PFFOUUUUUUUU!
Encore une célébrité qui ne s'explique que par le fait qu'à l'époque où ça a été créé, ce genre de machin était peut-être vachement bien mais en 2003...
Le dessin est propret à tel point que ça en devient écoeurant (comme "Tintin", mais en moins pire).
L'histoire, elle, est sans intérêt et assez répétitive en fait.
Passons à côté, on manquera pas grand chose.
J ai decouvert ca dans Pavillon Rouge et je me suis bien bidonne.
Un peu comme Mister O en fait.
Le dessin gribouilla est tout a fait adapte au recit et lui confere a lui seul 30% du cote humoristique: un dessin vraiment fendart.
Tres divertissant.
MMOOUUAAIISS on s en lasse vite quand meme, alors ca se laisse lire, les persos sont sympas mais rien de speciale.
Si ce n est qu un habitue du jeu video se retrouveras assez fidelement dans certaines situation ( je confirme ).
Un jouli dessin mais sans plus.
Vraiment très moyen ce truc.
Le Petit Spirou version Lanfeust de Troy ? L'idée avait tout pour me plaire ... et pourtant, seuls quelques gags m'ont fait rire (ouais bon je ris pas facilement avec une BD !).
Les dessins par contre sont de bonne facture, les personnages ont des gueules sympas ...
Le genre de gags qui devraient rester dans les pages d'un magazine ...
Lu dans Lanfeust Mag, ce petit album de 30 pages ne m'a pas passioné ...
L'histoire est bateau, mais pour un enfant c'est sans doute un bon achat ...
Quand aux dessins c'est fort joli, ca me fait penser à Cyrill et les ombres du bois cendré (qui n'est pas une référence non plus :)), et les couleurs sont très belles aussi.
Bref, moi je veux pas voir la suite ...
Bon c est vrai que ca peut etre drole quand ca veut mais ca manque d interet.
Le dessin est moche et les persos ennervants au possibles.
Le jouli heros muscle et charmeur, la potiche de service...et tutti quanti.
Du plus que bof.
Si je ne devais noter que les trois premiers albums, je mettrais sûrement trois étoiles pour le côté délicieusement rétro et nostalgique. Mais la reprise de Rodolphe et Jytéry est tellement faible scénaristiquement que je ne vois pas d'autre solution.
Car c'est bien le scénario qui pêche dans ces deux derniers tomes. Rodolphe est pourtant quelqu'un parfois assez brillant (L'Autre Monde, Mary la Noire, Gothic) mais là, il n'a pas su aborder le côté seventies de l'ambiance et ses intrigues sont d'un ennui profond. Je ne dirais pas que Van Hamme a pondu trois chef d'oeuvre au début mais l'intérêt était un peu plus soutenu. Il faut dire que le côté naïf et humour de ces histoires a priori sérieuses ne rend pas la tâche facile : il y a un point d'équilibre à trouver et celui-ci est assez instable.
Niveau dessin, je trouve que Jytery assure vraiment bien, c'est presque plus beau que Dany avec un style très proche. Il faut dire qu'on parle du Dany d'il y a 25 ans aussi : un dessin semi-réaliste, des couleurs un peu acidulées mais plutôt agréables et des cadrages parfois assez extraordinaires. Il y a au début du premier tome un survol de Manhattan en hélico qui vaut vraiment le détour : cette scène est à mon avis une des plus grande réussites de Dany depuis ses débuts.
A mon tour de donner mon avis sur une des "révélations" de l'année dernière.
Contrairement à beaucoup, le dessin ne me gêne pas des masses. C'est vrai que le trait est un peu anguleux, mais le cadrage est assez dynamique et intéressant avec des couleurs convenables. Non, là où j'ai été nettement moins convaincu, c'est par le récit. Pourtant l'idée de départ, être capable de réguler le rythme de son métabolisme afin de contrôler le temps qui s'écoule, est originale et pourrait donner quelque chose de vraiment bien. Oui mais le premier opus est un flash back extrêmement condensé du passé de Yann depuis qu’il a conscience de son pouvoir. En fait, trop de choses sont abordées sans être approfondies et c'est ce côté superficiel qui m'a empêché de rentrer pleinement dans cet album. Je pense que développer cette histoire sur 2 tomes aurait été préférable afin de donner du corps au récit. La fin de l’opus 0 n'a absolument rien de surprenant, ce n'est qu'une suite logique du "phénomène".
