Franchement, je n'ai pas retrouvé l'humour et la finesse des premiers tomes de "Bone". L'histoire ne m'a pas intéressé, pas plus que le personnage de Big Johnson Bone.
Bref, médiocre comparé à la série originale.
Il y a des auteurs qui ne savent pas s'arrêter, dans le cas de DBZ ça se vendait trop bien, le mangaka à continué de surfer sur la vague du succès commercial, dût son "oeuvre" en pâtir.
Alors, épisodiquement, un gros méchant débarque d'outre espace, Cell, Freezer ou la Courgette Mutante qui est dix fois plus fort que le vilain précedent et on recomence...
On recommence quoi ?
Mais les combats, trentes pages de combats ponctués d'onomatopé et de cris bestiaux avec une lisibilité quasiment nulle :
"Paf... tac... bam... ghou... enfoiré... zip... blam... sâap (authentique onomatopée)... rhaaaaaaa... salaud !"
Quelle poésie.
Et puis on se pose... on sort une conversation neuneu avec l'adversaire style :
- "Ahahah ma puissance dépasse la tienne pauv'naze" et on reprend de plus belle :
"Paf... tac... bam... zip... enfoiré...", etc.
Et le lecteur regrette le bon temps ou le petit Sangoku était enfant... où l'humour caca-pipi avait le mérite de pas se prendre au sérieux... mais la non... même si le caca-pipi reste, 42 tomes ça fait trop.
On atteint des surenchères de puissance, on dégomme un système solaire d'un coup :
- Ah ben merde... la planète là, je l'avais pas vue. Pardon aux familles tout ça.
Et puis, on ressucite les personnages, on formule le souhait au lézard sacré que la Terre soit remise de son cataclysme, on répare les dégats pour pouvoir tout bousiller encore une fois... mais moi je dis :
- Arrêtez, tant qu'a faire, laissez comme c'est, si c'est pour recommencer quand le Vilain du mal obscur du côté noir va débarquer de la planète Bleurk pour épancher son sadisme sur les abrutis de terriens que nous sommes.
Et tout ça pour gagner le titre du plus fort de l'univers, thème réccurent... (je baille).
Un pillier du Manga hein ? Avec des fondations pareilles, je ne m'étonne pas de voir ce qu'est le Manga aujourd'hui (1).
DBZ n'est pas mort et d'autres idiots lobotomisés perpétuent le combat pour gagner le titre du plus fort.
Nous n'avons pas fini de voir débouler des zozos à la télé ou dans les mangas s'étriper à tour de bras... à propos... "Samourai Deeper Kyo", ça vous dit quelque chose ???
(1) N. d. modérateur :le lecteur intéressé trouvera de nombreux contre-exemples à cette affirmation basée sur l'ignorance du genre dans le thème "Le manga adulte".
Une série d'héroïc fantasy qui n'arrive pas à décoller. Les personnages sont ternes à mon goût, les scénarii un peu réchauffés, notamment les sauts dans le multivers, l'humour est un peu poussif. Pour couronner le tout, les albums sont plutôt chers. Seulement pour les inconditionnels du genre.
C'est pas inintéressant, mais bon, ça ressemble à une bonne série américaine dans la construction. Le héros semble traverser une aventure faite pour tenir dans un volume. Un fil conducteur relie les différents tomes. Mais on n'arrive pas à se passionner vraiment pour l'intrigue ou les personnages.
A lire à la bibliothèque
Album sans aucune prétention, le ton général y est quelque peu mélancolique et très frais. Divers petits souvenirs de l'auteur racontés partiellement et un peu pêle-mêle...
Alors bon, c'est assez plaisant à lire, mais pour ma part je n'y ai pas trouvé un grand intérêt et je ne le relirai pas.
Alors là j'ai été déçu. :(
Déjà au début l'absurde est là, avec ce psychiatre qui porte un stylo plus grand que lui et un entonnoir sur la tête... et ça ne sert à rien, c'est juste là pour faire joli, ça fait un peut parler les personnages, mais c'est tout.
Ensuite c'est long, ça traîne. Les dialogues sont (lourdement) emberlificotés sans qu'ils m'aient fait sourire ne serait-ce qu'une fois. L'humour est malheureusement soit trop absurde à mon goût, soit expliqué : dans "Et moi je vais derechef et de ce pas me laver les mains (à propos de Ponce Pilate...)", par exemple, on se serait avantageusement passé de la parenthèse. :(
Et ça continue avec les friteuses de Tchernobyl (très bon goût ça, et très subtil...), les allusions à l'intégration, à la différence, etc.
Bref, un album qui visiblement m'est passé complètement au-dessus de la tête et que je trouve donc mauvais et totalement inintéressant.
