Le problème avec les "recueils" ou albums collectifs à thèmes, c'est que bien souvent la contrainte du thème et celle de la longueur très limitée de l'histoire posent problème.
C'est le cas ici, et je me suis ennuyé tout au long de ces 7 histoires.
Celle de Cromwell et Ruffner (en fait 3 histoires courtes de deux pages) tire un peu son épingle du jeu, en jouant sur le registre "variations d'histoires très courtes sur un même thème", mais en 3 histoires on a tout juste le temps de commencer à apprécier la bêtise des personnages et la dérision et le côté grotesque et grossier de l'ensemble.
Les styles graphiques, très variés, sont plutôt plaisants, mais bon, c'est censé être une bande dessinée, pas un bouquin d'illustrations...
Bref, jetez-y un oeil si vous la trouvez quelque part, mais à part pour un collectionneur, l'intérêt de cet album est très limité.
C'est gras et à la longue c'est un peu répétitif mais il y a deux ou trois gags vraiment poilants. Dans l'ensemble ça passe. Le dessin n'est pas tip top et c'est parfois un peu chiant.
Un truc à lire quand on attend quelqu'un à la Fnac.
Dans la série des "suites" passez moi celle du très bon "7 Vie de l'épervier"!
Je m'étonne déja, qu' après s'être attelé à une prolongation, les auteurs en finissent au bout de 4 tomes. J'ai eu l'impression que l'idée de faire une suite (idée saugrenue) s'est éteinte aussi vite qu'elle s'est allumée mais que, étant commencée, il a tout de même fallu finir (le plus vite possible).
Alors cette fois ci on part pour le Nouveau Monde suivre Ariane qui recherche son Pôpa, et même si l'aventure se laisse suivre et qu'on note de bonnes réflexions par-ci par-là, on regrette (comme disait fort justement un autre) en définitive que cette suite gâche toute la fin des "7 V D E" qui était parfaite et aurait du s'arrêter là.
Juste un bon point pour le dessin, même si le "trop réaliste" n'est pas mon genre.
Quand à cette histoire de finir cette série le plus vite possible, je citerai pour exemple la scène de la pendaison, où après avoir fait semblant d'insérer des rebondissement dans l'histoire ( le duel imprévue ) histoire de nous donner quelques chose à nous mettre sous la dent, les auteurs délivrent nos héros à l'aide d'un orage providentielle ( comme je le dis toujours: c'est bien foutue la vie).
Eh ben, encore trouvé par hasard sur les quais, cette Bd est plus qu'étrange. Certes on y trouve deux grand maîtres de la BD, Jodorowsky avec des scénarii à tendance divine et mystique!
Et Moebius à qui l'on doit de si beaux albums SF.
Ils nous on créé un oeuvre assez étrange! Les personnages sont ahuris et totalement fanatiques.
Le prof est très destabilisé dans sa vie et la religion lui sert d'exutoire. Elysabeth quant à elle est totalement persuadée d'être élue des dieux, bref une illuminée. (pas prude du tout pour une illuminée d'ailleurs!)
Je n'ai pas lu les deux tomes suivants. J'avoue ne pas du tout en avoir envie.
J'espère m'y mettre un jour, car la fin du 1er laisse une drôle d'impression, un peu dérangeante je dirais... bah un jour peut-être mais ce n'est certes pas un priorité.
Côté dessin, moebius me déçoit un peu! j'étais habituée à quelque chose de différent.
Comparé à "l'incal" où au "monde d'edena" ou encore "la Déesse", cet ouvrage me paraît moins travaillé.
Mais comme c'est du réaliste, peut-être est-ce l'atmosphère désirée par les auteurs ?
La catégorie adulte dans ma bibliothèque est un choix délibéré de censure car autant l'incal est abordable dès douze ans, autant ce livre contient une ambiance très dépravée (ce n'est pas que du sexe, mais quand même!)
Ce n'est pas une BD culte, rien d'extraordinaire, mais les amateurs des auteurs référencés seront peut-être curieux de la découvrir !
A vous de voir quoi.
Une invasion vicking, ça n'est pas de la poésie, on est d'accord. D'où un premier tome très réussi bien que très violent. Mais passé cet exercice de style, il aurait fallu que la série embraye sur un scénario un peu plus aérien, laissant un peu de côté le sexe et la violence déjà (bien) exposés pour poser le décor. Au lieu de ça, on s'enlise dans un scénario à rebondissements improbables, à tel point qu'on finit par se demander si Mitton lui même s'y retrouve. Décevant.
Humour franco-belge qui me faisait vaguement sourire dans Spirou. Mais retrouver des albums entiers remplis de ces gags assez répétitifs et surtout bourrés de préjugés et d'avis tout faits sur tels ou tels types de personnages, de races, de métiers, ça me fait beaucoup moins rire.
Franchement, je préfère les autres oeuvres de Binet. Poupon, ici, est plutôt du genre détestable, et les gags de cette BD ne me font pas vraiment rire. Certes ce Poupon est antipathique et tout le récit est construit là-dessus, mais l'auteur a su le rendre suffisamment détestable et irritant pour que je ne prenne pas plaisir à lire ses gags et qu'ils n'attirent pas chez moi ne serait-ce que le sourire.
