L'inconvénient avec la collection Vécu de chez Glénat est que l'aspect historique prend souvent le dessus sur le coté humain du scénario. Résultat: on n'a parfois l'impression de lire une encyclopédie illustrée plutôt qu'une bd. Rares sont les séries qui se détachent mais La Sueur du Soleil fait partie de ses exceptions. On nous parle, ici, d'une aventure amoureuse sur fond de conquêtes espagnoles. Assez banal à première vue, mais l'histoire est très bien menée, la narration est limpide et ce Harriet mériterait d'être un peu plus présent dans le monde impitoyable de la bd. Dès les premières pages, on est absorbés par les mésaventures de Marco et Orocomay dans un climat où la soif de l'or a rendu les hommes pervers, mesquins et surtout avides de pouvoirs.
Le dessin de Mata était un peu figé dans les premiers albums mais s'est nettement amélioré par la suite. Une reflexion me vient à l'esprit: ce n'est pas toujours les meilleurs séries qui réussisent le mieux, la preuve en est encore faite, ici .
Ze best !!!
Le mailleur de la série Donjon (pour l'instant).
Quand Mr Nicoco m'en avait parlé, je trouvais que ça faisait un peu dessin pour gamins. Que neni !
Une des meilleures séries que j'ai lu pour l'instant.
De l'humour, de l'action, du suspense...
Encore !
On m'avait parlé de cette BD, mais je ne trouvais pas la couverture très alléchante et le dessin était un peu "commun".
Mais quelle claque en le lisant !
Je me suis rué sur les autres tomes et les ai dévorés.
Une des meilleures séries en ma possession.
Un univers vraiment captivant, même si les 2 derniers tomes peuvent paraîtres un peu plus fades (un peu plus lent).
J'ai bien aimé cette série.
L'histoire est originale (elle diffère du concept d'immortalité habituel), bien rythmée et avec pas mal de moment de remise en question.
Les 2 derniers tomes sont un peu plus tordus au point de vue du scénario, mais c'est une série à lire !
Le manga culte à avoir !
J'ai vraiment eu beaucoup de plaisir à la lire; c'était un des dessins animés que je préférais.
Là, au moins, on ne loupe aucun épisode et les combats vont plus vite !!!
Ils ne restent pas 10 minutes à se regarder sans bouger avec le vent qui souffle, ou mettre 5 minutes à faire monter leur énergie.
A partir du moment où ils commencent à devenir super-sayens, ça part vraiment en live.
Avant, on retrouve avec bonheur les aventures du petit San Goku et les mythiques championnats du monde des arts martiaux.
C'est ce qu'on appelle une autobiographie, je trouve l'exercice plutôt bien réussi par Trondheim (en règle générale beaucoup d'auteurs s'y sont cassé les dents). Quant au niveau du dessin, c'est le style Trondheim, "bâclé" comme il le dit lui-même et pourtant furieusement personnel.
On suit donc avec intérêt cette tranche de vie et on déguste les petites "anecdotes" (comme la mouche proposée au japonais)
Monsieur Noir, c'est une petite fille toute mignonne-gentille-naïve ( mais pas tant que ça en fait ) qui n'a rien à faire là et est toute perdue au milieu d'une lutte sans merci pour le pouvoir. Tout rappelle le conte de fées, mais le rose à été échangé par du noir... L'ambiance est glaçante, grisante d'humour noir et de lutte absurde, de jeu cruel et sans merci, à se trahir les uns et les autres, à être gentil et méchant en même temps... tout ça magnifiquement illustré. Une excellente satire de notre société actuelle !
Attention, cette bd est fortement déconseillée aux amateurs de fin ( et de début, et d'histoire en général, en fait... )claire et rationnelle.
Un petit bijou d'humour et de fraicheur que ce manga. Pour ceux qui en ont marre de ces histoires à rallonge qui n'avancent pas que nous pondent savemment les mangaka, voici un oneshot pas mal du tout.
C'est dans la veine de "un petit garçon très fort part vivre des aventures loin de chez lui", mais c'est plus original. Ici, le petit garçon est un jeune démon, et son père ne l'autorise à partir que s'il s'engage, à son retour, à ne "jouer sur sa console qu'une heure par jour, dans une pièce bien éclairée, le visage loin de l'écran".
Les rebondissements se suivent, avec juste assez de rythme et d'originalité pour ne pas laisser le temps de s'ennuyer. La chute se laisse un peu trop facilement deviner, mais elle reste agréable à lire.
Les dessins... ben, ce sont les mêmes que pour BDZ. Assez simple, pas très beaux mais efficaces, et puis les têtes des démons sont marrantes.
