Tout le monde semble bloquer sur le mix "Mythe/Technologie/7 Péchés capitaux" mais honnêtement moi je m'en fous, ça ne m'a pas gêné (même si c'est vrai que le 8e tome s'annonce assez casse-gueule)
Pour le moment, cette série d'albums en apparence indépendants est très correcte, il n'y a rien de rédhibitoire.
Alcante a une grosse ambition et/ou c'est un fou à moitié mégalo :) Faire une série de ce genre pour ce qui semble être son premier scénario publié, c'est assez dingue. Pourtant, il s'en sort très bien pour le moment et je suis assez curieux de lire la suite.
Je pense que je vais attendre que la série complête soit sortie pour me décider sur l'achat ou non de cette série. Difficile de juger avec ces 2 premiers tomes.
Voici un chouette petit western d’ambiance mettant en scène deux crevures qui présentent quelques difficultés à en finir. Les échanges (verbaux) sont savoureux pour l’amateur de westerns barrés. L’esprit caricatural du récit est bien mis en valeur par le dessin d’Alfred qui n’est plus à présenter.
Pour ceux qui ont apprécié cet album, à lire aussi "Lame Ryder" paru dans la collection "Patte de Mouche" de l’Association.
Je vais peut-être faire un peu d’ombre aux avis précédents mais j’ai aimé mais j’ai pas été aussi emballé que ça.
Ok le dessin est super maîtrisé mais ya quelque chose que je n’aime pas trop chez les personnages, surtout chez la petite fille. Mis à par ça c’est très joli, très rond, comme l’ont dit certains ça fait presque penser à un Disney. Pourtant ya du sang, du fanatisme, l’histoire s’annonce assez sombre.
Le récit se lit bien, l’élément déclencheur est au centre de ce premier album, ça casse pas trois pattes à un canard mais la suite s’annonce plus mouvementée et j’attends ça avec curiosité.
Un premier album correct quand même.
Moi qui aime beaucoup Trondheim, je ne pouvais pas passer à côté de cet essai, comme il l'appelle, où il parle de lui, du monde de la BD, d'anecdotes innombrables sur les grands noms de la BD et où il réfléchit sur ce qui forme l'inspiration et le talent en BD.
Sous la forme, cet album ressemble à son autre série Carnet de Bord :ce sont des images, de petites scénettes parfois dessinées à la hâte dans un avion ou un train, entourées de textes de reflexion et d'anecdotes amusantes. J'ai pris autant de plaisir à la lire que les Carnets be Bord, retrouvant à la fois l'intelligence, l'humour et le talent narratif de Trondheim même lorsqu'il s'agit comme ici de suivre un processus intellectuel.
Cet album n'est ni tout à fait un carnet de croquis ni tout à fait un essai. En effet, Trondheim "n'est pas un universitaire" comme il le dit, il ne va donc pas approfondir toutes les idées qui lui passent par la tête sur le thème qu'il étudie. Il suit juste son chemin de pensée et nous permet au passage de profiter des pensées et souvenirs de nombres de grands noms de la BD qu'il a rencontré durant l'écriture de cet album et qu'il met en image dans Désoeuvré.
Pour maintenant revenir sur le sujet même de cet essai, la reflexion sur ce qui fait la motivation de l'auteur de BD et le vieillissement de ces auteurs, la reflexion est plutôt intéressante. Il faut avouer cependant que j'ai trouvé que Trondheim s'enfonçait un peu dans une reflexion auto-alimentée, légèrement prise de tête. Finalement, Trondheim le juge lui-même, il estime que sa reflexion a quelque chose de celle d'un "artiste privilégié" qui se creuse la tête pour des sujets un peu dépressifs. Le contenu de cet essai n'est pas exempt d'interêt, c'est certain, mais je ne l'ai pas trouvé indispensable ni vraiment captivant.
J'ai néanmoins beaucoup apprécié de pouvoir découvrir les avis de ces autres grands noms de la BD (Delporte, Gotlib, Tibet, Ptiluc, et beaucoup d'autres) sur un sujet qui concerne la BD en elle-même et ses auteurs.
Intéressant, sympa mais pas indispensable.
Un Frederik Peeters comme je ne l'avais jamais vu dans cette petite BD datant de 1998.
