Les deux premiers albums sont plutôt bons mais les trois suivants paraissent du grand n'importe quoi à côté. L'orientation scénaristique prise par l'auteur ne m'a absolument pas convaincu. C'est bel et bien dommage. Rarement, je n'avais été aussi déçu surtout quand une bd commence sous d'aussi bons augures.
Les situations ne sont pas crédibles et finalement on a du mal à se rattacher aux motivations d'Isaac qui passe du rang de peintre aventurier à celui du voleur à la tire. C'est bien la première fois que je me dis que le héros ne mérite pas de retourner avec sa fiancée. Quand on arrive à ce constat, c'est plutôt grave...
Le dessin que je n'affectionne guère s'est même dégradé au fil des albums où l'on peine à reconnaître les visages des protagonistes. Cela n'arrange rien à l'affaire !
Je suis apparemment l'un des seuls à dire cela mais certes c'est poétique, c'est une belle histoire, mais pour moi cela s'arrête là. Je trouve l'histoire assez ennuyeuse car il ne se passe pratiquement rien, c'est un peu long, les personnages ne sont pas très attachants et on ne sait pas très bien où le scénariste veut nous entraîner.
Je n'ai pas vraiment accroché.
Je pensais découvrir quelque chose d'autre de cette bd qui s'inspire directement des nouvelles de Howard Philips Lovecraft qui fut l'un des plus grands écrivains américain de la littérature fantastique et d'épouvante du XXème siècle. La particularité de cet auteur est qu'il ne connut pas le succès de son vivant. Ce sont ses proches amis qui par persévérance ont réussi à publier ses écrits considérés comme totalement atypique pour l'époque.
C'est dommage de ne pas avoir su distiller l'oeuvre du Maître. Le coup de crayon est pourtant remarquable avec une bonne approche graphique de cet univers étrange. Cependant, la narration torturée et pesante gâche beaucoup le plaisir.
Il y a certes des thèmes de l'oeuvre comme le temps, le rêve et surtout les mystères des civilisations qui hantent des lieux mystiques. Pourtant, la folie et le délire prennent le pas et dénaturent malheureusement l'ensemble pour en faire un curieux objet.
J'ai lu cette bd one shot en même temps que Bouncer. Les dessins (style western) ne sont pas mal. L'histoire commence de façon classique et nous tient en haleine jusqu'à 3/4 du récit. Le problème c'est que la fin est vraiment décevante. On reste sur notre faim mais ça doit être propre au genre one shot.
Bref, que du classique... contrairement à Bouncer.
'Le Sommeil du Monstre' est une bande dessinée très spéciale et je ne pense pas en retrouver une autre du même genre. Il faut donc aimer le style qui se dégage de cet OVNI de la bd et cela fut mon cas pendant les deux premiers tomes. L'histoire est plutôt sympa, il y a plusieurs bonnes idées et le docteur Warhole est un bon méchant comme je les aime.
Malheureusement, le tome 3 m'a fait décrocher de la série. La narration devient confuse (c'était un peu le cas avant, mais ce n'était pas bien grave car j'arrivais à comprendre ce qui se passait) et je me suis ennuyé à la lecture. J'ai aussi eu l'impression que l'auteur mettait des symboles incompréhensibles dans sa bd. Le tome 4 m'a donné le même sentiment et c'est vraiment dommage car la série méritait vraiment un 3/5 ou 4/5 au début.
J'ai eu énormément de mal à arriver jusqu'à la fin de cette histoire.
L'idée de scénario est bien et potentiellement riche mais l'histoire est traitée par Corbeyran avec des ressorts trop banals du genre policier et de la magie noire.
Le dessin est extrêmement simple, presque plat, si ce n'est quelques bonnes idées lorsqu'il s'agit d'illustrer les propos des personnages relatant le passé.
Le travail sur la couleur est vraiment bien.
Mais tout ceci est un peu faible pour faire une bonne BD, à mon goût.
Un curieux album, qui offre un huis clos fort teinté de mélancolie. Bon, c’est vrai, on y trouve de multiples clichés : des rancoeurs ravivées, des amours anciennes qui renaissent, des plaies de l’adolescence qui s’ouvrent à nouveau. Il est vrai que ces anciennes amitiés « réactivées » peuvent parfois donner lieu à de nouvelles de crises longtemps tues.
Le dessin ?… pas trop mon fort de café mais le graphisme est contrebalancé par une colorisation aux crayons de couleurs d’un bel effet ; une sorte de retour aux jeunes années. Côté sombre des personnages, côté douceur de la mise en image et de sa palette graphique restreinte (peu de tons) ; il en résulte un album intéressant même si –narrativement- il ne m’a pas apporté grand chose.
Une BD « made in Germany »… assez rare dans la production actuelle. Ca vaut la peine d’être lu. Mais sans plus.
