Je n'accroche pas totalement à cette histoire que je trouve un peu simple mais il faut avouer qu'elle est bien racontée, prenante et que le dessin est très beau.
Les décors de ces planches sont impressionnants. Tous, sans exception, sont de vraies peintures romantiques (je pense à certains tableaux de Friedrich). C'est beau, très beau, presque trop réaliste par moment. Pourtant, j'apprécie nettement moins le dessin des objets mobiles, nettement plus contrasté, dans cette technique de dessin qu'on imagine immanquablement issue de l'animation. Les visages des personnages sont moyens et les chevaux ont l'air de gros tonneaux montés sur des pattes molles.
Ceci étant dit, la majorité des planches sont quand même très belles.
Le scénario est assez basique et manque un peu de densité dans ce premier tome. C'est du médiéval fantastique assez sombre et sérieux, un genre qu'effectivement je trouve assez germanique. Beaucoup de violence et de douleurs, mais une histoire assez captivante et qui donne envie de connaître la suite.
C'est avec joie que je vois que cette série est prévue en deux tomes seulement : loin de s'étirer en longueur, elle permettra sans doute de raconter un bon récit sans partir en digresion inutile.
Une BD qui se lit avec le sourire et quelques rires parfois aussi. Le dessin et les couleurs sont très moyens mais c'est le genre de BD d'humour où on s'en fiche un peu. Le récit est assez simple pour permettre l'équivalent d'une suite de scénettes à gags multiples. Curieusement, alors que je m'y connais assez peu en politique, ce sont justement les nombreuses anecdotes liées de près aux médias et à la politique alter-mondialiste qui m'ont fait le plus rire. Une partie d'entre elles me sont cependant passées un peu à côté car je n'avais pas connaissance de leurs références.
Ce n'est pas hilarant mais il y a pas mal d'idées assez sympathiques qui font qu'on passe un assez bon moment de lecture.
Un dessin sympathique pour un conte enfantin sympathique (un seul tome sorti jusqu'à présent donc un seul conte).
Les planches sont très colorées, très fraiches. Le dessin est proche du style cartoon avec de nombreuses déformations sciemment réalisées. Il se rapproche aussi de certains jeux dans les magazines pour enfants ("cherchez les 7 différences", "où est Charlie ?") par leur profusion de détails anodins : on en vient à fouiller les cases à la recherche d'un clin d'oeil amusant. Inversement, cela apporte peut-être une certaine confusion à la lisibilité des cases mais rien de désagréable.
Le conte de "Piccolo le fou triste" est gentil : il ne se prend pas la tête, amène un sourire bienveillant chez le lecteur adulte et se termine comme un joli conte de fées. Avec des personnages de bon gros roi et de fou et de princesse qui s'aiment en secret, ce n'est pas sans rappeler une partie de la trame de La Nef des fous, un peu comme si "Piccolo le fou triste" était une version pour enfant de La Nef des fous.
Dragonball est le premier manga que j’ai lu, il y a 12 ans…
J’adore les 17 premiers volumes, plus orientés humour et aventure et j’aime bien jusqu’à la destruction de la planète Namek, mais après j’ai décroché. Même si à l’époque j’avais acheté la série complète, la succession d’ennemis de plus en plus puissants est difficile à digérer.
MàJ 2025 : la Perfect édition gomme tous les défauts de l'édition pastel. Format plus grand, traduction plus fidèle, noms d'origine respectés, etc.
30 ans après avoir lu cette série pour la première fois, j'ai toujours plaisir à la relire, surtout pour sa première partie. Un indispensable du manga.
Petite déception sur cette BD en ce qui me concerne.
Bon point à mes yeux : Larcenet y retrouve ce qu'il faisait à ses débuts, de la BD d'humour et uniquement d'humour. C'est comme ça que je l'ai connu, c'est comme ça que je le préfère.
Mais je dois dire que je n'ai pas tellement ri à la lecture de cet album.
Larcenet y utilise la méthode d'humour que je lui connais le mieux : exagération de la réalité et absurde. Mais je dois dire que je n'ai pas trop accroché car la majorité des gags manquent de surprise à mes yeux, pas de case ou de dialogue subitement étonnant qui déclenche un rire immédiat par son côté décalé ou ahurissant. D'une certaine manière, j'ai l'impression que ce ne sont que des poncifs de la vie en entreprise qui sont abordés ici, comme décrit par quelqu'un qui n'y a pas vécu et n'est donc pas en mesure d'en sortir des détails plus originaux et plus percutants. En outre, en guise de percutant, Larcenet abuse un peu à mon goût de passages et dialogues scabreux à base d'erection, de "sucer la bite", "gratter l'anus de l'intérieur", etc. Je dois être assez prude sur le coup, ou bien est-ce dû à ma lassitude face à l'abondance un peu trop insistante de cette grossièreté que je trouve gratuite.
