Très décevant. Si l'histoire de base n'est pas mauvaise, en revanche les personnages ne sont ni attachants ni même crédibles, le scénario se révèle vraiment téléphoné, d'une banalité que son apparente complexité ne parvient pas à dissimuler. Il utilise les poncifs du genre sans jamais réussir à les mettre en valeur, et surtout la fin est totalement ratée, d'autant plus que les pages précédentes auront éteint toute trace d'intérêt qu'on aurait pu éprouver. Même le superbe noir et blanc de Risso en pâtit, et on en vient à le trouver sans saveur, un comble !
Bref, ne fonctionne absolument pas. Dommage.
Cette BD ne m’a pas laissé un souvenir grandiose. Comme l’explique très bien Ro dans l’avis ci-dessus, faut vraiment s’accrocher pour rentrer dedans. On ne comprend pas qu’est-ce qui est arrivé à qui, ce que veulent les personnages, et on suit leurs récits avec un peu d’indifférence. Le dessin n’aide pas à sortir de cette confusion ni de ce détachement.
Cela s’améliore un peu, lorsque l’on comprend que l’objectif est la chasse d’un monstre mystérieux et qu’on rentre vraiment dans l’aventure, avec les rapports humains facilement tendus sur un bateau de pêche et les difficultés inhérentes à la navigation au milieu des icebergs. Mais le niveau ne décolle jamais vraiment, et une fois refermée, cette BD est vite oubliée.
Attiré par le graphisme soigné de l'œuvre, comme souvent en BD, je le lis… pour finalement être déçu par la conclusion de ce récit. L’auteur est parti dans un délire biblique incompréhensible (difficile d’en dire plus sans en gâcher la lecture pour un autre). Et c’est d’autant plus navrant que les personnages sont attachants et hors du commun. Nous suivons avec bonheur leurs interactions et leurs évolutions. L’environnement, un château perdu dans la campagne, offre un cadre idéal à l’intrigue.
Mon sentiment principal à la fin de cette lecture est celle d'un gachis alors que l'histoire était prometteuse.
Je n'ai pas lu l'intégralité de cette série et je ne la lirai pas c'est sûr!
Pas que cela soit mauvais, mais bon dans cette BD il y a une ambiance assez vieillotte que je n'apprécie pas forcément.
Les albums sont d'inégale qualité selon les auteurs, du coup c'est à chaque fois une histoire indépendante et certaines sont abracadabrantes. Les personnages sont tous plus ou moins stéréotypés et il y a un côté caricatural parfois un peu poussé.
Ce poulpe ne m'a pas emballé et j'oublierai cette BD sans trop de difficultés. Une série policière mineure.
Ah les années 80. Les poursuites en GS, les coupes de cheveux sages, les bons sentiments... La BD de Violeff reflète bien cette époque. Le héros de toutes ses histoires a toujours la même tête, le même caractère de pigeon, de bonne pâte qui se fait toujours avoir. Les flingues apparaissent vite, les ennuis aussi. Mais, à vouloir plaquer du Burma sur du Tardi mâtiné de Lécroart au dessin, on finit par faire une mauvaise tambouille... Les histoires deiennent vite ennuyeuses, et la prose se veut un peu trop prétentieuse, verbeuse.
Un album assez décevant dans cette très bonne collection Tohu-Bohu. J'ai eu beaucoup de mal à passer les 10 premières pages.
Le dessin de Malès m'avait relativement plu dans Mille Visages mais ici les couleurs ne viennent pas aider à la lisibilité, c'est donc parfois un peu fouillis, un peu trop sombre.
Le "problème" du dessin est finalement assez mineur au regard du scénario qui ne m'a pas ennuyé, mais qui ne m'a pas non plus intéressé. Tout est prévisible du début à la fin, et certains passages sont tout simplement inutiles et sont complêtement tirés par les cheveux.
Voilà une des BDs antiques qui est toujours aussi connue de nos jours que dans les années 30 où elle a connu son apogée. Qui ne connait pas Popeye le marin au dialecte tellement... marin, sa compagne Olive au physique très (peu) avantageux, ses épinards qui le rendent très fort, le méchant Brutus, etc...
Pourtant, je n'ai jamais accroché à ces strips ou ces histoires courtes. Le personnage lui-même de Popeye ne me parait pas charismatique, les histoires courtes sans réel interêt, les gags rarement drôles. C'est le cas typique d'une Bd qui a plutôt mal vieilli à mon goût.
