Adaptation d'un roman d'aventures qui semble proche de L'île au trésor par le même dessinateur que Fracasse, ce tome 1 n'est pour l'instant pas très convaincant.
En 40 pages il ne se passe pas grand-chose, et si des Corteggiani et Faure réussisent une adaptation concise et fidèle, "Moonfleet" semble devoir durer beaucoup plus.
L'ambiance, sombre, est tout de même bien posée (d'ailleurs tout se passe la nuit ou sous une pluie d'orage), mais le dessin très... hâtif disons, m'a franchement rebuté au bout d'un moment, le pompon étant le personnage de Barbe Noire, avec une barbe qui ne ressemble à strictement rien.
Dans la même collection, Fracasse semble meilleur.
Une fille vulgaire, grossière et crade est recrutée par un groupe de super héros dont les membres sont propres sur eux et ont un comportement pur et basique leur permettant d'être conforme aux codes de la lecture pour la jeunesse.
Le côté trash de la Pro est tellement exagéré qu'elle est du coup juste un personnage aussi grotesque et caricatural que le reste de la bande.
L'idée de l'opposition des genres: Héros vertueux du monde comic book et personnage dépravé sensé représenter la réalité tombe donc à plat tant c'est forcé.
Côté dessin rien à sauver, informatisé et insipide c'est sans ame ni saveur.
Il reste quelques passages humoristiques réussis et la parodie de la ligue de justice.
La Pro c'est du trash politiquement correct, c'est vite lu, ce n'est pas franchement marquant donc c'est dispensable.
J’apprécie toujours autant Clarke en tant que dessinateur mais pas lorsqu’il s’improvise scénariste. Certes, cet album est à lire au troisième degré mais j’ai du mal malgré tout. Cette parodie fait parfois sourire (ou grincer des dents) en se disant que tout y est à peine exagéré. Toutefois, je trouve que Clarke s’est un peu trop reposé sur les pitreries pitoyables de "Mister President" en omettant de donner plus de consistance aux mini-récits. Quand on privilégie la facilité ...
Ceci dit, c’est (de loin) le meilleur scénario que Clarke nous ait concocté. Ce n’était pas bien difficile, j’en conviens.
A lire, oui . . . mais rien d’exceptionnel
Après qu'un vendeur me l'aie conseillé en même temps que Top 10 et The Authority, j'ai acheté les 3 tomes de cette série parus chez Semic.
Ca commence pas trop mal avec le premier tome. Je n'aime guère le dessin qui est trop dans le style comics moderne (dessinateur de Witchblade et Fathom) avec des filles canons et des mecs façon mannequins ténébreux. Mais techniquement il est très correct. Quant au scénario, il a une touche d'un Watchmen de bas étage avec des meurtres dans une communauté de Super Héros et des flash-backs sur le passé de la plupart de ces super-héros. En définitive même s'il ne se passe pas grand chose de plus qu'une introduction aux personnages et au background dans ce tome 1, il laissait espérer quelque chose d'intéressant ensuite.
Mais les tomes 2 et 3 m'ont carrément déçu.
Le dessinateur laisse la main à un gars largement moins doué, qui réussit déjà à peine les visages de ses persos mais trace surtout ses décors à la règle, vides et moches. Bref, le dessin est moche mais dissimulé derrière une colorisation informatique qui n'est pas mauvaise.
Et puis côté scénario, on délaisse assez rapidement la semi-originalité du début pour sombrer dans des affrontements de super-héros ou de militaires pour finir dans le tome 3 dans une sorte de mauvais X-Men où les humains et les super-héros cohabitent dans la douleur et où il y a des gentils et des méchants super-héros qui se bastonnent pour des raisons pseudo-complexes. Les personnages deviennent caricaturaux, les rebondissements futiles, l'intrigue totalement déjà-vue, le dessin moche.
Bref, ça devient mauvais.
Disons que l'idée de base n'est pas mauvaise: Un éminent chercheur à la solde des nazis pendant la période faste du troisième reich est envoyé dans le futur par une entité divine pour faire le bien, et du coup compenser ses mauvaises actions passées. Oh j'ai sommeil d'un coup là!
Alors le futur c'est en 2147 et c'est aux états unis que ça se passe. Un politicien extrémiste tente de prendre le pouvoir. Steinholtz (le chercheur) débarque sous la forme d'Obergeist un ange de la mort invincible.
Ca a du être balèze de créer le futur, c'est exactement pareil que de nos jours, ça c'est de l'anticipation!
En plus les dessins ne sont pas mauvais mais un peu trop "gentil cartoon" pour ce genre d'histoire, et puis même si on aime bien le noir et blanc, c'est souvent sur du fond gris, c'est pénible et lourd à suivre.