Après un tome d’introduction en voix off un peu lourd, on se dit logiquement qu’on va rentrer dans le vif du sujet avec Futur antérieur. Détrompez-vous, on est reparti avec une petite voix off qui accompagne un récit des plus grotesques. En effet, il tourne à la pantalonnade : Yann recommence les erreurs commises dans son adolescence (pas très futé le gars) et devient, en l’espace de deux pages, un mélange de justicier des pauvres et de Largo Winch puissance 10. C’est tellement gros que le récit perd non seulement toute crédibilité mais également tout intérêt. En un mot : décevant !
De trop grandes ressemblances avec "le seigneur des anneaux", Istin devrait, à mon avis, se cantonner aux dessins qui lui réussissent mieux.
En revanche les dessins sont nickels, hormis une double-page de guerre qui fait trop penser à celles que l'on peut voir dans "les chroniques de la lune noire".
Bref aucune innovation dans cet album :( : à feuilleter pour les dessins et uniquement pour ça.
Le dessin énergique et les couleurs pastelles ont attiré mon regard vers cette bd qui puise dans le mythe des lutins, elfes, farfadets et autres génies des bois. L'histoire en elle-même est assez convenue et plutôt ennuyeuse à suivre. Un petit groupe de lutins (formé par Amilamie, Basajaun, les Marmousets et Akerbeltz) part à la recherche d'une source miraculeuse, guidé en chemin par Azti, le mage, et conseillé par Mari, la divinité. En cours de route, ils feront la rencontre d'humains mais cela reste anecdotique. Le rôle du méchant de service, puisqu'il en faut toujours un, est tenu par Sorgin la Sorcière. Grosso modo (tiens, un modo :)) ils vont de source en source jusqu'a en trouver une qui n'est pas tarie. Il est aussi question d'envoûtement, d'amulette et tout le toutim. Cela dure pendant 40 pages très peu exaltantes (comme signalé plus haut). Le final, classique et peu original, se voit confronter la méchante sorcière (ouh, la vilaine-euh !) aux lutins des bois... je vous laisse deviner comment l’histoire se termine. ;)
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Boule & Bill
PFFOUUUUUUUU! Encore une célébrité qui ne s'explique que par le fait qu'à l'époque où ça a été créé, ce genre de machin était peut-être vachement bien mais en 2003... Le dessin est propret à tel point que ça en devient écoeurant (comme "Tintin", mais en moins pire). L'histoire, elle, est sans intérêt et assez répétitive en fait. Passons à côté, on manquera pas grand chose.
Kaput & Zösky
J ai decouvert ca dans Pavillon Rouge et je me suis bien bidonne. Un peu comme Mister O en fait. Le dessin gribouilla est tout a fait adapte au recit et lui confere a lui seul 30% du cote humoristique: un dessin vraiment fendart. Tres divertissant.
Kid Paddle
MMOOUUAAIISS on s en lasse vite quand meme, alors ca se laisse lire, les persos sont sympas mais rien de speciale. Si ce n est qu un habitue du jeu video se retrouveras assez fidelement dans certaines situation ( je confirme ). Un jouli dessin mais sans plus.
Gnomes de Troy
Vraiment très moyen ce truc. Le Petit Spirou version Lanfeust de Troy ? L'idée avait tout pour me plaire ... et pourtant, seuls quelques gags m'ont fait rire (ouais bon je ris pas facilement avec une BD !). Les dessins par contre sont de bonne facture, les personnages ont des gueules sympas ... Le genre de gags qui devraient rester dans les pages d'un magazine ...
Les Aventures d'Irial
Lu dans Lanfeust Mag, ce petit album de 30 pages ne m'a pas passioné ... L'histoire est bateau, mais pour un enfant c'est sans doute un bon achat ... Quand aux dessins c'est fort joli, ca me fait penser à Cyrill et les ombres du bois cendré (qui n'est pas une référence non plus :)), et les couleurs sont très belles aussi. Bref, moi je veux pas voir la suite ...
City Hunter
Bon c est vrai que ca peut etre drole quand ca veut mais ca manque d interet. Le dessin est moche et les persos ennervants au possibles. Le jouli heros muscle et charmeur, la potiche de service...et tutti quanti. Du plus que bof.