Ceci dit, si vous n'achetez des mangas que pour vous en servir aux toilettes, soyez gentils, laissez celui-ci dans les rayoonns de votre librairie...
Une histoire vive et empreinte de plus de profondeur qu'on se l'imagine au premier abord, avec des héros "spéciaux" très humains (trop peut-être) qui donnent à cette BD une réelle dimension, au-delà des vieux comics.
Le grand pouvoir du Chninkel fait parti des rares BD qui ont chez moi suscitées une émotion vraiment très forte. Emotion née de la découverte d'un monde pour le moins intrigant, imagination du génial Van Hamme qui nous présente les sentiments brut d'un petit Chninkel, esclave parmi les esclaves, choisi malgré lui pour sauver la planète de la guerre incessante.
Autant le dire tout de suite, cette série est un chef d'oeuvre. Van Hamme nous prouve une fois de plus que sur les one shot et séries courtes (Lune de Guerre, SOS Bonheur), il est vraiment très bon. Dommage qu'il fasse trainer en longueur certaines séries telles que Thorgal...
Le scénario du grand pouvoir du Chninkel est ultra-novateur, vraiment original et tout bonnement passionnant. On s'attache très vite aux deux personnages J'on et G'wel, attendrissants de par leur naiveté, a telle point que l'on oublie que ce ne sont pas des enfants malgré leur apparence !
On suit le périple magique de nos deux héros avec délectation, curieux d'en savoir toujours plus. Les différentes contrées présentées comportent toutes leur lot d'originalité, même si une inspiration de la mythologie des pays scandinaves et assez présente ici.
Question illustrations, je prends bien sur comme référence la premiere version de l'oeuvre, en noir et blanc et d'une qualité incomparable à la réédition couleur, purement commerciale et sans réel intéret.
Ici, Rosinski est au sommet de son art: les traits sont ultra détaillés et fins, les ambiances de chacunes des contrées clairement identifiables, et le dessin met avec brio en relief l'histoire de Van Hamme.
Le design des différentes créatures est très impressionnant, (sont-ils pas mignons ces petits Chninkel ? :)), et un gros travail de fond a été réalisé afin de rendre ce monde hors du commun très accessible. Du grand art !!!
Bref, Le grand pouvoir du Chninkel entre pour moi dans le pantheon très fermé des séries cultes... A lire !!
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La Sueur du soleil
L'inconvénient avec la collection Vécu de chez Glénat est que l'aspect historique prend souvent le dessus sur le coté humain du scénario. Résultat: on n'a parfois l'impression de lire une encyclopédie illustrée plutôt qu'une bd. Rares sont les séries qui se détachent mais La Sueur du Soleil fait partie de ses exceptions. On nous parle, ici, d'une aventure amoureuse sur fond de conquêtes espagnoles. Assez banal à première vue, mais l'histoire est très bien menée, la narration est limpide et ce Harriet mériterait d'être un peu plus présent dans le monde impitoyable de la bd. Dès les premières pages, on est absorbés par les mésaventures de Marco et Orocomay dans un climat où la soif de l'or a rendu les hommes pervers, mesquins et surtout avides de pouvoirs. Le dessin de Mata était un peu figé dans les premiers albums mais s'est nettement amélioré par la suite. Une reflexion me vient à l'esprit: ce n'est pas toujours les meilleurs séries qui réussisent le mieux, la preuve en est encore faite, ici .
Donjon Zenith
Ze best !!! Le mailleur de la série Donjon (pour l'instant). Quand Mr Nicoco m'en avait parlé, je trouvais que ça faisait un peu dessin pour gamins. Que neni ! Une des meilleures séries que j'ai lu pour l'instant. De l'humour, de l'action, du suspense... Encore !
Le Chant des Stryges
On m'avait parlé de cette BD, mais je ne trouvais pas la couverture très alléchante et le dessin était un peu "commun". Mais quelle claque en le lisant ! Je me suis rué sur les autres tomes et les ai dévorés. Une des meilleures séries en ma possession. Un univers vraiment captivant, même si les 2 derniers tomes peuvent paraîtres un peu plus fades (un peu plus lent).
Dallas Barr
J'ai bien aimé cette série. L'histoire est originale (elle diffère du concept d'immortalité habituel), bien rythmée et avec pas mal de moment de remise en question. Les 2 derniers tomes sont un peu plus tordus au point de vue du scénario, mais c'est une série à lire !
Dragon Ball
Le manga culte à avoir ! J'ai vraiment eu beaucoup de plaisir à la lire; c'était un des dessins animés que je préférais. Là, au moins, on ne loupe aucun épisode et les combats vont plus vite !!! Ils ne restent pas 10 minutes à se regarder sans bouger avec le vent qui souffle, ou mettre 5 minutes à faire monter leur énergie. A partir du moment où ils commencent à devenir super-sayens, ça part vraiment en live. Avant, on retrouve avec bonheur les aventures du petit San Goku et les mythiques championnats du monde des arts martiaux.
