Eh bien moi je l'ai trouvé un peu plat, cet album. Certes, le dessin est très agréable, soigné et expressif, mais il ne cache pas bien la vacuité de l'histoire. Joe Matt nous conte une partie de son enfance, l'époque où il était un sale gosse orgueilleux, calculateur et un peu gland sur les bords... Comme tous les gamins, quoi. Il ne lui arrive pas grand-chose d'extraordinaire, et on s'en fout assez rapidement.
Bof bof, plutôt décevant comme bd. Les récits ne sont pas franchement passionnants (je m’y suis même ennuyé par moments) et la fin est des plus convenues. De plus, le dessin de Schréder me plait moyennement avec un trait de type "ligne claire ancienne école". Le dessin est donc soigné mais trop figé.
Lecture fastidieuse et dessin has been, bref: à éviter . . .
C'est vraiment très bof. Le dessin est déjà pas terrible mais en plus l'histoire est digne d'une série du samedi matin sur la 2 pour les kids avec ce soupçon d'horreur, "fais moi peur" ou un truc du style. Une fillette se met à avoir du poil sur la face un soir de pleine lune, puis sa soeur se change en loup etc. Le seul truc un tant soit peu intéressant reste la relation entre la fillette et le prof de musique.
Un manga très moyen, heureusement qu'il n'y a qu'un seul tome, de toute façon il n'y a pas trop matière à faire plus.
Moui... Je ne suis toujours pas fan de David B.
Je n'ai pas reconnu tout de suite son dessin ici, et d'ailleurs ça ne m'a pas plus dérangé que ça car je trouve le dessin de ce petit album fluide et agréablement lisible, sans être exceptionnel.
J'ai par contre assez vite reconnu le style de David B. dans sa narration à la façon de "Je raconte mon rêve tel que je l'ai vécu" et à l'aspect symbolique que prend le récit à partir d'un certain point.
Au final, on se retrouve face à une sorte d'initiation, un symbolisme qui m'a un peu rappelé le mysticime de Jodorowsky : savoir se libérer de tout ce qui est matériel, puis même des souvenirs, pour réussir à aller au-délà de la Mort elle-même. J'avoue être resté assez hermétique à ce message et peut-être bien qu'il m'est passé totalement à côté.
Bon, à ce prix pour une telle BD, je ne me plains pas de ma lecture qui fut facile et pas désagréable, mais il n'en ressort pas grand chose et je n'en conseille pas vraiment l'achat.
Cette BD a le format typique du strip américain : une majorité de strips en une bande aggrémenté régulièrement (le dimanche dans la publication initiale en journal) d'un gag en une planche. Et comme le dit Pouet ci-dessous, on retrouve un humour assez classique dans ce type de publication, un humour un peu touche à tout, où un thème principal (ici la vie sous l'eau et les requins qui ne pensent qu'à bouffer) s'associe à des thèmes un peu plus divers en fonction de l'inspiration de l'auteur.
Le dessin lui aussi est classique du genre, épuré, sans réel décor, pas vraiment beau mais basé uniquement sur l'efficacité narrative. La version en album ajoute des couleurs assez fraiches qui ne sont pas désagréables.
Maintenant qu'est-ce que ça vaut ?
Ben disons que c'est très moyen. Les gags attirent seulement parfois un sourire et très rarement un rire. Et pas mal de gags tombent vraiment à plat, soit parce qu'ils sont simplement sans interêt, soit, je crois aussi parfois, parce que la traduction en Français pêche et que le gag n'est pas traduisible dans les dialogues.
Ca ne vaut pas l'achat à mon sens.
Note approximative : 1.5/5
Le dessin est très très moyen, presque amateur ou alors proche du croquis parfois, les couleurs assez moches, les personnages ultra-stéréotypés et surtout ce n'est vraiment, mais alors vraiment pas drôle, pas drôle du tout.
Alors franchement, pourquoi ne pas virer directement cette BD dans la poubelle ?
Tout simplement parce qu'elle n'est pas vide, qu'elle est même relativement dense pour une petite BD d'humour commercial, qu'elle reprend un à un tout ce qui fait le jeu et l'émission Koh-Lantah, qu'elle permet de retrouver chaque moment de la série et globalement, pour peu que vous soyez amateur de Koh-Lantah et que de retrouver la série en BD vous fasse un peu plaisir, cette BD pourra un tant soit peu vous convenir.
Mais franchement, je le répête, c'est moche, sans aucune idée et vraiment nul au niveau de l'humour. Et en plus c'est cher pour ce que c'est.
Tiens, encore une bd sur les tribulations quotidiennes d’un groupe d’individus : pourquoi pas d’autant plus que le graphisme et les personnages ont l’air sympa…
Trois jeunes hommes cherchent une quatrième personne pour « colouer » leur appartement. C’est à partir de cette trame que l’on suit les (més)aventures amoureuses, professionnelles, familiales, humoristiques, etc… de ces quatre « héros ».
