Que dire de cette série si ce n’est que les dessins ne sont pas mal à priori dans le genre humoristique mais qu’ils se révèlent assez quelconques finalement. De plus, une fois la lecture entamée, on sature assez vite à cause du manque de lisibilité des planches (trop chargées, trop confuses). En fait, c’est un peu fouillis comme le souligne Sagera. Quant à l’histoire, elle aurait pu être sympa mais elle devient vite lassante et complètement inintéressante. L’intrigue se perd dans les méandres d’Astaris et le dénouement, des plus banal, est décevant.
Bref, ça casse pas trois pattes à un grignozard !
2.5
Je suis peut-être un peu sévère sur cette BD car Malika Secouss est sans doute l'une des meilleures séries de Tchô ! la Collec', alors imaginez les autres...
Enfin bon au moins les gags sont déjà plus amusants, ils n'atteignent pas un niveau hyper élevé, en même temps on n'en demande pas tant (et aussi cette collection est surtout destinée aux enfants).
Les dessins ne sont toujours pas ma tasse de thé, dans la même veine que les autres séries, c'est-à-dire simples et peu détaillés.
Bref c'est l'une des rares BDs qui se démarque de la collection, mais qui n'est pas inoubliable non plus.
Les Profs est une bonne bande dessinée, mais comparée à d'autres productions du même genre, c'est un peu léger.
Les gags sont relativement drôles, le thème pouvant être largement mieux exploité, les dessins sans être mauvais, ne sont pas terribles...
Une BD d'humour qui ne se démarque pas, au contraire qui se fond dans la masse comme plein d'autres.
2.5
Voici une BD quelque peu d'actualité, qui parodie la politique américaine, notamment par son président qui est on ne peut plus idiot (toute ressemblance avec la réalité est fortuite...).
Clarke, un auteur que je ne connaissais pas, nous pond là une véritable BD d'humour, à prendre au "troisième degré" bien sûr, basée sur des faits qui se sont réellement passés mais repris à sa sauce, ce qui garantit des histoires courtes (de 5-10 planches) croustillantes et à l'humour fort grinçant mais pas toujours amusant...
Les dessins simples (Clarke sait-il dessiner des yeux ?) et caricaturaux servent bien l'esprit de cette BD délirante, avec des couleurs sobres mais efficaces.
A noter la présentation générale (couverture + 4ème) de l'album qui est très réussie et attrayante à mon goût.
Un pastiche fort agréable qui m'a fait passer un bon moment, mais il y a l'humour qui tombe à plat et le petit quelque chose qui manque pour en faire une BD réellement intéressante. Dommage :(
Dans la lignée des séries humoristiques de chez Bamboo Editions portant sur tel ou tel métier propre à toucher un large public, voilà les Auto-Ecoles, leurs moniteurs et les apprentis-conducteurs. Et comme dans les autres séries du même genre, on reprend la même recette et on recommence.
Côté dessin, ce n'est pas mauvais, mais ça manque totalement d'originalité et d'âme. C'est le style de dessin d'humour formaté pour un grand public. Rien à dire.
Et côté humour, il doit y avoir de quoi sourire quelques fois, mais globalement... On dirait bien que le sujet de l'Auto-Ecole ne déborde pas d'idées de gags, ou du moins que le scénariste a eu du mal à en trouver. Il n'y a rien de vraiment décapant, rien de vraiment original, quelques gags sont récupérés pour plusieurs planches (par exemple, on sent que le scénariste a bien aimé l'idée de parler des simulateurs de conduite : gags faciles garantis).
Bof.
J'aurais facilement pu détester cette BD sous le pretexte unique que ça ressemble bougrement à une arnaque commerciale comme on en voit fleurir ces temps-ci (sans citer Caméra Café du même éditeur, bien sûr...). En effet, ça aurait pu n'être rien d'autre que la mise en BD exacte des petites annonces d'Elie Sémoun et Franck Dubosc sans aucun nouvel apport ni aucun interêt. Mais en définitive, ce n'est pas ça : ce sont des gags plus ou moins inédits à la façon de petites scénettes mettant en scène les personnages des Petites Annonces mais aussi d'autres sketchs d'Elie Sémoun seul. On y retrouve par exemple le bigleux qui cherche des blondes à forte poitrine, Mikeline la dame pipi, Kévina l'adolescente merdeuse, etc...
