Ce n'est pas un thriller banal, les rebondissements sont nombreux, mais au plus on avance et plus on se pose de questions sur ce héros mystérieux et sur les hommes qui sont à ses trousses.
Je trouve d'ailleurs que le scénario laisse trop de zones d'ombre, et cela nuit à la clarté de l'histoire. Mais elle reste suffisamment prenante pour attendre le tome 3 (à paraître en 2004) qui j'espère apportera les réponses à toutes ces questions...
Les dessins sont pas mal, les couvertures sont superbes (motivation n°1 de mon achat).
Au final, une BD qui doit se juger sur les trois tomes, mais pour l'instant vous risquez d'être decus.
"Déception" serait le mot résumant ma pensée. J'achète les deux tomes, je me réserve un moment calme dans ma soirée. L'impatience me prend. Je commence à lire. Paf ! Les premières pages m'emballent et je me dis que je suis tombé sur une perle de dessin et de scénario. Et puis, tout d'un coup, plus rien. On n'attend la fin d'un délire qui ne s'arrête pas, ni dans le premier volet, ni dans le second ... L'histoire est un peu "molle", les personnages pas très attachants. En revanche, les planches restent pas mal mais cela ne justifie pas que l'on s'attarde sur la BD.
En résumé, on ne peut pas gagner à tous les coups !
A force d'en bouquiner un chaque fois que je passe dans une FNAC ou une librairie, je commence à avoir une idée assez exhaustive de l'oeuvre de Serre. Si cela apparaît au début assez tordant, si certains tomes sont indéniablement originaux ("Savoir vivre" par exemple, à l'humour très noir), l'ensemble est franchement redondant et supporte mal une deuxième lecture. Efficace donc dans le genre, mais qui peine à se renouveler ou à étonner.
Sur la fiche de la série, il y a marqué : jeunesse, et je comprends pourquoi... Les dessins ne sont pas très bons et les histoires sont cucul la praline au possible ! Néanmoins on peut le lire pour se reposer les neurones après une journée de boulot, ou parce qu'on a trop la flemme d'aller chercher autre chose.
Comme tout le monde, je ne pense pas qu'il s'agit du meilleur album de Cosey. Les décors sont certes assez beaux, les montagnes enneigées superbes mais en revanche les personnages sont beaucoup moins bien, pour eux le trait est plus gras et ils ne se détachent pas vraiment les uns des autres. Le scénario est simple mais utilise de grosses grosses ficelles qui nuisent à l'histoire que ce soit sur la parenté des héroïnes ou la résistance hors norme de la mère. L'histoire est assez banale et on a l'impression de l'avoir déjà vue plusieurs fois à l'écran. On dirait que Cosey ne parvient pas à nous émouvoir, pourtant il essaye avec plein de bonne volonté mais, pour cette fois, le courant ne passe pas.
Même si je risque de passer pour un gros lourdaud, je trouve ce manga atypique mais un peu cucul. C'est une bonne idée de raconter ou plutôt de montrer un homme qui vit en harmonie avec ce qui l'entoure, qui est apaisé et qui jouit des petites choses de la vie mais là ça frise le gnangnan. Ce n'est pas très fin ni subtil, les ficelles sont un peu grosses et le désir d'être poétique est si fort qu'il annihile toute poésie. Taniguchi réussit à nous faire ressentir la douceur de l'herbe... mais c'est amené avec des pattes d'ours. Les dialogues, bien que simplissimes, ne sont pourtant pas crédibles ni vivants. L'invitation à la rêverie est trop insistante pour être acceptée, j'aurais aimé partir avec l'homme qui marche mais je n'ai pas pu, je n'ai pas accroché.
Le dessin est excellent pour les décors : les paysages sont beaux ; mais pour les personnages il est beaucoup plus moyen. L'homme a vraiment une tête de c... et ça m'a un peu bloqué. Les autres sont "normaux" mais sa tête à lui ne passe pas et ça m'a beaucoup dérangé pour le suivre.
Ce manga original, hymne à la Pause, à la contemplation et à la paix de l'âme utilise des ressorts un peu trop gros à mon goût et je n'ai pas réussi à pénétrer dans cette histoire simple. Peut être ne l'ai je pas lu au bon moment et au bon endroit...