Comme dans ce genre d’histoire, chacun d’entre nous pourra faire un parallèle avec sa propre vie et se rappeler des souvenirs. Pour ma part, je n’ai pas vraiment accroché à ce premier tome à cause du dénouement que je trouve irréaliste.
J’ai eu l’impression que ces « gros coups » ont été mis pour faire avancer le scénario. Je n’ai pas vraiment été convaincu par l’adoption par les trois colocataires de ce quatrième personnage. Pareil pour les apparitions du père d’un des héros et de la mère de max’, tout cela m’a semblé téléphoner afin de faire rebondir cette histoire, il y a trop de paradoxes qui se rejoignent !
Je suis sûr que, sans ce dénouement, cette bd aurait été très sympathique et aurait gagné à être un « faux » one-shot comme la série Lincoln de chez paquet. Les excès des jeunes dans la scène finale m’ont également rendu sceptique...
Un scénario sans aucune surprise qu'on voit venir avec ses gros sabots dès la première planche, une narration lourdingue et naïve, une trame hyper-classique de la jeune pucelle ignorante qui se fait éduquer à la débauche et dominer par un vieil aristocrate et sa servante, une histoire où l'erotisme se traduit par sado-masochisme, fouet, fessées et domination, franchement il n'y a là rien qui puisse vraiment m'intéresser et me plaire. Seul le dessin est relativement bon, même si les zones intimes féminines et masculines sont assez ratées par moments.
Tout à fait dispensable.
Le moins que l’on puisse dire c’est que les avis sur ce manga sont très partagés. J’ai tenté ma chance, mais je n’ai pas vraiment envie d’aller au-delà des deux premières enquêtes que j’ai lues. En cause : le flagrant manque d’originalité et d’audace de ce manga. Les enquêtes ne sont pas mal racontées, on peut même trouver le scénariste plutôt doué pour gérer le suspense, mais on est en terrain connu du début à la fin. Ces histoire de serial killer et de pouvoir psy… Ca a déjà tellement été usé jusqu’à la corde par les séries télévisées américaines…J’ai eu ma dose…
D’autant que dans le genre, cette série fait très pâle figure face à des réussites comme « Monster » ou « MPD psycho » (que je n’adore pas mais qui s’avère beaucoup plus troublant).
Difficile de nier la beauté du dessin de Durieux dans cet album, difficile de passer à côté de la tendresse et la poésie de certains passages. Mais l’ensemble manque de consistance et j’ai fini cet album plutôt dépité… et déçu.
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Les Kids
Eh bien moi je l'ai trouvé un peu plat, cet album. Certes, le dessin est très agréable, soigné et expressif, mais il ne cache pas bien la vacuité de l'histoire. Joe Matt nous conte une partie de son enfance, l'époque où il était un sale gosse orgueilleux, calculateur et un peu gland sur les bords... Comme tous les gamins, quoi. Il ne lui arrive pas grand-chose d'extraordinaire, et on s'en fout assez rapidement.
Loups
Bof bof, plutôt décevant comme bd. Les récits ne sont pas franchement passionnants (je m’y suis même ennuyé par moments) et la fin est des plus convenues. De plus, le dessin de Schréder me plait moyennement avec un trait de type "ligne claire ancienne école". Le dessin est donc soigné mais trop figé. Lecture fastidieuse et dessin has been, bref: à éviter . . .
Le Jour du Loup
C'est vraiment très bof. Le dessin est déjà pas terrible mais en plus l'histoire est digne d'une série du samedi matin sur la 2 pour les kids avec ce soupçon d'horreur, "fais moi peur" ou un truc du style. Une fillette se met à avoir du poil sur la face un soir de pleine lune, puis sa soeur se change en loup etc. Le seul truc un tant soit peu intéressant reste la relation entre la fillette et le prof de musique. Un manga très moyen, heureusement qu'il n'y a qu'un seul tome, de toute façon il n'y a pas trop matière à faire plus.
Le cercueil de course
Moui... Je ne suis toujours pas fan de David B. Je n'ai pas reconnu tout de suite son dessin ici, et d'ailleurs ça ne m'a pas plus dérangé que ça car je trouve le dessin de ce petit album fluide et agréablement lisible, sans être exceptionnel. J'ai par contre assez vite reconnu le style de David B. dans sa narration à la façon de "Je raconte mon rêve tel que je l'ai vécu" et à l'aspect symbolique que prend le récit à partir d'un certain point. Au final, on se retrouve face à une sorte d'initiation, un symbolisme qui m'a un peu rappelé le mysticime de Jodorowsky : savoir se libérer de tout ce qui est matériel, puis même des souvenirs, pour réussir à aller au-délà de la Mort elle-même. J'avoue être resté assez hermétique à ce message et peut-être bien qu'il m'est passé totalement à côté. Bon, à ce prix pour une telle BD, je ne me plains pas de ma lecture qui fut facile et pas désagréable, mais il n'en ressort pas grand chose et je n'en conseille pas vraiment l'achat.