Pour finir avec la liste des « qualités », il faut voir l'homme de main vedette du club des méchants: Ridicule le mec! C'est un cerveau sur un corps humanoïde avec un bras plein d'armes fatales...
Seule les dernières pages relèvent un peu le niveau, et encore, la toute fin est aussi fatigante que creuse.
2/5 Parce que quelques passages sont quand même sympas et que la mise en case est originale.
Quandt à l'acheter pour ça...
Pour commencer je n'aime vraiment pas ce style de dessin et ces couleurs assez affreuses à mon sens. Pour continuer l'histoire n'est vraiment pas recherchée avec un espèce de mélange d'esprits maléfiques issus d'un monde de cauchemars que tente de contrer un docteur qui a le don de les démasquer.
Bof.
Mon avis rejoint ceux ci-dessous.
Oui, le dessin n'est pas mauvais, quoique certaines parties de l'anatomie, notamment masculine, soient plutôt ratées et moches à mes yeux.
Mais par contre, côté scénario, c'est plutôt nul. Le tome 1 et le tome 2 ont quasiment strictement la même histoire, avec les mêmes personnages, comme s'ils s'agissait de deux versions de la même histoire mais dans des décors et des circonstances légèrement différentes, comme si l'auteur avait voulu réécrire son histoire différemment. Pour autant, il n'y a pas vraiment d'idée à exploiter : l'histoire de chaque tome commence avec la même jeune femme soumise et docile dès le début qui se fait dès les premières pages dominer par les mêmes vieux moches autoritaires et puis le reste ce n'est plus que des scènes SM sans réelle originalité ni attrait.
Seul le dessin rattrape la qualité médiocre du scénario.
Ca vous fait tant penser à Phenomenum, cette série? Moi pas... Y’a bien deux trois-similitudes, mais qu’on retrouve dans un nombre incalculable d’autres histoires... Et puis le traitement de l’intrigue n’a pas grand chose à voir... A part en ce qui concerne l’usage d’une voix-off peut-être : le scénariste de Phenomenum en abusait, ce qui m’avait carrément gaché mon plaisir de lecture, ici, ils sont aussi un peu trop abondants, mais mieux écrits, il faut le dire. Mais là n’est pas l’important, ce qui frappe dans cette série, c’est la disparité de qualité entre les deux tomes.
A la fin de la lecture du tome 1, mon sentiment était celui-ci : histoire sympathique mais pas extraordinaire. Une histoire peu originale mais traitée avec une certaine sensibilité. Il est facile de s’identifier au personnage principal, le dessin, malgré quelques insuffisances, sert bien le récit.
Mais le deuxième et dernier tome est une vraie catastrophe... D’un point de vue visuel d’abord... Pourquoi diable avoir changé de technique de mise en couleur? Celles du premier tome étaient simples et mettaient en valeur le dessin. Ici, c’est très moche. Sur le plan de la mise en page, c’est aussi une vraie débâcle. Pourquoi tous ces débordements de cases tape à l’oeil et totalement injustifiés? C’est d’un goût douteux... Et puis le scénar... bof... Ca démarrait plutôt bien dans le premier tome, ça ressemble à n’importe quel film d’horreur de série b dans le second tome : rebondissements téléphonés, accélération de l’action, tout cela au mépris de la psychologie de personnages et de l’atmosphère délicieusement lente du premier tome...
Mouaif...............
C'est vraiment par égard pour Akamatsu qui a écrit la géniale série Love Hina que je continue à lire cette série.
Un héros débile, une petite amie à la personnalité de Lassie (normal c'est le héros qui l'a crée), des dessins moins beaux que ceux de Love Hina et une histoire aussi niaise que "Ah! my Goddess!" : tout cela n'a rien de très glorieux.
Néanmoins tout cela reste plus ou moins distrayant donc mérite un 2.
Enfin, je n'ai lu que les trois premiers tomes, j'espère donc une amélioration...
En fait, jusqu'à la moitié du 2e tome, je trouvais cette série érotique plutôt pas mal. Le scénario n'est guère original mais il est traité de manière assez excitante, les dessins sont relativement bons et ça se lit bien. Mais je dois avouer que la seconde moitié de cette série m'a un peu gonflé : ça tourne à l'explication de texte sur comment se passe une partouze et qu'est-ce qu'on peut y faire pour aller encore et encore plus loin dans le sexe à plusieurs. Quant au final de cette histoire qui se révèle dramatique, je l'ai trouvé plutôt mauvais.
Pas trop mauvais comme BD érotique mais pas assez pour la conseiller.