Boarf... je ressors de cette lecture un peu agacé !! Chabouté accumule les clichés, les caricatures grasses et tout ça avec une morale tellement navrante et prévisible. Il réussit à nous faire rendre ce fonctionnaire de la Sécu detestable mais bon tout est trop stéréotypé. Ca marche pas trop, et même les gens qu'il rencontre dans ces pérégrinations sont des clichés auxquels il a rajouté une petite touche d'individualité. Seule Joséphine est vraiment poilante... Je trouve ça un peu poussif et ça ne m'a pas du tout convaincu. Les dessins en revanche sont pas mal, ils donnent un petit côté sordide à cette aventure, les paysages de nuit sont bien sombres et opprimants, l'effet est réussi.
Au final c'est un peu trop excessif pour passer et je trouve ça un peu creux, une fable de La Fontaine moderne sans rien de neuf.
Je m'étonne que cette série ne soit pas encore postée, ça doit faire 3 ou 4 mois que j'ai les 3 premiers tomes, et le tome 5 sort en janvier.
Acheté un peu par hasard, Arms se réclame comme le successeur d'Akira - que je n'ai pas encore lu mais je l'ai en rayon. Je ne peux pas encore faire la comparaison avec Akira, mais je considère cette série comme un "vulgaire" shonen. En tout cas, je me demande bien pourquoi Kana l'a rangé dans sa collection Big Kana aux côtés de Agharta et Monster.
Le côté "bras mutant" peut faire penser à Parasite, sauf que là c'est une machine implantée par on ne sait quelle méchante organisation.
Le tome 1 est le plus mauvais des 3 premiers, donc on peut espérer que sur 22 tomes ça s'améliore.
Personnellement, je n'achèterais pas la suite, j'ai d'autres priorités, sauf si on me convainc que la suite est bien meilleure.
Bon c'est pas la bd du siècle, on l'aura compris. Les albums se composent de gags en une page voire 3 cases. C'est genre les femmes en blanc avec les jeux de mots du titre, mais avec des gags en plus bourrin - jetez un oeil à la galerie.
A lire à la rigueur.
Mouais... j'ai lu qu'un peu et de manière décousue les aventures de l'homme en Kit détaché et j'avoue ne pas avoir apprécié du tout.
Une histoire qui aurait pu être pas mal et qui tombe dans la banalité... une succession d'épreuves .... des relation à la mord-moi-l'noeud entre les personnages.
Seul la fin pas trop mal peut ratraper le tout.
Quoique certaines mauvaises langues peuvent dire que ça tombe dans la facilité...
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Poser mon sac
Ce n'est pas un thriller banal, les rebondissements sont nombreux, mais au plus on avance et plus on se pose de questions sur ce héros mystérieux et sur les hommes qui sont à ses trousses. Je trouve d'ailleurs que le scénario laisse trop de zones d'ombre, et cela nuit à la clarté de l'histoire. Mais elle reste suffisamment prenante pour attendre le tome 3 (à paraître en 2004) qui j'espère apportera les réponses à toutes ces questions... Les dessins sont pas mal, les couvertures sont superbes (motivation n°1 de mon achat). Au final, une BD qui doit se juger sur les trois tomes, mais pour l'instant vous risquez d'être decus.
Prophet
"Déception" serait le mot résumant ma pensée. J'achète les deux tomes, je me réserve un moment calme dans ma soirée. L'impatience me prend. Je commence à lire. Paf ! Les premières pages m'emballent et je me dis que je suis tombé sur une perle de dessin et de scénario. Et puis, tout d'un coup, plus rien. On n'attend la fin d'un délire qui ne s'arrête pas, ni dans le premier volet, ni dans le second ... L'histoire est un peu "molle", les personnages pas très attachants. En revanche, les planches restent pas mal mais cela ne justifie pas que l'on s'attarde sur la BD. En résumé, on ne peut pas gagner à tous les coups !
Serre
A force d'en bouquiner un chaque fois que je passe dans une FNAC ou une librairie, je commence à avoir une idée assez exhaustive de l'oeuvre de Serre. Si cela apparaît au début assez tordant, si certains tomes sont indéniablement originaux ("Savoir vivre" par exemple, à l'humour très noir), l'ensemble est franchement redondant et supporte mal une deuxième lecture. Efficace donc dans le genre, mais qui peine à se renouveler ou à étonner.
Le Scrameustache
Sur la fiche de la série, il y a marqué : jeunesse, et je comprends pourquoi... Les dessins ne sont pas très bons et les histoires sont cucul la praline au possible ! Néanmoins on peut le lire pour se reposer les neurones après une journée de boulot, ou parce qu'on a trop la flemme d'aller chercher autre chose.
Joyeux Noël, May !
