Je n'aime pas du tout le graphisme ce qui de prime abord devait rendre mon avis moins objectif. Au-delà du dessin, ça se lit tranquillement, les gags vont de "bien trouvé" à "poussif"... ni bon, ni mauvais.
Mouich... j'ai du mal à noter cet album, car il y a de bonnes idées, comme la construction de cet univers avec plusieurs plans narratifs, qui relancent l'intérêt au moment où l'on se dit que l'on commence sérieusement à tourner en rond, mais en dehors de cela, on s'ennuie ferme car on se lasse assez vite des aventures de ces deux amateurs de yaourts à la framboise, très répétitives, et qui ne m'ont pas arraché ne serait-ce qu'un sourire. Il y a bien quelques clins d'oeil sympathiques, mais les personnages sont tellement figés dans un profil stéréotypé et primaire qu'ils ne m'ont guère paru attachants. Alors 2/5, parce qu'en plus le dessin, c'est du classique dessin de gags en une planche, bien mis en couleurs, certes, mais assez banal ; j'attendais mieux de cette série.
J'aime et je n'aime pas Gillon; il compose très bien ses cases, ses cadrages, les plans, bref c'est très bon au niveau de la construction, mais que le résultat final est triste et mélancolique. Si je peux apprécier la noirceur du film Alien par exemple, ici c'est plutôt désagréable.
Passons sur Christopher-Charlton Heston, le héros playboy de l'espace, inutile de l'accabler davantage.
Quelques belles trouvailles sont à remarquer (le Tapir, notamment), les femmes sont très bien dessinées, mais les couleurs flashy (dont Gillon assume la responsabilité) mériteraient un procès pour mauvais goût.
Il faut aussi restituer l'époque de la série, mai 68, la libération des mœurs tout ça. Mais ça a vieilli et l'intérêt est limité, un peu à mon avis comme la série Star Trek.
Alors que, pour une fois, Manara ne cache pas trop par son titre son but de faire une BD purement érotique, il réussit quand même à l'encombrer d'un scénario bidon et ridicule.
Son dessin des femmes est toujours aussi réussi même si comme à son habitude, ce sont toujours les mêmes femmes qu'il dessine d'une BD à l'autre. Par contre, son dessin des décors est particulièrement moche ici à cause de son utilisation abusive de flou informatique pour focaliser le regard uniquement sur les personnages. A ce moment là, autant ne pas faire de décor, c'est aussi bien et moins moche. Les couleurs de cette BD sont également laides : là aussi, autant faire du noir et blanc, c'est aussi bien et moins moche.
Quant au scénario, donc, il fait semblant de reprendre quelques préceptes du vrai Kama-Sutra et de la religion Hindoue. Mais il commence par un décor de ville moderne et d'intrigue bidon pour ensuite partir dans un délire aventuresque puis mystique bien nul. Heureusement, il est relativement possible de passer outre pour se concentrer sur le simple érotisme et les soi-disant préceptes tantriques. Pour une fois d'ailleurs, Manara va un peu plus loin que son simple érotisme habituel fesses-seins à l'air ce qui n'est pas plus mal mais ne suffit pas du tout à faire de cette BD une bonne BD.
Album de bonne facture et bien dessiné, mais d'un ennui mortel.
Il m'a fallu faire de gros efforts pour arriver au bout, tant je ne suis pas parvenu à m'intéresser à cette histoire. Beaucoup de choses m'ont paru artificielles et bizarrement amenées.
Les multiples flash-back viennent rendre la lecture inutilement difficile, pour un résultat assez peu convaincant. Cette petite chronique urbaine, dans l'air du temps, au final m'a semblé bien boursouflée.
Un peu franchouillard en somme.
C'est une grosse déception après des oeuvres aussi réussies telles que L'Esprit de Warren et Le Pouvoir des innocents du même scénariste.
Cette BD me fait penser à une tentative pleine d'espoir mais qui finit comme un soufflé raté.
D'ordinaire, j'apprécie beaucoup le dessin de Cabanes, le dessin qu'il nous offre dans sa série Dans les villages par exemple. Je m'attendais donc ici à quelque chose de très beau et original. Au final, certains décors sont bien jolis, les compositions sont souvent originales, mais il y a beaucoup de loupés, voire même de mochetés qui me font tiquer. Ce sont certains visages franchement moches, les décors modernes de Los Angeles qui sont soit hideux soit ratés. C'est l'encrage changeant et trop diffus que je n'apprécie pas du tout. Et ce sont surtout les couleurs que je n'aime vraiment pas du tout : je les trouve tout simplement laides.
