Avis après les deux premiers tomes de chez Semic :
J'ai beaucoup aimé. C'est vrai que le style est assez particulier, mais il ne faut pas se fier à un dessin qui pourrait faire passer Powers pour un truc pour gosses : l'ambiance est vraiment sombre (particulièrement dans le deuxième tome) ... Powers, loin de l'histoire de super-héros, est avant tout un récit policier, très prenant, parfois un peu glauque, mais qui sonne juste (les dialogues de Bendis sont très bons).
Mais c'est sûr que le style peut rebuter. En première lecture, la mise en page n'est pas toujours évidente (beaucoup de passages en double-pages), mais quand on arrive à se plonger dedans, on passe vraiment un bon moment.
Je n'ai lu que le premier tome (très belle édition, soit dit en passant). J'ai trouvé ça vraiment bien ... C'est peut être pas la meilleure chose qu'ait fait Moore, mais c'est assez drôle (surtout quand on cherche à repérer toutes les références), frais, bien foutu. Et j'ai beaucoup aimé les dessins. Une bonne surprise.
Moi j'aime bien ce manga de Katsura.
Tout d'abord les dessins sont excellents (comme d'hab avec Katsura).
Mais je trouve l'histoire vraiment super drôle: le futur est surpeuplé à cause du méga play-boy: Junta, qui fera plus de cent enfants et leur passera donc le gène de méga play-boy. Karin Aoi une jeune fille est donc envoyé dans le passé pour modifier ses gènes, mais une regrettable erreure va la faire transformer Junta qui vomit sur les filles en méga play-boy...
Ca aurait pu ètre un manga d'amour classique mais le scénario le rend complètement délirant et ça ne se prend pas du tout au sérieux: le méga play-boy est en fait une sorte de super-guerrier à la DBZ qui séduit toute les filles avec son attaque des étoiles scintillantes.
Dans le fond c'est débile c'est sûr mais c'est trop drôle et vachement bien dessiné....moi j'aime!!!
Cette série me laisse des regrets : scénario plutôt commun mais dessins magnifiques de Joe Mad!, le vrai problème de cette série est que Joe Mad! ait suspendue cette série pour se consacrer aux jeux vidéos.
J’espère qu'un jour Mad! décidera de reprendre cette série et de la terminer, même si je n'y crois plus tellement...
Titre fondateur des studios « Image Comics » au même titre que Battle Chasers ou Crimson, cette série ne laisse pas indifférente : malgré un scénario plutôt commun les graphismes sont agréables.
En conclusion, une série à lire au même titre que Battle Chasers, Crimson et "Out There".
L’intérêt de cet album ne réside pas dans vraiment dans son scénario. Plus précisément, il se trouve très exactement dans la page centrale. En effet, «Morphologie variable» est une bande dessinée palindrome…
Eh oui, et qui plus est bien faite. Contrairement à «Cercle vicieux» d’Etienne Lécroart, ce récit est complètement sans paroles, et c’est au lecteur qu’il appartient de fournir une grande partie du sens du récit, ce qui n’est pas toujours facile. Bien évidemment, le sens donné pour une case au début ne sera pas le même que pour la même case à la fin. L’absence de paroles permet de mieux comprendre le mécanisme, de voir l’ambiguïté tout d’abord non perçue du dessin, des gestes, des expressions, et enfin des ellipses. Le plaisir de lecture est ici en grande partie lié à la comparaison du début et delà fin, et à la recherche du sens.
Le dessin, très particulier, fait très underground mais n’est pas déplaisant.
A lire absolument pour tous les amoureux de l’OuBaPo, et dans tous les cas à découvrir.
Etrange BD que voilà, et surtout excellente initiative de la part de L'Association que de rééditer ce petit bijou initialement paru chez Dargaud.
Pendant plus de 130 planches, David B. nous entraîne dans un Japon qui n'a rien du Manga. L'auteur s'inspire de légendes mythologiques japonaises pour écrire une histoire passionnante, qui mêle conte, aventures, fantastique, mythologie et folklore sur une partition ne souffrant d'aucune fausse note.
Du point de vue du lecteur, c'est un véritable régal que de se laisser entraîner dans cette BD, on y fait connaissance avec quelques icônes de la mythologie japonaise et on y retrouve avec un réel bonheur l'imaginaire de David B., le tout astucieusement mêlé pour un résultat franchement épatant.