Enfin bref, c'est une lecture divertissante pas désagréable, mais pas vraiment une tranche de rigolade à mes yeux.
Graphiquement, on se croirait en plein dessin animé moderne américain. Je trouve ça sympa et frais. J'aime bien, mais sans en faire une passion.
Côté histoire, c'est aussi moderne et très dynamique. C'est une histoire fantastique avec voyage dans le temps, créatures de légende, action et magie : bref, tout pour plaire à un lectorat de jeunes adolescents. Ca se lit bien même si on peut reprocher une certaine confusion et une trop grande rapidité des faits par moment : le héros se glisse un peu trop vite dans son rôle de petit magicien ayant voyagé dans le temps pour être réaliste. Mais le but est à l'action-aventure jeunesse, pas à la réflexion adulte et au réalisme, donc pas de vrai reproche ici. C'est donc sympa même si j'aurais apprécié un petit peu plus d'humour.
On ne peut pas dire qu'il s'agisse là de la meilleure BD de l'auteur, et on peut même trouver qu'il se répète un peu, entre le Manuel du puceau, Laura et Patrick et cette série animalière, puisqu'on y retrouve à chaque fois le même genre de personnages et de situations. Néanmoins, ça reste une petite série drôle et sans prétention, avec des personnages amusants et/ou sympathiques, qui se lit avec plaisir. Du fait que Pipit et ses copains sont des oiseaux et vivent, parallèlement à leur vie de collégiens, des vies d'oiseaux (avec prédateurs, migration, etc.), ces deux tomes offrent quand même un minimum d'originalité par rapport aux autres productions similaires de l'auteur, le héros étant amené à vivre des aventures qui le sortent un peu du cadre école/maison/boum : il se perd lors d'une migration en Afrique, fait face à des araignées géantes, lutte contre des serpents...
Au final, c'est quand même plutôt une série destinée aux pré-ados/jeunes ados (disons 10-14 ans), une façon rigolote et pas cucul d'aborder les problèmes qu'ils rencontreront eux-mêmes dans leur vraie vie. Pour les adultes en revanche, il est clair que si vous n'êtes pas un inconditionnel de Sattouf, l'achat ne s'impose pas forcément, mais c'est quand même une lecture agréable.
Ah tiens, j'ai bien aimé ce sympathique petit album, premier de la série. Il retrace, au travers d'une rencontre de quartier comme beaucoup d'entre nous ont pu en faire, la fameuse rencontre de 1982. Je suis trop jeune pour me souvenir du match, mais il a marqué pas mal de mémoires.
Et les auteurs, à leur manière, rendent hommage à ce grand moment de sport, en nous montrant l'essence du foot, dans ce qu'il a de plus convivial, de plus simple, de plus basique. Le dessin de Percelay est sympathique, sans fioritures, et il plaira à tous les amateurs de ballon rond (mais aussi aux autres)
Un "club des 5" mixte (trois garçons, deux filles, de couleurs de peau et d'âges différents), un grand mystère (tous les habitants de la ville disparaissent du jour au lendemain): les ingrédients sont réunis pour faire quelque chose qui accrochera les jeunes lecteurs en quête d'aventures, de frissons, d'émotions et de reconnaissance sociale. J'aurais sans doute adoré découvrir cet album dans ma jeunesse, mais il ne fait malheureusement pas partie de ceux dont la lecture procure autant de plaisir aux grands qu'aux petits.
C'est vrai que c'est mignon tout plein Yakari !
J'aime bien son coté un peu écolo et gentillet. Je sais pas vous mais, quand j'étais gamin je rêvais de pouvoir parler aux animaux.
C'est un peu moralisateur mais bon, on ne va pas mettre un Torpedo dans les mains de nos enfants tout de même.
Le dessin est très agréable, pas formidable non plus, mais il convient bien au propos.
