Je me suis un peu forcé pour aller jusqu'au bout de ma lecture. Et c'est surtout à cause du graphisme crade et confus, que j'ai autant freiné. L'histoire en elle même, aurait pu être interessante, si elle avait bénéficié d'un dessin plus fin, plus soigné. Au bout du compte, je n'irais sans doute pas plus loin avec cette série. J'ai acheté l'intégrale par curiosité, mais en fait, j'aurais largement pu trouver une meilleure utilisation de mon fric.
Une atmosphère glauquissime, un dessin de virtuose, férocement baroque, des encrages sublimes et un scénario ... euh ... étrange.
Le dessin tout d'abord : les murs de la ville, ses trottoirs, ses drôles de véhicules, ses personnages improbables aux dents pourries, tout suinte le glauque et pourtant le résultat est d'un baroque somptueux. Simplement, il faut aimer le style De Crécy.
L'histoire se met lentement en place et il faut bien avouer qu'aucun des protagonistes ne suscite la sympathie. On a donc une sombre histoire de secret de famille, irradiée par un dessin flamboyant et génial.
A n'acheter que si vous craquez littéralement sur les illustrations. D'où ma note, car un dessin, si beau soit-il, ne saurait compenser la faiblesse du scénario qu'il accompagne.
Quant on sait, quand on voit ce que Paty fait sur "la Cicatrice du Souvenir", ou bien mieux encore, sur les "Kookaburra Universe" 2&3, on se dit que c'est moins bien. Forcément. En tout cas, c'est mon cas.
Sur cet album, le trait si rond et lisse de Paty ne donne pas toute son ampleur. C'est assez commun, et heureusement que j'avais lu "la Cicatrice du Souvenir" avant, sinon en voyant "l'Angeolende", j'aurais eu pas mal d'a priori sur le dessin de Paty. Ce n'est pas déplaisant, oui, mais rien de bien extraordinaire non plus...
En plus, les couleurs ne rendent pas justice une seconde au dessin. Que dire, sinon que je n'aime pas ces couleurs ?:)
Côté histoire, le scénario, qui ne brille pas par son originalité, aurait pu donner quelque chose de pas mauvais... Simplement, c'est traité de façon un peu maladroite à mon avis, et sans grande originalité de A à Z (alors si ça avait été bien développé pourquoi pas, mais là même pas).
Mais, comme l'idée de base était pas mal, je mets 2/5.
Vous l'aurez compris, une série dispensable, par son manque d'originalité sur l'histoire, par le dessin pas encore extra de Paty (contrairement à ces autres albums) et par le fait que ça soit une série arrêtée. Ce qui diminue l'intérêt.
Assez beau, en effet, d'un style original qu'on ne voit pour ainsi dire jamais.
Par contre, ce tome n'est guère plus qu'une introduction, qui en plus pose les bases de l'histoire assez rapidement... Quand on referme l'album et qu'on y repense, on a l'impression qu'il n'en reste pas grand chose. De plus, le manque d'originalité est flagrant. On se retrouve donc à lire ce récit un peu comme on se prépare une boite de cassoulet insipide : sans passion.
La toute fin relève tout de même un peu ce morne plat, mais bon, j'ai déjà dû le dire : marre des premiers tomes pleins de vide.
J'aurais dû me douter qu'un nouveau bon premier tome chez Soleil, ce n'était pas possible. Encouragé par les avis positifs ci-dessous, j'ai donc acheté "Belladone" et je me suis quand même bien fait chier. Ah, c'est sûr qu'on n'est pas au niveau des "Royaumes de Borée" mais on est quand même très loin de la bonne BD. L'histoire est extrêmement stéréotypée voire téléphonée. Le dessin, quoiqu'assez dynamique, ne me plaît vraiment pas, dans un style mi-réaliste mi-humoristique qui me fatigue plus qu'autre chose. Reste le fond historique, sympatoche, et quelques scènes de bagarre bien foutues mais pas grand-chose d'autre, insuffisant pour que je veuille lire la suite.
Je trouve les deux avis ici-bas un peu dur : si l'on peut effectivement se poser la question de l'intérêt de publier des gags/dessins parfois même pas finis (surtout à ce prix), c'est l'occasion de découvrir quelques inédits du grand Reiser et, si tout n'est pas génial, certains font clairement mouche. Effectivement, ça n'a rien d'érotique, je mettrais personnellement tous les Reiser en humour. Pour les fans.
Faut-il en rire ou en pleurer ? Un manga d'éducation sexuelle où les coupes anatomiques (les mêmes qu'en cours de bio) se suppléent aux gros plans gynécologiques qu'on serait en droit d'attendre d'un bouquin de cul normal. Le dessin est pas mal, ce qui fait que j'ai lu les quatres premiers tomes sans trop de difficultés mais 15 tomes comme ça et je me fais hara-kiri en avalant un poulpe vivant ! J'ai dû avoir mon premier début d'érection au tome 4, au terme de la première faciale de la série (au bout de 4 tomes, on croit rêver ; bientôt, elles ne voudront plus coucher le premier soir et nous raconteront que la levrette c'est dégradant). Bref, une BD à lire en primaire avant de commencer les premières séances de docteur avec la chagasse du CE1.
