J'ai toujours été intrigué par cette série à chaque fois que je l'apercevais en librairie ou en bibliothèque. Je me suis donc lancé et je dois dire que malheureusement je n'ai pas franchement aimé.
Le style graphique est super original, la mise en page aussi et les dessins sont très bons. Donc cette série a tout pour plaire. Je comprends d'ailleurs parfaitement qu'il y ait une majorité d'avis positif.
Mais voilà l'histoire ne m'a pas captivé. Il faut dire que ça part très mal : nous sommes en 1999 et l'héroïne de 99 ans est une utilisatrice complètement familière d'Internet et des e-mails... Il n'y a que moi que ça choque ? J'ai l'esprit trop cartésien ? Sans rire, ça ne tient pas debout...
L'histoire du passé de son frère m'a pourtant bien intéressé au début. Ca aurait pu être très bon, je pense. Est-il vivant ? Mort ? Que lui est-t-il arrivé ? Mais j'ai trouvé que le récit traînait trop en longueurs pour me passionner. Dommage...
C'est le type d'histoires scénarisées par Yann qui me fait dire que c'était mieux avant avec lui. J'ai l'impression que Yann veut faire de la provoc, mais cette fois : ça tombe à plat. Odilon Verjus ne me fait vraiment pas rire ; sans doute l'anticléricalisme est-il passé de mode ? Il n'y plus grand chose de subversif dans cette bd par rapport aux Innommables qui étaient un vrai pavé dans la mare lancé à l'époque dans le journal Spirou.
Les trois premiers albums ne m'ont pas du tout plu, c'est surtout une suite de situations comiques, sans véritable scénario. Le tome 4 Adolf est un peu mieux construit, mais à mon avis le meilleur album est Breiz Atao qui se passe en Bretagne. Ici l'abus de références ne se fait pas au détriment du scénario. Le tome 6 vade retro Hollywood retombe dans les travers des premiers épisodes.
Les dessins de Verron, par contre, sont très bien adaptés à ce genre d'histoire.
Voilà l'exemple type de la bd que j'aimais bien quand j'étais jeune et que je trouve très limite aujourd'hui. Pourtant Natacha l'hôtesse de l'air a été une des premières héroïnes de bande dessinée.
Certains vieux albums comme un trône pour Natacha ou la mémoire de métal sont encore de bonne qualité. Le reste est à mon avis beaucoup moins intéressant.
Le problème de cette série vient peut-être du fait qu'il y a un manque de cohérence scénaristique. Trop de scénaristes différents se sont succédés et cela nuit à la trame générale. Quant aux derniers albums, ce n'est vraiment pas bon.
Anna est un thriller psychologique noir et glauque dans lequel il est difficile d'entrer en première lecture.
Graphiquement parlant, l'ensemble de l'histoire a été tournée en vidéo et ce sont les images de la vidéo qui ont ensuite été reprises et redessinées. Le résultat est un ensemble de planches au style photo-réaliste en noir et blanc, mais surtout en noir. Les personnages s'en retrouvent très réalistes mais dans des poses souvent figées et manquant d'expressivité. La majorité des cases sont très noires, avec juste quelques touches de blanc. Le résultat en est techniquement maîtrisé mais souvent difficilement déchiffrable. Même après inspection, je dois admettre ne tout simplement pas réussir à comprendre le contenu de certaines cases, ce qui est un peu gênant en lecture.
Mais cette noirceur et cette ambiguité du dessin ajoutent à l'ambiance voulue et un peu malsaine du récit. Et c'est presque avec déception que j'ai découvert que le chapitre le plus important, le tournant de l'histoire, n'était pas raconté en images mais directement en texte, peut-être pour rendre plus compréhensible et plus fort le moment en question.
Ici tout est rapports de domination-soumission, pensées perverses, rapports artificiels et cruels entre personnes, relations conflictuelles et pernicieuses. Les personnages ont été rendus sciemment détestables par les auteurs.
Mais tout cela joue pour forger le récit, son ambiance et son final. Après peut-être une relecture des premiers chapitres, un peu trop hermétiques quand on n'est pas encore entré dans le scénario, on se rend compte que tout est bien monté, que les personnages sont justes tout en étant haïssables. L'aspect psychologique du récit est extrême mais crédible. Même si on en vient très vite à se demander comment des personnes peuvent être aussi égocentriques et connards que les héros de cette BD, artistes contemporains (photographes dans notre cas) imbus d'eux-mêmes et ne vivant que pour haïr et mépriser leur prochain.