Les gags, quant à eux, sont rarement bons. Bon, y en a qui doivent aimer mais moi, j'accroche pas trop. Pourtant j'ai bien souri quelques fois à la lecture : ce n'est pas à jeter, y a de l'humour quand même.
Par contre, côté dessin, ben là, je trouve ça... moche. Couleurs moches, trait moche et trop simple, rendu visuel raté... J'aime pas. C'est peut-être une histoire de goût, ce n'est pas objectivement affreux mais franchement j'aime pas.
Je suis parti en mettant la barre très haute sur cet album: je me suis demandé si on pourrait avoir un second "Peter Pan"...
Ce n'est pas le cas, pour plusieurs raisons:
1/ Le dessin est beau mais sans plus et certains passages sont moyens. Notons que la couverture est très belle cependant.
2/ L'histoire est un peu fouillie et on ne comprend pas bien le rapport qu'entreteint Pinocchio avec la nature et avec Gepetto.
3/ Je n'aime pas certaines interprétations qui sont faites de l'histoire originale, avec l'incorporatoin de certains personnages secondaires qui onfluent le cours de l'histoire.
Par contre cretains passages sont vraiment sympa, et j'ai sourit quelque fois. Mais pas plus. Je jetterai tout de même un coup d'oeil sur les autres tomes.
J'ai été très géné par le caractère peu construit, voire brouillon de cette BD. Il dessert le dessin dont certaines planches s'avèrent très belles. Certains passages se révèlent très fort émotionnellement. Il faut essayer de passer par dessus le caractère fouilli du texte et du dessin, pour pouvoir se faire plaisir en lisant. Or ça n'a commencé qu'au bout de la cinquième tentative pour moi...
Noir c'est noir. Poème littéraire et graphique noir, tendance gothique, torturé, désespéré, violent, comme la mort. C'est le récit halluciné et fantastique d'une vengeance, entrecoupé de flash-backs, un long cri de souffrance et de haine, brutes mais ciblées, ponctué ça et là, de poèmes et de textes de chansons (au passage, merci pour la trad de Hanging Garden de Cure). Le dessin est d'un magnifique N&B, seul bémol, les coupes de cheveux très eighties des persos. C'est assez éprouvant comme lecture, du fait de la nature de l'histoire, d'où la sévérité de ma note.
Le graphisme d’Efa, particulier, ne plaira pas à tous. Mais j’apprécie ce style qui a le mérite de se singulariser des autres productions. Certes, les dessins sont sujet à quelques maladresses et approximations (les chevaux ne sont pas top) et les couleurs sont sans doute trop saturées, trop vives et les planches trop contrastées. Toutefois, le talent d’Efa est palpable tout comme l’évolution de son style qui gagne en assurance au fil des tomes (voir les planches dans la galerie).
Cette exubérance des couleurs pastels et les petits défauts qu’on peut déceler de ci de là dans les dessins donnent une certaine sensibilité à l’œuvre qui me touche. Pour en venir à l’histoire, je dois dire qu’elle m’a globalement déçu, d’où ma note (peut-être trop sévère). L’histoire démarre simplement et sent d’ailleurs un peu le déjà vu. Puis le récit s’épaissit pour prendre forme et on finit par s’intéresser à cette petite Clio qui paraît bien déterminée. Mais la lecture du troisième tome me laisse perplexe... J’ai l’impression d’une cassure nette avec les tomes précédents. L’histoire devient inutilement complexe et trop nébuleuse. Ce cycle se termine donc d'une drôle de manière. Je n’ai pas tout compris. Dommage car il y avait de bonnes idées et l’univers créé est prometteur.
Enfin, cette série aura permis de révéler un jeune surdoué du crayon et des pinceaux !