Cela a déjà été dit mais en effet, difficile de résister à l'achat de cette superbe première édition, au contenu graphique prometteur, composée d'une sublime couverture et agrémentée de 32 pages de croquis.
Le dessin est assez fascinant, du grand spectacle graphique, surtout en ce qui concerne les paysages où le dessinateur laisse libre court à sa vaste imagination.
Malheureusement, le scénario n'est, pour ce premier tome, absolument pas à la hauteur de ces dessins oniriques. Il est très léger, le récit est très bref (la BD se lit d'ailleurs en 15 minutes), les personnages sont niais et pas intéressants, surtout Ewen, qui passe pour un bourrin à deux neurones avec deux obsessions : tuer tous les Norwegs qui bougent et se taper la belle Alis. Un peu mince en somme...
Avec un peu de recul, on s'aperçoit que tout est fait dans ce volume pour mettre en valeur la qualité graphique de la BD : Grand format, grandes cases (parfois une seule par page), textes quasiment absents, croquis en bonus...
J'ai donc pris ce premier tome comme une succession de beaux dessins, parcourus avec beaucoup d'intérêt je dois dire, malgré la déception du scénario. Sait-on jamais, le tome 2 réussira peut-être à trouver un équilibre plus abouti entre les dessins et l'histoire.
Attendons donc la suite, mais pour l'instant, je ne conseille pas l'achat (15 €).
Vu le nombre de critiques positives, je pensais lire une bonne série historique, mais ce ne fut pas le cas. L'idée de départ était intéressante : Neuf familles se partagent l'Europe grâce à l'Église Catholique ! Malheureusement, il ne se passe pas grand chose en 7 tomes ou plutôt on ne sait rien sur ces familles et sur le diable que le cardinal Trebaldi semble craindre. Et puis il faut dire que le scénario est rempli de stéréotypes et de clichés dignes d'un mauvais film d'Hollywood.
Tout d'abord, les personnages ne sont que des stéréotypes qu'on a déjà vu mille fois : Le méchant très méchant, le héros arrogant qui a une très grande chance et couche avec toutes les filles qu'il rencontre, la fille qui est amoureuse du héros bien qu'elle dit vouloir le tuer au moins 1000 fois pas tome, etc. Je préfère les personnages qui ont une personnalité originale.
Le pire ce sont les invraisemblances et je suis bien d'accord avec ce qu'à écrit Katz. Sérieusement, est-ce que vous pensez vraiment que les habitants de Rome croiraient un type qui débarque de nul part en disant qu'il a trouvé la vraie croix de Saint-Pierre ? Quant au châtiment qu'à reçu Rochnan pour avoir trahi les musulmans, ça m'a fait éclater de rire tellement c'est ridicule. D'ailleurs, pour moi, le coup de 'Va chercher la vraie croix de Saint-Pierre' c'est juste pour faire durer la série le plus longtemps possible. Je pourrais aussi parler du fait que le Scorpion se balade en tout tranquillité à Rome alors qu'il a plein de moines-soldats et qu'en plus il est accusé de complicité dans le meurtre du Pape. Ou est passée la logique du scénariste ?
Je termine mon avis avec ce que j'ai le plus détesté : les textes narratifs qui font le parallèle entre le Scorpion et les animaux du même nom ! J'ai trouvé cela très chiant à lire et je ne vois pas l'intérêt de ces textes. C'est tout ce que j'avais à dire sur cette série.
Quoi que... Je vais profiter de cet avis pour dire un truc que je n'ai jamais compris : le cardinal veut tuer le Scorpion pour ne pas qu'il détruise son plan, mais celui-ci semblait s'en ficher du cardinal et si ce dernier n'avait pas voulu le tuer, le Scorpion l'aurait laissé tranquille et ne mettrait pas tout son énergie à vouloir sa perte. En gros, le cardinal aurait du laisser le Scorpion en paix s'il ne voulait pas qu'il détruise son plan. Comme ce n'est pas la première fois que je vois un méchant vouloir tuer un héros pour un plan dont ce dernier ne sait rien, je me pose des questions sur l'intelligence moyenne des méchants de fiction.
Après la lecture du tome 1. Je ne lirai pas les autres tomes.
J'ai trouvé le trait agréable, graphiquement il n'y a pas grand chose à reprocher à cette BD.
Par contre, les histoires m'ont parues insipides malgré quelques notes d'humour bien venues.
On ne retient rien après lecture et l'on se demande quel était le sens de ce projet.
Sue les 5 histoires, seule la première m'a plu, les autres m'ayant parues de plus en plus fades et sans finalités.
La lecture est facile mais le contenu reste insuffisant à mon goût pour justifier l'achat.
