Cette aventure a pour cadre différents pays de notre monde, mais on ne les appelle pas par leur nom. Pourquoi ? Je ne vois pas. L'histoire est complexe et un peu tiré par les cheveux, si j'ose dire pour cette série, si on sait que les neufs têtes sont en fait détachées du reste du corps. Les évènements se succèdent comme s'ils arrivaient par hasard, mais en fait, ils sont toujours liés aux têtes. Ce fatalisme est un peu lourd à la longue.
Côté dessin, c'est un peu la même école que Gorn, avec des couleurs comparables, pas à mon goût.
J'ai emprunté cette série à la bibliothèque, et j'ai lu jusqu'a la fin, ce qui lui vaut la note de 2/5, pour ne pas avoir réussi à m'indisposer avant.
"Ninon Secrète" est à la bd ce que "La fille de D'Artagnan" est au cinéma : un gentil navet.
Je ne comprends pas comment Cothias peut être aussi inégal d'une série à l'autre.
Oui, bof. J'ai pas vraiment de mal à dire de cette série, elle ne me donne vraiment pas envie, c'est tout. Pour moi c'est un pâle ersatz de la série Lanfeust : même recettes, même rythme, mêmes personnages et scénario plutôt voisin. Je ne pense pas lire la fin de l'histoire.
C'est dommage, Arleston a, je pense, l'imagination nécessaire pour créer quelque chose de vraiment nouveau. Je trouve qu'il se gâche sur cette série.
Moyen à tous points de vue. Les dessins sont sympas, mais le scénario manque d'originalité. Déjà au départ, un héros faussement accusé de meurtre, un jaloux qui lui colle aux basques, des ruses de pirates pas vraiment convaincantes...
Ca se laisse quand même lire... à la bibliothèque.
Le thème me fascine, c'est ça qui m'a donné envie de lire ce premier tome d'une série à la flatteuse réputation outre-Atlantique. J'ai été malheureusement extrêmement déçu : à aucun moment, je n'ai senti monter l'adrénaline. Alors oui, c'est bien foutu, le canevas de départ est vraiment génial (je buterais bien moi-même un ou deux gars avec qui c'était Chicago dans la cour de récré en maternelle), mais ça tire quand même vachement en longueur et manque cruellement de densité. La deuxième histoire est de plus nettement moins convaincante et crédible que la première, ce qui ne m'a pas aidé à lire ça d'une traite tellement c'était lassant par moments. Le dessin est de plus assez brut de fonderie dans le mauvais sens du terme : il manque de finesse et la couleur se place là comme un cheveu sur la soupe. Bref, une excellente idée pas super bien exploitée à mon avis.
Pour le coup, Corbeyran, qui je trouve a la fâcheuse tendance de se répéter fortement en ce moment, change de registre et cette impression de déjà vu que j'ai régulièrement à la lecture de ses BD n'est pas au rendez-vous. C'est bien, mais pas suffisant. Gentille chronique de la vie de village, "Le village qui s'amenuise" n'arrive pas à décoller; quelques envolées cyniques laissent espérer le meilleur, mais le résultat est bien loin de ce qu'un Tronchet aurait pu produire par exemple, sur le même thème. La fin est de plus extrêmement faible et décevante, je n'arrive pas à comprendre l'intérêt de donner une explication rationnelle à cette histoire.
Le dessin est assez caricatural, notamment les expressions du visage que Balez rend vivantes et plutôt marrantes. En tout cas ça colle assez bien au côté vaudeville (à la campagne) de l'histoire, même si ça rend l'ensemble parfois un peu artificiel.
Bon, après la lecture du tome 5, qui clôt le cycle, je me dis qu'il était temps... malheureusement, c'est pas fini, je ne sais même pas pourquoi ils parlent d'un cycle fini, parce que l'histoire n'a rien de complet : on a à peine un bout d'explication... enfin bon, admettons.
Le 1er tome était tellement prometteur et excitant... le 2e, alléchant. Le 3e, beuh, le 4e lu en 4e vitesse, et le 5e, je l'ai acheté pour voir. Bon franchement, y'a pas de quoi s'acheter tout ça. Empruntez-le, à la rigueur, parce que ce n'est pas une bouse finie.
Ah.
Quand on voit cet album, format à l'italienne, couverture plutôt sympa, sur le thème des samouraïs, on pense que ça peut être pas mal.