Découpée en chapitres, ce roman-BD m'a fait voyager, sourire, penser, m'émerveiller, et rêver…
De plus le dessin est vraiment maîtrisé, le noir et blanc plus que jamais consacré comme un support formidable pour ce genre d'histoire finalement bien plus grand public que certains ne voudraient le faire croire. Et puis un noir et blanc parfaitement maîtrisé, classe, élégant, superbe...
Le seul défaut : ce n'est pas assez long! Oui, je sais, 130 ou 140 planches je ne me souviens plus exactement mais le récit est si bien conduit, les personnages si bien construits, le dessin si bien maîtrisé, qu'une BD pareille, on voudrait qu'elle ne se termine jamais.
Histoire épique, pas foncièrement originale dans la trame mais aux personnages attachants. Le dessin est atypique et pourrait rebuter, mais il a une personnalité incontestable et une dexterité certaine. Par contre, je ne suis vraiment pas fan de la colorisation : couleurs primaires un peu trop éclatantes et qui rompent tout ersatz d'ambiance. Pas encore lu le tome 2 pour voir si le récit prend de l'ampleur.
Tome 1:
Le scénar est vraiment interessant ! A propos des dessins, rien à dire, je suis fan !
Le sujet (le racisme) est bien traité, sans non plus manquer d'humour ( le petit monstre syndicaliste est trop tripant ! :))
Tome 2:
Je suis un peu plus rétissant par rapport au scénar, niveau dessins toujours rien à dire.
Avec une ironie et un cynisme qui rappelle parfois Boucq ("La dérisoire effervescence des comprimés"), Prado croque un quotidien qui m'a paru surréaliste, parfois futuriste, tellement je ne reconnaissais pas mon environnement. Et pourtant, en s'attardant, en relisant, on se rend compte que ça colle plutôt bien à la réalité.
Les histoires sont "coupées" entre elles par un dessin qui alterne, à la "Trait de craie", et un dessin plus précis et aux couleurs plus vives ; ce qui permet de passer en douceur d'une histoire à l'autre.
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Powers
Avis après les deux premiers tomes de chez Semic : J'ai beaucoup aimé. C'est vrai que le style est assez particulier, mais il ne faut pas se fier à un dessin qui pourrait faire passer Powers pour un truc pour gosses : l'ambiance est vraiment sombre (particulièrement dans le deuxième tome) ... Powers, loin de l'histoire de super-héros, est avant tout un récit policier, très prenant, parfois un peu glauque, mais qui sonne juste (les dialogues de Bendis sont très bons). Mais c'est sûr que le style peut rebuter. En première lecture, la mise en page n'est pas toujours évidente (beaucoup de passages en double-pages), mais quand on arrive à se plonger dedans, on passe vraiment un bon moment.
La Ligue des Gentlemen Extraordinaires
Je n'ai lu que le premier tome (très belle édition, soit dit en passant). J'ai trouvé ça vraiment bien ... C'est peut être pas la meilleure chose qu'ait fait Moore, mais c'est assez drôle (surtout quand on cherche à repérer toutes les références), frais, bien foutu. Et j'ai beaucoup aimé les dessins. Une bonne surprise.
DNA²
Moi j'aime bien ce manga de Katsura. Tout d'abord les dessins sont excellents (comme d'hab avec Katsura). Mais je trouve l'histoire vraiment super drôle: le futur est surpeuplé à cause du méga play-boy: Junta, qui fera plus de cent enfants et leur passera donc le gène de méga play-boy. Karin Aoi une jeune fille est donc envoyé dans le passé pour modifier ses gènes, mais une regrettable erreure va la faire transformer Junta qui vomit sur les filles en méga play-boy... Ca aurait pu ètre un manga d'amour classique mais le scénario le rend complètement délirant et ça ne se prend pas du tout au sérieux: le méga play-boy est en fait une sorte de super-guerrier à la DBZ qui séduit toute les filles avec son attaque des étoiles scintillantes. Dans le fond c'est débile c'est sûr mais c'est trop drôle et vachement bien dessiné....moi j'aime!!!
Battle Chasers
Cette série me laisse des regrets : scénario plutôt commun mais dessins magnifiques de Joe Mad!, le vrai problème de cette série est que Joe Mad! ait suspendue cette série pour se consacrer aux jeux vidéos. J’espère qu'un jour Mad! décidera de reprendre cette série et de la terminer, même si je n'y crois plus tellement...