Ca ne vaut pas le niveau des Bidochons.
Bon c'est vrai on sent l'ambiance, c'est noir et souvent méchant, le dessin va bien avec tout ça mais... j'accroche pas. Les histoires sont souvent trop courtes, et les lire les unes après les autres ça colle pas. C'est un peu trop speed et finalement il n'y pas d'attente, de désir de lire la suivante. La plupart ne sont pas très originales, elles sont juste bien faites sur des thèmes très connus. Après avoir lu Zoé je m'attendais à mieux. Je préfère Foerster dans les histoires un peu fantastiques noires et méchantes avec néanmoins une touche d'humour, c'était plus angoissant et plus original.
Hem hem.
Bon, on va encore dire que j'ai un parti pris contre les mangas. J'ai pas encore réussi a en dénicher un qui vaille, selon moi. Mais je m'étais précipité sur Nausicäa lorsque je l'avais vue encensée de partout, que l'on me disait: "Genial...".
Déjà, j'ai toujours eu du mal à concevoir l'utilité de garder le sens de lecture original, c'est chiant et ça agace. Mais bon on s'habitue.
Pour le dessin, on dirait trop un crayonné à mon goût, un trait plus épais n'aurait tué personne, mais bon (2eme fois).
Et puis encore une joulie morale écolo derrière, ça aussi ça finit par agacer :
- Ne pillons pas les ressources de notre planète, écosystème machin et environnement trucmuche, mais bon...(3eme fois, c'est agaçant aussi non ?).
Et puis on se demande si l'histoire ne part pas un peu dans tous les sens, l'auteur aurait pu et dû s'arrêter largement avant, 7 tomes de ça, ça fait trop lourd, mais bon (n'en jetez plus).
Trop de "mais bon" en fin de compte pour justifier autant de tomes (7) sur une "morale" déjà assez vue... MAIS BON (le dernier je vous jure).
Mouaif, bof... Voilà une série de gags en une planche qui me faisait sourire quand je les lisais dans le Journal de Mickey, mais je n'aurais sûrement pas envie de m'en acheter des tomes entiers. L'humour n'y est pas excellent et le tout est trop destiné à un public jeune.
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7 histoires de pirates
Le problème avec les "recueils" ou albums collectifs à thèmes, c'est que bien souvent la contrainte du thème et celle de la longueur très limitée de l'histoire posent problème. C'est le cas ici, et je me suis ennuyé tout au long de ces 7 histoires. Celle de Cromwell et Ruffner (en fait 3 histoires courtes de deux pages) tire un peu son épingle du jeu, en jouant sur le registre "variations d'histoires très courtes sur un même thème", mais en 3 histoires on a tout juste le temps de commencer à apprécier la bêtise des personnages et la dérision et le côté grotesque et grossier de l'ensemble. Les styles graphiques, très variés, sont plutôt plaisants, mais bon, c'est censé être une bande dessinée, pas un bouquin d'illustrations... Bref, jetez-y un oeil si vous la trouvez quelque part, mais à part pour un collectionneur, l'intérêt de cet album est très limité.
La Bite à Urbain
C'est gras et à la longue c'est un peu répétitif mais il y a deux ou trois gags vraiment poilants. Dans l'ensemble ça passe. Le dessin n'est pas tip top et c'est parfois un peu chiant. Un truc à lire quand on attend quelqu'un à la Fnac.
Plume aux vents (Les 7 vies de l'épervier - 2ème époque)
Dans la série des "suites" passez moi celle du très bon "7 Vie de l'épervier"! Je m'étonne déja, qu' après s'être attelé à une prolongation, les auteurs en finissent au bout de 4 tomes. J'ai eu l'impression que l'idée de faire une suite (idée saugrenue) s'est éteinte aussi vite qu'elle s'est allumée mais que, étant commencée, il a tout de même fallu finir (le plus vite possible). Alors cette fois ci on part pour le Nouveau Monde suivre Ariane qui recherche son Pôpa, et même si l'aventure se laisse suivre et qu'on note de bonnes réflexions par-ci par-là, on regrette (comme disait fort justement un autre) en définitive que cette suite gâche toute la fin des "7 V D E" qui était parfaite et aurait du s'arrêter là. Juste un bon point pour le dessin, même si le "trop réaliste" n'est pas mon genre. Quand à cette histoire de finir cette série le plus vite possible, je citerai pour exemple la scène de la pendaison, où après avoir fait semblant d'insérer des rebondissement dans l'histoire ( le duel imprévue ) histoire de nous donner quelques chose à nous mettre sous la dent, les auteurs délivrent nos héros à l'aide d'un orage providentielle ( comme je le dis toujours: c'est bien foutue la vie).
