Mouais... L'histoire a quelques côtés intéressants, quelques bonnes idées, et des traits d'humour dont on pensera ce qu'on veut. Mais ça m'a bien fait marrer le coup des méchants qui sont tous descendants de nazis du IIIème Reich. Je précise que l'action se passe plus d'un siècle plus tard. Sans compter que leur chef s'appelle je sais plus comment mais quelque chose ressemblant étrangement à Adolf Hitler. On dirait que Cailleteau a l'art de ce genre de "clins d'oeil" que pour ma part je trouve scabreux (cf. David Gamesh dans "Aquablue").
Pour le reste, c'est de l'aventure à la Lanfeust si je puis dire, avec de la magie, un héros brave, et tiens il y même des trolls.
Côté dessins, c'est plutôt réussi si on ne fait pas trop attention aux couleurs informatiques pas du meilleur effet ici.
Je garde un assez bon souvenir (vague néanmoins) de cette BD, même si elle ne m'a vraiment pas marqué. C'est typiquement le genre de BD qu'on emprunte en bibliothèque mais qu'on n'achète pas pour soi.
Les dessins ne m'ont pas choqué, même si j'admets qu'ils ne sont pas transcendants.
Quant au scénario, le thème habituel de la méchante oligarchie qui règne sur les pauvres malheureux et en plus les utilise comme cobayes pour des expériences scientifiques, ce n'est pas la première fois qu'on voit ça, et ce n'est pas la première fois qu'une gentille fille dégourdie va tenter de sauver un enfant des griffes de savants fous... et lubriques. Oui, car il y a une part de sadisme sexuel et de lubricité dans les actes des "méchants". Rien de vraiment dérangeant, et c'est même ça qui me fait me souvenir de cette BD alors que tout le reste est d'un banal total.
Néanmoins, j'ai lu bien mieux sur des thèmes proches et je ne vous le conseille que pour une lecture rapide.
Ca commence sur une bonne base : une planète recouverte d'une unique et gigantesque ville, et une guilde de cartographes découvrant les quartiers tous différents pour en tracer les cartes indispensables à la connaissance de la planète.
Mais alors que les premiers tomes, déjà moyens, laissaient envisager une intrigue grandissante avec un complot, des voyages, etc., le tout s'enfonce peu à peu dans le médiocre et l'inintéressant. Le dessin lui-même évolue pour prendre le style gros nez francobelge. Et les histoires s'embrouillent, deviennent parfois même loufoques... Bref, le scénario n'est pas à la hauteur, et il est normal que le dessin n'ait pas vraiment suivi non plus.
Dommage, ça partait sur une bonne idée.
C'est pas trop mal, mais bon, je n'apprécie pas trop ceux qui changent les noms réels tout en reprenant en fait la même chose... Les Homériques à la place des Amériques... Ca a le don de m'énerver... Mais une fois qu'on fait abstraction de cela, c'est une bd d'aventures correcte. Le scénario est honnête, le dessin idem, pas grand chose à dire. A prendre dans sa bibli municipale et à lire comme ça, un jour où on a du temps.
Le dessin de Bourgeon est très beau (comme toujours)...
L'idée de départ plutôt encourageante...
Mais au final, que c'est pénible à lire !
Cette série est lente, confuse... J'ai dû me forcer pour venir à bout de ces deux tomes, et je suis sûre que j'ai décroché assez souvent pour passer à côté d'un tas de choses. Je ne sais pas si mon ennui est dû à la narration poussive, à la mise en page académique ou à l'avalanche de texte dispensable en bande dessinée mais, au final, à part 2-3 belles scènes, je ne vois pas vraiment l'intérêt de cette bd.
Pas grand chose à dire de cette bd, ça fait rarement rire et on peut pas se rattraper avec le dessin. A part le roi des raviolis, on peut passer... Je mets pas 1/5 car j'ai réussi à finir sans m'énerver.
Cet album apparaît très sympathique de par son dessin, qui survolé, rappelle par certains aspects les Shadocks. Et puis la couverture est très belle, et l'idée intéressante : une bestiole bizarroïde qui en rencontre une autre, qui font des enfants, qui se reproduisent à leur tour et ainsi de suite, j'avoue que cette idée me paraissait très oubapienne.
Lecture commencée, je me suis demandé où était l'"humour"... et puis un peu après s'il allait y avoir une gradation, une évolution, un fil directeur plus consistant qu'un simple enchaînement de générations, s'il fallait chercher un rapport entre les formes des parents et des enfants... et encore plus tard, si finalement l'intérêt de cet album n'était pas purement (et uniquement) graphique...
De fait, c'est plat. Très plat. Que même la Belgique à côté est un riant paysage de montagnes pas encore érodées... Les générations s'enchaînent, juste comme ça, et le fil directeur, déjà mince, est parfois vraiment très ténu. Au bout de 20 pages on en a marre, mais ça continue dans la même veine, inexorablement pendant 90 planches, sans rien de nouveau.