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Les Contrebandiers de Moonfleet (Moonfleet)
Adaptation d'un roman d'aventures qui semble proche de L'île au trésor par le même dessinateur que Fracasse, ce tome 1 n'est pour l'instant pas très convaincant. En 40 pages il ne se passe pas grand-chose, et si des Corteggiani et Faure réussisent une adaptation concise et fidèle, "Moonfleet" semble devoir durer beaucoup plus. L'ambiance, sombre, est tout de même bien posée (d'ailleurs tout se passe la nuit ou sous une pluie d'orage), mais le dessin très... hâtif disons, m'a franchement rebuté au bout d'un moment, le pompon étant le personnage de Barbe Noire, avec une barbe qui ne ressemble à strictement rien. Dans la même collection, Fracasse semble meilleur.
The Pro (La Pro)
Une fille vulgaire, grossière et crade est recrutée par un groupe de super héros dont les membres sont propres sur eux et ont un comportement pur et basique leur permettant d'être conforme aux codes de la lecture pour la jeunesse. Le côté trash de la Pro est tellement exagéré qu'elle est du coup juste un personnage aussi grotesque et caricatural que le reste de la bande. L'idée de l'opposition des genres: Héros vertueux du monde comic book et personnage dépravé sensé représenter la réalité tombe donc à plat tant c'est forcé. Côté dessin rien à sauver, informatisé et insipide c'est sans ame ni saveur. Il reste quelques passages humoristiques réussis et la parodie de la ligue de justice. La Pro c'est du trash politiquement correct, c'est vite lu, ce n'est pas franchement marquant donc c'est dispensable.
Mister President
J’apprécie toujours autant Clarke en tant que dessinateur mais pas lorsqu’il s’improvise scénariste. Certes, cet album est à lire au troisième degré mais j’ai du mal malgré tout. Cette parodie fait parfois sourire (ou grincer des dents) en se disant que tout y est à peine exagéré. Toutefois, je trouve que Clarke s’est un peu trop reposé sur les pitreries pitoyables de "Mister President" en omettant de donner plus de consistance aux mini-récits. Quand on privilégie la facilité ... Ceci dit, c’est (de loin) le meilleur scénario que Clarke nous ait concocté. Ce n’était pas bien difficile, j’en conviens. A lire, oui . . . mais rien d’exceptionnel
Rising Stars
Après qu'un vendeur me l'aie conseillé en même temps que Top 10 et The Authority, j'ai acheté les 3 tomes de cette série parus chez Semic. Ca commence pas trop mal avec le premier tome. Je n'aime guère le dessin qui est trop dans le style comics moderne (dessinateur de Witchblade et Fathom) avec des filles canons et des mecs façon mannequins ténébreux. Mais techniquement il est très correct. Quant au scénario, il a une touche d'un Watchmen de bas étage avec des meurtres dans une communauté de Super Héros et des flash-backs sur le passé de la plupart de ces super-héros. En définitive même s'il ne se passe pas grand chose de plus qu'une introduction aux personnages et au background dans ce tome 1, il laissait espérer quelque chose d'intéressant ensuite. Mais les tomes 2 et 3 m'ont carrément déçu. Le dessinateur laisse la main à un gars largement moins doué, qui réussit déjà à peine les visages de ses persos mais trace surtout ses décors à la règle, vides et moches. Bref, le dessin est moche mais dissimulé derrière une colorisation informatique qui n'est pas mauvaise. Et puis côté scénario, on délaisse assez rapidement la semi-originalité du début pour sombrer dans des affrontements de super-héros ou de militaires pour finir dans le tome 3 dans une sorte de mauvais X-Men où les humains et les super-héros cohabitent dans la douleur et où il y a des gentils et des méchants super-héros qui se bastonnent pour des raisons pseudo-complexes. Les personnages deviennent caricaturaux, les rebondissements futiles, l'intrigue totalement déjà-vue, le dessin moche. Bref, ça devient mauvais.
Obergeist
Disons que l'idée de base n'est pas mauvaise: Un éminent chercheur à la solde des nazis pendant la période faste du troisième reich est envoyé dans le futur par une entité divine pour faire le bien, et du coup compenser ses mauvaises actions passées. Oh j'ai sommeil d'un coup là! Alors le futur c'est en 2147 et c'est aux états unis que ça se passe. Un politicien extrémiste tente de prendre le pouvoir. Steinholtz (le chercheur) débarque sous la forme d'Obergeist un ange de la mort invincible. Ca a du être balèze de créer le futur, c'est exactement pareil que de nos jours, ça c'est de l'anticipation! En plus les dessins ne sont pas mauvais mais un peu trop "gentil cartoon" pour ce genre d'histoire, et puis même si on aime bien le noir et blanc, c'est souvent sur du fond gris, c'est pénible et lourd à suivre. Pour finir avec la liste des « qualités », il faut voir l'homme de main vedette du club des méchants: Ridicule le mec! C'est un cerveau sur un corps humanoïde avec un bras plein d'armes fatales... Seule les dernières pages relèvent un peu le niveau, et encore, la toute fin est aussi fatigante que creuse. 2/5 Parce que quelques passages sont quand même sympas et que la mise en case est originale. Quandt à l'acheter pour ça...