Un récit psychologique noir et glauque, qui pêche juste par son dessin peu intelligible. Même si personnellement je ne suis pas friand de ce type de récit, je pense qu'il devrait plaire aux amateurs du genre.
Bon voilà le type de BD qu'on lit une fois et qu'on oublie aussi vite. Avec Les Tuniques Bleues, c'est l'une des plus vieilles séries de l'inusable Cauvin.
Le contexte aurait pu être sympa : la prohibition, les années 20 aux Etats-Unis. Mais les histoires sont souvent empreintes d'un humour assez lourd. Je n'arrive pas à m'intéresser à ces gorilles.
Un seul album me semble encore relativement correct c'est le Gorille à Cinq Pattes. Sinon dans le genre série répétitive et interminable, il n'y a pas mieux.
Personnellement, je ne garde pas un excellent souvenir de cette série humoristique. Les gags étaient souvent prévisibles et je m'ennuyais fermement en lisant cette bd.
Pourtant, tout comme Narvik, la nostalgie me guette. Ah ! l'enfance et ses mystères....!
Trop vite lu pour être inoubliable ! C'est un triste constat pour un album qui n'est pas désagréable au demeurant mais qui déçoit au fil des pages. Tout s'enchaîne à une vitesse digne d'un feuilleton télé. Des idées sont certes présentes mais camouflées dans le but de titiller l'imagination du lecteur (?). Lui qui aurait plutôt préféré certains éclaircissements d'emblée plutôt qu'une succession de points d'interrogation noyés entre des scènes d'actions teintées d'hémoglobine...
Alléché par les articles élogieux lus dans la presse ou sur internet qui présentent Kevin Huizenga comme le nouveau petit génie de la BD indépendante, j'ai bêtement laissé ma curiosité l'emporter sur ma réticence à l'égard du genre "roman graphique intimiste". Hélas ! Je n'ai pas réussi à voir en quoi ses pauvres petites expérimentations graphiques sur le passage du temps (et qui ne représentent qu'une toute petite partie de ce court album de toutes façons) étaient si brillantes, et pour le reste, bah, on est vraiment dans ce que le genre peut nous donner de pire : de plates anecdotes sur un gentil petit couple de lisses tentenaires mous, qui dissertent sur les chansons des Beatles ou se demandent ce qui peut bien se passer dans la tête des autres couples du monde. Bon, y a un public pour ce genre de choses je suppose, mais j'en fais pas partie.
Quelques passages ont un minimum de saveur et rappelleraient presque même un Trondheim en petite forme (quand Glenn s'indigne contre le gamin qu'il a cru voir jeter des ordures dans la rue), mais le gros du bouquin est d'une fadeur a faire passer les textes de Vincent Delerm pour du Bukowski. Vraiment, à mes yeux il n'y a pas la moindre trace d'originalité dans le travail de Kevin Huizenga : une énième exploration du quotidien d'un jeune gars vaguement névrosé, comme il y en a des milliards sur le marché de la "BD d'auteur". Au final, c'est pas vraiment consternant, donc je ne mets pas la note minimale, mais c'est quand même une énorme déception par rapport à la réputation qui précède l'auteur en France.
Beurk, que c'est moche ! De Metter est capable de tellement mieux ! En effet son dessin "rapide" et ses couleurs qui donnent des tournis à l'estomac n'incitent pas à la lecture... On peut se consoler avec une histoire relativement prenante, une plongée au coeur du Swinging London des années 1960-75. Le rythme de narration et les dialogues sont plutôt bons, et sauvent l'ensemble du rejet.
A réserver aux amateurs de ce type de dessin, presqu'exclusivement...
Bon, ben, "Les phalanges de l'ordre noir", je l'ai lu en trois fois, c'est pour dire... J'ai eu beaucoup de mal à la finir, mais je me suis forcé, parce que je me suis dit qu'il y aurait peut-être un sursaut vers la fin comme dans Partie de chasse. Il y en a un, mais ça ne m'a plu autant que ça...
2/5 quand même pour le dessin, qui est vraiment soigné et très réussi...
