Je n'ai pas vraiment aimé ces deux albums, tant Yann s'y montre injurieux et politiquement incorrect. C'est truffé de raccourcis scénaristiques (oeuvre de jeunesse ?), et les histoires, bien que truculentes, sont tirées par les cheveux. Le dessin de Frank Le Gall est sympa, mais je trouve qu'il a fait bien mieux en changeant de style.
Bon, la couverture m'a bien fait rigoler quand je suis tombé dessus, le scénario était du gars qui a fait "Ayak le loup blanc", ça parlait de cul et de préhistoire, donc je l'ai pris, avec une brassée d'orties fraîches pour compléter le tout.
Difficile de ne pas citer le terme "moisi" pour qualifier cet album. Le ton est très vieillot, avec beaucoup de textes off qui disparaissent quand même par la suite, et une ambiance qui rappelle assez Rahan (oui, oui, le fils des âges farouches).
Le début est assez... euh, spécial, avec une tribu qui fait copuler ses femmes avec un gorille. Hum. Pour bénéficier de sa force, bien sûr. Ah. Et puis dès que Moi-être a enlvé la belle, ça commence à niquer sous le moindre prétexte. T'es en forme ? Allez, on nique. T'es fatigué ? Allez, on nique. Et donc Moi-être découvre avec bonheur la position du missionnaire (** Joie ! **), la turlutte (** Bonheur ! **)... et le bain (** Félicité ! **). Le passage où ses femmes font grève est franchement marrant, involontairement je dirais. :)
Bon, tout cela tourne vite à une longue course-poursuite où les deux personnages niquent tout le temps, entremélé de quelques instants de suspense, de combat, etc. Bizarrement ça n'est pas complètement mauvais, c'est juste pas génial, mais on rigole quand même bien à certains moments. Comme nanar ça vaudrait un gentil trois étoiles.
Qu'est-ce que c'est moche ! C'est assez impressionnant. Le trait est pourtant clair, les personnages caricaturaux et expressifs, mais l'impression qu'il s'en dégage est une espèce de brouillon, gribouillé pendant une conversation au téléphone.
Du coup, il faut faire un véritable effort pour parvenir à lire ne serait-ce qu'un gag. Bon, on ne le regrette pas forcément, car certains sont vraiment très très drôles, surtout pour un lecteur qui a déjà passé des heures à pester contre son ordinateur. Mais ces quelques gags réussis ne suffisent pas à assurer un bon niveau à l'ensemble, et la lecture de l'album est vraiment pénible.
Très largement dispensable, même pour le public visé.
Cette BD manque d'originalité, de folie, ça en devient chiant très rapidement. Tout tourne autour du "mythe" de la vierge, et je ne partage pas ce fantasme avec les auteurs. C'est gentillet quoi.
Le dessin épuré n'est pas si mal que ça, mais il ne réussit pas, lui non-plus, à enflamer le lecteur.
De la BD prono très bof mais pas mauvaise...
J'adore le dessin de Baldazzini, ses encrages sont magnifiques et il sait diablement bien dessiner les femmes... à un détail prêt : il leur ajoute quasi-toujours une mini-bite. Curieux fantasme que je ne partage pas du tout !
Les scènes de cul deviennent donc très étranges vu que les nanas s'enculent à longueur de temps. Beurk, sans façon.
Dommage, parce qu'avec un dessin comme ça, il pourrait faire des trucs vraiment très bons !
Mouais, autant j'aime bien certaines BD SM, autant là c'est trop violent pour moi, ça ressemble parfois plus à de la torture qu'à une recherche de plaisir.
C'est dommage, certaines scènes sont assez sympas et le dessin de Trinca est nickel (sauf les couleurs vraiment mauvaises)
Le scénario ? Quel scénario ? ;)
Nan franchement, c'est très loin d'être un indispensable du genre.
