Cette série aurait pu être amusante, mais ce n'est pas le cas. L'idée de base, à savoir un chien qui parle pour faire des bêtises, aurait pu me faire rire, mais Coyote la sous-exploite. De plus, c'est toujours la même chose qui arrive. Le chien a des nouveaux maîtres et retourne au chenil après avoir fait un mauvais coup. Une fois, ça me fait rire, sourire à la deuxième fois, mais après...
Après lecture du tome 1, je m'arrêterai là.
J'ai l'impression d'avoir perdu mon temps avec cette BD.
Elle me semble trop simpliste au niveau des interactions entre les personnages.
Il manque aussi quelques personnages pour étoffer ces petits récits du quotidien.
Je n'ai pas été touché par les évènements relatés, il me semble tous d'une banalité consternante. Le dessin est simpliste mais correct et ne peut en aucun cas justifié à lui seul l'achat.
Donc une déception à titre personnel.
J'ai fait un peu de pêche quand j'étais gamin, sous l'égide mon grand-père. Mais très vite, ça m'a saoulé, je trouvais ça plutôt contre-productif. Il m'arrivait d'ailleurs souvent d'emporter un bouquin.
Soucieux de faire des gags sur toutes les professions typiques ou tous les loisirs, les scénaristes de chez Bamboo se sont donc attaqués au loisir préféré de 5 millions de Français : la pêche.
Le résultat est à l'avenant des autres séries du même cru : pas vraiment drôle, un peu tiré par les cheveux... Pire, certains gags sont un peu répétitifs.
Pourtant les deux scénaristes avaient réussi à attirer un auteur connu pour illustrer leurs délires : Pierre Seron, dont l'oeuvre principale Les petits hommes fait partie des classiques de la BD. Le dessinateur ne se départit pas de son trait habituel, dans la droite ligne du Franquin de Gaston Lagaffe, et c'est plutôt agréable à regarder.
Mais c'est quasiment la seule qualité de cet album, qui est assez soporifique...
Après lecture des 6 premiers tomes, je ne suis pas allé plus loin.
Ces 6 tomes ont même été revendus depuis...
Le "Bof, sans plus" correspond bien à cette série.
Elle se laisse lire mais ne laisse pas de souvenirs impérissables.
Tout y est moyen mais l'ensemble ne vaut pas la moyenne.
C'est le genre typique de BD que l'on peut lire pour se divertir gentiment, mais qu'il vaut mieux éviter d'acheter, la déconvenue étant ensuite rapide.
J'ai pris très peu de plaisir à la lire lors de ma dernière lecture.
Globalement, aujourd'hui on peut quand même lui faire les mêmes reproches qu'aux autres séries Soleil de l'époque, souvent construites sur les mêmes schémas.
Pour faire court : lisible mais dispensable.
Je ne suis pas fan du tout de jeux vidéo et ça doit être pour ça que je n'ai pas accroché à cette série. Certains gags sont drôles, mais la plupart me laissent de marbre. Le running-gag sur le héros de jeu vidéo qui meurt écrasé est plutôt insignifiant. En plus, y a une série dérivée sur ça !
Je préfère le dessin animé qui est sympathique avec des histoires plus développées et plus marrantes que la bande dessinée dont il est tiré.
Certains sont bons pour raconter des contes et d'autres non. Les filles de Clamp, malgré tout leur talent, semblent faire partit de ceux qui ne savent pas raconter car je n'ai pas été très impressionné par la lecture de ce manga.
Les contes ont l'air palpitants, mais c'est raconté de manière peu passionnante et je me suis franchement ennuyé tout le long. J'ai arrêté plusieurs fois avant de finir la lecture de ce recueil. Il y a un truc qui est assez énervant c'est que, comme dit l'autre avis, Clamp préfère le romantisme au reste du scénario. Ça se voit bien parce que le résultat aurait pu être mieux.
Après la lecture du diptyque.
La seconde déception de la matinée.
En débutant le tome 1, on cherche à rentrer dans l'histoire, les personnages se mettent en place, puis l'histoire prend une orientation toute autre, le personnage "Nombre" n'apparaît plus beaucoup, et pourtant le scénario aurait dû se focaliser sur lui.
Il y a peu de choses exploitées dans le scénario, on a parfois l'impression de lire un résumé avec même des coupes.
La partie graphique ne m'a pas vraiment plu.
Paradoxalement, j'ai trouvé une baisse du niveau pour le dessin dans le tome 2 avec quelques cases qui m'ont parues bâclées.