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XXe ciel.com
J'ai toujours été intrigué par cette série à chaque fois que je l'apercevais en librairie ou en bibliothèque. Je me suis donc lancé et je dois dire que malheureusement je n'ai pas franchement aimé. Le style graphique est super original, la mise en page aussi et les dessins sont très bons. Donc cette série a tout pour plaire. Je comprends d'ailleurs parfaitement qu'il y ait une majorité d'avis positif. Mais voilà l'histoire ne m'a pas captivé. Il faut dire que ça part très mal : nous sommes en 1999 et l'héroïne de 99 ans est une utilisatrice complètement familière d'Internet et des e-mails... Il n'y a que moi que ça choque ? J'ai l'esprit trop cartésien ? Sans rire, ça ne tient pas debout... L'histoire du passé de son frère m'a pourtant bien intéressé au début. Ca aurait pu être très bon, je pense. Est-il vivant ? Mort ? Que lui est-t-il arrivé ? Mais j'ai trouvé que le récit traînait trop en longueurs pour me passionner. Dommage...
Odilon Verjus
C'est le type d'histoires scénarisées par Yann qui me fait dire que c'était mieux avant avec lui. J'ai l'impression que Yann veut faire de la provoc, mais cette fois : ça tombe à plat. Odilon Verjus ne me fait vraiment pas rire ; sans doute l'anticléricalisme est-il passé de mode ? Il n'y plus grand chose de subversif dans cette bd par rapport aux Innommables qui étaient un vrai pavé dans la mare lancé à l'époque dans le journal Spirou. Les trois premiers albums ne m'ont pas du tout plu, c'est surtout une suite de situations comiques, sans véritable scénario. Le tome 4 Adolf est un peu mieux construit, mais à mon avis le meilleur album est Breiz Atao qui se passe en Bretagne. Ici l'abus de références ne se fait pas au détriment du scénario. Le tome 6 vade retro Hollywood retombe dans les travers des premiers épisodes. Les dessins de Verron, par contre, sont très bien adaptés à ce genre d'histoire.
Natacha
Voilà l'exemple type de la bd que j'aimais bien quand j'étais jeune et que je trouve très limite aujourd'hui. Pourtant Natacha l'hôtesse de l'air a été une des premières héroïnes de bande dessinée. Certains vieux albums comme un trône pour Natacha ou la mémoire de métal sont encore de bonne qualité. Le reste est à mon avis beaucoup moins intéressant. Le problème de cette série vient peut-être du fait qu'il y a un manque de cohérence scénaristique. Trop de scénaristes différents se sont succédés et cela nuit à la trame générale. Quant aux derniers albums, ce n'est vraiment pas bon.
Anna (Hotel particulier)
Anna est un thriller psychologique noir et glauque dans lequel il est difficile d'entrer en première lecture. Graphiquement parlant, l'ensemble de l'histoire a été tournée en vidéo et ce sont les images de la vidéo qui ont ensuite été reprises et redessinées. Le résultat est un ensemble de planches au style photo-réaliste en noir et blanc, mais surtout en noir. Les personnages s'en retrouvent très réalistes mais dans des poses souvent figées et manquant d'expressivité. La majorité des cases sont très noires, avec juste quelques touches de blanc. Le résultat en est techniquement maîtrisé mais souvent difficilement déchiffrable. Même après inspection, je dois admettre ne tout simplement pas réussir à comprendre le contenu de certaines cases, ce qui est un peu gênant en lecture. Mais cette noirceur et cette ambiguité du dessin ajoutent à l'ambiance voulue et un peu malsaine du récit. Et c'est presque avec déception que j'ai découvert que le chapitre le plus important, le tournant de l'histoire, n'était pas raconté en images mais directement en texte, peut-être pour rendre plus compréhensible et plus fort le moment en question. Ici tout est rapports de domination-soumission, pensées perverses, rapports artificiels et cruels entre personnes, relations conflictuelles et pernicieuses. Les personnages ont été rendus sciemment détestables par les auteurs. Mais tout cela joue pour forger le récit, son ambiance et son final. Après peut-être une relecture des premiers chapitres, un peu trop hermétiques quand on n'est pas encore entré dans le scénario, on se rend compte que tout est bien monté, que les personnages sont justes tout en étant haïssables. L'aspect psychologique du récit est extrême mais crédible. Même si on en vient très vite à se demander comment des personnes peuvent être aussi égocentriques et connards que les héros de cette BD, artistes contemporains (photographes dans notre cas) imbus d'eux-mêmes et ne vivant que pour haïr et mépriser leur prochain. Un récit psychologique noir et glauque, qui pêche juste par son dessin peu intelligible. Même si personnellement je ne suis pas friand de ce type de récit, je pense qu'il devrait plaire aux amateurs du genre.