Alors il reste les grands classiques que sont devenus les personnages de cette série, mais franchement, essayez d'en relire, vous verrez que ce n'est guère fameux.
Niveau SM, on est très loin de l'excellence d'un Von Götha. C'est sûr, les auteurs ont cherchés à faire original, mais c'est surtout de la torture, et pouf, la nana dit qu'elle a pris son pied alors qu'elle a hurlée de douleur pendant 3 pages. Mouais, bof sérieux.
Sinon, le dessin est un peu juste selon moi (ya des côté qui ressemble un peu à Tacito, lol), c'est à la fois trop simple pour les perso et trop chargé pour les décors.
Bref, c'est pas de la grande BD...
J'ai bien aimé le premier cycle, malgré les dessins qui sont super froids et pas du tout prenants... J'ai trouvé que l'histoire était pas mal menée et que l'intrigue se tenait. Par contre je n'apprécie pas du tout les personnages.
La suite, j'ai totalement décroché car ça devenait super compliqué pour moi (une des mes profs m'a dit que j'étais un gnouf, ça doit vouloir dire limité...) et que l'histoire ne valait plus trop la peine d'être lue, car vraiment ennuyeuse...
On peut éviter à mon sens, et c'est bien dommage car l'histoire du premier cycle valait un 3/5.
Un grand vide. C'est en somme ce qui me reste après la lecture de cet album. A l'ouest de Tokyo n'était déjà pas bien passionnant, pas très lisible et assez hermétique, mais il proposait une ambiance certaine, en accord avec le sujet. Cet album-ci a les mêmes défauts, mais en pire. Le dessin de l'auteur est assez illisible, on peine à différencier les personnages entre eux et à les reconnaître, à quelques exceptions près il n'est pas attirant; le découpage est parfois difficile à suivre; et l'amoncellement des tranches de vie sans aucun suivi, sans cohérence, sans but, sans justification, avec des personnages dont on se demande ce qu'ils viennent faire là est franchement pénible.
Si Carabas voulait comme Sakka proposer des mangas d'auteur, ils ont bien réussi. Maintenant s'ils pouvaient choisir des mangas compréhensibles, ça pourrait être pas mal aussi. 1,5. Je mets 2 pour être gentil.
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Jonny Double
Très décevant. Si l'histoire de base n'est pas mauvaise, en revanche les personnages ne sont ni attachants ni même crédibles, le scénario se révèle vraiment téléphoné, d'une banalité que son apparente complexité ne parvient pas à dissimuler. Il utilise les poncifs du genre sans jamais réussir à les mettre en valeur, et surtout la fin est totalement ratée, d'autant plus que les pages précédentes auront éteint toute trace d'intérêt qu'on aurait pu éprouver. Même le superbe noir et blanc de Risso en pâtit, et on en vient à le trouver sans saveur, un comble ! Bref, ne fonctionne absolument pas. Dommage.
Haute Mer
Cette BD ne m’a pas laissé un souvenir grandiose. Comme l’explique très bien Ro dans l’avis ci-dessus, faut vraiment s’accrocher pour rentrer dedans. On ne comprend pas qu’est-ce qui est arrivé à qui, ce que veulent les personnages, et on suit leurs récits avec un peu d’indifférence. Le dessin n’aide pas à sortir de cette confusion ni de ce détachement. Cela s’améliore un peu, lorsque l’on comprend que l’objectif est la chasse d’un monstre mystérieux et qu’on rentre vraiment dans l’aventure, avec les rapports humains facilement tendus sur un bateau de pêche et les difficultés inhérentes à la navigation au milieu des icebergs. Mais le niveau ne décolle jamais vraiment, et une fois refermée, cette BD est vite oubliée.
La pension du docteur Eon
Attiré par le graphisme soigné de l'œuvre, comme souvent en BD, je le lis… pour finalement être déçu par la conclusion de ce récit. L’auteur est parti dans un délire biblique incompréhensible (difficile d’en dire plus sans en gâcher la lecture pour un autre). Et c’est d’autant plus navrant que les personnages sont attachants et hors du commun. Nous suivons avec bonheur leurs interactions et leurs évolutions. L’environnement, un château perdu dans la campagne, offre un cadre idéal à l’intrigue. Mon sentiment principal à la fin de cette lecture est celle d'un gachis alors que l'histoire était prometteuse.
