoir acheté, mais ce n'est pas la merveille d'ambiance à laquelle l'avis ci-dessous m'avait fait espérer.
La Forme 4/5
Les dessins de cette bd sont très beaux. Les traits du dessin sont laissés, les coups de crayons sont marqués, et même si quelques planches ont été retravaillées par informatique, c'est suffisamment discret pour que l'on sente la patte du dessinateur. La palette de couleur est belle, un peu froide et distante (bleus, gris, noirs et blancs ; des couleurs chaudes plus estompées ; effets pastel et fondues...), ce qui n'est pas sans charme.
Yslaire aime le réalisme des visages, des corps et des décors (le détail des appareils photos début de siècle ou moderne ; des avions de guerre ; l'apparition d'une télé typée années 60-70, dans le coin d'une vignette)
Les dessins sont souvent repris, parfois pour insister sur un détail vu en gros plan ; parfois pour recontextualiser (ces dernières sont de trop ; ex : les deux ou trois premières planches "Eva et son amie mourante à l'hôpital")
Les dessins occupent de larges formats et sont rarement enfermés dans de petites vignettes.
Le Fond 1/5
L'histoire, pourtant très simple, apparaît un peu lourde car elle nous emmène sur différents terrains (histoire, philosophie, théologie) sans vraiment nous laisser en profiter. Par conséquent le XXe siècle est résumé à trois ou quatre grands évènements (1ere et 2de guerre mondiale, l'enlisement américain au Vietnam, la guerre froide, le 11 septembre 2001 à New York), trois ou quatre mouvances culturelles (le mouvement hippie, Freud,...)... Un peu court même en supposant que l'auteur ne voulait pas être exhaustif.
Les personnages et l'histoire en elle-même sont plutôt inintéressants.
On ne sait pas trop où cette "enquête" nous mène, ni même à qui elle est peut être utile...
En conclusion 3/5
L'impression au final reste bonne. Peut-être parce que je m'attache ici plus à la forme qui domine nettement. Le fond déçoit. La démarche est intrigante et les recherches bibliographiques de l'auteur laissent deviner le gros travail fournit pour le projet... Le survol du siècle est cependant bien suivi et la nostalgie ambiante n'est pas désagréable.
Je n'ai malheureusement lu que les tomes 3 à 5, ceux toujours disponibles en intégrale en fait. D'apprendre que les deux premiers tomes sont graphiquement en deça fait mal au fan de Gibrat que je suis. Car force est d'avouer que même les derniers tomes sont à des années lumière de ce qu'est capable de faire Gibrat aujourd'hui. En même temps c'est rassurant, ça montre que le talent est intimement lié au travail et à l'expérience, même chez les plus grands.
Sorti de ça, "Goudard" est l'histoire d'un sympathique looser (enfin pas complètement, sa future femme est quand même bien canon) qui réussit à engrosser la première nana qu'il arrive à mettre dans son lit (en l'occurence ici, un duvet d'algues séchés en bord de mer) et se retrouve à demi-forcé de l'épouser.
Les aventure de ce pauvre Goudard et de cette Parisienne sont surtout prétexte à découvrir la vie à la campagne, les amourettes adolescentes, le tout tournant déjà autour de la pampa aveyronaise qu'on retrouvera dans "Le sursis". Berroyer campe un scénariste pas maladroit même si l'ensemble reste d'une futilité certaine, et c'est peut-être ça qui m'a plu!
ArzaK est un poil dur dans son analyse je trouve. Ce premier tome, bien qu'effectivement mystérieux à souhait, est diablement original. Un peu steam-punk mais pas complètement, histoire d'espions et histoire d'initiations (à un métier, à la solidarité, à la vie), "Les corsaires d'Alcibiade" est une série qui sort de l'ordinaire et de la masse des nouveaux premiers tome. Il faut dire que Filippi n'est pas le premier venu (son apport assez significatif à l'excellentissime "Réseau Bombyce" n'étant de plus pas vraiment connu) de même que Liberge, qui propose ici un dessin très différent de son monochromique "M. Mardi Gras Descendre", au final très réussi. Une série qui titille et qui intrigue donc.
Bien agréable, cette petite BD!