A côté de cela, j'aurais nettement pu apprécier le scénario car j'adore tout ce qui touche au mystérieux et au surnaturel. Mais un bon scénario fantastique a besoin d'une ambiance, d'un rythme judicieux pour être réussi. Ici, le récit s'entame brutalement sur des manifestations d'esprits frappeurs, se poursuit sans aucune finesse. Des scènes mystérieuses et effrayantes qui auraient pu très bien passer au cinéma avec une musique angoissante et des effets de rythme ne passent pas du tout ici. Ca tombe complètement à plat.
En outre, passé cette ambiance fantastique qui passe très mal à la narration, le scénario en lui-même est d'un banal affligeant. Seule la petite visite touristique de la Maison Winchester et du Golden Gate Park de San Francisco ont attisé ma curiosité parce que je ne connaissais pas leur existence.
Mais à part ça, cet album s'oublie aussi vite qu'il se lit.
Le côté très attrayant de la couverture du tome 1 me laissait présager une bonne histoire de science fiction, mais après avoir bouclé les 2 tomes, je suis loin d'y avoir trouvé mon compte. Je suis en effet, ressorti très mitigé de ma lecture. Côté scénar, l'adaptation n'est pas mauvaise, même si elle est loin d'être inoubliable et côté graphisme, mis à part le travail sur la couleur, l'ensemble ne casse pas trois fils à une comète.
Bref, c'est exactement le genre de bd que j'oublis instantanément après la lecture.
Autant relire l'original tant qu'à faire ou de revoir la version ciné de John Huston. Ce sont deux véritables chef d'oeuvre qui valent le détour.
La bd est quant à elle, à des années lumière de la réussite des 2 précédentes.
C'est gentillet, c'est comme Canada dry, ça se veut quelque peu subversif mais ça ne l'est pas. C'est sympa à lire mais oublié aussi vite que c'est lu. Bof, sans plus c'est exactement ça.
Des mêmes auteurs que L'Imploseur et La Bombe, publié chez Albin Michel, j'avais dès le départ un mauvais à-priori sur cette BD en l'entamant.
Le dessin de Stan & Vince est relativement bon. Cependant la composition de leurs cases est souvent moyenne ce qui n'aide pas à une narration fluide. En outre les couleurs informatiques de cet album donnent une touche vraiment médiocre à l'ensemble alors que le dessin en lui seul pouvait encore tirer son épingle du jeu. Seuls les passages oniriques, quand 'le Curé' se shoote et se rêve dans des tableaux célèbres, sont assez jolis, sans doute justement parce qu'ils n'ont pas l'air trop colorisés à l'ordinateur.
Outre cela, le lettrage est assez désagréable, un lettrage en forme de caractères informatiques moches et qui tranchent avec la certaine rondeur du trait du dessin. Ce n'est pas plaisant à lire et j'ai en outre eu une forte tendance à devoir choisir entre lire ce texte et pouvoir regarder les images : les bulles ne se fondent pas du tout dans le dessin.
Quant à l'histoire... C'est du Cyberpunk bourrin qui essaie de jouer l'originalité en mêlant à son monde brutal et dégénéré une intrigue sur base de religions et de messies. Le scénario pourrait avoir une once d'interêt si la narration n'était pas aussi décousue, les personnages peu attachants et l'histoire si difficile à pénétrer. Ca joue sur la carte de la violence, de la drogue, de la religion "opium du peuple" et ça se termine par un zeste de fantastique franchement bidon. Bref, même si ça se laisse à peu près lire, il n'y a rien à tirer de ce scénario franchement basique et bourrin.
J'ai adoré au départ. Faut avouer que le dessin est bon et que le scénario "était" super intéressant. Oui mais voilà, il y a un moment où il faut savoir s'arrêter...ça devient long, très long et l'intérêt du début s'est définitivement évanoui... dommage. A réserver aux volontaires, car de la volonté il en faut pour suivre la série.