Sammy
Bon voilà le type de BD qu'on lit une fois et qu'on oublie aussi vite. Avec Les Tuniques Bleues, c'est l'une des plus vieilles séries de l'inusable Cauvin. Le contexte aurait pu être sympa : la prohibition, les années 20 aux Etats-Unis. Mais les histoires sont souvent empreintes d'un humour assez lourd. Je n'arrive pas à m'intéresser à ces gorilles. Un seul album me semble encore relativement correct c'est le Gorille à Cinq Pattes. Sinon dans le genre série répétitive et interminable, il n'y a pas mieux.
Max l'explorateur
Personnellement, je ne garde pas un excellent souvenir de cette série humoristique. Les gags étaient souvent prévisibles et je m'ennuyais fermement en lisant cette bd. Pourtant, tout comme Narvik, la nostalgie me guette. Ah ! l'enfance et ses mystères....!
Poser mon sac
Trop vite lu pour être inoubliable ! C'est un triste constat pour un album qui n'est pas désagréable au demeurant mais qui déçoit au fil des pages. Tout s'enchaîne à une vitesse digne d'un feuilleton télé. Des idées sont certes présentes mais camouflées dans le but de titiller l'imagination du lecteur (?). Lui qui aurait plutôt préféré certains éclaircissements d'emblée plutôt qu'une succession de points d'interrogation noyés entre des scènes d'actions teintées d'hémoglobine...
Ganges
Alléché par les articles élogieux lus dans la presse ou sur internet qui présentent Kevin Huizenga comme le nouveau petit génie de la BD indépendante, j'ai bêtement laissé ma curiosité l'emporter sur ma réticence à l'égard du genre "roman graphique intimiste". Hélas ! Je n'ai pas réussi à voir en quoi ses pauvres petites expérimentations graphiques sur le passage du temps (et qui ne représentent qu'une toute petite partie de ce court album de toutes façons) étaient si brillantes, et pour le reste, bah, on est vraiment dans ce que le genre peut nous donner de pire : de plates anecdotes sur un gentil petit couple de lisses tentenaires mous, qui dissertent sur les chansons des Beatles ou se demandent ce qui peut bien se passer dans la tête des autres couples du monde. Bon, y a un public pour ce genre de choses je suppose, mais j'en fais pas partie. Quelques passages ont un minimum de saveur et rappelleraient presque même un Trondheim en petite forme (quand Glenn s'indigne contre le gamin qu'il a cru voir jeter des ordures dans la rue), mais le gros du bouquin est d'une fadeur a faire passer les textes de Vincent Delerm pour du Bukowski. Vraiment, à mes yeux il n'y a pas la moindre trace d'originalité dans le travail de Kevin Huizenga : une énième exploration du quotidien d'un jeune gars vaguement névrosé, comme il y en a des milliards sur le marché de la "BD d'auteur". Au final, c'est pas vraiment consternant, donc je ne mets pas la note minimale, mais c'est quand même une énorme déception par rapport à la réputation qui précède l'auteur en France.
Swinging London
Beurk, que c'est moche ! De Metter est capable de tellement mieux ! En effet son dessin "rapide" et ses couleurs qui donnent des tournis à l'estomac n'incitent pas à la lecture... On peut se consoler avec une histoire relativement prenante, une plongée au coeur du Swinging London des années 1960-75. Le rythme de narration et les dialogues sont plutôt bons, et sauvent l'ensemble du rejet. A réserver aux amateurs de ce type de dessin, presqu'exclusivement...
Les Phalanges de l'ordre noir
Bon, ben, "Les phalanges de l'ordre noir", je l'ai lu en trois fois, c'est pour dire... J'ai eu beaucoup de mal à la finir, mais je me suis forcé, parce que je me suis dit qu'il y aurait peut-être un sursaut vers la fin comme dans Partie de chasse. Il y en a un, mais ça ne m'a plu autant que ça... 2/5 quand même pour le dessin, qui est vraiment soigné et très réussi...