Le Lagon de Sherman
Cette BD a le format typique du strip américain : une majorité de strips en une bande aggrémenté régulièrement (le dimanche dans la publication initiale en journal) d'un gag en une planche. Et comme le dit Pouet ci-dessous, on retrouve un humour assez classique dans ce type de publication, un humour un peu touche à tout, où un thème principal (ici la vie sous l'eau et les requins qui ne pensent qu'à bouffer) s'associe à des thèmes un peu plus divers en fonction de l'inspiration de l'auteur. Le dessin lui aussi est classique du genre, épuré, sans réel décor, pas vraiment beau mais basé uniquement sur l'efficacité narrative. La version en album ajoute des couleurs assez fraiches qui ne sont pas désagréables. Maintenant qu'est-ce que ça vaut ? Ben disons que c'est très moyen. Les gags attirent seulement parfois un sourire et très rarement un rire. Et pas mal de gags tombent vraiment à plat, soit parce qu'ils sont simplement sans interêt, soit, je crois aussi parfois, parce que la traduction en Français pêche et que le gag n'est pas traduisible dans les dialogues. Ca ne vaut pas l'achat à mon sens.
Koh-Lanta
Note approximative : 1.5/5 Le dessin est très très moyen, presque amateur ou alors proche du croquis parfois, les couleurs assez moches, les personnages ultra-stéréotypés et surtout ce n'est vraiment, mais alors vraiment pas drôle, pas drôle du tout. Alors franchement, pourquoi ne pas virer directement cette BD dans la poubelle ? Tout simplement parce qu'elle n'est pas vide, qu'elle est même relativement dense pour une petite BD d'humour commercial, qu'elle reprend un à un tout ce qui fait le jeu et l'émission Koh-Lantah, qu'elle permet de retrouver chaque moment de la série et globalement, pour peu que vous soyez amateur de Koh-Lantah et que de retrouver la série en BD vous fasse un peu plaisir, cette BD pourra un tant soit peu vous convenir. Mais franchement, je le répête, c'est moche, sans aucune idée et vraiment nul au niveau de l'humour. Et en plus c'est cher pour ce que c'est.
Les Colocataires
Tiens, encore une bd sur les tribulations quotidiennes d’un groupe d’individus : pourquoi pas d’autant plus que le graphisme et les personnages ont l’air sympa… Trois jeunes hommes cherchent une quatrième personne pour « colouer » leur appartement. C’est à partir de cette trame que l’on suit les (més)aventures amoureuses, professionnelles, familiales, humoristiques, etc… de ces quatre « héros ». Comme dans ce genre d’histoire, chacun d’entre nous pourra faire un parallèle avec sa propre vie et se rappeler des souvenirs. Pour ma part, je n’ai pas vraiment accroché à ce premier tome à cause du dénouement que je trouve irréaliste. J’ai eu l’impression que ces « gros coups » ont été mis pour faire avancer le scénario. Je n’ai pas vraiment été convaincu par l’adoption par les trois colocataires de ce quatrième personnage. Pareil pour les apparitions du père d’un des héros et de la mère de max’, tout cela m’a semblé téléphoner afin de faire rebondir cette histoire, il y a trop de paradoxes qui se rejoignent ! Je suis sûr que, sans ce dénouement, cette bd aurait été très sympathique et aurait gagné à être un « faux » one-shot comme la série Lincoln de chez paquet. Les excès des jeunes dans la scène finale m’ont également rendu sceptique...
Ninon
Un scénario sans aucune surprise qu'on voit venir avec ses gros sabots dès la première planche, une narration lourdingue et naïve, une trame hyper-classique de la jeune pucelle ignorante qui se fait éduquer à la débauche et dominer par un vieil aristocrate et sa servante, une histoire où l'erotisme se traduit par sado-masochisme, fouet, fessées et domination, franchement il n'y a là rien qui puisse vraiment m'intéresser et me plaire. Seul le dessin est relativement bon, même si les zones intimes féminines et masculines sont assez ratées par moments. Tout à fait dispensable.
Psychometrer Eiji
Le moins que l’on puisse dire c’est que les avis sur ce manga sont très partagés. J’ai tenté ma chance, mais je n’ai pas vraiment envie d’aller au-delà des deux premières enquêtes que j’ai lues. En cause : le flagrant manque d’originalité et d’audace de ce manga. Les enquêtes ne sont pas mal racontées, on peut même trouver le scénariste plutôt doué pour gérer le suspense, mais on est en terrain connu du début à la fin. Ces histoire de serial killer et de pouvoir psy… Ca a déjà tellement été usé jusqu’à la corde par les séries télévisées américaines…J’ai eu ma dose… D’autant que dans le genre, cette série fait très pâle figure face à des réussites comme « Monster » ou « MPD psycho » (que je n’adore pas mais qui s’avère beaucoup plus troublant).
Central Park
Difficile de nier la beauté du dessin de Durieux dans cet album, difficile de passer à côté de la tendresse et la poésie de certains passages. Mais l’ensemble manque de consistance et j’ai fini cet album plutôt dépité… et déçu.