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Les Femmes en blanc
Je n'aime pas du tout le graphisme ce qui de prime abord devait rendre mon avis moins objectif. Au-delà du dessin, ça se lit tranquillement, les gags vont de "bien trouvé" à "poussif"... ni bon, ni mauvais.
Nestor et Polux !
Mouich... j'ai du mal à noter cet album, car il y a de bonnes idées, comme la construction de cet univers avec plusieurs plans narratifs, qui relancent l'intérêt au moment où l'on se dit que l'on commence sérieusement à tourner en rond, mais en dehors de cela, on s'ennuie ferme car on se lasse assez vite des aventures de ces deux amateurs de yaourts à la framboise, très répétitives, et qui ne m'ont pas arraché ne serait-ce qu'un sourire. Il y a bien quelques clins d'oeil sympathiques, mais les personnages sont tellement figés dans un profil stéréotypé et primaire qu'ils ne m'ont guère paru attachants. Alors 2/5, parce qu'en plus le dessin, c'est du classique dessin de gags en une planche, bien mis en couleurs, certes, mais assez banal ; j'attendais mieux de cette série.
Les Naufragés du temps
J'aime et je n'aime pas Gillon; il compose très bien ses cases, ses cadrages, les plans, bref c'est très bon au niveau de la construction, mais que le résultat final est triste et mélancolique. Si je peux apprécier la noirceur du film Alien par exemple, ici c'est plutôt désagréable. Passons sur Christopher-Charlton Heston, le héros playboy de l'espace, inutile de l'accabler davantage. Quelques belles trouvailles sont à remarquer (le Tapir, notamment), les femmes sont très bien dessinées, mais les couleurs flashy (dont Gillon assume la responsabilité) mériteraient un procès pour mauvais goût. Il faut aussi restituer l'époque de la série, mai 68, la libération des mœurs tout ça. Mais ça a vieilli et l'intérêt est limité, un peu à mon avis comme la série Star Trek.
Le Kama Sutra
Alors que, pour une fois, Manara ne cache pas trop par son titre son but de faire une BD purement érotique, il réussit quand même à l'encombrer d'un scénario bidon et ridicule. Son dessin des femmes est toujours aussi réussi même si comme à son habitude, ce sont toujours les mêmes femmes qu'il dessine d'une BD à l'autre. Par contre, son dessin des décors est particulièrement moche ici à cause de son utilisation abusive de flou informatique pour focaliser le regard uniquement sur les personnages. A ce moment là, autant ne pas faire de décor, c'est aussi bien et moins moche. Les couleurs de cette BD sont également laides : là aussi, autant faire du noir et blanc, c'est aussi bien et moins moche. Quant au scénario, donc, il fait semblant de reprendre quelques préceptes du vrai Kama-Sutra et de la religion Hindoue. Mais il commence par un décor de ville moderne et d'intrigue bidon pour ensuite partir dans un délire aventuresque puis mystique bien nul. Heureusement, il est relativement possible de passer outre pour se concentrer sur le simple érotisme et les soi-disant préceptes tantriques. Pour une fois d'ailleurs, Manara va un peu plus loin que son simple érotisme habituel fesses-seins à l'air ce qui n'est pas plus mal mais ne suffit pas du tout à faire de cette BD une bonne BD.
Le sourire du clown
Album de bonne facture et bien dessiné, mais d'un ennui mortel. Il m'a fallu faire de gros efforts pour arriver au bout, tant je ne suis pas parvenu à m'intéresser à cette histoire. Beaucoup de choses m'ont paru artificielles et bizarrement amenées. Les multiples flash-back viennent rendre la lecture inutilement difficile, pour un résultat assez peu convaincant. Cette petite chronique urbaine, dans l'air du temps, au final m'a semblé bien boursouflée. Un peu franchouillard en somme. C'est une grosse déception après des oeuvres aussi réussies telles que L'Esprit de Warren et Le Pouvoir des innocents du même scénariste.
