Voilà effectivement une petite série très peu connue.
C'est relativement dommage car le premier tome est une vraie réussite. Il nous fait découvrir avec humour mais sans trahison la mythologie scandinave, ses protagonistes principaux et une partie de leurs motivations.
Le dessin, très original, n'est pas désagréable et le tout se lit avec plaisir et sans effort. Juste un bémol sur le premier tome : la trame de l'histoire qui part un peu dans tous les sens, se scindant parfois en de petites historiettes intéressantes mais à la limite de la disgression.
Le tome 2 que j'ai lu récemment, plusieurs années après le 1, a été une franche déception. Le dessin m'a paru bâclé et la colorisation franchement pourrie. L'histoire est franchement ennuyeuse et ne bénéficie plus de l'attrait de la découverte. Pour être clair, j'ai sauté plusieurs pages avant d'abandonner définitivement la lecture.
Si vous trouvez le premier tome, lisez le et restez en là.
Je viens de lire les 10 volumes de cette série que l'on m'avait prêtés.
Et j'avoue que mes sentiments sont très mitigés.
La lecture des premiers tomes m'avait fait l'effet d'une très grosse claque dans la gueule: un style graphique un peu brouillon et plein d'originalité, un univers cauchemardesque aux dimensions écrasantes, des créatures inquiétantes, mélanges de machinerie et de biologie et une action ultra-violente et spectaculaire.
Ce coktail explosif a marché à fond pendant, disons, les quatre premiers volumes. Mais après, on commence sérieusement à se lasser d'une action somme toute très répétitive (un gros monstre arrive, Killy sort son flingue magique, fait exploser le gros monstre et dix buildings de cinquante kilomètres de haut, et un autre gros monstre arrive, et Killy sort son flingue, etc...) alors que dans le même temps, l'auteur ne donne que très peu d'éclaircissements sur le background (après 10 tomes, je n'ai toujours rien compris, désolé).
En fait, si cette BD avait été moins délayée et avec plus de clarté pour le lecteur, la force de son graphisme et la noirceur de son univers auraient suffit à en faire un petit bijou.
Mais là, c'est trop long, répétitif à outrance et complètement abscons. Dommage.
Mon avis sera un peu plus nuancé que celui de mes camarades, même si j'ai apprécié la lecture de ce premier tome. En effet, j'ai vite trouvé le thème de la manipulation par une multinationale un peu galvaudé, déjà vu, lu, recraché, etc. Du coup, je me suis surtout concentré sur la narration, que j'ai trouvé assez fluide, et sur le dessin, qui sans être d'un haut niveau, témoigne quand même d'un certain savoir-faire de la part de Vallès. Mais le titre de l'album lui-même m'a semblé curieusement impropre à son contenu. Car les "Inhumains" n'apparaissent pas des masses (en tout cas pas en tant que tels), et l'ensemble des scènes ne justifient pas vraiment l'étiquette "fantastique" que l'on accole ça et là. Mais il s'agit plutôt d'une (longue) introduction à un thriller fantastique qui, s'il ne renouvelle pas le genre, n'en est pas moins plaisant à lire.
Après la lecture du tome 2 : Déception.
Le scénario tourne un peu à la succession d'évènements sans réelle vraisemblance, et le dessin de Vallès se montre plus figé, pas très dynamique. Ce qui est ennuyeux pour une série laissant une grande place à l'action !
Commençons par le positif : les dessins sont très bons. Réalistes, fluides, les personnages sont très variés et l'univers splendide à regarder. Que du bon de ce côté-ci.
Par contre, côté scénario...
Par où commencer ?
L'histoire, sympathique mais sans originalité, est pleine d'invraissemblances : personne ne connait l'Atlantide mais pourtant ses habitants n'ont pas peur de se dévoiler à la première fille croisée, à sa meilleure amie, et à ses parents... Les personnages sont assez caricaturaux, la description de la haute société aussi... Des thèmes intéressants sont légèrement effleurés (écologie, choc des cultures, caractère impitoyable de la haute société...) mais pas approfondis.
Le découpage est extrêmement confus, et les transitions trop abruptes pour ne pas faire tiquer.
Quand au scénario lui-même, il est vraiment à réserver aux moins de 12 ans : léger, gentillet, sans la moindre noirceur... Et surtout terriblement naïf.
Bref, une bd lisible... Si l'on n'a rien d'autre à faire.
