Première chose qu'on remarque : le dessin aux couleurs vives, avec des personnages difformes style enfantin.
Mais après ça on ne comprend pas trop le fil de l'histoire. Un artiste un peu à l'ouest qui cherche une espèce de modèle ultime (une femme coupée en deux) pendant 2 tomes. D'ailleurs il faut arriver à la fin du 2ème pour comprendre les événements du début du premier. Finalement le dessin est enfantin mais certaines scènes sont plutôt limites, genre un mec coupé en 2 dans une baignoire.
Disons 2.5.
Je viens de finir le troisième tome et on ne sait toujours pas où on va... Pas très original et surtout on n'apprend presque rien, les révélations finales c'est bien mais ici on peut s'interroger sur la raison d'être des albums précédents... Le scénario est donc très moyen, le rythme un peu trop lent. Le dessin est bof bof, il ne m'a pas beaucoup plu après faut voir... Pas terrible tout ça. Là je m'en fous de lire le 4e tome ou pas, c'est dire !
Cet album traite joliment de nos racines, de notre déracinement, de notre "chez nous", qui est finalement là où l'on se sent chez soi, où l'on est accepté.
Il est tout aussi joliment illustré par Berlion, dont le dessin et les couleurs sont assez charmants, même s'il me laisse une curieuse impression de "trop grand" : les cadrages sont souvent serrés, et les gros plans et plans à l'américaine fréquents. J'aurais bien vu le tout dans un format un peu plus petit...
Malheureusement, je n'ai pas réussi à accrocher : l'histoire est finalement courte, et très rapidement menée. Les clichés sont nombreux et utilisés sans surprise. Dans cet état d'esprit, la grosse surprise de l'album n'en a pas été une pour moi, elle est juste arrivée comme ça, ah bon, et puis voilà.
Malgré cette impression somme toute négative, jetez-y un oeil, c'est pas mal quand même.
Mon deuxième album de Patte de Mouche. Ah quel dommage que ce soit si vite lu. D'ailleurs tellement vite lu, que je l'ai reparcouru pour voir si je n'avais pas sauté de pages. Tout ça est un peu trop survolé.
Le mec voit un coureur sur la piste, de nuit, tiens qui se peut-il bien être se dit il à lui-même et à son mécanicien. Alors il se met à le pister, et en fait ce coureur, c'est... LA MORT. Et il la défie, oui je vois bien l'allégorie car il lutte contre la mort.
Je ne connais rien de David B, c'est d'ailleurs mon premier album de lui si je compte bien, mais un dessin intéressant. Je vais sûrement jeter un oeil à ses autres productions.
Après si vous êtes un gros fan de cet auteur - comme semble l'être JBT900, peut être que vous apprécierez plus car vous connaissez mieux que moi son univers.
Mouais... L'histoire a quelques côtés intéressants, quelques bonnes idées, et des traits d'humour dont on pensera ce qu'on veut. Mais ça m'a bien fait marrer le coup des méchants qui sont tous descendants de nazis du IIIème Reich. Je précise que l'action se passe plus d'un siècle plus tard. Sans compter que leur chef s'appelle je sais plus comment mais quelque chose ressemblant étrangement à Adolf Hitler. On dirait que Cailleteau a l'art de ce genre de "clins d'oeil" que pour ma part je trouve scabreux (cf. David Gamesh dans "Aquablue").
Pour le reste, c'est de l'aventure à la Lanfeust si je puis dire, avec de la magie, un héros brave, et tiens il y même des trolls.
Côté dessins, c'est plutôt réussi si on ne fait pas trop attention aux couleurs informatiques pas du meilleur effet ici.
Je garde un assez bon souvenir (vague néanmoins) de cette BD, même si elle ne m'a vraiment pas marqué. C'est typiquement le genre de BD qu'on emprunte en bibliothèque mais qu'on n'achète pas pour soi.
Les dessins ne m'ont pas choqué, même si j'admets qu'ils ne sont pas transcendants.
Quant au scénario, le thème habituel de la méchante oligarchie qui règne sur les pauvres malheureux et en plus les utilise comme cobayes pour des expériences scientifiques, ce n'est pas la première fois qu'on voit ça, et ce n'est pas la première fois qu'une gentille fille dégourdie va tenter de sauver un enfant des griffes de savants fous... et lubriques. Oui, car il y a une part de sadisme sexuel et de lubricité dans les actes des "méchants". Rien de vraiment dérangeant, et c'est même ça qui me fait me souvenir de cette BD alors que tout le reste est d'un banal total.
