Je viens de lire cette BD et j'ai passé un très bon moment. Ça fait penser à du Larcenet, mais ça garde tout de même une touche originale.
Ce qui a déplu à certains m'a plu à moi. Exemple:
-Les planches sans diaglogues sont très belles et très pertinentes.
-La finale est géniale et j'ai bien hâte de lire la suite.
C'est un premier album pleinement satisfaisant, qui va plus loin que la simple mise en place des personnages et des situations.
D'abord il y a l'histoire. Une intrigue étonnante qui joint fantastique et "quotidien" sans sacrifier aucun des deux aspects mais en les mêlant au contraire intimement.
Ensuite, il y le dessin et les couleurs, limpides. Ici, peu d'originalité mais plutôt une grande clarté qui colle parfaitement à l'ambiance de la série.
Candélabre est une BD harmonieuse et subtile. Un moment rare et un vrai plaisir.
Une histoire de gangsters dans les années 50, vue à travers les yeux du jeune Happy, fraîchement débarqué de sa campagne.
Le scénario impeccable nous entraîne derrière le jeune héros, dont la naïveté et l'innocence, retranscrites notamment au travers d'un dessin simple et clair, contrastent formidablement avec la dureté des évènements et surtout des personnages (vous ne verrez plus jamais blanche-neige comme avant !).
L'ambiance 50's est très bien rendue du début à la fin. On peu juste reprocher, comme certains l'ont déjà dit, l'usage parfois abusif des flash-back qui nuit au rythme, mais cela ne doit pas masquer les grandes qualités de cette série. A lire.
A que voilà un très bon manga d'amour!!!
Tout d'abord c'est du Katsura donc les dessins sont très jolis (surtout les filles évidemment...)et l'humour est très présent.
Le héros qui a beaucoup de mal avec les filles ne peut pas s'empècher de dire ou de faire le contraire de ce qu'il pense donc situations gênantes et quiproquos sont au rendez-vous.
L'histoire est donc très prenante et les personnages sont très attachants ce qui fait qu'on reste scotché au manga du début à la fin qui est souvent en suspense (là on se jette sur le volume suivant sans pouvoir attendre).Par contre ça devient un peu lassant vers la fin mais c'est quand même tout bon.
C'est donc une bonne série bien belle et bien drôle et pas trop trop longue(15 vol)
que demander de plus !?
Je n'ai lu que le premier volume mais pour l'instant ça déchire.
C'est un manga à l'ambiance glauque dont je suis friand: le perso principal est un total anti-héros (un vrai enfoiré qui ne réagit même pas quand quelqu'un tombe sur les railles du métro ou quand une fille se fait violer devant lui),les dessins sont sombres et réalistes comme il faut pour retranscrire ce genre d'ambiance et l'histoire...c'est du délire.
Des gens morts dans la même journée se retrouvent dans un appartement où on leur donne des armes pour éliminer "l'Homme Poireau"...je n'en dis pas plus mais c'est vraiment OUF.
Un manga vraiment comme je les aime, j'ai hâte de lire la suite.
BD excellente, l'éditeur a dû être surpris lorsqu'elle a reçu le prix d'Angoulèmes...trop peu de BD à vendre pour satisfaire les acheteurs après l'annonce.
C'est du Beckett en BD (si ça s'écrit comme ça!), le dessin est original et cette BD a l'avantage de plaire à ceux qui aiment la littérature et pensent que la BD n'en fait pas partie.
La nature de l'homme le méne-t-il à sa perte ou à sa réalisation ultime ?
La religion semble supposer que tout est écrit et déjà pensé et l'on ne ferait qu'attendre un verdict divin.
Qui sommes nous en vérité ? Divins pantins, bêtes évoluées ou sur la trace d'une évolution suggérée ?
En tout cas ce récit, cette mise en scéne obscure et soignée font une démonstration intéressante de notre essence, de notre dualité...