Ca s'arrange peut être dans les tomes suivants, mais je doute que je me penche sur la question.
Dans ce genre d'histoire on se demande toujours au début ce qu'a bien pu penser l'auteur en dessinant ça. On recherche quel est le ton de l'histoire. Mais cette fois ci j'ai été un peu déçu de voir que bien qu'un peu délirante l'histoire restait très classique et sans vrai fil directeur que celui de tisser la trame de cet Alban naif mais pas timide du tout et qui a une réussite déconcertante.
Bien que sympatique à lire, cette BD ne me laissera pas beaucoup de traces.
J'ai trouvé cette série dans le rayon enfant de la bibliothèque de chez moi, je me doutais bien que c'était destiné aux plus jeunes mais je me disais qu'il devait y avoir une double lecture possible.
Hé bien je crois pas qu'il y est de double lecture possible en fait. Autant le dessin ya rien à dire c'est jolie, autant le scénar est d'un ennui. Les deux premiers tomes surtout, heureusement que les albums ne font que 31 planches. Et puis ça déborde tellement de bons sentiments qu'à la longue c'est pénible, surtout Taupe qui est plus que gnan gnan. Ajoutons à cela une morale bateau et vous avez une série qui n'a pas réussi à me toucher et qui n'est pas parvenu à me faire retomber en enfance.
Ya quelques bons moments quand même et le dessin est sympa, ça rajoute une petite étoile à la note.
C'est bien pour faire la lecture à ses enfants, et je comprends qu'on puisse aimer, mais avec moi non.
Il y a longtemps que j'ai lu Rash donc j'en garde un souvenir assez flou, celui d'une BD assez ennuyeuse et complètement anecdotique. Ca ne m'a pas étonné que la série n'ait pas marché.
Enfin, les fans de Hojo apprécierons sans doute, graphiquement c'est plutot un bon cru.
Cette BD là de Jim fait partie de celles auxquelles je n'accroche pas. Je trouve le thème de base tellement cliché et les gags tellement emplis de déjà-vus et d'humour facile que je n'ai vraiment pas rigolé à la lecture. Ce n'est pas que ce soit vraiment mauvais mais tout est tellement prévisible ou alors tellement peu surprenant que ce sont des gags pour moi aussi vite lus qu'oubliés.
Typiquement le style de BD qu'on offre à un couple de jeunes amoureux parce qu'on ne sait pas trop quoi leur offrir, et ceux-là la lisent vite fait avec le sourire avant de l'enterrer sous une pile de vieux livres oubliés.
Cette série-là, de Jim, ne m'a pas vraiment enthousiasmé. Déjà, je n'aime guère l'aspect commercial et "BD de supermarché" des BDs de Jim mais il arrive que j'apprécie assez certains de ses albums et de ses gags. Ici, par contre, je n'ai pas franchement rigolé.
Le sujet de la Honte, déjà, je le trouve trop facile et surtout pas assez accrocheur pour vraiment trouver ça drôle. Les gags sont assez lourds et n'ont su me toucher.
Bon, ce n'est pas une grosse nullité à jeter, ça se lit quand on n'a rien d'autre sous la main, mais je n'irais sûrement pas jusqu'à la conseiller.
J’ai l’impression que les scénarii de Desberg se ressemblent de plus en plus, non pas en thèmes puisque l’auteur touche à tout mais dans sa façon de gérer (efficacement) le suspens… Par conséquent, ses histoires commencent à me lasser.
Cette nouvelle série est une histoire de machinations dont le cadre se passe dans le monde pourri des multinationales sur fond de fantastique (léger). Ce premier tome est une longue introduction où les révélations sur les personnages et le pourquoi de ces actes sont distillées avec parcimonie.
« Rafales » m’est apparu comme une histoire qui se laisse lire mais dont l’intrigue ne m’a pas vraiment accrochée. Les personnages sont énigmatiques et ne possèdent pas hélas ce « plus » qui les rendent attachants ou détestables.
Le dessin de Vallés est très bon et mériterait un tirage en noir et blanc. A mon avis, il possède un trait qui peut être difficilement adapté à la mise en couleurs, cependant, il faut reconnaître le coloriste s’en sort avec les honneurs.
Décidément, à mon avis, « Rafales » fait parti de ces nombreuses séries dont il faudra que j’attende le deuxième tome pour savoir si l’histoire va m’accrocher ou pas !