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Agence Barbare
Que dire de cette série si ce n’est que les dessins ne sont pas mal à priori dans le genre humoristique mais qu’ils se révèlent assez quelconques finalement. De plus, une fois la lecture entamée, on sature assez vite à cause du manque de lisibilité des planches (trop chargées, trop confuses). En fait, c’est un peu fouillis comme le souligne Sagera. Quant à l’histoire, elle aurait pu être sympa mais elle devient vite lassante et complètement inintéressante. L’intrigue se perd dans les méandres d’Astaris et le dénouement, des plus banal, est décevant. Bref, ça casse pas trois pattes à un grignozard !
Malika secouss
2.5 Je suis peut-être un peu sévère sur cette BD car Malika Secouss est sans doute l'une des meilleures séries de Tchô ! la Collec', alors imaginez les autres... Enfin bon au moins les gags sont déjà plus amusants, ils n'atteignent pas un niveau hyper élevé, en même temps on n'en demande pas tant (et aussi cette collection est surtout destinée aux enfants). Les dessins ne sont toujours pas ma tasse de thé, dans la même veine que les autres séries, c'est-à-dire simples et peu détaillés. Bref c'est l'une des rares BDs qui se démarque de la collection, mais qui n'est pas inoubliable non plus.
Les Profs
Les Profs est une bonne bande dessinée, mais comparée à d'autres productions du même genre, c'est un peu léger. Les gags sont relativement drôles, le thème pouvant être largement mieux exploité, les dessins sans être mauvais, ne sont pas terribles... Une BD d'humour qui ne se démarque pas, au contraire qui se fond dans la masse comme plein d'autres.
Mister President
2.5 Voici une BD quelque peu d'actualité, qui parodie la politique américaine, notamment par son président qui est on ne peut plus idiot (toute ressemblance avec la réalité est fortuite...). Clarke, un auteur que je ne connaissais pas, nous pond là une véritable BD d'humour, à prendre au "troisième degré" bien sûr, basée sur des faits qui se sont réellement passés mais repris à sa sauce, ce qui garantit des histoires courtes (de 5-10 planches) croustillantes et à l'humour fort grinçant mais pas toujours amusant... Les dessins simples (Clarke sait-il dessiner des yeux ?) et caricaturaux servent bien l'esprit de cette BD délirante, avec des couleurs sobres mais efficaces. A noter la présentation générale (couverture + 4ème) de l'album qui est très réussie et attrayante à mon goût. Un pastiche fort agréable qui m'a fait passer un bon moment, mais il y a l'humour qui tombe à plat et le petit quelque chose qui manque pour en faire une BD réellement intéressante. Dommage :(
L'Auto Ecole
Dans la lignée des séries humoristiques de chez Bamboo Editions portant sur tel ou tel métier propre à toucher un large public, voilà les Auto-Ecoles, leurs moniteurs et les apprentis-conducteurs. Et comme dans les autres séries du même genre, on reprend la même recette et on recommence. Côté dessin, ce n'est pas mauvais, mais ça manque totalement d'originalité et d'âme. C'est le style de dessin d'humour formaté pour un grand public. Rien à dire. Et côté humour, il doit y avoir de quoi sourire quelques fois, mais globalement... On dirait bien que le sujet de l'Auto-Ecole ne déborde pas d'idées de gags, ou du moins que le scénariste a eu du mal à en trouver. Il n'y a rien de vraiment décapant, rien de vraiment original, quelques gags sont récupérés pour plusieurs planches (par exemple, on sent que le scénariste a bien aimé l'idée de parler des simulateurs de conduite : gags faciles garantis). Bof.
