Pour le coup j'ai un avis vraiment différent de la majorité. Vais-je me faire lapider en place publique?
Certes les jeux de mots ne sont pas mauvais, pas forcément très marrants, mais bien trouvés, mais bon j'ai eu du mal à rire plus d'une fois par album. Alors a 4 gags par page en moyenne ça fait quand même un peu léger.
Très léger si on considère le prix exorbitant des albums...:o
En même temps il a trouvé le bon filon; c'est pas les dessins qui doivent lui prendre beaucoup de temps!
Voilà une BD assez spéciale que j'ai hésité à classer dans humour. Effectivement, elle est traitée sur le ton de l'humour, mais c'est essentiellement une BD destinée aux fans de ce groupe "made in M6" où, plutôt que de simples gags, nous découvrons plutôt des anecdotes sur les filles du groupe, sur ce qu'aime et n'aime pas chacune d'entre elles, sur leurs chansons...
Le dessin est tout juste correct, très typé caricaturiste et ne s'occupant que des personnages pas des décors. Mais par contre je n'aime pas du tout la colorisation qu'on pourrait croire faite au crayon de couleurs d'écolier. Ça donne un aspect moche à cette BD.
Maintenant concernant le contenu, quand on n'est pas fan des L5, quand on ne les connait même pas, il n'y a carrément aucun intérêt, car ce n'est tout simplement jamais drôle. Mais je suppose que le public visé, c'est justement uniquement les jeunes fans de ce groupe, et bon, disons que pour eux, ce ne doit pas être une BD trop mal.
Pour les autres, aucun intérêt.
Attention, suite de clichés en approche...
Déjà, je n'aime pas Pratt. Je trouve ses scenarii plutôt chiants, peu intéressants. A ce titre, Corto Maltese a été une grande désillusion.
Et puis Manara est un gros libidineux, qui dessine certes bien les femmes, mais qui ne s'intéresse qu'à la chose.
Cet album a confirmé la première impression, et nuancé la seconde. Parce que l'on aurait pu voir dans cet album l'évocation d'un épisode obscur de l'histoire naissante des Etats-Unis. Mais hélas, on n'arrive pas à s'y accrocher. L'histoire des Black aurait pu faire l'objet d'une série de 4 ou 5 albums. Mais Pratt a préféré en condenser une partie sur un gros album, et expédier le reste en "voix off" à la fin. Voilà pour le scénario.
Côté dessin, c'est vrai que Manara est quand même bon. Et, pour une fois, les seuls croupes et tétons qui apparaissent dans l'album sont justifiés par l'histoire, mais il n'en rajoute pas. Les filles sont bien dessinées, mais il a du mal avec les hommes, du moins les adolescents. Regardez les deux imbéciles qui se font trucider et scalper au début de l'album, ils sont difformes... Et le pauvre Jérémie, qui a déjà un pet de travers, n'est pas gâté par son créateur, non plus... Dommage, ça aurait pu remonter mon estime.
Pas fameux.
J'aime en général le trait d'Isabelle Dethan, mais là, l'histoire ne m'a pas transportée.
C'est une petite fille qui raconte ses vacances chez sa grand-mère, avec sa mamy et sa tante, avec ses copains, avec ses petites manies, ses attentes...
Oui, mais ça ne m'a pas touchée du tout. La lecture n'était pas désagréable, mais en refermant cette BD, je me suis dit que ça ne m'avait rien apporté et que ce serait très vite oublié. Je n'en retire rien.
Mais peut-être serez-vous plus sensibles à ce récit que je l'ai été...
Niveau invention, cette bd fleurte avec le zéro puisqu’il s’agit d’adaptation en bd de blagues sur les blondes bien connues. J’ignore si les auteurs en ont eux-mêmes inventés mais si c’est le cas, la proportion doit pas être énorme, parce que je connaissais déjà les ¾ des gags alors que je suis pas particulièrement adepte de ce genre de blagues... Certains gags sont même des adaptations d’autres blagues transformées « blondes » pour l’occasion... La sélection est plutôt bonne. La quasi totalité des gags amusent son homme. Mais comme on peut s’y attendre, cela ne vole pas haut, c’est assez répétitif et monothématique...
Le dessin fonctionne, même si les blondes en question sont monoexpressives... elles affichent sans cesse ce même sourire con... Cela sert le propos, d’accord, mais en même temps cela permet au dessinateur de pas trop se creuser...
Dernier détail qui sent le foutage de gueule : l’album fait 38 pages et 36 planches... L’éditeur a pris soin de ne pas baisser son prix et de ne pas numéroter la dernière planche pour que cela passe un peu plus inaperçu... On nous prendrait par pour des blondes, des fois?