L'histoire est gentillette comme tout, avec un premier tome qui constitue une bonne entrée en matière, le lecteur se retrouvant dans la même position que notre petit héros, entraîné bien malgré lui dans une aventure extraordinaire, ce qu'il accepte finalement plutôt bien, alors que le second tome est tout de même un ton plus grave, synonyme de maturité, même si celle-ci est bien tristement imposée à notre ami Grégoire.
Alors oui, c'est destiné à un jeune public, mais il ne faut pas bouder son plaisir, surtout devant un petit bijou comme ça!
Un bijou, parce que le dessin du premier tome est de toute beauté, la mise en page est remarquable de fluidité, le jeu des lumières est époustouflant (p 32, on dirait un clin d'œil à Vermeer), la palette de couleurs est très agréable... ce serait vraiment dommage de priver ses mirettes d'un tel spectacle!
Par contre, c'est vrai, je suis plus mitigé concernant la suite: le trait est plus grossier, le choix des couleurs est moins heureux (enfin, le ton, les teintes... le rendu des lumières surtout), le traitement accordé aux personnages de pierre est nettement moins bon, avec un rendu beaucoup moins beau. Oui, globalement, il est moins beau (nouveau dessineux, nouveau coloriste...).
Mais bon, Gargouilles est tout ce qu'il y a de plaisant à lire, une belle BD, quoi :)
Une série fort agréable à lire...
Certains petits clins d’œil très sympas!!!
J’adore le Morpion!!!
Le tome 2 peut-être en deçà des deux autres.
Des dessins vraiment très soignés, très propres, vraiment rien à redire. Sortir deux BD par ans tout en gardant une telle qualité n'est pas donné à tout le monde, chapeau!!!
Le tout allié à un scénario de bonne facture
De la bonne HF, très honnête bien que pas très original, qui saura vous faire passer de très agréables moments...
Une série honnête...
Parfois marrante, parfois pas...
De l'heroique fantasy classique mais efficace.
Peut-être plus adapté à un scénario de jeu de rôle qu'a une BD...
Des dessins très acceptables... Des personnages attachants dans un monde riche, une bonne grosse dose d'humour!!!
Une histoire complète en deux tomes
Un bon moment de détente sans prise de tête.
Une série sympathique que j'ai découverte récemment.
Je ne partage pas l'enthousiasme ni le dégoût de certains, mais cette série dépaysante permet un bon moment de détente.
Un univers « steam punk » assez riche, des décors somptueux, des engins surprenants, on ne peut rien reprocher au dessin très coloré et très expressif. Le scénario sans être fabuleux se tient et nous entraîne dans une société où le crime d'état est légalisé et où les régulateurs sont "maîtres" de la politique...
A voir.
Situations comiques (de mon avis, surtout avec Sû et Naru), personnages attachants et tous différents et histoire prenante! Le dessin est soigné, et les informations supplémentaires à la fin de chaque tome sont intéressantes! Personnellement, je trouve que l'histoire de la promesse tient la route, et que les petites histoires se passant à la pension sont à mourir de rire! En bref, une BD très amusante, même si ce n'est pas un chef d'oeuvre
Moi j'aime bien 30 jours de nuit.
C'est reposant... pas de suspense ni de faux semblant, on est très rapidement dans le vif du sujet, on nous mâche le travail, pas de prise de tête, efficace!
Et un graphisme somme toute assez plaisant, avec des ambiances bien glauques, bien comme il faut!
Rien d'innovant, du tout, c'est même totalement téléphoné, mais moi, j'aime bien 30 jours de nuit! :)
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Ne touchez à rien
C'est suite à la lecture de l'avis ci-dessus, et parce que j'avais beaucoup apprécié Adam Sarlech de Bezian, que j'ai acheté hier soir Ne touchez à rien après avoir fait quand même trois librairies parce qu'il n'est pas si facile à trouver. Je l'ai lu le soir même, me mettant dans les circonstances idéales pour apprécier une BD d'ambiance et un peu d'effroi, la lisant passé minuit dans un appartement vide et silencieux. Et le résultat, c'est que je trouve cette BD pas mauvaise mais je suis légèrement déçu car j'en attendais déjà trop. J'aime le dessin de Bezian. Il est ici tout à fait bon, mais je déplore légèrement la colorisation qui me parait bien terne comparée à celle d'Adam Sarlech. Cependant, il réussit toujours à instiller en moi une certaine peur notamment quand il dessine ce couple de vieux cadavres inhérent à la fameuse maison de cette BD. Pourtant, ces personnages m'ont nettement moins effrayé que la vieille dame dans sa cage de verre dans le tome 2 d'Adam Sarlech par exemple. De même, l'histoire est plutôt bonne, narrée de manière agréable et intelligente, mais elle n'a pas su me marquer comme je l'aurais désiré. Je n'y ai trouvé ni une grande originalité, ni une réelle ambiance de terreur et d'effroi. Je n'ai pas réussi à pénétrer dans l'histoire comme je l'aurais vraiment souhaité, j'en suis resté la plupart du temps assez éloigné tant et si bien que je n'ai pas ressenti l'émotion qui aurait dû rendre ce livre de très grande qualité. Globalement, c'est une Bd de bonne qualité que je ne suis pas mécontent d'avoir acheté, mais ce n'est pas la merveille d'ambiance à laquelle l'avis ci-dessous m'avait fait espérer.