Et le dessin qui paraît sympa, j'y suis devenu presque allergique. Il me rappelle littéralement les cliparts qu'on peut trouver ça et là pour Word, des dessins sans aucun relief, plats, froids... techniques.
Bref, je ne vois aucun intérêt à cet album, et je regrette lourdement son prix : 16 euros, argl... :(
Depuis ma jeunesse, j'ai de nombreuses BDs des Gorilles dans ma bibliothèque. Mais je dois avouer ne jamais les avoir lues avec plaisir. Tout au plus pour passer le temps.
Les scénarios sont quasiment toujours identiques : nos deux compères se retrouvent dans une situation rocambolesque, ça tire à la mitrailleuse à droite à gauche, ça se bastonne, et ça finit presque immanquablement avec tout le monde à l'hôpital psychiatrique ou sous un pont avec les clochards.
Bref, de la BD à la chaine, répétitive, même pas drôle et sans saveur.
Quelques épisodes néanmoins sont assez agréables, mais noyés dans la masse, ça ne rattrape pas grand chose.
Pour la première fois, je n'ai pas aimé un bouquin de Cosey. Pire, je n'ai pas été touché, je suis resté hermétique, alors que son style et sa pudeur me touchent à chaque fois.
Au niveau formel, Cosey reste le même mais passe en histoires courtes. Et c'est là où je n'accroche pas. Il n'arrive jamais à poser l'histoire, à nous faire rentrer dans l'ambiance. Ce que j'aime chez cet auteur c'est la langueur dont il entoure ses intrigues ("Orchidea" est un magnifique exemple). Rien de cela ici, il va droit au but et ne fait qu'esquisser ses personnages, leurs attentes, leurs désirs, leurs peurs. Une déception, indéniablement, tant le talent de Cosey est grand.
Le titre est de plus anti commercial au possible, c'est courageux. :)
Bof...
Déjà qu'il n'y a pas de dessin du tout dans cette BD où toutes les cases sont noires, si ensuite le texte prête plus à la curiosité et au mince sourire, cela ne vaut pas franchement la peine de payer pour lire ça. C'est typiquement le genre de bd qu'on offre quand on ne sait pas quoi offrir d'autre parce que ça colle avec la curiosité de tout le monde, que chacun peut y retrouver un petit bout de vécu. Mais à part ça, c'est plutôt sans intérêt.
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Anachron
Mouais... L'histoire a quelques côtés intéressants, quelques bonnes idées, et des traits d'humour dont on pensera ce qu'on veut. Mais ça m'a bien fait marrer le coup des méchants qui sont tous descendants de nazis du IIIème Reich. Je précise que l'action se passe plus d'un siècle plus tard. Sans compter que leur chef s'appelle je sais plus comment mais quelque chose ressemblant étrangement à Adolf Hitler. On dirait que Cailleteau a l'art de ce genre de "clins d'oeil" que pour ma part je trouve scabreux (cf. David Gamesh dans "Aquablue"). Pour le reste, c'est de l'aventure à la Lanfeust si je puis dire, avec de la magie, un héros brave, et tiens il y même des trolls. Côté dessins, c'est plutôt réussi si on ne fait pas trop attention aux couleurs informatiques pas du meilleur effet ici.
Les mondes de Luz
Je garde un assez bon souvenir (vague néanmoins) de cette BD, même si elle ne m'a vraiment pas marqué. C'est typiquement le genre de BD qu'on emprunte en bibliothèque mais qu'on n'achète pas pour soi. Les dessins ne m'ont pas choqué, même si j'admets qu'ils ne sont pas transcendants. Quant au scénario, le thème habituel de la méchante oligarchie qui règne sur les pauvres malheureux et en plus les utilise comme cobayes pour des expériences scientifiques, ce n'est pas la première fois qu'on voit ça, et ce n'est pas la première fois qu'une gentille fille dégourdie va tenter de sauver un enfant des griffes de savants fous... et lubriques. Oui, car il y a une part de sadisme sexuel et de lubricité dans les actes des "méchants". Rien de vraiment dérangeant, et c'est même ça qui me fait me souvenir de cette BD alors que tout le reste est d'un banal total. Néanmoins, j'ai lu bien mieux sur des thèmes proches et je ne vous le conseille que pour une lecture rapide.
Les Maîtres Cartographes
Ca commence sur une bonne base : une planète recouverte d'une unique et gigantesque ville, et une guilde de cartographes découvrant les quartiers tous différents pour en tracer les cartes indispensables à la connaissance de la planète. Mais alors que les premiers tomes, déjà moyens, laissaient envisager une intrigue grandissante avec un complot, des voyages, etc., le tout s'enfonce peu à peu dans le médiocre et l'inintéressant. Le dessin lui-même évolue pour prendre le style gros nez francobelge. Et les histoires s'embrouillent, deviennent parfois même loufoques... Bref, le scénario n'est pas à la hauteur, et il est normal que le dessin n'ait pas vraiment suivi non plus. Dommage, ça partait sur une bonne idée.