J'ai lu cette BD alors que je devais être trop jeune, il faut croire. J'en ai gardé une impression de malaise, de violence exagérée et inutile. C'est noir, c'est brutal, les êtres humains n'ont aucune valeur dans cette BD. Alors ça se veut peut-être réaliste, mais je trouve que ce n'était pas fantastique de mettre ça en BD, d'autant que le scénario ne m'a franchement pas intéressé.
Cette série me laisse une impression mitigée.
La plupart des histoires ne sont pas trop mal, et je me souviens en avoir lu la majorité avec un certain intérêt. Mais presque à chaque fois, à la fin de chaque tome, la résolution de l'enquête, laisse pour moi à désirer.
Tout du long, on sent l'incohérence : des gens disparaissent comme ça, se retrouvent prisonniers sans raison et sans réagir... On sent en permanence la facilité scénaristique, les Deus Ex Machina. Pour augmenter le suspens, pour augmenter le mystère, on prend des raccourcis, on interdit aux personnages d'approfondir un sujet qui devrait pourtant s'expliquer facilement s'ils prenaient la peine de bien regarder.
Ric Hochet, c'est pour moi un série où le mystère est artificiel, où j'enrage de voir les personnages se laisser bercer par les événements jusqu'à la fin où paf, ils découvrent enfin le pot aux roses.
En outre, en parlant des personnages, ils sont d'un naïf et d'un classique, c'en est énervant.
Bref, une série d'un autre âge qui n'a pas su évoluer à mes yeux.
Bof... Je trouve l'humour répétitif et pas vraiment drôle. C'est un peu le style gag de la tarte à la crême, l'humour franco-belge gros nez sans finesse. Bref, même si j'apprécie assez le dessin et les personnages, je ne considère pas cette série comme vraiment bonne et drôle.
-"Un masque. Un grand masque lui cachant le visage, Marlysa part à la recherche du mystère de ses origines et va libérer son monde du grand méchant noir du coté de la force obscure bien sombre" Tintintin: générique du film.
Bon, en fait c'est une histoire d'héroic-fantasy ( et encore une autre ) avec une héroïne qui va libérer le monde.
Ses compagnons: un ami d'enfance qui l'aime, une amie d'enfance qui aime un autre ami d'enfance, un ami d'enfance qui aime son amie d'enfance...et une créature rigolote qui joue " l'éthnie différente qui sert juste à distribuer les baffes".
Et ce dessin...BEURK...le trait est super fin et les couleurs...pfoou. Le supplice graphique dans toute sa splendeur.
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Bone - Big Johnson Bone
Franchement, je n'ai pas retrouvé l'humour et la finesse des premiers tomes de "Bone". L'histoire ne m'a pas intéressé, pas plus que le personnage de Big Johnson Bone. Bref, médiocre comparé à la série originale.
Dragon Ball
Il y a des auteurs qui ne savent pas s'arrêter, dans le cas de DBZ ça se vendait trop bien, le mangaka à continué de surfer sur la vague du succès commercial, dût son "oeuvre" en pâtir. Alors, épisodiquement, un gros méchant débarque d'outre espace, Cell, Freezer ou la Courgette Mutante qui est dix fois plus fort que le vilain précedent et on recomence... On recommence quoi ? Mais les combats, trentes pages de combats ponctués d'onomatopé et de cris bestiaux avec une lisibilité quasiment nulle : "Paf... tac... bam... ghou... enfoiré... zip... blam... sâap (authentique onomatopée)... rhaaaaaaa... salaud !" Quelle poésie. Et puis on se pose... on sort une conversation neuneu avec l'adversaire style : - "Ahahah ma puissance dépasse la tienne pauv'naze" et on reprend de plus belle : "Paf... tac... bam... zip... enfoiré...", etc. Et le lecteur regrette le bon temps ou le petit Sangoku était enfant... où l'humour caca-pipi avait le mérite de pas se prendre au sérieux... mais la non... même si le caca-pipi reste, 42 tomes ça fait trop. On atteint des surenchères de puissance, on dégomme un système solaire d'un coup : - Ah ben merde... la planète là, je l'avais pas vue. Pardon aux familles tout ça. Et puis, on ressucite les personnages, on formule le souhait au lézard sacré que la Terre soit remise de son cataclysme, on répare les dégats pour pouvoir tout bousiller encore une fois... mais moi je dis : - Arrêtez, tant qu'a faire, laissez comme c'est, si c'est pour recommencer quand le Vilain du mal obscur du côté noir va débarquer de la planète Bleurk pour épancher son sadisme sur les abrutis de terriens que nous sommes. Et tout ça pour gagner le titre du plus fort de l'univers, thème réccurent... (je baille). Un pillier du Manga hein ? Avec des fondations pareilles, je ne m'étonne pas de voir ce qu'est le Manga aujourd'hui (1). DBZ n'est pas mort et d'autres idiots lobotomisés perpétuent le combat pour gagner le titre du plus fort. Nous n'avons pas fini de voir débouler des zozos à la télé ou dans les mangas s'étriper à tour de bras... à propos... "Samourai Deeper Kyo", ça vous dit quelque chose ??? (1) N. d. modérateur : le lecteur intéressé trouvera de nombreux contre-exemples à cette affirmation basée sur l'ignorance du genre dans le thème "Le manga adulte".