La Folle du Sacré-Coeur (Le Coeur couronné)
Eh ben, encore trouvé par hasard sur les quais, cette Bd est plus qu'étrange. Certes on y trouve deux grand maîtres de la BD, Jodorowsky avec des scénarii à tendance divine et mystique! Et Moebius à qui l'on doit de si beaux albums SF. Ils nous on créé un oeuvre assez étrange! Les personnages sont ahuris et totalement fanatiques. Le prof est très destabilisé dans sa vie et la religion lui sert d'exutoire. Elysabeth quant à elle est totalement persuadée d'être élue des dieux, bref une illuminée. (pas prude du tout pour une illuminée d'ailleurs!) Je n'ai pas lu les deux tomes suivants. J'avoue ne pas du tout en avoir envie. J'espère m'y mettre un jour, car la fin du 1er laisse une drôle d'impression, un peu dérangeante je dirais... bah un jour peut-être mais ce n'est certes pas un priorité. Côté dessin, moebius me déçoit un peu! j'étais habituée à quelque chose de différent. Comparé à "l'incal" où au "monde d'edena" ou encore "la Déesse", cet ouvrage me paraît moins travaillé. Mais comme c'est du réaliste, peut-être est-ce l'atmosphère désirée par les auteurs ? La catégorie adulte dans ma bibliothèque est un choix délibéré de censure car autant l'incal est abordable dès douze ans, autant ce livre contient une ambiance très dépravée (ce n'est pas que du sexe, mais quand même!) Ce n'est pas une BD culte, rien d'extraordinaire, mais les amateurs des auteurs référencés seront peut-être curieux de la découvrir ! A vous de voir quoi.
Chroniques Barbares
Une invasion vicking, ça n'est pas de la poésie, on est d'accord. D'où un premier tome très réussi bien que très violent. Mais passé cet exercice de style, il aurait fallu que la série embraye sur un scénario un peu plus aérien, laissant un peu de côté le sexe et la violence déjà (bien) exposés pour poser le décor. Au lieu de ça, on s'enlise dans un scénario à rebondissements improbables, à tel point qu'on finit par se demander si Mitton lui même s'y retrouve. Décevant.
Passe-moi l'ciel
Humour franco-belge qui me faisait vaguement sourire dans Spirou. Mais retrouver des albums entiers remplis de ces gags assez répétitifs et surtout bourrés de préjugés et d'avis tout faits sur tels ou tels types de personnages, de races, de métiers, ça me fait beaucoup moins rire.
Poupon la peste
Franchement, je préfère les autres oeuvres de Binet. Poupon, ici, est plutôt du genre détestable, et les gags de cette BD ne me font pas vraiment rire. Certes ce Poupon est antipathique et tout le récit est construit là-dessus, mais l'auteur a su le rendre suffisamment détestable et irritant pour que je ne prenne pas plaisir à lire ses gags et qu'ils n'attirent pas chez moi ne serait-ce que le sourire. Ca ne vaut pas le niveau des Bidochons.
Sorcières
Bon c'est vrai on sent l'ambiance, c'est noir et souvent méchant, le dessin va bien avec tout ça mais... j'accroche pas. Les histoires sont souvent trop courtes, et les lire les unes après les autres ça colle pas. C'est un peu trop speed et finalement il n'y pas d'attente, de désir de lire la suivante. La plupart ne sont pas très originales, elles sont juste bien faites sur des thèmes très connus. Après avoir lu Zoé je m'attendais à mieux. Je préfère Foerster dans les histoires un peu fantastiques noires et méchantes avec néanmoins une touche d'humour, c'était plus angoissant et plus original.
Nausicaä de la vallée du vent
Hem hem. Bon, on va encore dire que j'ai un parti pris contre les mangas. J'ai pas encore réussi a en dénicher un qui vaille, selon moi. Mais je m'étais précipité sur Nausicäa lorsque je l'avais vue encensée de partout, que l'on me disait: "Genial...". Déjà, j'ai toujours eu du mal à concevoir l'utilité de garder le sens de lecture original, c'est chiant et ça agace. Mais bon on s'habitue. Pour le dessin, on dirait trop un crayonné à mon goût, un trait plus épais n'aurait tué personne, mais bon (2eme fois). Et puis encore une joulie morale écolo derrière, ça aussi ça finit par agacer : - Ne pillons pas les ressources de notre planète, écosystème machin et environnement trucmuche, mais bon...(3eme fois, c'est agaçant aussi non ?). Et puis on se demande si l'histoire ne part pas un peu dans tous les sens, l'auteur aurait pu et dû s'arrêter largement avant, 7 tomes de ça, ça fait trop lourd, mais bon (n'en jetez plus). Trop de "mais bon" en fin de compte pour justifier autant de tomes (7) sur une "morale" déjà assez vue... MAIS BON (le dernier je vous jure).
Môeuh! (Drôle de zoo)
Mouaif, bof... Voilà une série de gags en une planche qui me faisait sourire quand je les lisais dans le Journal de Mickey, mais je n'aurais sûrement pas envie de m'en acheter des tomes entiers. L'humour n'y est pas excellent et le tout est trop destiné à un public jeune.