Et puis à la lecture on se rend compte que le scénariste ne fait pas vraiment dans la dentelle. Tout le décor n'est qu'un prétexte à une histoire de super-héros finalement assez quelconque et inintéressante. Le Japon, les samouraïs, les clans, tout cela n'est vraiment qu'accessoire. Pour un peu, je dirais que c'est un triste pompage du décor, et que le fond est tristement pauvre.
Le manque de finesse se fait sentir à plusieurs reprises, en particulier lors de la "présentation des personnages"... Todosi a des amis guerriers (une femme et un colosse étranger, bin ça alors !) qui vont évidemment partir en quête par après. C'est d'une artificialité impressionnante...
Les dessins ne sont pas mauvais, mais pour le mouvement ça n'est vraiment pas au point. J'ai dû décrypter plusieurs cases pour comprendre l'action. Et puis bon, c'est trop sombre, c'est trop photoshop.
Donc dans l'ensemble, bof. Vraiment bof. Ca m'apprendra à essayer de l'ersatz de samouraï. Surtout n'achetez pas ce truc. :(
2/5 pour la pulpeuse Druuna, que j'aurais aimée dans un autre genre. Mais bon, c'est vraiment beaucoup trop gore pour moi. Du sexe traité comme ça, je trouve ça malsain. Et puis, y a pas de scénario...
Les Eternels n’est pas une mauvaise bd en soi, mais ne propose rien de bien transcendant ou d’innovant non plus pour accrocher le lecteur. C’est surtout le dessin de Meynet (que je découvre ici) qui fait défaut : le trait est assez quelconque et manque cruellement d’audace et de profondeur. Au vu de ce que j’ai pu lire, ce n’est pas la plus belle réussite du dessinateur.
Quant à Yann, il nous sert un scénario honnête, digne d’une bonne série B, sans plus. Le récit est bien rythmé et, si on passe sur certains détails, reste agréable à lire. J’ai cependant l’impression que le milieu choisi par l’auteur pour son récit, bien que peu courant en bd il est vrai, aurait pu être tout autre sans que cela nuise à l’histoire. Donc pour l’originalité, on repassera...
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9 Têtes
Cette aventure a pour cadre différents pays de notre monde, mais on ne les appelle pas par leur nom. Pourquoi ? Je ne vois pas. L'histoire est complexe et un peu tiré par les cheveux, si j'ose dire pour cette série, si on sait que les neufs têtes sont en fait détachées du reste du corps. Les évènements se succèdent comme s'ils arrivaient par hasard, mais en fait, ils sont toujours liés aux têtes. Ce fatalisme est un peu lourd à la longue. Côté dessin, c'est un peu la même école que Gorn, avec des couleurs comparables, pas à mon goût.
Ninon secrète
J'ai emprunté cette série à la bibliothèque, et j'ai lu jusqu'a la fin, ce qui lui vaut la note de 2/5, pour ne pas avoir réussi à m'indisposer avant. "Ninon Secrète" est à la bd ce que "La fille de D'Artagnan" est au cinéma : un gentil navet. Je ne comprends pas comment Cothias peut être aussi inégal d'une série à l'autre.
Les Forêts d'Opale
Oui, bof. J'ai pas vraiment de mal à dire de cette série, elle ne me donne vraiment pas envie, c'est tout. Pour moi c'est un pâle ersatz de la série Lanfeust : même recettes, même rythme, mêmes personnages et scénario plutôt voisin. Je ne pense pas lire la fin de l'histoire. C'est dommage, Arleston a, je pense, l'imagination nécessaire pour créer quelque chose de vraiment nouveau. Je trouve qu'il se gâche sur cette série.
L'Epervier
Moyen à tous points de vue. Les dessins sont sympas, mais le scénario manque d'originalité. Déjà au départ, un héros faussement accusé de meurtre, un jaloux qui lui colle aux basques, des ruses de pirates pas vraiment convaincantes... Ca se laisse quand même lire... à la bibliothèque.
100 bullets
Le thème me fascine, c'est ça qui m'a donné envie de lire ce premier tome d'une série à la flatteuse réputation outre-Atlantique. J'ai été malheureusement extrêmement déçu : à aucun moment, je n'ai senti monter l'adrénaline. Alors oui, c'est bien foutu, le canevas de départ est vraiment génial (je buterais bien moi-même un ou deux gars avec qui c'était Chicago dans la cour de récré en maternelle), mais ça tire quand même vachement en longueur et manque cruellement de densité. La deuxième histoire est de plus nettement moins convaincante et crédible que la première, ce qui ne m'a pas aidé à lire ça d'une traite tellement c'était lassant par moments. Le dessin est de plus assez brut de fonderie dans le mauvais sens du terme : il manque de finesse et la couleur se place là comme un cheveu sur la soupe. Bref, une excellente idée pas super bien exploitée à mon avis.