Cette histoire aurait pu faire un joli conte avec plus d'investissement et une meilleure narration.
Une vraie déception, j'ai emprunté cette BD au vu des noms des auteurs.
Le scénario a pourtant un atout : le fait de situer le récit en Roumanie dans ses heures peu glorieuses. Mais mis à part quelques faits bien retranscrits, le récit s'appuie sur une histoire d'amour entre 2 personnages.
Mais je n'ai pas vraiment réussi à rentrer dans cette histoire qui ne m'a pas ému comme elle aurait dû avec ses aspects dramatiques.
Peut-être la faute au dessin : les personnages sont fades, les visages peu expressifs.
La mise en couleur ne m'a pas plu du tout, on dirait même que ça bave par moment.
Une BD sans...
Je n'ai jamais aimé Don Quichotte et ce n'est pas Will Eisner qui va faire en sorte que je vais aimer ! Cet album est très différent de ce que j'ai lu de lui et cible clairement un public jeune qui aime les histoires de chevaliers.
Je n'ai pas accroché une seule fois pendant la lecture. La couleur rajoutée au dessin est plutôt moche. Certains auteurs doivent se lire en noir et blanc !
J'ai conscience que je donne une note plutôt sévère à une oeuvre sincère et qui recèle des qualités indéniables, à commencer par le dessin avec ses jolis tons pastels. Je peux également admirer le talent de l'auteur par rapport à la progression de son dessin si on le compare à une oeuvre plus récente comme Le Passager.
Seulement voilà, je n'ai pas été touché, ni embarqué par cette histoire d'une jeune fille à moitié garçon dans la Chine médiévale du XIIème siècle qui part à la recherche d'un moine qui possèderait une connaissance des arts martiaux tellement approfondie qu'il en serait devenu fou.
J'avoue même avoir eu beaucoup de mal à reconnaître les personnages tant l'action est confuse. Le scénario est le bât qui blesse dans cette vieille bd des années 80. On a fait beaucoup mieux depuis. Ce n'est pas que cela soit complètement désuet mais un peu tout de même. Et puis la grande question que je me pose : pourquoi avoir choisi une héroïne d’origine européenne quand une femme asiatique aurait très bien pu faire l’affaire ?
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Diego de la S.P.A.
Cette série aurait pu être amusante, mais ce n'est pas le cas. L'idée de base, à savoir un chien qui parle pour faire des bêtises, aurait pu me faire rire, mais Coyote la sous-exploite. De plus, c'est toujours la même chose qui arrive. Le chien a des nouveaux maîtres et retourne au chenil après avoir fait un mauvais coup. Une fois, ça me fait rire, sourire à la deuxième fois, mais après...
L'Immeuble d'en face
Après lecture du tome 1, je m'arrêterai là. J'ai l'impression d'avoir perdu mon temps avec cette BD. Elle me semble trop simpliste au niveau des interactions entre les personnages. Il manque aussi quelques personnages pour étoffer ces petits récits du quotidien. Je n'ai pas été touché par les évènements relatés, il me semble tous d'une banalité consternante. Le dessin est simpliste mais correct et ne peut en aucun cas justifié à lui seul l'achat. Donc une déception à titre personnel.
Les Fondus de la pêche
J'ai fait un peu de pêche quand j'étais gamin, sous l'égide mon grand-père. Mais très vite, ça m'a saoulé, je trouvais ça plutôt contre-productif. Il m'arrivait d'ailleurs souvent d'emporter un bouquin. Soucieux de faire des gags sur toutes les professions typiques ou tous les loisirs, les scénaristes de chez Bamboo se sont donc attaqués au loisir préféré de 5 millions de Français : la pêche. Le résultat est à l'avenant des autres séries du même cru : pas vraiment drôle, un peu tiré par les cheveux... Pire, certains gags sont un peu répétitifs. Pourtant les deux scénaristes avaient réussi à attirer un auteur connu pour illustrer leurs délires : Pierre Seron, dont l'oeuvre principale Les petits hommes fait partie des classiques de la BD. Le dessinateur ne se départit pas de son trait habituel, dans la droite ligne du Franquin de Gaston Lagaffe, et c'est plutôt agréable à regarder. Mais c'est quasiment la seule qualité de cet album, qui est assez soporifique...