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Isaac le pirate
Les deux premiers albums sont plutôt bons mais les trois suivants paraissent du grand n'importe quoi à côté. L'orientation scénaristique prise par l'auteur ne m'a absolument pas convaincu. C'est bel et bien dommage. Rarement, je n'avais été aussi déçu surtout quand une bd commence sous d'aussi bons augures. Les situations ne sont pas crédibles et finalement on a du mal à se rattacher aux motivations d'Isaac qui passe du rang de peintre aventurier à celui du voleur à la tire. C'est bien la première fois que je me dis que le héros ne mérite pas de retourner avec sa fiancée. Quand on arrive à ce constat, c'est plutôt grave... Le dessin que je n'affectionne guère s'est même dégradé au fil des albums où l'on peine à reconnaître les visages des protagonistes. Cela n'arrange rien à l'affaire !
L'Autre Monde
Je suis apparemment l'un des seuls à dire cela mais certes c'est poétique, c'est une belle histoire, mais pour moi cela s'arrête là. Je trouve l'histoire assez ennuyeuse car il ne se passe pratiquement rien, c'est un peu long, les personnages ne sont pas très attachants et on ne sait pas très bien où le scénariste veut nous entraîner. Je n'ai pas vraiment accroché.
Les Cauchemars de Lovecraft
Je pensais découvrir quelque chose d'autre de cette bd qui s'inspire directement des nouvelles de Howard Philips Lovecraft qui fut l'un des plus grands écrivains américain de la littérature fantastique et d'épouvante du XXème siècle. La particularité de cet auteur est qu'il ne connut pas le succès de son vivant. Ce sont ses proches amis qui par persévérance ont réussi à publier ses écrits considérés comme totalement atypique pour l'époque. C'est dommage de ne pas avoir su distiller l'oeuvre du Maître. Le coup de crayon est pourtant remarquable avec une bonne approche graphique de cet univers étrange. Cependant, la narration torturée et pesante gâche beaucoup le plaisir. Il y a certes des thèmes de l'oeuvre comme le temps, le rêve et surtout les mystères des civilisations qui hantent des lieux mystiques. Pourtant, la folie et le délire prennent le pas et dénaturent malheureusement l'ensemble pour en faire un curieux objet.
Après la nuit
J'ai lu cette bd one shot en même temps que Bouncer. Les dessins (style western) ne sont pas mal. L'histoire commence de façon classique et nous tient en haleine jusqu'à 3/4 du récit. Le problème c'est que la fin est vraiment décevante. On reste sur notre faim mais ça doit être propre au genre one shot. Bref, que du classique... contrairement à Bouncer.
Le Sommeil du Monstre
'Le Sommeil du Monstre' est une bande dessinée très spéciale et je ne pense pas en retrouver une autre du même genre. Il faut donc aimer le style qui se dégage de cet OVNI de la bd et cela fut mon cas pendant les deux premiers tomes. L'histoire est plutôt sympa, il y a plusieurs bonnes idées et le docteur Warhole est un bon méchant comme je les aime. Malheureusement, le tome 3 m'a fait décrocher de la série. La narration devient confuse (c'était un peu le cas avant, mais ce n'était pas bien grave car j'arrivais à comprendre ce qui se passait) et je me suis ennuyé à la lecture. J'ai aussi eu l'impression que l'auteur mettait des symboles incompréhensibles dans sa bd. Le tome 4 m'a donné le même sentiment et c'est vraiment dommage car la série méritait vraiment un 3/5 ou 4/5 au début.
Charmes fous
J'ai eu énormément de mal à arriver jusqu'à la fin de cette histoire. L'idée de scénario est bien et potentiellement riche mais l'histoire est traitée par Corbeyran avec des ressorts trop banals du genre policier et de la magie noire. Le dessin est extrêmement simple, presque plat, si ce n'est quelques bonnes idées lorsqu'il s'agit d'illustrer les propos des personnages relatant le passé. Le travail sur la couleur est vraiment bien. Mais tout ceci est un peu faible pour faire une bonne BD, à mon goût.
Le Retard
Un curieux album, qui offre un huis clos fort teinté de mélancolie. Bon, c’est vrai, on y trouve de multiples clichés : des rancoeurs ravivées, des amours anciennes qui renaissent, des plaies de l’adolescence qui s’ouvrent à nouveau. Il est vrai que ces anciennes amitiés « réactivées » peuvent parfois donner lieu à de nouvelles de crises longtemps tues. Le dessin ?… pas trop mon fort de café mais le graphisme est contrebalancé par une colorisation aux crayons de couleurs d’un bel effet ; une sorte de retour aux jeunes années. Côté sombre des personnages, côté douceur de la mise en image et de sa palette graphique restreinte (peu de tons) ; il en résulte un album intéressant même si –narrativement- il ne m’a pas apporté grand chose. Une BD « made in Germany »… assez rare dans la production actuelle. Ca vaut la peine d’être lu. Mais sans plus.