Les Annonces en BD
J'aurais facilement pu détester cette BD sous le pretexte unique que ça ressemble bougrement à une arnaque commerciale comme on en voit fleurir ces temps-ci (sans citer Caméra Café du même éditeur, bien sûr...). En effet, ça aurait pu n'être rien d'autre que la mise en BD exacte des petites annonces d'Elie Sémoun et Franck Dubosc sans aucun nouvel apport ni aucun interêt. Mais en définitive, ce n'est pas ça : ce sont des gags plus ou moins inédits à la façon de petites scénettes mettant en scène les personnages des Petites Annonces mais aussi d'autres sketchs d'Elie Sémoun seul. On y retrouve par exemple le bigleux qui cherche des blondes à forte poitrine, Mikeline la dame pipi, Kévina l'adolescente merdeuse, etc... Les gags, quant à eux, sont rarement bons. Bon, y en a qui doivent aimer mais moi, j'accroche pas trop. Pourtant j'ai bien souri quelques fois à la lecture : ce n'est pas à jeter, y a de l'humour quand même. Par contre, côté dessin, ben là, je trouve ça... moche. Couleurs moches, trait moche et trop simple, rendu visuel raté... J'aime pas. C'est peut-être une histoire de goût, ce n'est pas objectivement affreux mais franchement j'aime pas.
Pinocchio
Je suis parti en mettant la barre très haute sur cet album: je me suis demandé si on pourrait avoir un second "Peter Pan"... Ce n'est pas le cas, pour plusieurs raisons: 1/ Le dessin est beau mais sans plus et certains passages sont moyens. Notons que la couverture est très belle cependant. 2/ L'histoire est un peu fouillie et on ne comprend pas bien le rapport qu'entreteint Pinocchio avec la nature et avec Gepetto. 3/ Je n'aime pas certaines interprétations qui sont faites de l'histoire originale, avec l'incorporatoin de certains personnages secondaires qui onfluent le cours de l'histoire. Par contre cretains passages sont vraiment sympa, et j'ai sourit quelque fois. Mais pas plus. Je jetterai tout de même un coup d'oeil sur les autres tomes.
Eloge de la poussière
J'ai été très géné par le caractère peu construit, voire brouillon de cette BD. Il dessert le dessin dont certaines planches s'avèrent très belles. Certains passages se révèlent très fort émotionnellement. Il faut essayer de passer par dessus le caractère fouilli du texte et du dessin, pour pouvoir se faire plaisir en lisant. Or ça n'a commencé qu'au bout de la cinquième tentative pour moi...
The Crow
Noir c'est noir. Poème littéraire et graphique noir, tendance gothique, torturé, désespéré, violent, comme la mort. C'est le récit halluciné et fantastique d'une vengeance, entrecoupé de flash-backs, un long cri de souffrance et de haine, brutes mais ciblées, ponctué ça et là, de poèmes et de textes de chansons (au passage, merci pour la trad de Hanging Garden de Cure). Le dessin est d'un magnifique N&B, seul bémol, les coupes de cheveux très eighties des persos. C'est assez éprouvant comme lecture, du fait de la nature de l'histoire, d'où la sévérité de ma note.
Les Icariades
Le graphisme d’Efa, particulier, ne plaira pas à tous. Mais j’apprécie ce style qui a le mérite de se singulariser des autres productions. Certes, les dessins sont sujet à quelques maladresses et approximations (les chevaux ne sont pas top) et les couleurs sont sans doute trop saturées, trop vives et les planches trop contrastées. Toutefois, le talent d’Efa est palpable tout comme l’évolution de son style qui gagne en assurance au fil des tomes (voir les planches dans la galerie). Cette exubérance des couleurs pastels et les petits défauts qu’on peut déceler de ci de là dans les dessins donnent une certaine sensibilité à l’œuvre qui me touche. Pour en venir à l’histoire, je dois dire qu’elle m’a globalement déçu, d’où ma note (peut-être trop sévère). L’histoire démarre simplement et sent d’ailleurs un peu le déjà vu. Puis le récit s’épaissit pour prendre forme et on finit par s’intéresser à cette petite Clio qui paraît bien déterminée. Mais la lecture du troisième tome me laisse perplexe... J’ai l’impression d’une cassure nette avec les tomes précédents. L’histoire devient inutilement complexe et trop nébuleuse. Ce cycle se termine donc d'une drôle de manière. Je n’ai pas tout compris. Dommage car il y avait de bonnes idées et l’univers créé est prometteur. Enfin, cette série aura permis de révéler un jeune surdoué du crayon et des pinceaux !