Son dessin me semble très différent de son style actuel. Bon, c'est toujours du noir et blanc et on reconnait un peu son trait, mais ses décors me semblent plus simples, plus épurés, et ses personnages un peu moins expressifs mais également moins sombres dans leurs traits même si l'histoire n'est pas gaie. Ceci étant dit, j'aime à peu près autant ce style là que le style plus récent de Peeters.
Pour revenir à l'histoire, elle se lit assez vite mais bénéficie d'une très bonne narration à mon goût. Le récit n'est pas gai, le personnage principal est même assez cruel mais je suis bien rentré dans ce conte noir, j'ai bien apprécié ma lecture.
Sympathique et sans grande prétention.
Je ne suis pas aussi enthousiaste que Don Lope au sujet de cet album.
Je suis assez d'accord concernant le dessin et les couleurs. Rares sont les planches qui n'impressionnent pas, c'est un régal de lire une BD (quel que soit le genre) avec un dessin aussi somptueux.
Le "mix" entre Don Juan et Faust me paraît assez malvenu en revanche, ces deux hommes, ces mythes, n'ont pas grand chose en commun et je trouve leur "association" presque contrenature. De plus, en posant ces bases, les auteurs perdent beaucoup de temps en bla-blas assez rébarbatifs.
Les scènes X ne sont pas franchement originales et c'est presque étonnant de ne pas être allé plus loin une fois que ce Don Juan a montré qui il était vraiment.
Ca reste selon moi un bon album du genre, mais il y a queand même bien meilleur.
C'est assez étonnant qu'un album aussi fin en général ait une des deux protagonistes (Minako) dont le caractère est aussi mal tourné. Elle est trop niaise, trop prévisible, bref, loin de la réalité. C'est dommage parce que Saki, elle, a une personnalité bien plus réaliste et fine, ce qui donne à cette histoire un sens très particulier puisqu'elle est crédible, presque réelle (?)
Oui, moi aussi ça m'a agacé ces pieds immenses. Les nanas ont toutes des palmes à la place des pieds et semblent chausser du 52. A part ce détail, le dessin très épuré (à la limite du "trop" parfois) est très agréable, j'aime la finesse qui s'en dégage.
Ce one-shot est loin d'être indispensable, mais j'ai quand même passé un bon moment de lecture.
Une véritable surprise ! On m'a un peu forcé la main pour que je lise le Donjon de naheultruc parce qu'au départ je me disais (sans trop savoir pourquoi) que c'était sûirement un truc très teen qui allait vite me saouler.
Pourtant, j'admets volontiers que le 1er tome m'a bien fait marrer, même si effectivement c'est assez djeun's. L'humour ne fait pas dans la finesse, c'est même très gras et très simple, mais finalement assez efficace.
Le style de dessin de Marion Poinsot est très loin de celui qu'il a adopté dans "dread mac farlane", il est beaucoup plus cartoonesque et tant mieux ! Ca colle parfaitement au style de cette BD assez déjantée.
Je suis curieux de lire la suite...
Le tour de valse c’est avant toute une histoire d’amour entre une femme et son mari emprisonné. La narration est bonne, très fluide, j’ai eu l’impression d’avoir lu l’album en 5 minutes.
Les auteurs dénoncent ici le sort réservé aux « opposants » de l’URSS mais sans vraiment s’apitoyer sur les conditions de vie, les châtiments et les exécutions, bien que tout cela soit présent le long de l’album.
En fait j’ai trouvé l’histoire agréable et facile à suivre mais pour moi ça manquait d’une certaine consistance, quelque chose de vraiment marquant.
Ce qui m’a le plus plu et le plus touché, c’est la fin. Une fin pas larmoyante, mais émouvante.
Quant aux dessins, le trait est gros, ça manque peut-être de précision mais les couleurs font passer la pilule et ça s’accorde plutôt bien avec le ton de l’histoire.
Un album émouvant et qui témoigne.
Un album dont le "scénario" aurait quand même pu être mieux exploité grace à un 2e tome parce qu'on a l'impression que tout va trop vite, l'évolution de Sabine est soudaine et trop radicale.
A part ce détail, c'est un album très sympa dont le dessin est le point fort. Morale (j'adore son nom vu le type de BD) a un dessin très classe qui correspond très bien à ce Paris des années 20.
L'ambiance doucement SM qui règne tout au long de l'album rend certaines scènes très agréables.