Basé sur une trame assez classique, fantasmes et double personnalité, « Rêves interdits » n’est pas désagréable à lire mais reste quand même loin d’être transcendant. Le dessin est plutôt plaisant mais l’ensemble manque franchement de fluidité et d’originalité. Une histoire qui s’oublie relativement vite même pour un genre aussi trivial.
J’adore carrément le dessin de Baldazzini, ses encrages sont magnifiques, ses femmes toutes plus belles les unes que les autres… mais il est vraiment trop Hard pour moi : Les femmes ne sont pas des femmes comme les autres (ou alors j’ai eu de la chance dans ma vie perso) puisqu’elles ont toutes une mini-bite !
Forcément, c’est beaucoup moins excitant… d’autant plus que ces mini-bites semblent toujours être poisseuses (c’est fatale la grosse goutte qui coule à toutes les cases)
Alors franchement, c’est pas une BD pour moi, malgré ma grande ouverture d’esprit (d’esprit j’ai dit !)
Dommage, parce que le dessin...
Le plus gros défaut de cette BD vient du dessin un peu vieillot, trop grisé à mon goût. Pourtant, le trait de Chris est vraiment agréable est ses délires Sado-Maso sont plutôt amusants (quoi que, les 2 vieux sont plus pénibles qu’autre chose à toujours parler expliquer etc)
Sinon, à part quelques poils de trop (ça fait vieille BD), c’est assez sympa à lire, mais ça reste très loin des meilleurs BDs du genre.
Dommage que le dessin et surtout la colorisation ne soient pas à la hauteur de la couverture : ça a tendance à baver et ça gâche carrément le trait… déjà que le dessin n’est pas une perle en soi. Sinon ça reste du super classique dans le genre, on a l’impression d’avoir vu ça 100 fois et comme le dessin ne rattrape pas grand chose, voilà une BD sur laquelle il n’y a pas besoin de trop s’attarder.
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Les Exploits de Yoyo
Je n'ai pas vraiment aimé ces deux albums, tant Yann s'y montre injurieux et politiquement incorrect. C'est truffé de raccourcis scénaristiques (oeuvre de jeunesse ?), et les histoires, bien que truculentes, sont tirées par les cheveux. Le dessin de Frank Le Gall est sympa, mais je trouve qu'il a fait bien mieux en changeant de style.
La nuit barbare
Bon, la couverture m'a bien fait rigoler quand je suis tombé dessus, le scénario était du gars qui a fait "Ayak le loup blanc", ça parlait de cul et de préhistoire, donc je l'ai pris, avec une brassée d'orties fraîches pour compléter le tout. Difficile de ne pas citer le terme "moisi" pour qualifier cet album. Le ton est très vieillot, avec beaucoup de textes off qui disparaissent quand même par la suite, et une ambiance qui rappelle assez Rahan (oui, oui, le fils des âges farouches). Le début est assez... euh, spécial, avec une tribu qui fait copuler ses femmes avec un gorille. Hum. Pour bénéficier de sa force, bien sûr. Ah. Et puis dès que Moi-être a enlvé la belle, ça commence à niquer sous le moindre prétexte. T'es en forme ? Allez, on nique. T'es fatigué ? Allez, on nique. Et donc Moi-être découvre avec bonheur la position du missionnaire (** Joie ! **), la turlutte (** Bonheur ! **)... et le bain (** Félicité ! **). Le passage où ses femmes font grève est franchement marrant, involontairement je dirais. :) Bon, tout cela tourne vite à une longue course-poursuite où les deux personnages niquent tout le temps, entremélé de quelques instants de suspense, de combat, etc. Bizarrement ça n'est pas complètement mauvais, c'est juste pas génial, mais on rigole quand même bien à certains moments. Comme nanar ça vaudrait un gentil trois étoiles.
Y a un bug !