XXe ciel.com
La Forme 4/5 Les dessins de cette bd sont très beaux. Les traits du dessin sont laissés, les coups de crayons sont marqués, et même si quelques planches ont été retravaillées par informatique, c'est suffisamment discret pour que l'on sente la patte du dessinateur. La palette de couleur est belle, un peu froide et distante (bleus, gris, noirs et blancs ; des couleurs chaudes plus estompées ; effets pastel et fondues...), ce qui n'est pas sans charme. Yslaire aime le réalisme des visages, des corps et des décors (le détail des appareils photos début de siècle ou moderne ; des avions de guerre ; l'apparition d'une télé typée années 60-70, dans le coin d'une vignette) Les dessins sont souvent repris, parfois pour insister sur un détail vu en gros plan ; parfois pour recontextualiser (ces dernières sont de trop ; ex : les deux ou trois premières planches "Eva et son amie mourante à l'hôpital") Les dessins occupent de larges formats et sont rarement enfermés dans de petites vignettes. Le Fond 1/5 L'histoire, pourtant très simple, apparaît un peu lourde car elle nous emmène sur différents terrains (histoire, philosophie, théologie) sans vraiment nous laisser en profiter. Par conséquent le XXe siècle est résumé à trois ou quatre grands évènements (1ere et 2de guerre mondiale, l'enlisement américain au Vietnam, la guerre froide, le 11 septembre 2001 à New York), trois ou quatre mouvances culturelles (le mouvement hippie, Freud,...)... Un peu court même en supposant que l'auteur ne voulait pas être exhaustif. Les personnages et l'histoire en elle-même sont plutôt inintéressants. On ne sait pas trop où cette "enquête" nous mène, ni même à qui elle est peut être utile... En conclusion 3/5 L'impression au final reste bonne. Peut-être parce que je m'attache ici plus à la forme qui domine nettement. Le fond déçoit. La démarche est intrigante et les recherches bibliographiques de l'auteur laissent deviner le gros travail fournit pour le projet... Le survol du siècle est cependant bien suivi et la nostalgie ambiante n'est pas désagréable.
Goudard
Je n'ai malheureusement lu que les tomes 3 à 5, ceux toujours disponibles en intégrale en fait. D'apprendre que les deux premiers tomes sont graphiquement en deça fait mal au fan de Gibrat que je suis. Car force est d'avouer que même les derniers tomes sont à des années lumière de ce qu'est capable de faire Gibrat aujourd'hui. En même temps c'est rassurant, ça montre que le talent est intimement lié au travail et à l'expérience, même chez les plus grands. Sorti de ça, "Goudard" est l'histoire d'un sympathique looser (enfin pas complètement, sa future femme est quand même bien canon) qui réussit à engrosser la première nana qu'il arrive à mettre dans son lit (en l'occurence ici, un duvet d'algues séchés en bord de mer) et se retrouve à demi-forcé de l'épouser. Les aventure de ce pauvre Goudard et de cette Parisienne sont surtout prétexte à découvrir la vie à la campagne, les amourettes adolescentes, le tout tournant déjà autour de la pampa aveyronaise qu'on retrouvera dans "Le sursis". Berroyer campe un scénariste pas maladroit même si l'ensemble reste d'une futilité certaine, et c'est peut-être ça qui m'a plu!