Approximativement
C'est ce qu'on appelle une autobiographie, je trouve l'exercice plutôt bien réussi par Trondheim (en règle générale beaucoup d'auteurs s'y sont cassé les dents). Quant au niveau du dessin, c'est le style Trondheim, "bâclé" comme il le dit lui-même et pourtant furieusement personnel. On suit donc avec intérêt cette tranche de vie et on déguste les petites "anecdotes" (comme la mouche proposée au japonais)
Monsieur Noir
Monsieur Noir, c'est une petite fille toute mignonne-gentille-naïve ( mais pas tant que ça en fait ) qui n'a rien à faire là et est toute perdue au milieu d'une lutte sans merci pour le pouvoir. Tout rappelle le conte de fées, mais le rose à été échangé par du noir... L'ambiance est glaçante, grisante d'humour noir et de lutte absurde, de jeu cruel et sans merci, à se trahir les uns et les autres, à être gentil et méchant en même temps... tout ça magnifiquement illustré. Une excellente satire de notre société actuelle ! Attention, cette bd est fortement déconseillée aux amateurs de fin ( et de début, et d'histoire en général, en fait... )claire et rationnelle.
Sand Land
Un petit bijou d'humour et de fraicheur que ce manga. Pour ceux qui en ont marre de ces histoires à rallonge qui n'avancent pas que nous pondent savemment les mangaka, voici un oneshot pas mal du tout. C'est dans la veine de "un petit garçon très fort part vivre des aventures loin de chez lui", mais c'est plus original. Ici, le petit garçon est un jeune démon, et son père ne l'autorise à partir que s'il s'engage, à son retour, à ne "jouer sur sa console qu'une heure par jour, dans une pièce bien éclairée, le visage loin de l'écran". Les rebondissements se suivent, avec juste assez de rythme et d'originalité pour ne pas laisser le temps de s'ennuyer. La chute se laisse un peu trop facilement deviner, mais elle reste agréable à lire. Les dessins... ben, ce sont les mêmes que pour BDZ. Assez simple, pas très beaux mais efficaces, et puis les têtes des démons sont marrantes. Ceci dit, si vous n'achetez des mangas que pour vous en servir aux toilettes, soyez gentils, laissez celui-ci dans les rayoonns de votre librairie...
Rising Stars
Une histoire vive et empreinte de plus de profondeur qu'on se l'imagine au premier abord, avec des héros "spéciaux" très humains (trop peut-être) qui donnent à cette BD une réelle dimension, au-delà des vieux comics.
Le Grand Pouvoir du Chninkel
Le grand pouvoir du Chninkel fait parti des rares BD qui ont chez moi suscitées une émotion vraiment très forte. Emotion née de la découverte d'un monde pour le moins intrigant, imagination du génial Van Hamme qui nous présente les sentiments brut d'un petit Chninkel, esclave parmi les esclaves, choisi malgré lui pour sauver la planète de la guerre incessante. Autant le dire tout de suite, cette série est un chef d'oeuvre. Van Hamme nous prouve une fois de plus que sur les one shot et séries courtes (Lune de Guerre, SOS Bonheur), il est vraiment très bon. Dommage qu'il fasse trainer en longueur certaines séries telles que Thorgal... Le scénario du grand pouvoir du Chninkel est ultra-novateur, vraiment original et tout bonnement passionnant. On s'attache très vite aux deux personnages J'on et G'wel, attendrissants de par leur naiveté, a telle point que l'on oublie que ce ne sont pas des enfants malgré leur apparence ! On suit le périple magique de nos deux héros avec délectation, curieux d'en savoir toujours plus. Les différentes contrées présentées comportent toutes leur lot d'originalité, même si une inspiration de la mythologie des pays scandinaves et assez présente ici. Question illustrations, je prends bien sur comme référence la premiere version de l'oeuvre, en noir et blanc et d'une qualité incomparable à la réédition couleur, purement commerciale et sans réel intéret. Ici, Rosinski est au sommet de son art: les traits sont ultra détaillés et fins, les ambiances de chacunes des contrées clairement identifiables, et le dessin met avec brio en relief l'histoire de Van Hamme. Le design des différentes créatures est très impressionnant, (sont-ils pas mignons ces petits Chninkel ? :)), et un gros travail de fond a été réalisé afin de rendre ce monde hors du commun très accessible. Du grand art !!! Bref, Le grand pouvoir du Chninkel entre pour moi dans le pantheon très fermé des séries cultes... A lire !!