Qu'est-ce que c'est moche ! C'est assez impressionnant. Le trait est pourtant clair, les personnages caricaturaux et expressifs, mais l'impression qu'il s'en dégage est une espèce de brouillon, gribouillé pendant une conversation au téléphone. Du coup, il faut faire un véritable effort pour parvenir à lire ne serait-ce qu'un gag. Bon, on ne le regrette pas forcément, car certains sont vraiment très très drôles, surtout pour un lecteur qui a déjà passé des heures à pester contre son ordinateur. Mais ces quelques gags réussis ne suffisent pas à assurer un bon niveau à l'ensemble, et la lecture de l'album est vraiment pénible. Très largement dispensable, même pour le public visé.
Aude n'est plus Vierge
Cette BD manque d'originalité, de folie, ça en devient chiant très rapidement. Tout tourne autour du "mythe" de la vierge, et je ne partage pas ce fantasme avec les auteurs. C'est gentillet quoi. Le dessin épuré n'est pas si mal que ça, mais il ne réussit pas, lui non-plus, à enflamer le lecteur. De la BD prono très bof mais pas mauvaise...
La Forteresse de la Douleur
J'adore le dessin de Baldazzini, ses encrages sont magnifiques et il sait diablement bien dessiner les femmes... à un détail prêt : il leur ajoute quasi-toujours une mini-bite. Curieux fantasme que je ne partage pas du tout ! Les scènes de cul deviennent donc très étranges vu que les nanas s'enculent à longueur de temps. Beurk, sans façon. Dommage, parce qu'avec un dessin comme ça, il pourrait faire des trucs vraiment très bons !
Le Salon des Châtiments
Mouais, autant j'aime bien certaines BD SM, autant là c'est trop violent pour moi, ça ressemble parfois plus à de la torture qu'à une recherche de plaisir. C'est dommage, certaines scènes sont assez sympas et le dessin de Trinca est nickel (sauf les couleurs vraiment mauvaises) Le scénario ? Quel scénario ? ;) Nan franchement, c'est très loin d'être un indispensable du genre.
Rêves interdits
Basé sur une trame assez classique, fantasmes et double personnalité, « Rêves interdits » n’est pas désagréable à lire mais reste quand même loin d’être transcendant. Le dessin est plutôt plaisant mais l’ensemble manque franchement de fluidité et d’originalité. Une histoire qui s’oublie relativement vite même pour un genre aussi trivial.
Casa HowHard
J’adore carrément le dessin de Baldazzini, ses encrages sont magnifiques, ses femmes toutes plus belles les unes que les autres… mais il est vraiment trop Hard pour moi : Les femmes ne sont pas des femmes comme les autres (ou alors j’ai eu de la chance dans ma vie perso) puisqu’elles ont toutes une mini-bite ! Forcément, c’est beaucoup moins excitant… d’autant plus que ces mini-bites semblent toujours être poisseuses (c’est fatale la grosse goutte qui coule à toutes les cases) Alors franchement, c’est pas une BD pour moi, malgré ma grande ouverture d’esprit (d’esprit j’ai dit !) Dommage, parce que le dessin...
La thèse
Le plus gros défaut de cette BD vient du dessin un peu vieillot, trop grisé à mon goût. Pourtant, le trait de Chris est vraiment agréable est ses délires Sado-Maso sont plutôt amusants (quoi que, les 2 vieux sont plus pénibles qu’autre chose à toujours parler expliquer etc) Sinon, à part quelques poils de trop (ça fait vieille BD), c’est assez sympa à lire, mais ça reste très loin des meilleurs BDs du genre.
Le Salon des Châtiments
Dommage que le dessin et surtout la colorisation ne soient pas à la hauteur de la couverture : ça a tendance à baver et ça gâche carrément le trait… déjà que le dessin n’est pas une perle en soi. Sinon ça reste du super classique dans le genre, on a l’impression d’avoir vu ça 100 fois et comme le dessin ne rattrape pas grand chose, voilà une BD sur laquelle il n’y a pas besoin de trop s’attarder.