Les Ailes du Phaéton
Après lecture des 6 premiers tomes, je ne suis pas allé plus loin. Ces 6 tomes ont même été revendus depuis... Le "Bof, sans plus" correspond bien à cette série. Elle se laisse lire mais ne laisse pas de souvenirs impérissables. Tout y est moyen mais l'ensemble ne vaut pas la moyenne. C'est le genre typique de BD que l'on peut lire pour se divertir gentiment, mais qu'il vaut mieux éviter d'acheter, la déconvenue étant ensuite rapide. J'ai pris très peu de plaisir à la lire lors de ma dernière lecture. Globalement, aujourd'hui on peut quand même lui faire les mêmes reproches qu'aux autres séries Soleil de l'époque, souvent construites sur les mêmes schémas. Pour faire court : lisible mais dispensable.
Kid Paddle
Je ne suis pas fan du tout de jeux vidéo et ça doit être pour ça que je n'ai pas accroché à cette série. Certains gags sont drôles, mais la plupart me laissent de marbre. Le running-gag sur le héros de jeu vidéo qui meurt écrasé est plutôt insignifiant. En plus, y a une série dérivée sur ça ! Je préfère le dessin animé qui est sympathique avec des histoires plus développées et plus marrantes que la bande dessinée dont il est tiré.
Shirahime Syo
Certains sont bons pour raconter des contes et d'autres non. Les filles de Clamp, malgré tout leur talent, semblent faire partit de ceux qui ne savent pas raconter car je n'ai pas été très impressionné par la lecture de ce manga. Les contes ont l'air palpitants, mais c'est raconté de manière peu passionnante et je me suis franchement ennuyé tout le long. J'ai arrêté plusieurs fois avant de finir la lecture de ce recueil. Il y a un truc qui est assez énervant c'est que, comme dit l'autre avis, Clamp préfère le romantisme au reste du scénario. Ça se voit bien parce que le résultat aurait pu être mieux.
Nombre
Après la lecture du diptyque. La seconde déception de la matinée. En débutant le tome 1, on cherche à rentrer dans l'histoire, les personnages se mettent en place, puis l'histoire prend une orientation toute autre, le personnage "Nombre" n'apparaît plus beaucoup, et pourtant le scénario aurait dû se focaliser sur lui. Il y a peu de choses exploitées dans le scénario, on a parfois l'impression de lire un résumé avec même des coupes. La partie graphique ne m'a pas vraiment plu. Paradoxalement, j'ai trouvé une baisse du niveau pour le dessin dans le tome 2 avec quelques cases qui m'ont parues bâclées. Cette histoire aurait pu faire un joli conte avec plus d'investissement et une meilleure narration.
La Fille aux Ibis
Une vraie déception, j'ai emprunté cette BD au vu des noms des auteurs. Le scénario a pourtant un atout : le fait de situer le récit en Roumanie dans ses heures peu glorieuses. Mais mis à part quelques faits bien retranscrits, le récit s'appuie sur une histoire d'amour entre 2 personnages. Mais je n'ai pas vraiment réussi à rentrer dans cette histoire qui ne m'a pas ému comme elle aurait dû avec ses aspects dramatiques. Peut-être la faute au dessin : les personnages sont fades, les visages peu expressifs. La mise en couleur ne m'a pas plu du tout, on dirait même que ça bave par moment. Une BD sans...
Le Dernier Chevalier
Je n'ai jamais aimé Don Quichotte et ce n'est pas Will Eisner qui va faire en sorte que je vais aimer ! Cet album est très différent de ce que j'ai lu de lui et cible clairement un public jeune qui aime les histoires de chevaliers. Je n'ai pas accroché une seule fois pendant la lecture. La couleur rajoutée au dessin est plutôt moche. Certains auteurs doivent se lire en noir et blanc !
Le Moine fou
J'ai conscience que je donne une note plutôt sévère à une oeuvre sincère et qui recèle des qualités indéniables, à commencer par le dessin avec ses jolis tons pastels. Je peux également admirer le talent de l'auteur par rapport à la progression de son dessin si on le compare à une oeuvre plus récente comme Le Passager. Seulement voilà, je n'ai pas été touché, ni embarqué par cette histoire d'une jeune fille à moitié garçon dans la Chine médiévale du XIIème siècle qui part à la recherche d'un moine qui possèderait une connaissance des arts martiaux tellement approfondie qu'il en serait devenu fou. J'avoue même avoir eu beaucoup de mal à reconnaître les personnages tant l'action est confuse. Le scénario est le bât qui blesse dans cette vieille bd des années 80. On a fait beaucoup mieux depuis. Ce n'est pas que cela soit complètement désuet mais un peu tout de même. Et puis la grande question que je me pose : pourquoi avoir choisi une héroïne d’origine européenne quand une femme asiatique aurait très bien pu faire l’affaire ?