Après les blagues érotiques mises en BD, après les adaptations d'émissions télés, c'est maintenant aux blagues sur les blondes que les éditions Soleil s'attaquent.
Ca sent très fort la BD commerciale !
Ca aurait pu plus mal tomber car les blagues sur les blondes (comme celles sur les Belges à l'époque en France, ou sur les Zaïrois à l'époque en Belgique) ne sont vraiment pas de celles qui me font rire. Méchanceté facile et stéréotypes sur la bêtise, je trouve ça bof pour une blague.
Mais ça aurait pu être pire car le dessin de Dzack n'est pas trop mauvais et je dois avouer que certains gags sont quand même marrants.
Par contre, évidemment, c'est souvent bas de plafond et ce n'est pas novateur puisque ces blagues ont déjà été entendues à droite à gauche. En outre, ce type de gags en BD sur toute la longueur d'un album, ça lasse très très vite.
Le scénario se laisse aborder sans réel déplaisir, sans grande excitation non plus, remarquez... Ce n’est qu’un premier tome qui manque encore de vraie consistance thématique. Susciter le mystère, c’est bien joli, mais faudra bien veiller à clôturer tout ça de manière satisfaisante...
Le dessin me laisse quelque peu circonspect. Je ne pense pas me tromper en disant que le dessinateur a procédé comme ceci : tout a d’abord été fait à l’ordinateur, dessin, perspective... Sur cette base a été ajoutée des couleurs directes. Le résultat est surprenant, les couleurs sont chaudes et plutôt bien choisies, mais le tout manque d’homogénéité. Je pense surtout à certains personnages (le maire, notamment) qui semblent appartenir à un autre registre graphique que les autres. Certains décors semblent trop lisses par rapport aux personnages...
Je n'ai jamais été vraiment convaincu par les bd lourdement assistée par ordinateur. La 3D en bd, c’est assez gadget... Ce que je peux trouver beau ou épatant dans un jeu vidéo ou un film d’animation, je le trouve souvent vain et froid en bd... Il manque le mouvement, qui est l’essence même de l’image 3D
Je ne suis pour l'instant clairement pas convaincu par ce premier tome. L'histoire (un shonen) à base fantastique est ici très portée sur l'aspect policier / thriller, avec le personnage crapuleux de Rock Makube qui commet un enlèvement et exige une rançon. Il sait de plus se déguiser à merveille. Ca rappelle très fortement MW et Nanairo Inko, et l'histoire, loin d'être passionnante, est même carrément longuette et lassante. Ca tire beaucoup sur le "il arrive des trucs"... On ne sait en outre pas trop sur quel pied danser, avec tous ces intermèdes comiques, ces gags qui parsèment les pages, Tezuka qui apparaît comme un personnage assez important...
Les vampires en tant que population n'apparaissent guère qu'au début (le prologue) et vers la fin, ce qui, en pouvant tirer ce récit d'une "banale" intrigue policière, me donne quand même de l'espoir pour la suite.
J'attends donc de voir la suite et l'orientation que va prendre l'histoire. Pour l'instant bof.
Le format bunko est toujours aussi élégant et peu pratique a ouvrir : la reliure est dure et on a du mal à voir le milieu des double pages, contrairement à L'Ecole emportée. Sinon les coquilles et fautes d'orthographe des premiers volumes d'Asuka ont disparu et c'est tant mieux. Effort certes indispensable mais néanmoins à saluer.
Tout comme Cassidy et Doña Hermine, j’ai été déçu par cet album empli d’anecdotes sans grand intérêt formant une succession de faits anodins. Ca reste très descriptif, voire trop. La sensibilité de la fillette au monde qui l’entoure ne suffit pas pour rendre cet album touchant. Album dont l’histoire m’indiffère car il n’apporte rien mais dont le dessin me plaît.
Je précise que j’apprécie le travail d’Isabelle Dethan mais c’est la bd en question que je note et non mon capital sympathie envers l’auteur.
Mouais bof, c'est loin d'être le meilleur album de König que j'ai pu lire.
C'est une fois encore bourré de bonnes idées et de dialogues déjantés mais ça ne la sauce ne prend pas vu qu'on n'a pas le temps de s'attacher aux personnages qui changent à chaque histoire. Ca rend le tout beaucoup trop léger et j'ai presque l'impression que König a voulu faire une BD moins crue que les autres, presque grand public (presque hein, faut pas pousser, ça reste limite porno par moments)
C'est dommage de "gâcher" de si bonnes idées comme ça.