Ewen
Cela a déjà été dit mais en effet, difficile de résister à l'achat de cette superbe première édition, au contenu graphique prometteur, composée d'une sublime couverture et agrémentée de 32 pages de croquis. Le dessin est assez fascinant, du grand spectacle graphique, surtout en ce qui concerne les paysages où le dessinateur laisse libre court à sa vaste imagination. Malheureusement, le scénario n'est, pour ce premier tome, absolument pas à la hauteur de ces dessins oniriques. Il est très léger, le récit est très bref (la BD se lit d'ailleurs en 15 minutes), les personnages sont niais et pas intéressants, surtout Ewen, qui passe pour un bourrin à deux neurones avec deux obsessions : tuer tous les Norwegs qui bougent et se taper la belle Alis. Un peu mince en somme... Avec un peu de recul, on s'aperçoit que tout est fait dans ce volume pour mettre en valeur la qualité graphique de la BD : Grand format, grandes cases (parfois une seule par page), textes quasiment absents, croquis en bonus... J'ai donc pris ce premier tome comme une succession de beaux dessins, parcourus avec beaucoup d'intérêt je dois dire, malgré la déception du scénario. Sait-on jamais, le tome 2 réussira peut-être à trouver un équilibre plus abouti entre les dessins et l'histoire. Attendons donc la suite, mais pour l'instant, je ne conseille pas l'achat (15 €).
Le Scorpion
Vu le nombre de critiques positives, je pensais lire une bonne série historique, mais ce ne fut pas le cas. L'idée de départ était intéressante : Neuf familles se partagent l'Europe grâce à l'Église Catholique ! Malheureusement, il ne se passe pas grand chose en 7 tomes ou plutôt on ne sait rien sur ces familles et sur le diable que le cardinal Trebaldi semble craindre. Et puis il faut dire que le scénario est rempli de stéréotypes et de clichés dignes d'un mauvais film d'Hollywood. Tout d'abord, les personnages ne sont que des stéréotypes qu'on a déjà vu mille fois : Le méchant très méchant, le héros arrogant qui a une très grande chance et couche avec toutes les filles qu'il rencontre, la fille qui est amoureuse du héros bien qu'elle dit vouloir le tuer au moins 1000 fois pas tome, etc. Je préfère les personnages qui ont une personnalité originale. Le pire ce sont les invraisemblances et je suis bien d'accord avec ce qu'à écrit Katz. Sérieusement, est-ce que vous pensez vraiment que les habitants de Rome croiraient un type qui débarque de nul part en disant qu'il a trouvé la vraie croix de Saint-Pierre ? Quant au châtiment qu'à reçu Rochnan pour avoir trahi les musulmans, ça m'a fait éclater de rire tellement c'est ridicule. D'ailleurs, pour moi, le coup de 'Va chercher la vraie croix de Saint-Pierre' c'est juste pour faire durer la série le plus longtemps possible. Je pourrais aussi parler du fait que le Scorpion se balade en tout tranquillité à Rome alors qu'il a plein de moines-soldats et qu'en plus il est accusé de complicité dans le meurtre du Pape. Ou est passée la logique du scénariste ? Je termine mon avis avec ce que j'ai le plus détesté : les textes narratifs qui font le parallèle entre le Scorpion et les animaux du même nom ! J'ai trouvé cela très chiant à lire et je ne vois pas l'intérêt de ces textes. C'est tout ce que j'avais à dire sur cette série. Quoi que... Je vais profiter de cet avis pour dire un truc que je n'ai jamais compris : le cardinal veut tuer le Scorpion pour ne pas qu'il détruise son plan, mais celui-ci semblait s'en ficher du cardinal et si ce dernier n'avait pas voulu le tuer, le Scorpion l'aurait laissé tranquille et ne mettrait pas tout son énergie à vouloir sa perte. En gros, le cardinal aurait du laisser le Scorpion en paix s'il ne voulait pas qu'il détruise son plan. Comme ce n'est pas la première fois que je vois un méchant vouloir tuer un héros pour un plan dont ce dernier ne sait rien, je me pose des questions sur l'intelligence moyenne des méchants de fiction.
Les Coeurs boudinés
Après la lecture du tome 1. Je ne lirai pas les autres tomes. J'ai trouvé le trait agréable, graphiquement il n'y a pas grand chose à reprocher à cette BD. Par contre, les histoires m'ont parues insipides malgré quelques notes d'humour bien venues. On ne retient rien après lecture et l'on se demande quel était le sens de ce projet. Sue les 5 histoires, seule la première m'a plu, les autres m'ayant parues de plus en plus fades et sans finalités. La lecture est facile mais le contenu reste insuffisant à mon goût pour justifier l'achat.