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La Chronique des Immortels
Je n'accroche pas totalement à cette histoire que je trouve un peu simple mais il faut avouer qu'elle est bien racontée, prenante et que le dessin est très beau. Les décors de ces planches sont impressionnants. Tous, sans exception, sont de vraies peintures romantiques (je pense à certains tableaux de Friedrich). C'est beau, très beau, presque trop réaliste par moment. Pourtant, j'apprécie nettement moins le dessin des objets mobiles, nettement plus contrasté, dans cette technique de dessin qu'on imagine immanquablement issue de l'animation. Les visages des personnages sont moyens et les chevaux ont l'air de gros tonneaux montés sur des pattes molles. Ceci étant dit, la majorité des planches sont quand même très belles. Le scénario est assez basique et manque un peu de densité dans ce premier tome. C'est du médiéval fantastique assez sombre et sérieux, un genre qu'effectivement je trouve assez germanique. Beaucoup de violence et de douleurs, mais une histoire assez captivante et qui donne envie de connaître la suite. C'est avec joie que je vois que cette série est prévue en deux tomes seulement : loin de s'étirer en longueur, elle permettra sans doute de raconter un bon récit sans partir en digresion inutile.
Il faut tuer José Bové
Une BD qui se lit avec le sourire et quelques rires parfois aussi. Le dessin et les couleurs sont très moyens mais c'est le genre de BD d'humour où on s'en fiche un peu. Le récit est assez simple pour permettre l'équivalent d'une suite de scénettes à gags multiples. Curieusement, alors que je m'y connais assez peu en politique, ce sont justement les nombreuses anecdotes liées de près aux médias et à la politique alter-mondialiste qui m'ont fait le plus rire. Une partie d'entre elles me sont cependant passées un peu à côté car je n'avais pas connaissance de leurs références. Ce n'est pas hilarant mais il y a pas mal d'idées assez sympathiques qui font qu'on passe un assez bon moment de lecture.
Les Contes et Récits de Maître Spazi
Un dessin sympathique pour un conte enfantin sympathique (un seul tome sorti jusqu'à présent donc un seul conte). Les planches sont très colorées, très fraiches. Le dessin est proche du style cartoon avec de nombreuses déformations sciemment réalisées. Il se rapproche aussi de certains jeux dans les magazines pour enfants ("cherchez les 7 différences", "où est Charlie ?") par leur profusion de détails anodins : on en vient à fouiller les cases à la recherche d'un clin d'oeil amusant. Inversement, cela apporte peut-être une certaine confusion à la lisibilité des cases mais rien de désagréable. Le conte de "Piccolo le fou triste" est gentil : il ne se prend pas la tête, amène un sourire bienveillant chez le lecteur adulte et se termine comme un joli conte de fées. Avec des personnages de bon gros roi et de fou et de princesse qui s'aiment en secret, ce n'est pas sans rappeler une partie de la trame de La Nef des fous, un peu comme si "Piccolo le fou triste" était une version pour enfant de La Nef des fous.
Dragon Ball
Dragonball est le premier manga que j’ai lu, il y a 12 ans… J’adore les 17 premiers volumes, plus orientés humour et aventure et j’aime bien jusqu’à la destruction de la planète Namek, mais après j’ai décroché. Même si à l’époque j’avais acheté la série complète, la succession d’ennemis de plus en plus puissants est difficile à digérer. MàJ 2025 : la Perfect édition gomme tous les défauts de l'édition pastel. Format plus grand, traduction plus fidèle, noms d'origine respectés, etc. 30 ans après avoir lu cette série pour la première fois, j'ai toujours plaisir à la relire, surtout pour sa première partie. Un indispensable du manga.
Guide de la survie en entreprise
Petite déception sur cette BD en ce qui me concerne. Bon point à mes yeux : Larcenet y retrouve ce qu'il faisait à ses débuts, de la BD d'humour et uniquement d'humour. C'est comme ça que je l'ai connu, c'est comme ça que je le préfère. Mais je dois dire que je n'ai pas tellement ri à la lecture de cet album. Larcenet y utilise la méthode d'humour que je lui connais le mieux : exagération de la réalité et absurde. Mais je dois dire que je n'ai pas trop accroché car la majorité des gags manquent de surprise à mes yeux, pas de case ou de dialogue subitement étonnant qui déclenche un rire immédiat par son côté décalé ou ahurissant. D'une certaine manière, j'ai l'impression que ce ne sont que des poncifs de la vie en entreprise qui sont abordés ici, comme décrit par quelqu'un qui n'y a pas vécu et n'est donc pas en mesure d'en sortir des détails plus originaux et plus percutants. En outre, en guise de percutant, Larcenet abuse un peu à mon goût de passages et dialogues scabreux à base d'erection, de "sucer la bite", "gratter l'anus de l'intérieur", etc. Je dois être assez prude sur le coup, ou bien est-ce dû à ma lassitude face à l'abondance un peu trop insistante de cette grossièreté que je trouve gratuite. Enfin bref, c'est une lecture divertissante pas désagréable, mais pas vraiment une tranche de rigolade à mes yeux.