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Pandora Box
Tout le monde semble bloquer sur le mix "Mythe/Technologie/7 Péchés capitaux" mais honnêtement moi je m'en fous, ça ne m'a pas gêné (même si c'est vrai que le 8e tome s'annonce assez casse-gueule) Pour le moment, cette série d'albums en apparence indépendants est très correcte, il n'y a rien de rédhibitoire. Alcante a une grosse ambition et/ou c'est un fou à moitié mégalo :) Faire une série de ce genre pour ce qui semble être son premier scénario publié, c'est assez dingue. Pourtant, il s'en sort très bien pour le moment et je suis assez curieux de lire la suite. Je pense que je vais attendre que la série complête soit sortie pour me décider sur l'achat ou non de cette série. Difficile de juger avec ces 2 premiers tomes.
Un colt qu'on en finisse
Voici un chouette petit western d’ambiance mettant en scène deux crevures qui présentent quelques difficultés à en finir. Les échanges (verbaux) sont savoureux pour l’amateur de westerns barrés. L’esprit caricatural du récit est bien mis en valeur par le dessin d’Alfred qui n’est plus à présenter. Pour ceux qui ont apprécié cet album, à lire aussi "Lame Ryder" paru dans la collection "Patte de Mouche" de l’Association.
Alim le tanneur
Je vais peut-être faire un peu d’ombre aux avis précédents mais j’ai aimé mais j’ai pas été aussi emballé que ça. Ok le dessin est super maîtrisé mais ya quelque chose que je n’aime pas trop chez les personnages, surtout chez la petite fille. Mis à par ça c’est très joli, très rond, comme l’ont dit certains ça fait presque penser à un Disney. Pourtant ya du sang, du fanatisme, l’histoire s’annonce assez sombre. Le récit se lit bien, l’élément déclencheur est au centre de ce premier album, ça casse pas trois pattes à un canard mais la suite s’annonce plus mouvementée et j’attends ça avec curiosité. Un premier album correct quand même.
Désoeuvré
Moi qui aime beaucoup Trondheim, je ne pouvais pas passer à côté de cet essai, comme il l'appelle, où il parle de lui, du monde de la BD, d'anecdotes innombrables sur les grands noms de la BD et où il réfléchit sur ce qui forme l'inspiration et le talent en BD. Sous la forme, cet album ressemble à son autre série Carnet de Bord :ce sont des images, de petites scénettes parfois dessinées à la hâte dans un avion ou un train, entourées de textes de reflexion et d'anecdotes amusantes. J'ai pris autant de plaisir à la lire que les Carnets be Bord, retrouvant à la fois l'intelligence, l'humour et le talent narratif de Trondheim même lorsqu'il s'agit comme ici de suivre un processus intellectuel. Cet album n'est ni tout à fait un carnet de croquis ni tout à fait un essai. En effet, Trondheim "n'est pas un universitaire" comme il le dit, il ne va donc pas approfondir toutes les idées qui lui passent par la tête sur le thème qu'il étudie. Il suit juste son chemin de pensée et nous permet au passage de profiter des pensées et souvenirs de nombres de grands noms de la BD qu'il a rencontré durant l'écriture de cet album et qu'il met en image dans Désoeuvré. Pour maintenant revenir sur le sujet même de cet essai, la reflexion sur ce qui fait la motivation de l'auteur de BD et le vieillissement de ces auteurs, la reflexion est plutôt intéressante. Il faut avouer cependant que j'ai trouvé que Trondheim s'enfonçait un peu dans une reflexion auto-alimentée, légèrement prise de tête. Finalement, Trondheim le juge lui-même, il estime que sa reflexion a quelque chose de celle d'un "artiste privilégié" qui se creuse la tête pour des sujets un peu dépressifs. Le contenu de cet essai n'est pas exempt d'interêt, c'est certain, mais je ne l'ai pas trouvé indispensable ni vraiment captivant. J'ai néanmoins beaucoup apprécié de pouvoir découvrir les avis de ces autres grands noms de la BD (Delporte, Gotlib, Tibet, Ptiluc, et beaucoup d'autres) sur un sujet qui concerne la BD en elle-même et ses auteurs. Intéressant, sympa mais pas indispensable.