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Le Chat
Pour le coup j'ai un avis vraiment différent de la majorité. Vais-je me faire lapider en place publique? Certes les jeux de mots ne sont pas mauvais, pas forcément très marrants, mais bien trouvés, mais bon j'ai eu du mal à rire plus d'une fois par album. Alors a 4 gags par page en moyenne ça fait quand même un peu léger. Très léger si on considère le prix exorbitant des albums...:o En même temps il a trouvé le bon filon; c'est pas les dessins qui doivent lui prendre beaucoup de temps!
L5 - Histoires d'Elles 5
Voilà une BD assez spéciale que j'ai hésité à classer dans humour. Effectivement, elle est traitée sur le ton de l'humour, mais c'est essentiellement une BD destinée aux fans de ce groupe "made in M6" où, plutôt que de simples gags, nous découvrons plutôt des anecdotes sur les filles du groupe, sur ce qu'aime et n'aime pas chacune d'entre elles, sur leurs chansons... Le dessin est tout juste correct, très typé caricaturiste et ne s'occupant que des personnages pas des décors. Mais par contre je n'aime pas du tout la colorisation qu'on pourrait croire faite au crayon de couleurs d'écolier. Ça donne un aspect moche à cette BD. Maintenant concernant le contenu, quand on n'est pas fan des L5, quand on ne les connait même pas, il n'y a carrément aucun intérêt, car ce n'est tout simplement jamais drôle. Mais je suppose que le public visé, c'est justement uniquement les jeunes fans de ce groupe, et bon, disons que pour eux, ce ne doit pas être une BD trop mal. Pour les autres, aucun intérêt.
Un été indien
Attention, suite de clichés en approche... Déjà, je n'aime pas Pratt. Je trouve ses scenarii plutôt chiants, peu intéressants. A ce titre, Corto Maltese a été une grande désillusion. Et puis Manara est un gros libidineux, qui dessine certes bien les femmes, mais qui ne s'intéresse qu'à la chose. Cet album a confirmé la première impression, et nuancé la seconde. Parce que l'on aurait pu voir dans cet album l'évocation d'un épisode obscur de l'histoire naissante des Etats-Unis. Mais hélas, on n'arrive pas à s'y accrocher. L'histoire des Black aurait pu faire l'objet d'une série de 4 ou 5 albums. Mais Pratt a préféré en condenser une partie sur un gros album, et expédier le reste en "voix off" à la fin. Voilà pour le scénario. Côté dessin, c'est vrai que Manara est quand même bon. Et, pour une fois, les seuls croupes et tétons qui apparaissent dans l'album sont justifiés par l'histoire, mais il n'en rajoute pas. Les filles sont bien dessinées, mais il a du mal avec les hommes, du moins les adolescents. Regardez les deux imbéciles qui se font trucider et scalper au début de l'album, ils sont difformes... Et le pauvre Jérémie, qui a déjà un pet de travers, n'est pas gâté par son créateur, non plus... Dommage, ça aurait pu remonter mon estime.
Eva aux Mains Bleues
Pas fameux. J'aime en général le trait d'Isabelle Dethan, mais là, l'histoire ne m'a pas transportée. C'est une petite fille qui raconte ses vacances chez sa grand-mère, avec sa mamy et sa tante, avec ses copains, avec ses petites manies, ses attentes... Oui, mais ça ne m'a pas touchée du tout. La lecture n'était pas désagréable, mais en refermant cette BD, je me suis dit que ça ne m'avait rien apporté et que ce serait très vite oublié. Je n'en retire rien. Mais peut-être serez-vous plus sensibles à ce récit que je l'ai été...
Les Blondes
Niveau invention, cette bd fleurte avec le zéro puisqu’il s’agit d’adaptation en bd de blagues sur les blondes bien connues. J’ignore si les auteurs en ont eux-mêmes inventés mais si c’est le cas, la proportion doit pas être énorme, parce que je connaissais déjà les ¾ des gags alors que je suis pas particulièrement adepte de ce genre de blagues... Certains gags sont même des adaptations d’autres blagues transformées « blondes » pour l’occasion... La sélection est plutôt bonne. La quasi totalité des gags amusent son homme. Mais comme on peut s’y attendre, cela ne vole pas haut, c’est assez répétitif et monothématique... Le dessin fonctionne, même si les blondes en question sont monoexpressives... elles affichent sans cesse ce même sourire con... Cela sert le propos, d’accord, mais en même temps cela permet au dessinateur de pas trop se creuser... Dernier détail qui sent le foutage de gueule : l’album fait 38 pages et 36 planches... L’éditeur a pris soin de ne pas baisser son prix et de ne pas numéroter la dernière planche pour que cela passe un peu plus inaperçu... On nous prendrait par pour des blondes, des fois?