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Valhalla
Voilà effectivement une petite série très peu connue. C'est relativement dommage car le premier tome est une vraie réussite. Il nous fait découvrir avec humour mais sans trahison la mythologie scandinave, ses protagonistes principaux et une partie de leurs motivations. Le dessin, très original, n'est pas désagréable et le tout se lit avec plaisir et sans effort. Juste un bémol sur le premier tome : la trame de l'histoire qui part un peu dans tous les sens, se scindant parfois en de petites historiettes intéressantes mais à la limite de la disgression. Le tome 2 que j'ai lu récemment, plusieurs années après le 1, a été une franche déception. Le dessin m'a paru bâclé et la colorisation franchement pourrie. L'histoire est franchement ennuyeuse et ne bénéficie plus de l'attrait de la découverte. Pour être clair, j'ai sauté plusieurs pages avant d'abandonner définitivement la lecture. Si vous trouvez le premier tome, lisez le et restez en là.
Blame !
Je viens de lire les 10 volumes de cette série que l'on m'avait prêtés. Et j'avoue que mes sentiments sont très mitigés. La lecture des premiers tomes m'avait fait l'effet d'une très grosse claque dans la gueule: un style graphique un peu brouillon et plein d'originalité, un univers cauchemardesque aux dimensions écrasantes, des créatures inquiétantes, mélanges de machinerie et de biologie et une action ultra-violente et spectaculaire. Ce coktail explosif a marché à fond pendant, disons, les quatre premiers volumes. Mais après, on commence sérieusement à se lasser d'une action somme toute très répétitive (un gros monstre arrive, Killy sort son flingue magique, fait exploser le gros monstre et dix buildings de cinquante kilomètres de haut, et un autre gros monstre arrive, et Killy sort son flingue, etc...) alors que dans le même temps, l'auteur ne donne que très peu d'éclaircissements sur le background (après 10 tomes, je n'ai toujours rien compris, désolé). En fait, si cette BD avait été moins délayée et avec plus de clarté pour le lecteur, la force de son graphisme et la noirceur de son univers auraient suffit à en faire un petit bijou. Mais là, c'est trop long, répétitif à outrance et complètement abscons. Dommage.
Rafales
Mon avis sera un peu plus nuancé que celui de mes camarades, même si j'ai apprécié la lecture de ce premier tome. En effet, j'ai vite trouvé le thème de la manipulation par une multinationale un peu galvaudé, déjà vu, lu, recraché, etc. Du coup, je me suis surtout concentré sur la narration, que j'ai trouvé assez fluide, et sur le dessin, qui sans être d'un haut niveau, témoigne quand même d'un certain savoir-faire de la part de Vallès. Mais le titre de l'album lui-même m'a semblé curieusement impropre à son contenu. Car les "Inhumains" n'apparaissent pas des masses (en tout cas pas en tant que tels), et l'ensemble des scènes ne justifient pas vraiment l'étiquette "fantastique" que l'on accole ça et là. Mais il s'agit plutôt d'une (longue) introduction à un thriller fantastique qui, s'il ne renouvelle pas le genre, n'en est pas moins plaisant à lire. Après la lecture du tome 2 : Déception. Le scénario tourne un peu à la succession d'évènements sans réelle vraisemblance, et le dessin de Vallès se montre plus figé, pas très dynamique. Ce qui est ennuyeux pour une série laissant une grande place à l'action !
Namor
Commençons par le positif : les dessins sont très bons. Réalistes, fluides, les personnages sont très variés et l'univers splendide à regarder. Que du bon de ce côté-ci. Par contre, côté scénario... Par où commencer ? L'histoire, sympathique mais sans originalité, est pleine d'invraissemblances : personne ne connait l'Atlantide mais pourtant ses habitants n'ont pas peur de se dévoiler à la première fille croisée, à sa meilleure amie, et à ses parents... Les personnages sont assez caricaturaux, la description de la haute société aussi... Des thèmes intéressants sont légèrement effleurés (écologie, choc des cultures, caractère impitoyable de la haute société...) mais pas approfondis. Le découpage est extrêmement confus, et les transitions trop abruptes pour ne pas faire tiquer. Quand au scénario lui-même, il est vraiment à réserver aux moins de 12 ans : léger, gentillet, sans la moindre noirceur... Et surtout terriblement naïf. Bref, une bd lisible... Si l'on n'a rien d'autre à faire. Ca s'arrange peut être dans les tomes suivants, mais je doute que je me penche sur la question.