Néanmoins, j'ai lu bien mieux sur des thèmes proches et je ne vous le conseille que pour une lecture rapide.
C'est pas trop mal, mais bon, je n'apprécie pas trop ceux qui changent les noms réels tout en reprenant en fait la même chose... Les Homériques à la place des Amériques... Ca a le don de m'énerver... Mais une fois qu'on fait abstraction de cela, c'est une bd d'aventures correcte. Le scénario est honnête, le dessin idem, pas grand chose à dire. A prendre dans sa bibli municipale et à lire comme ça, un jour où on a du temps.
Ca commence sur une bonne base : une planète recouverte d'une unique et gigantesque ville, et une guilde de cartographes découvrant les quartiers tous différents pour en tracer les cartes indispensables à la connaissance de la planète.
Mais alors que les premiers tomes, déjà moyens, laissaient envisager une intrigue grandissante avec un complot, des voyages, etc., le tout s'enfonce peu à peu dans le médiocre et l'inintéressant. Le dessin lui-même évolue pour prendre le style gros nez francobelge. Et les histoires s'embrouillent, deviennent parfois même loufoques... Bref, le scénario n'est pas à la hauteur, et il est normal que le dessin n'ait pas vraiment suivi non plus.
Dommage, ça partait sur une bonne idée.
Le dessin de Bourgeon est très beau (comme toujours)...
L'idée de départ plutôt encourageante...
Mais au final, que c'est pénible à lire !
Cette série est lente, confuse... J'ai dû me forcer pour venir à bout de ces deux tomes, et je suis sûre que j'ai décroché assez souvent pour passer à côté d'un tas de choses. Je ne sais pas si mon ennui est dû à la narration poussive, à la mise en page académique ou à l'avalanche de texte dispensable en bande dessinée mais, au final, à part 2-3 belles scènes, je ne vois pas vraiment l'intérêt de cette bd.
Pas grand chose à dire de cette bd, ça fait rarement rire et on peut pas se rattraper avec le dessin. A part le roi des raviolis, on peut passer... Je mets pas 1/5 car j'ai réussi à finir sans m'énerver.
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
La Collection d'anatomies
Première chose qu'on remarque : le dessin aux couleurs vives, avec des personnages difformes style enfantin. Mais après ça on ne comprend pas trop le fil de l'histoire. Un artiste un peu à l'ouest qui cherche une espèce de modèle ultime (une femme coupée en deux) pendant 2 tomes. D'ailleurs il faut arriver à la fin du 2ème pour comprendre les événements du début du premier. Finalement le dessin est enfantin mais certaines scènes sont plutôt limites, genre un mec coupé en 2 dans une baignoire. Disons 2.5.
Le Bateau feu
Je viens de finir le troisième tome et on ne sait toujours pas où on va... Pas très original et surtout on n'apprend presque rien, les révélations finales c'est bien mais ici on peut s'interroger sur la raison d'être des albums précédents... Le scénario est donc très moyen, le rythme un peu trop lent. Le dessin est bof bof, il ne m'a pas beaucoup plu après faut voir... Pas terrible tout ça. Là je m'en fous de lire le 4e tome ou pas, c'est dire !
Coeur Tam-Tam
Cet album traite joliment de nos racines, de notre déracinement, de notre "chez nous", qui est finalement là où l'on se sent chez soi, où l'on est accepté. Il est tout aussi joliment illustré par Berlion, dont le dessin et les couleurs sont assez charmants, même s'il me laisse une curieuse impression de "trop grand" : les cadrages sont souvent serrés, et les gros plans et plans à l'américaine fréquents. J'aurais bien vu le tout dans un format un peu plus petit... Malheureusement, je n'ai pas réussi à accrocher : l'histoire est finalement courte, et très rapidement menée. Les clichés sont nombreux et utilisés sans surprise. Dans cet état d'esprit, la grosse surprise de l'album n'en a pas été une pour moi, elle est juste arrivée comme ça, ah bon, et puis voilà. Malgré cette impression somme toute négative, jetez-y un oeil, c'est pas mal quand même.