Dans la lignée de «L’artiste de la famille», cet album aborde un sujet plus spécifique : le service militaire. Prologue et conclusion sont un aveu d’impuissance. Impuissance à digérer, à haïr, impuissance à réagir envers quelque chose qu’on ne peut que subir.
«Presque» décrit l’indescriptible. Les scènes montrant la mère de Larcenet (que l’on retrouvera plus tard sous une forme approchante dans «Le combat ordinaire») sont une très belle mise en abîme du lecteur et illustrent parfaitement l’impuissance de tous : de celui qui subit, de sa famille qui ne peut rien et qui préfère se voiler les yeux que de faire face à une réalité inacceptable...
A mon grand regret, je dois avouer que Larcenet retranscrit assez bien un certain esprit particulièrement détestable, médiocre et méprisant, qui touche une partie de l’armée. Car dans une moindre mesure j’ai aussi vécu ces choses, cette impuissance, ce dépouillement de presque tout droit, cet avilissement légal, pour le «bien de la nation». Aussi ne puis-je qu’être complètement d’accord avec tout cet album.
Fort heureusement, ce genre d’épreuves permet en général d’en sortir plus fort. Mais «Presque» contient cette conclusion d’autant plus pessimiste qu’elle est vraie : à condition que ça ne recommence pas.
Une superbe BD, le scénario nous permet assez rapidement de connaître les personnages et d'avoir de la sympathie pour eux. Ce qui m'a attiré c'est le dessin et le graphisme, les jeux d'ombre et de lumiére sont magnifique, et les dessins des personnages et de la ville nous met tout de suite dans l'ambiance. Cette BD est un délice pour les yeux, un bonheur à découvrir absolument
Avec une apparente légèreté l'auteur nous livre un récit autobiographique autour d'un sujet grave : le sida.
On s'attache beaucoup aux personnages sans jamais tomber dans le larmoyant. Superbe..... à conseiller et faire découvrir sans modération !!!
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Lincoln
Je viens de lire cette BD et j'ai passé un très bon moment. Ça fait penser à du Larcenet, mais ça garde tout de même une touche originale. Ce qui a déplu à certains m'a plu à moi. Exemple: -Les planches sans diaglogues sont très belles et très pertinentes. -La finale est géniale et j'ai bien hâte de lire la suite. C'est un premier album pleinement satisfaisant, qui va plus loin que la simple mise en place des personnages et des situations.
Candélabres
D'abord il y a l'histoire. Une intrigue étonnante qui joint fantastique et "quotidien" sans sacrifier aucun des deux aspects mais en les mêlant au contraire intimement. Ensuite, il y le dessin et les couleurs, limpides. Ici, peu d'originalité mais plutôt une grande clarté qui colle parfaitement à l'ambiance de la série. Candélabre est une BD harmonieuse et subtile. Un moment rare et un vrai plaisir.
Le poisson-clown
Une histoire de gangsters dans les années 50, vue à travers les yeux du jeune Happy, fraîchement débarqué de sa campagne. Le scénario impeccable nous entraîne derrière le jeune héros, dont la naïveté et l'innocence, retranscrites notamment au travers d'un dessin simple et clair, contrastent formidablement avec la dureté des évènements et surtout des personnages (vous ne verrez plus jamais blanche-neige comme avant !). L'ambiance 50's est très bien rendue du début à la fin. On peu juste reprocher, comme certains l'ont déjà dit, l'usage parfois abusif des flash-back qui nuit au rythme, mais cela ne doit pas masquer les grandes qualités de cette série. A lire.
I"s
A que voilà un très bon manga d'amour!!! Tout d'abord c'est du Katsura donc les dessins sont très jolis (surtout les filles évidemment...)et l'humour est très présent. Le héros qui a beaucoup de mal avec les filles ne peut pas s'empècher de dire ou de faire le contraire de ce qu'il pense donc situations gênantes et quiproquos sont au rendez-vous. L'histoire est donc très prenante et les personnages sont très attachants ce qui fait qu'on reste scotché au manga du début à la fin qui est souvent en suspense (là on se jette sur le volume suivant sans pouvoir attendre).Par contre ça devient un peu lassant vers la fin mais c'est quand même tout bon. C'est donc une bonne série bien belle et bien drôle et pas trop trop longue(15 vol) que demander de plus !?