Les corsaires d'Alcibiade
ArzaK est un poil dur dans son analyse je trouve. Ce premier tome, bien qu'effectivement mystérieux à souhait, est diablement original. Un peu steam-punk mais pas complètement, histoire d'espions et histoire d'initiations (à un métier, à la solidarité, à la vie), "Les corsaires d'Alcibiade" est une série qui sort de l'ordinaire et de la masse des nouveaux premiers tome. Il faut dire que Filippi n'est pas le premier venu (son apport assez significatif à l'excellentissime "Réseau Bombyce" n'étant de plus pas vraiment connu) de même que Liberge, qui propose ici un dessin très différent de son monochromique "M. Mardi Gras Descendre", au final très réussi. Une série qui titille et qui intrigue donc.
Gargouilles
Bien agréable, cette petite BD! L'histoire est gentillette comme tout, avec un premier tome qui constitue une bonne entrée en matière, le lecteur se retrouvant dans la même position que notre petit héros, entraîné bien malgré lui dans une aventure extraordinaire, ce qu'il accepte finalement plutôt bien, alors que le second tome est tout de même un ton plus grave, synonyme de maturité, même si celle-ci est bien tristement imposée à notre ami Grégoire. Alors oui, c'est destiné à un jeune public, mais il ne faut pas bouder son plaisir, surtout devant un petit bijou comme ça! Un bijou, parce que le dessin du premier tome est de toute beauté, la mise en page est remarquable de fluidité, le jeu des lumières est époustouflant (p 32, on dirait un clin d'œil à Vermeer), la palette de couleurs est très agréable... ce serait vraiment dommage de priver ses mirettes d'un tel spectacle! Par contre, c'est vrai, je suis plus mitigé concernant la suite: le trait est plus grossier, le choix des couleurs est moins heureux (enfin, le ton, les teintes... le rendu des lumières surtout), le traitement accordé aux personnages de pierre est nettement moins bon, avec un rendu beaucoup moins beau. Oui, globalement, il est moins beau (nouveau dessineux, nouveau coloriste...). Mais bon, Gargouilles est tout ce qu'il y a de plaisant à lire, une belle BD, quoi :)
Salem la Noire
Une série fort agréable à lire... Certains petits clins d’œil très sympas!!! J’adore le Morpion!!! Le tome 2 peut-être en deçà des deux autres. Des dessins vraiment très soignés, très propres, vraiment rien à redire. Sortir deux BD par ans tout en gardant une telle qualité n'est pas donné à tout le monde, chapeau!!! Le tout allié à un scénario de bonne facture De la bonne HF, très honnête bien que pas très original, qui saura vous faire passer de très agréables moments...
Agence Barbare
Une série honnête... Parfois marrante, parfois pas... De l'heroique fantasy classique mais efficace. Peut-être plus adapté à un scénario de jeu de rôle qu'a une BD... Des dessins très acceptables... Des personnages attachants dans un monde riche, une bonne grosse dose d'humour!!! Une histoire complète en deux tomes Un bon moment de détente sans prise de tête.
Le Régulateur
Une série sympathique que j'ai découverte récemment. Je ne partage pas l'enthousiasme ni le dégoût de certains, mais cette série dépaysante permet un bon moment de détente. Un univers « steam punk » assez riche, des décors somptueux, des engins surprenants, on ne peut rien reprocher au dessin très coloré et très expressif. Le scénario sans être fabuleux se tient et nous entraîne dans une société où le crime d'état est légalisé et où les régulateurs sont "maîtres" de la politique... A voir.
Love Hina
Situations comiques (de mon avis, surtout avec Sû et Naru), personnages attachants et tous différents et histoire prenante! Le dessin est soigné, et les informations supplémentaires à la fin de chaque tome sont intéressantes! Personnellement, je trouve que l'histoire de la promesse tient la route, et que les petites histoires se passant à la pension sont à mourir de rire! En bref, une BD très amusante, même si ce n'est pas un chef d'oeuvre
30 jours de nuit
Moi j'aime bien 30 jours de nuit. C'est reposant... pas de suspense ni de faux semblant, on est très rapidement dans le vif du sujet, on nous mâche le travail, pas de prise de tête, efficace! Et un graphisme somme toute assez plaisant, avec des ambiances bien glauques, bien comme il faut! Rien d'innovant, du tout, c'est même totalement téléphoné, mais moi, j'aime bien 30 jours de nuit! :)