Fromage confiture
Un Frederik Peeters comme je ne l'avais jamais vu dans cette petite BD datant de 1998. Son dessin me semble très différent de son style actuel. Bon, c'est toujours du noir et blanc et on reconnait un peu son trait, mais ses décors me semblent plus simples, plus épurés, et ses personnages un peu moins expressifs mais également moins sombres dans leurs traits même si l'histoire n'est pas gaie. Ceci étant dit, j'aime à peu près autant ce style là que le style plus récent de Peeters. Pour revenir à l'histoire, elle se lit assez vite mais bénéficie d'une très bonne narration à mon goût. Le récit n'est pas gai, le personnage principal est même assez cruel mais je suis bien rentré dans ce conte noir, j'ai bien apprécié ma lecture. Sympathique et sans grande prétention.
Don Juan
Je ne suis pas aussi enthousiaste que Don Lope au sujet de cet album. Je suis assez d'accord concernant le dessin et les couleurs. Rares sont les planches qui n'impressionnent pas, c'est un régal de lire une BD (quel que soit le genre) avec un dessin aussi somptueux. Le "mix" entre Don Juan et Faust me paraît assez malvenu en revanche, ces deux hommes, ces mythes, n'ont pas grand chose en commun et je trouve leur "association" presque contrenature. De plus, en posant ces bases, les auteurs perdent beaucoup de temps en bla-blas assez rébarbatifs. Les scènes X ne sont pas franchement originales et c'est presque étonnant de ne pas être allé plus loin une fois que ce Don Juan a montré qui il était vraiment. Ca reste selon moi un bon album du genre, mais il y a queand même bien meilleur.
Entre les draps
C'est assez étonnant qu'un album aussi fin en général ait une des deux protagonistes (Minako) dont le caractère est aussi mal tourné. Elle est trop niaise, trop prévisible, bref, loin de la réalité. C'est dommage parce que Saki, elle, a une personnalité bien plus réaliste et fine, ce qui donne à cette histoire un sens très particulier puisqu'elle est crédible, presque réelle (?) Oui, moi aussi ça m'a agacé ces pieds immenses. Les nanas ont toutes des palmes à la place des pieds et semblent chausser du 52. A part ce détail, le dessin très épuré (à la limite du "trop" parfois) est très agréable, j'aime la finesse qui s'en dégage. Ce one-shot est loin d'être indispensable, mais j'ai quand même passé un bon moment de lecture.
Le Donjon de Naheulbeuk
Une véritable surprise ! On m'a un peu forcé la main pour que je lise le Donjon de naheultruc parce qu'au départ je me disais (sans trop savoir pourquoi) que c'était sûirement un truc très teen qui allait vite me saouler. Pourtant, j'admets volontiers que le 1er tome m'a bien fait marrer, même si effectivement c'est assez djeun's. L'humour ne fait pas dans la finesse, c'est même très gras et très simple, mais finalement assez efficace. Le style de dessin de Marion Poinsot est très loin de celui qu'il a adopté dans "dread mac farlane", il est beaucoup plus cartoonesque et tant mieux ! Ca colle parfaitement au style de cette BD assez déjantée. Je suis curieux de lire la suite...
Le Tour de Valse
Le tour de valse c’est avant toute une histoire d’amour entre une femme et son mari emprisonné. La narration est bonne, très fluide, j’ai eu l’impression d’avoir lu l’album en 5 minutes. Les auteurs dénoncent ici le sort réservé aux « opposants » de l’URSS mais sans vraiment s’apitoyer sur les conditions de vie, les châtiments et les exécutions, bien que tout cela soit présent le long de l’album. En fait j’ai trouvé l’histoire agréable et facile à suivre mais pour moi ça manquait d’une certaine consistance, quelque chose de vraiment marquant. Ce qui m’a le plus plu et le plus touché, c’est la fin. Une fin pas larmoyante, mais émouvante. Quant aux dessins, le trait est gros, ça manque peut-être de précision mais les couleurs font passer la pilule et ça s’accorde plutôt bien avec le ton de l’histoire. Un album émouvant et qui témoigne.
Education anglaise
Un album dont le "scénario" aurait quand même pu être mieux exploité grace à un 2e tome parce qu'on a l'impression que tout va trop vite, l'évolution de Sabine est soudaine et trop radicale. A part ce détail, c'est un album très sympa dont le dessin est le point fort. Morale (j'adore son nom vu le type de BD) a un dessin très classe qui correspond très bien à ce Paris des années 20. L'ambiance doucement SM qui règne tout au long de l'album rend certaines scènes très agréables.