Gargouilles
Graphiquement, on se croirait en plein dessin animé moderne américain. Je trouve ça sympa et frais. J'aime bien, mais sans en faire une passion. Côté histoire, c'est aussi moderne et très dynamique. C'est une histoire fantastique avec voyage dans le temps, créatures de légende, action et magie : bref, tout pour plaire à un lectorat de jeunes adolescents. Ca se lit bien même si on peut reprocher une certaine confusion et une trop grande rapidité des faits par moment : le héros se glisse un peu trop vite dans son rôle de petit magicien ayant voyagé dans le temps pour être réaliste. Mais le but est à l'action-aventure jeunesse, pas à la réflexion adulte et au réalisme, donc pas de vrai reproche ici. C'est donc sympa même si j'aurais apprécié un petit peu plus d'humour.
Pipit Farlouse
On ne peut pas dire qu'il s'agisse là de la meilleure BD de l'auteur, et on peut même trouver qu'il se répète un peu, entre le Manuel du puceau, Laura et Patrick et cette série animalière, puisqu'on y retrouve à chaque fois le même genre de personnages et de situations. Néanmoins, ça reste une petite série drôle et sans prétention, avec des personnages amusants et/ou sympathiques, qui se lit avec plaisir. Du fait que Pipit et ses copains sont des oiseaux et vivent, parallèlement à leur vie de collégiens, des vies d'oiseaux (avec prédateurs, migration, etc.), ces deux tomes offrent quand même un minimum d'originalité par rapport aux autres productions similaires de l'auteur, le héros étant amené à vivre des aventures qui le sortent un peu du cadre école/maison/boum : il se perd lors d'une migration en Afrique, fait face à des araignées géantes, lutte contre des serpents... Au final, c'est quand même plutôt une série destinée aux pré-ados/jeunes ados (disons 10-14 ans), une façon rigolote et pas cucul d'aborder les problèmes qu'ils rencontreront eux-mêmes dans leur vraie vie. Pour les adultes en revanche, il est clair que si vous n'êtes pas un inconditionnel de Sattouf, l'achat ne s'impose pas forcément, mais c'est quand même une lecture agréable.
Mundial - France/Allemagne '82
Ah tiens, j'ai bien aimé ce sympathique petit album, premier de la série. Il retrace, au travers d'une rencontre de quartier comme beaucoup d'entre nous ont pu en faire, la fameuse rencontre de 1982. Je suis trop jeune pour me souvenir du match, mais il a marqué pas mal de mémoires. Et les auteurs, à leur manière, rendent hommage à ce grand moment de sport, en nous montrant l'essence du foot, dans ce qu'il a de plus convivial, de plus simple, de plus basique. Le dessin de Percelay est sympathique, sans fioritures, et il plaira à tous les amateurs de ballon rond (mais aussi aux autres)
Seuls
Un "club des 5" mixte (trois garçons, deux filles, de couleurs de peau et d'âges différents), un grand mystère (tous les habitants de la ville disparaissent du jour au lendemain): les ingrédients sont réunis pour faire quelque chose qui accrochera les jeunes lecteurs en quête d'aventures, de frissons, d'émotions et de reconnaissance sociale. J'aurais sans doute adoré découvrir cet album dans ma jeunesse, mais il ne fait malheureusement pas partie de ceux dont la lecture procure autant de plaisir aux grands qu'aux petits.
Yakari
C'est vrai que c'est mignon tout plein Yakari ! J'aime bien son coté un peu écolo et gentillet. Je sais pas vous mais, quand j'étais gamin je rêvais de pouvoir parler aux animaux. C'est un peu moralisateur mais bon, on ne va pas mettre un Torpedo dans les mains de nos enfants tout de même. Le dessin est très agréable, pas formidable non plus, mais il convient bien au propos. C'est donc une sympathique série jeunesse à offrir à vos enfants, et à lire si vous avez le temps.