Danger Girl - Opération Hammer
Titre fondateur des studios « Image Comics » au même titre que Battle Chasers ou Crimson, cette série ne laisse pas indifférente : malgré un scénario plutôt commun les graphismes sont agréables. En conclusion, une série à lire au même titre que Battle Chasers, Crimson et "Out There".
Morphologie Variable
L’intérêt de cet album ne réside pas dans vraiment dans son scénario. Plus précisément, il se trouve très exactement dans la page centrale. En effet, «Morphologie variable» est une bande dessinée palindrome… Eh oui, et qui plus est bien faite. Contrairement à «Cercle vicieux» d’Etienne Lécroart, ce récit est complètement sans paroles, et c’est au lecteur qu’il appartient de fournir une grande partie du sens du récit, ce qui n’est pas toujours facile. Bien évidemment, le sens donné pour une case au début ne sera pas le même que pour la même case à la fin. L’absence de paroles permet de mieux comprendre le mécanisme, de voir l’ambiguïté tout d’abord non perçue du dessin, des gestes, des expressions, et enfin des ellipses. Le plaisir de lecture est ici en grande partie lié à la comparaison du début et delà fin, et à la recherche du sens. Le dessin, très particulier, fait très underground mais n’est pas déplaisant. A lire absolument pour tous les amoureux de l’OuBaPo, et dans tous les cas à découvrir.
Le Tengû Carré
Etrange BD que voilà, et surtout excellente initiative de la part de L'Association que de rééditer ce petit bijou initialement paru chez Dargaud. Pendant plus de 130 planches, David B. nous entraîne dans un Japon qui n'a rien du Manga. L'auteur s'inspire de légendes mythologiques japonaises pour écrire une histoire passionnante, qui mêle conte, aventures, fantastique, mythologie et folklore sur une partition ne souffrant d'aucune fausse note. Du point de vue du lecteur, c'est un véritable régal que de se laisser entraîner dans cette BD, on y fait connaissance avec quelques icônes de la mythologie japonaise et on y retrouve avec un réel bonheur l'imaginaire de David B., le tout astucieusement mêlé pour un résultat franchement épatant. Découpée en chapitres, ce roman-BD m'a fait voyager, sourire, penser, m'émerveiller, et rêver… De plus le dessin est vraiment maîtrisé, le noir et blanc plus que jamais consacré comme un support formidable pour ce genre d'histoire finalement bien plus grand public que certains ne voudraient le faire croire. Et puis un noir et blanc parfaitement maîtrisé, classe, élégant, superbe... Le seul défaut : ce n'est pas assez long! Oui, je sais, 130 ou 140 planches je ne me souviens plus exactement mais le récit est si bien conduit, les personnages si bien construits, le dessin si bien maîtrisé, qu'une BD pareille, on voudrait qu'elle ne se termine jamais.
Chevalier Malheur
Histoire épique, pas foncièrement originale dans la trame mais aux personnages attachants. Le dessin est atypique et pourrait rebuter, mais il a une personnalité incontestable et une dexterité certaine. Par contre, je ne suis vraiment pas fan de la colorisation : couleurs primaires un peu trop éclatantes et qui rompent tout ersatz d'ambiance. Pas encore lu le tome 2 pour voir si le récit prend de l'ampleur.
Les Entremondes
Tome 1: Le scénar est vraiment interessant ! A propos des dessins, rien à dire, je suis fan ! Le sujet (le racisme) est bien traité, sans non plus manquer d'humour ( le petit monstre syndicaliste est trop tripant ! :)) Tome 2: Je suis un peu plus rétissant par rapport au scénar, niveau dessins toujours rien à dire.
Quotidien délirant
Avec une ironie et un cynisme qui rappelle parfois Boucq ("La dérisoire effervescence des comprimés"), Prado croque un quotidien qui m'a paru surréaliste, parfois futuriste, tellement je ne reconnaissais pas mon environnement. Et pourtant, en s'attardant, en relisant, on se rend compte que ça colle plutôt bien à la réalité. Les histoires sont "coupées" entre elles par un dessin qui alterne, à la "Trait de craie", et un dessin plus précis et aux couleurs plus vives ; ce qui permet de passer en douceur d'une histoire à l'autre.