La Maison Winchester
Cette BD me fait penser à une tentative pleine d'espoir mais qui finit comme un soufflé raté. D'ordinaire, j'apprécie beaucoup le dessin de Cabanes, le dessin qu'il nous offre dans sa série Dans les villages par exemple. Je m'attendais donc ici à quelque chose de très beau et original. Au final, certains décors sont bien jolis, les compositions sont souvent originales, mais il y a beaucoup de loupés, voire même de mochetés qui me font tiquer. Ce sont certains visages franchement moches, les décors modernes de Los Angeles qui sont soit hideux soit ratés. C'est l'encrage changeant et trop diffus que je n'apprécie pas du tout. Et ce sont surtout les couleurs que je n'aime vraiment pas du tout : je les trouve tout simplement laides. A côté de cela, j'aurais nettement pu apprécier le scénario car j'adore tout ce qui touche au mystérieux et au surnaturel. Mais un bon scénario fantastique a besoin d'une ambiance, d'un rythme judicieux pour être réussi. Ici, le récit s'entame brutalement sur des manifestations d'esprits frappeurs, se poursuit sans aucune finesse. Des scènes mystérieuses et effrayantes qui auraient pu très bien passer au cinéma avec une musique angoissante et des effets de rythme ne passent pas du tout ici. Ca tombe complètement à plat. En outre, passé cette ambiance fantastique qui passe très mal à la narration, le scénario en lui-même est d'un banal affligeant. Seule la petite visite touristique de la Maison Winchester et du Golden Gate Park de San Francisco ont attisé ma curiosité parce que je ne connaissais pas leur existence. Mais à part ça, cet album s'oublie aussi vite qu'il se lit.
Moby Dick
Le côté très attrayant de la couverture du tome 1 me laissait présager une bonne histoire de science fiction, mais après avoir bouclé les 2 tomes, je suis loin d'y avoir trouvé mon compte. Je suis en effet, ressorti très mitigé de ma lecture. Côté scénar, l'adaptation n'est pas mauvaise, même si elle est loin d'être inoubliable et côté graphisme, mis à part le travail sur la couleur, l'ensemble ne casse pas trois fils à une comète. Bref, c'est exactement le genre de bd que j'oublis instantanément après la lecture. Autant relire l'original tant qu'à faire ou de revoir la version ciné de John Huston. Ce sont deux véritables chef d'oeuvre qui valent le détour. La bd est quant à elle, à des années lumière de la réussite des 2 précédentes.
Litteul Kévin
C'est gentillet, c'est comme Canada dry, ça se veut quelque peu subversif mais ça ne l'est pas. C'est sympa à lire mais oublié aussi vite que c'est lu. Bof, sans plus c'est exactement ça.
Godkiller (Now future)
Des mêmes auteurs que L'Imploseur et La Bombe, publié chez Albin Michel, j'avais dès le départ un mauvais à-priori sur cette BD en l'entamant. Le dessin de Stan & Vince est relativement bon. Cependant la composition de leurs cases est souvent moyenne ce qui n'aide pas à une narration fluide. En outre les couleurs informatiques de cet album donnent une touche vraiment médiocre à l'ensemble alors que le dessin en lui seul pouvait encore tirer son épingle du jeu. Seuls les passages oniriques, quand 'le Curé' se shoote et se rêve dans des tableaux célèbres, sont assez jolis, sans doute justement parce qu'ils n'ont pas l'air trop colorisés à l'ordinateur. Outre cela, le lettrage est assez désagréable, un lettrage en forme de caractères informatiques moches et qui tranchent avec la certaine rondeur du trait du dessin. Ce n'est pas plaisant à lire et j'ai en outre eu une forte tendance à devoir choisir entre lire ce texte et pouvoir regarder les images : les bulles ne se fondent pas du tout dans le dessin. Quant à l'histoire... C'est du Cyberpunk bourrin qui essaie de jouer l'originalité en mêlant à son monde brutal et dégénéré une intrigue sur base de religions et de messies. Le scénario pourrait avoir une once d'interêt si la narration n'était pas aussi décousue, les personnages peu attachants et l'histoire si difficile à pénétrer. Ca joue sur la carte de la violence, de la drogue, de la religion "opium du peuple" et ça se termine par un zeste de fantastique franchement bidon. Bref, même si ça se laisse à peu près lire, il n'y a rien à tirer de ce scénario franchement basique et bourrin.
Les Aigles décapitées
J'ai adoré au départ. Faut avouer que le dessin est bon et que le scénario "était" super intéressant. Oui mais voilà, il y a un moment où il faut savoir s'arrêter...ça devient long, très long et l'intérêt du début s'est définitivement évanoui... dommage. A réserver aux volontaires, car de la volonté il en faut pour suivre la série.