Le cercueil de course
Mon deuxième album de Patte de Mouche. Ah quel dommage que ce soit si vite lu. D'ailleurs tellement vite lu, que je l'ai reparcouru pour voir si je n'avais pas sauté de pages. Tout ça est un peu trop survolé. Le mec voit un coureur sur la piste, de nuit, tiens qui se peut-il bien être se dit il à lui-même et à son mécanicien. Alors il se met à le pister, et en fait ce coureur, c'est... LA MORT. Et il la défie, oui je vois bien l'allégorie car il lutte contre la mort. Je ne connais rien de David B, c'est d'ailleurs mon premier album de lui si je compte bien, mais un dessin intéressant. Je vais sûrement jeter un oeil à ses autres productions. Après si vous êtes un gros fan de cet auteur - comme semble l'être JBT900, peut être que vous apprécierez plus car vous connaissez mieux que moi son univers.
Anachron
Mouais... L'histoire a quelques côtés intéressants, quelques bonnes idées, et des traits d'humour dont on pensera ce qu'on veut. Mais ça m'a bien fait marrer le coup des méchants qui sont tous descendants de nazis du IIIème Reich. Je précise que l'action se passe plus d'un siècle plus tard. Sans compter que leur chef s'appelle je sais plus comment mais quelque chose ressemblant étrangement à Adolf Hitler. On dirait que Cailleteau a l'art de ce genre de "clins d'oeil" que pour ma part je trouve scabreux (cf. David Gamesh dans "Aquablue"). Pour le reste, c'est de l'aventure à la Lanfeust si je puis dire, avec de la magie, un héros brave, et tiens il y même des trolls. Côté dessins, c'est plutôt réussi si on ne fait pas trop attention aux couleurs informatiques pas du meilleur effet ici.
Les mondes de Luz
Je garde un assez bon souvenir (vague néanmoins) de cette BD, même si elle ne m'a vraiment pas marqué. C'est typiquement le genre de BD qu'on emprunte en bibliothèque mais qu'on n'achète pas pour soi. Les dessins ne m'ont pas choqué, même si j'admets qu'ils ne sont pas transcendants. Quant au scénario, le thème habituel de la méchante oligarchie qui règne sur les pauvres malheureux et en plus les utilise comme cobayes pour des expériences scientifiques, ce n'est pas la première fois qu'on voit ça, et ce n'est pas la première fois qu'une gentille fille dégourdie va tenter de sauver un enfant des griffes de savants fous... et lubriques. Oui, car il y a une part de sadisme sexuel et de lubricité dans les actes des "méchants". Rien de vraiment dérangeant, et c'est même ça qui me fait me souvenir de cette BD alors que tout le reste est d'un banal total. Néanmoins, j'ai lu bien mieux sur des thèmes proches et je ne vous le conseille que pour une lecture rapide.
9 Têtes
C'est pas trop mal, mais bon, je n'apprécie pas trop ceux qui changent les noms réels tout en reprenant en fait la même chose... Les Homériques à la place des Amériques... Ca a le don de m'énerver... Mais une fois qu'on fait abstraction de cela, c'est une bd d'aventures correcte. Le scénario est honnête, le dessin idem, pas grand chose à dire. A prendre dans sa bibli municipale et à lire comme ça, un jour où on a du temps.
Les Maîtres Cartographes
Ca commence sur une bonne base : une planète recouverte d'une unique et gigantesque ville, et une guilde de cartographes découvrant les quartiers tous différents pour en tracer les cartes indispensables à la connaissance de la planète. Mais alors que les premiers tomes, déjà moyens, laissaient envisager une intrigue grandissante avec un complot, des voyages, etc., le tout s'enfonce peu à peu dans le médiocre et l'inintéressant. Le dessin lui-même évolue pour prendre le style gros nez francobelge. Et les histoires s'embrouillent, deviennent parfois même loufoques... Bref, le scénario n'est pas à la hauteur, et il est normal que le dessin n'ait pas vraiment suivi non plus. Dommage, ça partait sur une bonne idée.
Le Cycle de Cyann
Le dessin de Bourgeon est très beau (comme toujours)... L'idée de départ plutôt encourageante... Mais au final, que c'est pénible à lire ! Cette série est lente, confuse... J'ai dû me forcer pour venir à bout de ces deux tomes, et je suis sûre que j'ai décroché assez souvent pour passer à côté d'un tas de choses. Je ne sais pas si mon ennui est dû à la narration poussive, à la mise en page académique ou à l'avalanche de texte dispensable en bande dessinée mais, au final, à part 2-3 belles scènes, je ne vois pas vraiment l'intérêt de cette bd.
Patacrèpe et Couillalère
Pas grand chose à dire de cette bd, ça fait rarement rire et on peut pas se rattraper avec le dessin. A part le roi des raviolis, on peut passer... Je mets pas 1/5 car j'ai réussi à finir sans m'énerver.