Le village qui s'amenuise
Pour le coup, Corbeyran, qui je trouve a la fâcheuse tendance de se répéter fortement en ce moment, change de registre et cette impression de déjà vu que j'ai régulièrement à la lecture de ses BD n'est pas au rendez-vous. C'est bien, mais pas suffisant. Gentille chronique de la vie de village, "Le village qui s'amenuise" n'arrive pas à décoller; quelques envolées cyniques laissent espérer le meilleur, mais le résultat est bien loin de ce qu'un Tronchet aurait pu produire par exemple, sur le même thème. La fin est de plus extrêmement faible et décevante, je n'arrive pas à comprendre l'intérêt de donner une explication rationnelle à cette histoire. Le dessin est assez caricatural, notamment les expressions du visage que Balez rend vivantes et plutôt marrantes. En tout cas ça colle assez bien au côté vaudeville (à la campagne) de l'histoire, même si ça rend l'ensemble parfois un peu artificiel.
Apocalypse Mania
Bon, après la lecture du tome 5, qui clôt le cycle, je me dis qu'il était temps... malheureusement, c'est pas fini, je ne sais même pas pourquoi ils parlent d'un cycle fini, parce que l'histoire n'a rien de complet : on a à peine un bout d'explication... enfin bon, admettons. Le 1er tome était tellement prometteur et excitant... le 2e, alléchant. Le 3e, beuh, le 4e lu en 4e vitesse, et le 5e, je l'ai acheté pour voir. Bon franchement, y'a pas de quoi s'acheter tout ça. Empruntez-le, à la rigueur, parce que ce n'est pas une bouse finie.
La Voie du Samouraï
Ah. Quand on voit cet album, format à l'italienne, couverture plutôt sympa, sur le thème des samouraïs, on pense que ça peut être pas mal. Et puis à la lecture on se rend compte que le scénariste ne fait pas vraiment dans la dentelle. Tout le décor n'est qu'un prétexte à une histoire de super-héros finalement assez quelconque et inintéressante. Le Japon, les samouraïs, les clans, tout cela n'est vraiment qu'accessoire. Pour un peu, je dirais que c'est un triste pompage du décor, et que le fond est tristement pauvre. Le manque de finesse se fait sentir à plusieurs reprises, en particulier lors de la "présentation des personnages"... Todosi a des amis guerriers (une femme et un colosse étranger, bin ça alors !) qui vont évidemment partir en quête par après. C'est d'une artificialité impressionnante... Les dessins ne sont pas mauvais, mais pour le mouvement ça n'est vraiment pas au point. J'ai dû décrypter plusieurs cases pour comprendre l'action. Et puis bon, c'est trop sombre, c'est trop photoshop. Donc dans l'ensemble, bof. Vraiment bof. Ca m'apprendra à essayer de l'ersatz de samouraï. Surtout n'achetez pas ce truc. :(
Druuna
2/5 pour la pulpeuse Druuna, que j'aurais aimée dans un autre genre. Mais bon, c'est vraiment beaucoup trop gore pour moi. Du sexe traité comme ça, je trouve ça malsain. Et puis, y a pas de scénario...
Les Eternels
Les Eternels n’est pas une mauvaise bd en soi, mais ne propose rien de bien transcendant ou d’innovant non plus pour accrocher le lecteur. C’est surtout le dessin de Meynet (que je découvre ici) qui fait défaut : le trait est assez quelconque et manque cruellement d’audace et de profondeur. Au vu de ce que j’ai pu lire, ce n’est pas la plus belle réussite du dessinateur. Quant à Yann, il nous sert un scénario honnête, digne d’une bonne série B, sans plus. Le récit est bien rythmé et, si on passe sur certains détails, reste agréable à lire. J’ai cependant l’impression que le milieu choisi par l’auteur pour son récit, bien que peu courant en bd il est vrai, aurait pu être tout autre sans que cela nuise à l’histoire. Donc pour l’originalité, on repassera...