Gantz
Je n'ai lu que le premier volume mais pour l'instant ça déchire. C'est un manga à l'ambiance glauque dont je suis friand: le perso principal est un total anti-héros (un vrai enfoiré qui ne réagit même pas quand quelqu'un tombe sur les railles du métro ou quand une fille se fait violer devant lui),les dessins sont sombres et réalistes comme il faut pour retranscrire ce genre d'ambiance et l'histoire...c'est du délire. Des gens morts dans la même journée se retrouvent dans un appartement où on leur donne des armes pour éliminer "l'Homme Poireau"...je n'en dis pas plus mais c'est vraiment OUF. Un manga vraiment comme je les aime, j'ai hâte de lire la suite.
Qui a tué l'idiot ?
BD excellente, l'éditeur a dû être surpris lorsqu'elle a reçu le prix d'Angoulèmes...trop peu de BD à vendre pour satisfaire les acheteurs après l'annonce. C'est du Beckett en BD (si ça s'écrit comme ça!), le dessin est original et cette BD a l'avantage de plaire à ceux qui aiment la littérature et pensent que la BD n'en fait pas partie.
Le Troisième Testament
La nature de l'homme le méne-t-il à sa perte ou à sa réalisation ultime ? La religion semble supposer que tout est écrit et déjà pensé et l'on ne ferait qu'attendre un verdict divin. Qui sommes nous en vérité ? Divins pantins, bêtes évoluées ou sur la trace d'une évolution suggérée ? En tout cas ce récit, cette mise en scéne obscure et soignée font une démonstration intéressante de notre essence, de notre dualité...
Presque
Dans la lignée de «L’artiste de la famille», cet album aborde un sujet plus spécifique : le service militaire. Prologue et conclusion sont un aveu d’impuissance. Impuissance à digérer, à haïr, impuissance à réagir envers quelque chose qu’on ne peut que subir. «Presque» décrit l’indescriptible. Les scènes montrant la mère de Larcenet (que l’on retrouvera plus tard sous une forme approchante dans «Le combat ordinaire») sont une très belle mise en abîme du lecteur et illustrent parfaitement l’impuissance de tous : de celui qui subit, de sa famille qui ne peut rien et qui préfère se voiler les yeux que de faire face à une réalité inacceptable... A mon grand regret, je dois avouer que Larcenet retranscrit assez bien un certain esprit particulièrement détestable, médiocre et méprisant, qui touche une partie de l’armée. Car dans une moindre mesure j’ai aussi vécu ces choses, cette impuissance, ce dépouillement de presque tout droit, cet avilissement légal, pour le «bien de la nation». Aussi ne puis-je qu’être complètement d’accord avec tout cet album. Fort heureusement, ce genre d’épreuves permet en général d’en sortir plus fort. Mais «Presque» contient cette conclusion d’autant plus pessimiste qu’elle est vraie : à condition que ça ne recommence pas.
Le Réseau Bombyce
Une superbe BD, le scénario nous permet assez rapidement de connaître les personnages et d'avoir de la sympathie pour eux. Ce qui m'a attiré c'est le dessin et le graphisme, les jeux d'ombre et de lumiére sont magnifique, et les dessins des personnages et de la ville nous met tout de suite dans l'ambiance. Cette BD est un délice pour les yeux, un bonheur à découvrir absolument
Pilules bleues
Avec une apparente légèreté l'auteur nous livre un récit autobiographique autour d'un sujet grave : le sida. On s'attache beaucoup aux personnages sans jamais tomber dans le larmoyant. Superbe..... à conseiller et faire découvrir sans modération !!!