Les Blondes
Après les blagues érotiques mises en BD, après les adaptations d'émissions télés, c'est maintenant aux blagues sur les blondes que les éditions Soleil s'attaquent. Ca sent très fort la BD commerciale ! Ca aurait pu plus mal tomber car les blagues sur les blondes (comme celles sur les Belges à l'époque en France, ou sur les Zaïrois à l'époque en Belgique) ne sont vraiment pas de celles qui me font rire. Méchanceté facile et stéréotypes sur la bêtise, je trouve ça bof pour une blague. Mais ça aurait pu être pire car le dessin de Dzack n'est pas trop mauvais et je dois avouer que certains gags sont quand même marrants. Par contre, évidemment, c'est souvent bas de plafond et ce n'est pas novateur puisque ces blagues ont déjà été entendues à droite à gauche. En outre, ce type de gags en BD sur toute la longueur d'un album, ça lasse très très vite.
Les quartiers de l'étrange
Le scénario se laisse aborder sans réel déplaisir, sans grande excitation non plus, remarquez... Ce n’est qu’un premier tome qui manque encore de vraie consistance thématique. Susciter le mystère, c’est bien joli, mais faudra bien veiller à clôturer tout ça de manière satisfaisante... Le dessin me laisse quelque peu circonspect. Je ne pense pas me tromper en disant que le dessinateur a procédé comme ceci : tout a d’abord été fait à l’ordinateur, dessin, perspective... Sur cette base a été ajoutée des couleurs directes. Le résultat est surprenant, les couleurs sont chaudes et plutôt bien choisies, mais le tout manque d’homogénéité. Je pense surtout à certains personnages (le maire, notamment) qui semblent appartenir à un autre registre graphique que les autres. Certains décors semblent trop lisses par rapport aux personnages... Je n'ai jamais été vraiment convaincu par les bd lourdement assistée par ordinateur. La 3D en bd, c’est assez gadget... Ce que je peux trouver beau ou épatant dans un jeu vidéo ou un film d’animation, je le trouve souvent vain et froid en bd... Il manque le mouvement, qui est l’essence même de l’image 3D
Vampires (Tezuka)
Je ne suis pour l'instant clairement pas convaincu par ce premier tome. L'histoire (un shonen) à base fantastique est ici très portée sur l'aspect policier / thriller, avec le personnage crapuleux de Rock Makube qui commet un enlèvement et exige une rançon. Il sait de plus se déguiser à merveille. Ca rappelle très fortement MW et Nanairo Inko, et l'histoire, loin d'être passionnante, est même carrément longuette et lassante. Ca tire beaucoup sur le "il arrive des trucs"... On ne sait en outre pas trop sur quel pied danser, avec tous ces intermèdes comiques, ces gags qui parsèment les pages, Tezuka qui apparaît comme un personnage assez important... Les vampires en tant que population n'apparaissent guère qu'au début (le prologue) et vers la fin, ce qui, en pouvant tirer ce récit d'une "banale" intrigue policière, me donne quand même de l'espoir pour la suite. J'attends donc de voir la suite et l'orientation que va prendre l'histoire. Pour l'instant bof. Le format bunko est toujours aussi élégant et peu pratique a ouvrir : la reliure est dure et on a du mal à voir le milieu des double pages, contrairement à L'Ecole emportée. Sinon les coquilles et fautes d'orthographe des premiers volumes d'Asuka ont disparu et c'est tant mieux. Effort certes indispensable mais néanmoins à saluer.
Eva aux Mains Bleues
Tout comme Cassidy et Doña Hermine, j’ai été déçu par cet album empli d’anecdotes sans grand intérêt formant une succession de faits anodins. Ca reste très descriptif, voire trop. La sensibilité de la fillette au monde qui l’entoure ne suffit pas pour rendre cet album touchant. Album dont l’histoire m’indiffère car il n’apporte rien mais dont le dessin me plaît. Je précise que j’apprécie le travail d’Isabelle Dethan mais c’est la bd en question que je note et non mon capital sympathie envers l’auteur.
Coeurs Chauds
Mouais bof, c'est loin d'être le meilleur album de König que j'ai pu lire. C'est une fois encore bourré de bonnes idées et de dialogues déjantés mais ça ne la sauce ne prend pas vu qu'on n'a pas le temps de s'attacher aux personnages qui changent à chaque histoire. Ca rend le tout beaucoup trop léger et j'ai presque l'impression que König a voulu faire une BD moins crue que les autres, presque grand public (presque hein, faut pas pousser, ça reste limite porno par moments) C'est dommage de "gâcher" de si bonnes idées comme ça.