Les Ailes du Phaéton
Une série d'héroïc fantasy qui n'arrive pas à décoller. Les personnages sont ternes à mon goût, les scénarii un peu réchauffés, notamment les sauts dans le multivers, l'humour est un peu poussif. Pour couronner le tout, les albums sont plutôt chers. Seulement pour les inconditionnels du genre.
Alvin Norge
C'est pas inintéressant, mais bon, ça ressemble à une bonne série américaine dans la construction. Le héros semble traverser une aventure faite pour tenir dans un volume. Un fil conducteur relie les différents tomes. Mais on n'arrive pas à se passionner vraiment pour l'intrigue ou les personnages. A lire à la bibliothèque
Sentiers Battus
Album sans aucune prétention, le ton général y est quelque peu mélancolique et très frais. Divers petits souvenirs de l'auteur racontés partiellement et un peu pêle-mêle... Alors bon, c'est assez plaisant à lire, mais pour ma part je n'y ai pas trouvé un grand intérêt et je ne le relirai pas.
L'Histoire du Corbac aux Baskets
Alors là j'ai été déçu. :( Déjà au début l'absurde est là, avec ce psychiatre qui porte un stylo plus grand que lui et un entonnoir sur la tête... et ça ne sert à rien, c'est juste là pour faire joli, ça fait un peut parler les personnages, mais c'est tout. Ensuite c'est long, ça traîne. Les dialogues sont (lourdement) emberlificotés sans qu'ils m'aient fait sourire ne serait-ce qu'une fois. L'humour est malheureusement soit trop absurde à mon goût, soit expliqué : dans "Et moi je vais derechef et de ce pas me laver les mains (à propos de Ponce Pilate...)", par exemple, on se serait avantageusement passé de la parenthèse. :( Et ça continue avec les friteuses de Tchernobyl (très bon goût ça, et très subtil...), les allusions à l'intégration, à la différence, etc. Bref, un album qui visiblement m'est passé complètement au-dessus de la tête et que je trouve donc mauvais et totalement inintéressant.
Le Rêve du requin
J'ai lu cette BD alors que je devais être trop jeune, il faut croire. J'en ai gardé une impression de malaise, de violence exagérée et inutile. C'est noir, c'est brutal, les êtres humains n'ont aucune valeur dans cette BD. Alors ça se veut peut-être réaliste, mais je trouve que ce n'était pas fantastique de mettre ça en BD, d'autant que le scénario ne m'a franchement pas intéressé.
Ric Hochet
Cette série me laisse une impression mitigée. La plupart des histoires ne sont pas trop mal, et je me souviens en avoir lu la majorité avec un certain intérêt. Mais presque à chaque fois, à la fin de chaque tome, la résolution de l'enquête, laisse pour moi à désirer. Tout du long, on sent l'incohérence : des gens disparaissent comme ça, se retrouvent prisonniers sans raison et sans réagir... On sent en permanence la facilité scénaristique, les Deus Ex Machina. Pour augmenter le suspens, pour augmenter le mystère, on prend des raccourcis, on interdit aux personnages d'approfondir un sujet qui devrait pourtant s'expliquer facilement s'ils prenaient la peine de bien regarder. Ric Hochet, c'est pour moi un série où le mystère est artificiel, où j'enrage de voir les personnages se laisser bercer par les événements jusqu'à la fin où paf, ils découvrent enfin le pot aux roses. En outre, en parlant des personnages, ils sont d'un naïf et d'un classique, c'en est énervant. Bref, une série d'un autre âge qui n'a pas su évoluer à mes yeux.
Robin Dubois
Bof... Je trouve l'humour répétitif et pas vraiment drôle. C'est un peu le style gag de la tarte à la crême, l'humour franco-belge gros nez sans finesse. Bref, même si j'apprécie assez le dessin et les personnages, je ne considère pas cette série comme vraiment bonne et drôle.
Marlysa
-"Un masque. Un grand masque lui cachant le visage, Marlysa part à la recherche du mystère de ses origines et va libérer son monde du grand méchant noir du coté de la force obscure bien sombre" Tintintin: générique du film. Bon, en fait c'est une histoire d'héroic-fantasy ( et encore une autre ) avec une héroïne qui va libérer le monde. Ses compagnons: un ami d'enfance qui l'aime, une amie d'enfance qui aime un autre ami d'enfance, un ami d'enfance qui aime son amie d'enfance...et une créature rigolote qui joue " l'éthnie différente qui sert juste à distribuer les baffes". Et ce dessin...BEURK...le trait est super fin et les couleurs...pfoou. Le supplice graphique dans toute sa splendeur.