Le Poulpe
Je n'ai pas lu l'intégralité de cette série et je ne la lirai pas c'est sûr! Pas que cela soit mauvais, mais bon dans cette BD il y a une ambiance assez vieillotte que je n'apprécie pas forcément. Les albums sont d'inégale qualité selon les auteurs, du coup c'est à chaque fois une histoire indépendante et certaines sont abracadabrantes. Les personnages sont tous plus ou moins stéréotypés et il y a un côté caricatural parfois un peu poussé. Ce poulpe ne m'a pas emballé et j'oublierai cette BD sans trop de difficultés. Une série policière mineure.
Coup sur coup
Ah les années 80. Les poursuites en GS, les coupes de cheveux sages, les bons sentiments... La BD de Violeff reflète bien cette époque. Le héros de toutes ses histoires a toujours la même tête, le même caractère de pigeon, de bonne pâte qui se fait toujours avoir. Les flingues apparaissent vite, les ennuis aussi. Mais, à vouloir plaquer du Burma sur du Tardi mâtiné de Lécroart au dessin, on finit par faire une mauvaise tambouille... Les histoires deiennent vite ennuyeuses, et la prose se veut un peu trop prétentieuse, verbeuse.
L'Autre Laideur l'Autre Folie
Un album assez décevant dans cette très bonne collection Tohu-Bohu. J'ai eu beaucoup de mal à passer les 10 premières pages. Le dessin de Malès m'avait relativement plu dans Mille Visages mais ici les couleurs ne viennent pas aider à la lisibilité, c'est donc parfois un peu fouillis, un peu trop sombre. Le "problème" du dessin est finalement assez mineur au regard du scénario qui ne m'a pas ennuyé, mais qui ne m'a pas non plus intéressé. Tout est prévisible du début à la fin, et certains passages sont tout simplement inutiles et sont complêtement tirés par les cheveux.
Popeye
Voilà une des BDs antiques qui est toujours aussi connue de nos jours que dans les années 30 où elle a connu son apogée. Qui ne connait pas Popeye le marin au dialecte tellement... marin, sa compagne Olive au physique très (peu) avantageux, ses épinards qui le rendent très fort, le méchant Brutus, etc... Pourtant, je n'ai jamais accroché à ces strips ou ces histoires courtes. Le personnage lui-même de Popeye ne me parait pas charismatique, les histoires courtes sans réel interêt, les gags rarement drôles. C'est le cas typique d'une Bd qui a plutôt mal vieilli à mon goût. Alors il reste les grands classiques que sont devenus les personnages de cette série, mais franchement, essayez d'en relire, vous verrez que ce n'est guère fameux.
La Cité des Rêves
Niveau SM, on est très loin de l'excellence d'un Von Götha. C'est sûr, les auteurs ont cherchés à faire original, mais c'est surtout de la torture, et pouf, la nana dit qu'elle a pris son pied alors qu'elle a hurlée de douleur pendant 3 pages. Mouais, bof sérieux. Sinon, le dessin est un peu juste selon moi (ya des côté qui ressemble un peu à Tacito, lol), c'est à la fois trop simple pour les perso et trop chargé pour les décors. Bref, c'est pas de la grande BD...
Balade au bout du monde
J'ai bien aimé le premier cycle, malgré les dessins qui sont super froids et pas du tout prenants... J'ai trouvé que l'histoire était pas mal menée et que l'intrigue se tenait. Par contre je n'apprécie pas du tout les personnages. La suite, j'ai totalement décroché car ça devenait super compliqué pour moi (une des mes profs m'a dit que j'étais un gnouf, ça doit vouloir dire limité...) et que l'histoire ne valait plus trop la peine d'être lue, car vraiment ennuyeuse... On peut éviter à mon sens, et c'est bien dommage car l'histoire du premier cycle valait un 3/5.
Beautiful World
Un grand vide. C'est en somme ce qui me reste après la lecture de cet album. A l'ouest de Tokyo n'était déjà pas bien passionnant, pas très lisible et assez hermétique, mais il proposait une ambiance certaine, en accord avec le sujet. Cet album-ci a les mêmes défauts, mais en pire. Le dessin de l'auteur est assez illisible, on peine à différencier les personnages entre eux et à les reconnaître, à quelques exceptions près il n'est pas attirant; le découpage est parfois difficile à suivre; et l'amoncellement des tranches de vie sans aucun suivi, sans cohérence, sans but, sans justification, avec des personnages dont on se demande ce qu'ils viennent faire là est franchement pénible. Si Carabas voulait comme Sakka proposer des mangas d'auteur, ils ont bien réussi. Maintenant s'ils pouvaient choisir des mangas compréhensibles, ça pourrait être pas mal aussi. 1,5. Je mets 2 pour être gentil.