J'attendais sans doute trop de cette BD, et en premier lieu une ambiance... raté !
Ce premier opus, sans être franchement mauvais, se lit sans réel plaisir, la faute à un scénario beaucoup trop conventionnel et à un dessin trop propre pour réussir à instaurer un climat réellement angoissant... ce qu'on attend pourtant du genre.
Pour le positif, le dessin est agréable donc, et une piste semble néanmoins intéressante (la montre).
Peut-être le deuxième tome viendra-t-il réhausser la série ?
Je conseille donc d'attendre la suite avant de se lancer...
Réédition plus abordable d'un album paru en octobre 1992, "Santa Claus" est l'adaptation du roman de L. Frank Baum, et relate La "vie secrète" du père Noël (à noter des récitatifs assez abondants mais pas envahissants). On y voit en fait le personnage de Claus, depuis tout bébé, son abandon au fond des bois par ses parents, comment il a été recueilli et élevé par des nymphes, et tout ce qui va le mener peu à peu à devenir le père Noël tel qu'on le connaît.
Côté dessin, la couverture ne donne pas vraiment envie de l'ouvrir. D'ailleurs l'intérieur ne donne pas forcément envie de le lire; les couleurs en particulier, sont très pastels. Et pourtant le dessin devient agréable à la lecture, et il est certainement bien maîtrisé.
Le décor est résolument fantasy, puisque l'histoire se passe alors que les hommes commencent à se répandre sur le monde, et que les créatures magiques et immortelles, géants, elfes, lutins, Ryl bleus, démon des vents, etc. sont sur le déclin, repoussées par l'humanité.
Le thème de l'opposition bien/mal et du destin, du libre arbitre de cette humanité, est assez central. Pourtant le tout est traité assez légèrement, avec un certain optimisme. L'album semble viser la jeunesse, et en ce sens il n'est pas mal. Pour ma part j'ai trouvé ça sympathique mais très facilement oubliable.
J'suis comme Kael, j'ai du mal à comprendre comment un adulte peut aimer ces albums. Pour les marmots, je dis pas mais sinon... Octave est un conte quand même très simpliste et bien bateau qui reprend de plus le même concept sur deux tomes, ce qui fait que ça devrait très vite devenir redondant. Bref, je ne fais bien entendu pas partie du public visé, ce qui peut expliquer mon désintérêt, donc j'attends plutôt Chauvel dans ses polars sanglants que dans ses histoires de poissons.
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Agence Barbare
Je me suis un peu forcé pour aller jusqu'au bout de ma lecture. Et c'est surtout à cause du graphisme crade et confus, que j'ai autant freiné. L'histoire en elle même, aurait pu être interessante, si elle avait bénéficié d'un dessin plus fin, plus soigné. Au bout du compte, je n'irais sans doute pas plus loin avec cette série. J'ai acheté l'intégrale par curiosité, mais en fait, j'aurais largement pu trouver une meilleure utilisation de mon fric.
Foligatto
Une atmosphère glauquissime, un dessin de virtuose, férocement baroque, des encrages sublimes et un scénario ... euh ... étrange. Le dessin tout d'abord : les murs de la ville, ses trottoirs, ses drôles de véhicules, ses personnages improbables aux dents pourries, tout suinte le glauque et pourtant le résultat est d'un baroque somptueux. Simplement, il faut aimer le style De Crécy. L'histoire se met lentement en place et il faut bien avouer qu'aucun des protagonistes ne suscite la sympathie. On a donc une sombre histoire de secret de famille, irradiée par un dessin flamboyant et génial. A n'acheter que si vous craquez littéralement sur les illustrations. D'où ma note, car un dessin, si beau soit-il, ne saurait compenser la faiblesse du scénario qu'il accompagne.
L'AngeOlende
Quant on sait, quand on voit ce que Paty fait sur "la Cicatrice du Souvenir", ou bien mieux encore, sur les "Kookaburra Universe" 2&3, on se dit que c'est moins bien. Forcément. En tout cas, c'est mon cas. Sur cet album, le trait si rond et lisse de Paty ne donne pas toute son ampleur. C'est assez commun, et heureusement que j'avais lu "la Cicatrice du Souvenir" avant, sinon en voyant "l'Angeolende", j'aurais eu pas mal d'a priori sur le dessin de Paty. Ce n'est pas déplaisant, oui, mais rien de bien extraordinaire non plus... En plus, les couleurs ne rendent pas justice une seconde au dessin. Que dire, sinon que je n'aime pas ces couleurs ?:) Côté histoire, le scénario, qui ne brille pas par son originalité, aurait pu donner quelque chose de pas mauvais... Simplement, c'est traité de façon un peu maladroite à mon avis, et sans grande originalité de A à Z (alors si ça avait été bien développé pourquoi pas, mais là même pas). Mais, comme l'idée de base était pas mal, je mets 2/5. Vous l'aurez compris, une série dispensable, par son manque d'originalité sur l'histoire, par le dessin pas encore extra de Paty (contrairement à ces autres albums) et par le fait que ça soit une série arrêtée. Ce qui diminue l'intérêt.