Comme tout le monde, je ne pense pas qu'il s'agit du meilleur album de Cosey. Les décors sont certes assez beaux, les montagnes enneigées superbes mais en revanche les personnages sont beaucoup moins bien, pour eux le trait est plus gras et ils ne se détachent pas vraiment les uns des autres. Le scénario est simple mais utilise de grosses grosses ficelles qui nuisent à l'histoire que ce soit sur la parenté des héroïnes ou la résistance hors norme de la mère. L'histoire est assez banale et on a l'impression de l'avoir déjà vue plusieurs fois à l'écran. On dirait que Cosey ne parvient pas à nous émouvoir, pourtant il essaye avec plein de bonne volonté mais, pour cette fois, le courant ne passe pas.
L'Homme qui marche
Même si je risque de passer pour un gros lourdaud, je trouve ce manga atypique mais un peu cucul. C'est une bonne idée de raconter ou plutôt de montrer un homme qui vit en harmonie avec ce qui l'entoure, qui est apaisé et qui jouit des petites choses de la vie mais là ça frise le gnangnan. Ce n'est pas très fin ni subtil, les ficelles sont un peu grosses et le désir d'être poétique est si fort qu'il annihile toute poésie. Taniguchi réussit à nous faire ressentir la douceur de l'herbe... mais c'est amené avec des pattes d'ours. Les dialogues, bien que simplissimes, ne sont pourtant pas crédibles ni vivants. L'invitation à la rêverie est trop insistante pour être acceptée, j'aurais aimé partir avec l'homme qui marche mais je n'ai pas pu, je n'ai pas accroché. Le dessin est excellent pour les décors : les paysages sont beaux ; mais pour les personnages il est beaucoup plus moyen. L'homme a vraiment une tête de c... et ça m'a un peu bloqué. Les autres sont "normaux" mais sa tête à lui ne passe pas et ça m'a beaucoup dérangé pour le suivre. Ce manga original, hymne à la Pause, à la contemplation et à la paix de l'âme utilise des ressorts un peu trop gros à mon goût et je n'ai pas réussi à pénétrer dans cette histoire simple. Peut être ne l'ai je pas lu au bon moment et au bon endroit...
Pleine lune
Boarf... je ressors de cette lecture un peu agacé !! Chabouté accumule les clichés, les caricatures grasses et tout ça avec une morale tellement navrante et prévisible. Il réussit à nous faire rendre ce fonctionnaire de la Sécu detestable mais bon tout est trop stéréotypé. Ca marche pas trop, et même les gens qu'il rencontre dans ces pérégrinations sont des clichés auxquels il a rajouté une petite touche d'individualité. Seule Joséphine est vraiment poilante... Je trouve ça un peu poussif et ça ne m'a pas du tout convaincu. Les dessins en revanche sont pas mal, ils donnent un petit côté sordide à cette aventure, les paysages de nuit sont bien sombres et opprimants, l'effet est réussi. Au final c'est un peu trop excessif pour passer et je trouve ça un peu creux, une fable de La Fontaine moderne sans rien de neuf.
Arms
Je m'étonne que cette série ne soit pas encore postée, ça doit faire 3 ou 4 mois que j'ai les 3 premiers tomes, et le tome 5 sort en janvier. Acheté un peu par hasard, Arms se réclame comme le successeur d'Akira - que je n'ai pas encore lu mais je l'ai en rayon. Je ne peux pas encore faire la comparaison avec Akira, mais je considère cette série comme un "vulgaire" shonen. En tout cas, je me demande bien pourquoi Kana l'a rangé dans sa collection Big Kana aux côtés de Agharta et Monster. Le côté "bras mutant" peut faire penser à Parasite, sauf que là c'est une machine implantée par on ne sait quelle méchante organisation. Le tome 1 est le plus mauvais des 3 premiers, donc on peut espérer que sur 22 tomes ça s'améliore. Personnellement, je n'achèterais pas la suite, j'ai d'autres priorités, sauf si on me convainc que la suite est bien meilleure.
Doron le Calvite
Bon c'est pas la bd du siècle, on l'aura compris. Les albums se composent de gags en une page voire 3 cases. C'est genre les femmes en blanc avec les jeux de mots du titre, mais avec des gags en plus bourrin - jetez un oeil à la galerie. A lire à la rigueur.
Alef-Thau
Mouais... j'ai lu qu'un peu et de manière décousue les aventures de l'homme en Kit détaché et j'avoue ne pas avoir apprécié du tout. Une histoire qui aurait pu être pas mal et qui tombe dans la banalité... une succession d'épreuves .... des relation à la mord-moi-l'noeud entre les personnages. Seul la fin pas trop mal peut ratraper le tout. Quoique certaines mauvaises langues peuvent dire que ça tombe dans la facilité...