Alban
Dans ce genre d'histoire on se demande toujours au début ce qu'a bien pu penser l'auteur en dessinant ça. On recherche quel est le ton de l'histoire. Mais cette fois ci j'ai été un peu déçu de voir que bien qu'un peu délirante l'histoire restait très classique et sans vrai fil directeur que celui de tisser la trame de cet Alban naif mais pas timide du tout et qui a une réussite déconcertante. Bien que sympatique à lire, cette BD ne me laissera pas beaucoup de traces.
Le Vent dans les Saules
J'ai trouvé cette série dans le rayon enfant de la bibliothèque de chez moi, je me doutais bien que c'était destiné aux plus jeunes mais je me disais qu'il devait y avoir une double lecture possible. Hé bien je crois pas qu'il y est de double lecture possible en fait. Autant le dessin ya rien à dire c'est jolie, autant le scénar est d'un ennui. Les deux premiers tomes surtout, heureusement que les albums ne font que 31 planches. Et puis ça déborde tellement de bons sentiments qu'à la longue c'est pénible, surtout Taupe qui est plus que gnan gnan. Ajoutons à cela une morale bateau et vous avez une série qui n'a pas réussi à me toucher et qui n'est pas parvenu à me faire retomber en enfance. Ya quelques bons moments quand même et le dessin est sympa, ça rajoute une petite étoile à la note. C'est bien pour faire la lecture à ses enfants, et je comprends qu'on puisse aimer, mais avec moi non.
Rash!!
Il y a longtemps que j'ai lu Rash donc j'en garde un souvenir assez flou, celui d'une BD assez ennuyeuse et complètement anecdotique. Ca ne m'a pas étonné que la série n'ait pas marché. Enfin, les fans de Hojo apprécierons sans doute, graphiquement c'est plutot un bon cru.
L'Amour et le charme insoutenable de la vie à deux
Cette BD là de Jim fait partie de celles auxquelles je n'accroche pas. Je trouve le thème de base tellement cliché et les gags tellement emplis de déjà-vus et d'humour facile que je n'ai vraiment pas rigolé à la lecture. Ce n'est pas que ce soit vraiment mauvais mais tout est tellement prévisible ou alors tellement peu surprenant que ce sont des gags pour moi aussi vite lus qu'oubliés. Typiquement le style de BD qu'on offre à un couple de jeunes amoureux parce qu'on ne sait pas trop quoi leur offrir, et ceux-là la lisent vite fait avec le sourire avant de l'enterrer sous une pile de vieux livres oubliés.
La honte
Cette série-là, de Jim, ne m'a pas vraiment enthousiasmé. Déjà, je n'aime guère l'aspect commercial et "BD de supermarché" des BDs de Jim mais il arrive que j'apprécie assez certains de ses albums et de ses gags. Ici, par contre, je n'ai pas franchement rigolé. Le sujet de la Honte, déjà, je le trouve trop facile et surtout pas assez accrocheur pour vraiment trouver ça drôle. Les gags sont assez lourds et n'ont su me toucher. Bon, ce n'est pas une grosse nullité à jeter, ça se lit quand on n'a rien d'autre sous la main, mais je n'irais sûrement pas jusqu'à la conseiller.
Rafales
J’ai l’impression que les scénarii de Desberg se ressemblent de plus en plus, non pas en thèmes puisque l’auteur touche à tout mais dans sa façon de gérer (efficacement) le suspens… Par conséquent, ses histoires commencent à me lasser. Cette nouvelle série est une histoire de machinations dont le cadre se passe dans le monde pourri des multinationales sur fond de fantastique (léger). Ce premier tome est une longue introduction où les révélations sur les personnages et le pourquoi de ces actes sont distillées avec parcimonie. « Rafales » m’est apparu comme une histoire qui se laisse lire mais dont l’intrigue ne m’a pas vraiment accrochée. Les personnages sont énigmatiques et ne possèdent pas hélas ce « plus » qui les rendent attachants ou détestables. Le dessin de Vallés est très bon et mériterait un tirage en noir et blanc. A mon avis, il possède un trait qui peut être difficilement adapté à la mise en couleurs, cependant, il faut reconnaître le coloriste s’en sort avec les honneurs. Décidément, à mon avis, « Rafales » fait parti de ces nombreuses séries dont il faudra que j’attende le deuxième tome pour savoir si l’histoire va m’accrocher ou pas !