Dontar
Assez beau, en effet, d'un style original qu'on ne voit pour ainsi dire jamais. Par contre, ce tome n'est guère plus qu'une introduction, qui en plus pose les bases de l'histoire assez rapidement... Quand on referme l'album et qu'on y repense, on a l'impression qu'il n'en reste pas grand chose. De plus, le manque d'originalité est flagrant. On se retrouve donc à lire ce récit un peu comme on se prépare une boite de cassoulet insipide : sans passion. La toute fin relève tout de même un peu ce morne plat, mais bon, j'ai déjà dû le dire : marre des premiers tomes pleins de vide.
Belladone
J'aurais dû me douter qu'un nouveau bon premier tome chez Soleil, ce n'était pas possible. Encouragé par les avis positifs ci-dessous, j'ai donc acheté "Belladone" et je me suis quand même bien fait chier. Ah, c'est sûr qu'on n'est pas au niveau des "Royaumes de Borée" mais on est quand même très loin de la bonne BD. L'histoire est extrêmement stéréotypée voire téléphonée. Le dessin, quoiqu'assez dynamique, ne me plaît vraiment pas, dans un style mi-réaliste mi-humoristique qui me fatigue plus qu'autre chose. Reste le fond historique, sympatoche, et quelques scènes de bagarre bien foutues mais pas grand-chose d'autre, insuffisant pour que je veuille lire la suite.
Dessins Cochons
Je trouve les deux avis ici-bas un peu dur : si l'on peut effectivement se poser la question de l'intérêt de publier des gags/dessins parfois même pas finis (surtout à ce prix), c'est l'occasion de découvrir quelques inédits du grand Reiser et, si tout n'est pas génial, certains font clairement mouche. Effectivement, ça n'a rien d'érotique, je mettrais personnellement tous les Reiser en humour. Pour les fans.
Step up love story
Faut-il en rire ou en pleurer ? Un manga d'éducation sexuelle où les coupes anatomiques (les mêmes qu'en cours de bio) se suppléent aux gros plans gynécologiques qu'on serait en droit d'attendre d'un bouquin de cul normal. Le dessin est pas mal, ce qui fait que j'ai lu les quatres premiers tomes sans trop de difficultés mais 15 tomes comme ça et je me fais hara-kiri en avalant un poulpe vivant ! J'ai dû avoir mon premier début d'érection au tome 4, au terme de la première faciale de la série (au bout de 4 tomes, on croit rêver ; bientôt, elles ne voudront plus coucher le premier soir et nous raconteront que la levrette c'est dégradant). Bref, une BD à lire en primaire avant de commencer les premières séances de docteur avec la chagasse du CE1.
100 âmes
J'attendais sans doute trop de cette BD, et en premier lieu une ambiance... raté ! Ce premier opus, sans être franchement mauvais, se lit sans réel plaisir, la faute à un scénario beaucoup trop conventionnel et à un dessin trop propre pour réussir à instaurer un climat réellement angoissant... ce qu'on attend pourtant du genre. Pour le positif, le dessin est agréable donc, et une piste semble néanmoins intéressante (la montre). Peut-être le deuxième tome viendra-t-il réhausser la série ? Je conseille donc d'attendre la suite avant de se lancer...
Santa Claus
Réédition plus abordable d'un album paru en octobre 1992, "Santa Claus" est l'adaptation du roman de L. Frank Baum, et relate La "vie secrète" du père Noël (à noter des récitatifs assez abondants mais pas envahissants). On y voit en fait le personnage de Claus, depuis tout bébé, son abandon au fond des bois par ses parents, comment il a été recueilli et élevé par des nymphes, et tout ce qui va le mener peu à peu à devenir le père Noël tel qu'on le connaît. Côté dessin, la couverture ne donne pas vraiment envie de l'ouvrir. D'ailleurs l'intérieur ne donne pas forcément envie de le lire; les couleurs en particulier, sont très pastels. Et pourtant le dessin devient agréable à la lecture, et il est certainement bien maîtrisé. Le décor est résolument fantasy, puisque l'histoire se passe alors que les hommes commencent à se répandre sur le monde, et que les créatures magiques et immortelles, géants, elfes, lutins, Ryl bleus, démon des vents, etc. sont sur le déclin, repoussées par l'humanité. Le thème de l'opposition bien/mal et du destin, du libre arbitre de cette humanité, est assez central. Pourtant le tout est traité assez légèrement, avec un certain optimisme. L'album semble viser la jeunesse, et en ce sens il n'est pas mal. Pour ma part j'ai trouvé ça sympathique mais très facilement oubliable.
Octave
J'suis comme Kael, j'ai du mal à comprendre comment un adulte peut aimer ces albums. Pour les marmots, je dis pas mais sinon... Octave est un conte quand même très simpliste et bien bateau qui reprend de plus le même concept sur deux tomes, ce qui fait que ça devrait très vite devenir redondant. Bref, je ne fais bien entendu pas partie du public visé, ce qui peut expliquer mon désintérêt, donc j'attends plutôt Chauvel dans ses polars sanglants que dans ses histoires de poissons.