9 Têtes
C'est pas trop mal, mais bon, je n'apprécie pas trop ceux qui changent les noms réels tout en reprenant en fait la même chose... Les Homériques à la place des Amériques... Ca a le don de m'énerver... Mais une fois qu'on fait abstraction de cela, c'est une bd d'aventures correcte. Le scénario est honnête, le dessin idem, pas grand chose à dire. A prendre dans sa bibli municipale et à lire comme ça, un jour où on a du temps.
Le Cycle de Cyann
Le dessin de Bourgeon est très beau (comme toujours)... L'idée de départ plutôt encourageante... Mais au final, que c'est pénible à lire ! Cette série est lente, confuse... J'ai dû me forcer pour venir à bout de ces deux tomes, et je suis sûre que j'ai décroché assez souvent pour passer à côté d'un tas de choses. Je ne sais pas si mon ennui est dû à la narration poussive, à la mise en page académique ou à l'avalanche de texte dispensable en bande dessinée mais, au final, à part 2-3 belles scènes, je ne vois pas vraiment l'intérêt de cette bd.
Patacrèpe et Couillalère
Pas grand chose à dire de cette bd, ça fait rarement rire et on peut pas se rattraper avec le dessin. A part le roi des raviolis, on peut passer... Je mets pas 1/5 car j'ai réussi à finir sans m'énerver.
L'Arbre génialogique
Cet album apparaît très sympathique de par son dessin, qui survolé, rappelle par certains aspects les Shadocks. Et puis la couverture est très belle, et l'idée intéressante : une bestiole bizarroïde qui en rencontre une autre, qui font des enfants, qui se reproduisent à leur tour et ainsi de suite, j'avoue que cette idée me paraissait très oubapienne. Lecture commencée, je me suis demandé où était l'"humour"... et puis un peu après s'il allait y avoir une gradation, une évolution, un fil directeur plus consistant qu'un simple enchaînement de générations, s'il fallait chercher un rapport entre les formes des parents et des enfants... et encore plus tard, si finalement l'intérêt de cet album n'était pas purement (et uniquement) graphique... De fait, c'est plat. Très plat. Que même la Belgique à côté est un riant paysage de montagnes pas encore érodées... Les générations s'enchaînent, juste comme ça, et le fil directeur, déjà mince, est parfois vraiment très ténu. Au bout de 20 pages on en a marre, mais ça continue dans la même veine, inexorablement pendant 90 planches, sans rien de nouveau. Et le dessin qui paraît sympa, j'y suis devenu presque allergique. Il me rappelle littéralement les cliparts qu'on peut trouver ça et là pour Word, des dessins sans aucun relief, plats, froids... techniques. Bref, je ne vois aucun intérêt à cet album, et je regrette lourdement son prix : 16 euros, argl... :(
Sammy
Depuis ma jeunesse, j'ai de nombreuses BDs des Gorilles dans ma bibliothèque. Mais je dois avouer ne jamais les avoir lues avec plaisir. Tout au plus pour passer le temps. Les scénarios sont quasiment toujours identiques : nos deux compères se retrouvent dans une situation rocambolesque, ça tire à la mitrailleuse à droite à gauche, ça se bastonne, et ça finit presque immanquablement avec tout le monde à l'hôpital psychiatrique ou sous un pont avec les clochards. Bref, de la BD à la chaine, répétitive, même pas drôle et sans saveur. Quelques épisodes néanmoins sont assez agréables, mais noyés dans la masse, ça ne rattrape pas grand chose.
Une maison de Frank L. Wright
Pour la première fois, je n'ai pas aimé un bouquin de Cosey. Pire, je n'ai pas été touché, je suis resté hermétique, alors que son style et sa pudeur me touchent à chaque fois. Au niveau formel, Cosey reste le même mais passe en histoires courtes. Et c'est là où je n'accroche pas. Il n'arrive jamais à poser l'histoire, à nous faire rentrer dans l'ambiance. Ce que j'aime chez cet auteur c'est la langueur dont il entoure ses intrigues ("Orchidea" est un magnifique exemple). Rien de cela ici, il va droit au but et ne fait qu'esquisser ses personnages, leurs attentes, leurs désirs, leurs peurs. Une déception, indéniablement, tant le talent de Cosey est grand. Le titre est de plus anti commercial au possible, c'est courageux. :)
On éteint la lumière... On se dit tout
Bof... Déjà qu'il n'y a pas de dessin du tout dans cette BD où toutes les cases sont noires, si ensuite le texte prête plus à la curiosité et au mince sourire, cela ne vaut pas franchement la peine de payer pour lire ça. C'est typiquement le genre de bd qu'on offre quand on ne sait pas quoi offrir d'autre parce que ça colle avec la curiosité de tout le monde, que chacun peut y retrouver un petit bout de vécu. Mais à part ça, c'est plutôt sans intérêt.