Arlequin
Si je ne devais noter que les trois premiers albums, je mettrais sûrement trois étoiles pour le côté délicieusement rétro et nostalgique. Mais la reprise de Rodolphe et Jytéry est tellement faible scénaristiquement que je ne vois pas d'autre solution. Car c'est bien le scénario qui pêche dans ces deux derniers tomes. Rodolphe est pourtant quelqu'un parfois assez brillant (L'Autre Monde, Mary la Noire, Gothic) mais là, il n'a pas su aborder le côté seventies de l'ambiance et ses intrigues sont d'un ennui profond. Je ne dirais pas que Van Hamme a pondu trois chef d'oeuvre au début mais l'intérêt était un peu plus soutenu. Il faut dire que le côté naïf et humour de ces histoires a priori sérieuses ne rend pas la tâche facile : il y a un point d'équilibre à trouver et celui-ci est assez instable. Niveau dessin, je trouve que Jytery assure vraiment bien, c'est presque plus beau que Dany avec un style très proche. Il faut dire qu'on parle du Dany d'il y a 25 ans aussi : un dessin semi-réaliste, des couleurs un peu acidulées mais plutôt agréables et des cadrages parfois assez extraordinaires. Il y a au début du premier tome un survol de Manhattan en hélico qui vaut vraiment le détour : cette scène est à mon avis une des plus grande réussites de Dany depuis ses débuts.
Phenomenum
A mon tour de donner mon avis sur une des "révélations" de l'année dernière. Contrairement à beaucoup, le dessin ne me gêne pas des masses. C'est vrai que le trait est un peu anguleux, mais le cadrage est assez dynamique et intéressant avec des couleurs convenables. Non, là où j'ai été nettement moins convaincu, c'est par le récit. Pourtant l'idée de départ, être capable de réguler le rythme de son métabolisme afin de contrôler le temps qui s'écoule, est originale et pourrait donner quelque chose de vraiment bien. Oui mais le premier opus est un flash back extrêmement condensé du passé de Yann depuis qu’il a conscience de son pouvoir. En fait, trop de choses sont abordées sans être approfondies et c'est ce côté superficiel qui m'a empêché de rentrer pleinement dans cet album. Je pense que développer cette histoire sur 2 tomes aurait été préférable afin de donner du corps au récit. La fin de l’opus 0 n'a absolument rien de surprenant, ce n'est qu'une suite logique du "phénomène". Après un tome d’introduction en voix off un peu lourd, on se dit logiquement qu’on va rentrer dans le vif du sujet avec Futur antérieur. Détrompez-vous, on est reparti avec une petite voix off qui accompagne un récit des plus grotesques. En effet, il tourne à la pantalonnade : Yann recommence les erreurs commises dans son adolescence (pas très futé le gars) et devient, en l’espace de deux pages, un mélange de justicier des pauvres et de Largo Winch puissance 10. C’est tellement gros que le récit perd non seulement toute crédibilité mais également tout intérêt. En un mot : décevant !
Le Seigneur d'Ombre
De trop grandes ressemblances avec "le seigneur des anneaux", Istin devrait, à mon avis, se cantonner aux dessins qui lui réussissent mieux. En revanche les dessins sont nickels, hormis une double-page de guerre qui fait trop penser à celles que l'on peut voir dans "les chroniques de la lune noire". Bref aucune innovation dans cet album :( : à feuilleter pour les dessins et uniquement pour ça.
Les Chasse Fourrés
Le dessin énergique et les couleurs pastelles ont attiré mon regard vers cette bd qui puise dans le mythe des lutins, elfes, farfadets et autres génies des bois. L'histoire en elle-même est assez convenue et plutôt ennuyeuse à suivre. Un petit groupe de lutins (formé par Amilamie, Basajaun, les Marmousets et Akerbeltz) part à la recherche d'une source miraculeuse, guidé en chemin par Azti, le mage, et conseillé par Mari, la divinité. En cours de route, ils feront la rencontre d'humains mais cela reste anecdotique. Le rôle du méchant de service, puisqu'il en faut toujours un, est tenu par Sorgin la Sorcière. Grosso modo (tiens, un modo :)) ils vont de source en source jusqu'a en trouver une qui n'est pas tarie. Il est aussi question d'envoûtement, d'amulette et tout le toutim. Cela dure pendant 40 pages très peu exaltantes (comme signalé plus haut). Le final, classique et peu original, se voit confronter la méchante sorcière (ouh, la vilaine-euh !) aux lutins des bois... je vous laisse deviner comment l’histoire se termine. ;)