Shadowslayer
Pour commencer je n'aime vraiment pas ce style de dessin et ces couleurs assez affreuses à mon sens. Pour continuer l'histoire n'est vraiment pas recherchée avec un espèce de mélange d'esprits maléfiques issus d'un monde de cauchemars que tente de contrer un docteur qui a le don de les démasquer. Bof.
Le Dressage de Jane
Mon avis rejoint ceux ci-dessous. Oui, le dessin n'est pas mauvais, quoique certaines parties de l'anatomie, notamment masculine, soient plutôt ratées et moches à mes yeux. Mais par contre, côté scénario, c'est plutôt nul. Le tome 1 et le tome 2 ont quasiment strictement la même histoire, avec les mêmes personnages, comme s'ils s'agissait de deux versions de la même histoire mais dans des décors et des circonstances légèrement différentes, comme si l'auteur avait voulu réécrire son histoire différemment. Pour autant, il n'y a pas vraiment d'idée à exploiter : l'histoire de chaque tome commence avec la même jeune femme soumise et docile dès le début qui se fait dès les premières pages dominer par les mêmes vieux moches autoritaires et puis le reste ce n'est plus que des scènes SM sans réelle originalité ni attrait. Seul le dessin rattrape la qualité médiocre du scénario.
Dies Irae
Ca vous fait tant penser à Phenomenum, cette série? Moi pas... Y’a bien deux trois-similitudes, mais qu’on retrouve dans un nombre incalculable d’autres histoires... Et puis le traitement de l’intrigue n’a pas grand chose à voir... A part en ce qui concerne l’usage d’une voix-off peut-être : le scénariste de Phenomenum en abusait, ce qui m’avait carrément gaché mon plaisir de lecture, ici, ils sont aussi un peu trop abondants, mais mieux écrits, il faut le dire. Mais là n’est pas l’important, ce qui frappe dans cette série, c’est la disparité de qualité entre les deux tomes. A la fin de la lecture du tome 1, mon sentiment était celui-ci : histoire sympathique mais pas extraordinaire. Une histoire peu originale mais traitée avec une certaine sensibilité. Il est facile de s’identifier au personnage principal, le dessin, malgré quelques insuffisances, sert bien le récit. Mais le deuxième et dernier tome est une vraie catastrophe... D’un point de vue visuel d’abord... Pourquoi diable avoir changé de technique de mise en couleur? Celles du premier tome étaient simples et mettaient en valeur le dessin. Ici, c’est très moche. Sur le plan de la mise en page, c’est aussi une vraie débâcle. Pourquoi tous ces débordements de cases tape à l’oeil et totalement injustifiés? C’est d’un goût douteux... Et puis le scénar... bof... Ca démarrait plutôt bien dans le premier tome, ça ressemble à n’importe quel film d’horreur de série b dans le second tome : rebondissements téléphonés, accélération de l’action, tout cela au mépris de la psychologie de personnages et de l’atmosphère délicieusement lente du premier tome...
Ai non-stop !
Mouaif............... C'est vraiment par égard pour Akamatsu qui a écrit la géniale série Love Hina que je continue à lire cette série. Un héros débile, une petite amie à la personnalité de Lassie (normal c'est le héros qui l'a crée), des dessins moins beaux que ceux de Love Hina et une histoire aussi niaise que "Ah! my Goddess!" : tout cela n'a rien de très glorieux. Néanmoins tout cela reste plus ou moins distrayant donc mérite un 2. Enfin, je n'ai lu que les trois premiers tomes, j'espère donc une amélioration...
Viol d'un couple
En fait, jusqu'à la moitié du 2e tome, je trouvais cette série érotique plutôt pas mal. Le scénario n'est guère original mais il est traité de manière assez excitante, les dessins sont relativement bons et ça se lit bien. Mais je dois avouer que la seconde moitié de cette série m'a un peu gonflé : ça tourne à l'explication de texte sur comment se passe une partouze et qu'est-ce qu'on peut y faire pour aller encore et encore plus loin dans le sexe à plusieurs. Quant au final de cette histoire qui se révèle dramatique, je l'ai trouvé plutôt mauvais. Pas trop mauvais comme BD érotique mais pas assez pour la conseiller.