Une très belle histoire dramatique contée d’une main de maître. Les dessins en noir et blanc accentuent vraiment l’atmosphère qui se dégage de ce récit qui traite bien sûr des difficultés d’intégration que peuvent éprouver certaines personnes lorsqu’ils décident d’apporter leur pierre à un édifice qui ne les désire pas à priori, mais c’est avant tout une très belle histoire d’amour et une véritable leçon de vie.
Si Pagnol avait été auteur de BD, il aurait peut-être écrit Erminio le milanais.
Bravo
En lisant les avis précédents à propos de cette série, j’ai été surpris en général par le sentiment de déception et la sévérité de la note. Pour ma part je trouve que ces 2 premiers tomes sont d’une très bonne qualité avec un dessin classique et agréable quoique un peu figé, un scénario prenant qui prédit pour l’instant le risque de destruction (ou d’autodestruction) de l’homme par l’homme (j’aime bien cette façon plutôt Darwinienne d’imaginer l’évolution) avec une intrigue mêlant investigation journalistique, espionnage, action et intrigues politiciennes.
Sans être un must, c’est bien fait et agréable à suivre et ce n’est déjà pas si mal !
La série la plus difficile à chroniquer, car la plus diverse. La force de Sfar et Trondheim est d'inventer des histoires parfois très drôles et toujours très inventives pour les personnages secondaires du donjon. Les auteurs peuvent s'intéresser aux trois périodes différentes du donjon en développant la psychologie d'un personnage de second plan. Des dessinateurs très bons se sont succédés sur ces albums, que ce soit Menu, Andréas, Yoann, Killofer ou Blutch.
J'ai une petite préférence pour l'album de Yoann sur Grogro du ramdam pour les brasseurs et le merveilleux mon fils le tueur dessiné par Blutch. La vision de la fin de Terra Amata vue sous deux angles différents (Marvin rouge et Herbert) est aussi très intéressante. Une excellente série, mais à réserver sans doute plus aux vrais fans du Donjon.
Cultissime !!!
Sans aucune contestation, la meilleure série de la grande œuvre de Gotlib. Les quatre tomes se valent dans l’excellence. Et puis « Rubrique-à-brac » n’est pas une bd qu’on lit en un quart d’heure ! Il faut bien deux heures pour apprécier tout le génie de Gotlib. Et le réapprécier, puisque quand on a découvert cette bd, on la relit un nombre de fois incalculable…
Je ne vois pas un seul reproche à faire à cette bd. Les scénarii de deux pages sont excellents. Qu’ils parlent de cinéma, d’extraterrestres ou d’animaux (mention spéciale pour le professeur Burp : tous ses exposés m’ont fait tordre de rire), tous les gags, je dis bien tous, sont réussis. L’humour glacial et sophistiqué de Gotlib est partout, et, dans cette série, sans vulgarité comme dans Rhââ Lovely. Et surtout, le plus important, cette bd n’a pas vieilli d’une ride.
Les dessins… géniaux aussi ! Le coup de crayon est parfait, sans erreurs.
Aujourd’hui, l’une des meilleurs bds d’humour du monde de la bd, si ce n’est pas la meilleure…
Et pour finir, le gag le plus énorme de Gotlib: Isaac Newton, que l'auteur nous ressert à toutes les sauces, mais qui est toujours aussi bon!
Dans la série gros délire de Gotlib, j’avais préféré Rhââ-Gnagna, mais bon, c’est quand même toujours du très bon.
Les scénarii sont archi-salaces, parfois même trop. On voit quinze quéquettes par page, alors même si c’est délirant, il y a un peu d’abus. Mais bon, on va pas s’arrêter là, ça ne gâche pas le plaisir. Les scénarii sont vraiment sympas : on trouve le bois Huon où on croise les personnages de contes en positions un peu… enfin, vous m’avez compris (par exemple, Blanche-Neige qui se tape les sept nains).
Les dessins sont également magnifiques (et le mot n’est pas trop haut), Gotlib est au sommet de son art, le coup de crayon ne comporte absolument aucune imperfection, c‘est du très très lourd.
Bref, j’adore, alors Rhââ Lovely !!!
D’abord, merci à Bdthèque car, sans ce site, je n’aurais jamais eu l’envie d’acheter cette série, qui est absolument géniale !!!
Que du délirant et du très bon !!! Le premier tome « La chemise de la nuit » m’a vraiment plu. D’abord, les personnages comme les lutins ou les brous sont vraiment sympas. Ensuite, j’aime bien le personnage principal Hyacinthe, et quand il se transforme en justicier nocturne. Et enfin, il y a des petits détails vraiment irrésistibles, comme la pipe du bon Dieu et les tabacs spéciaux.
Les dessins de Blain n'ont pas l'air terrible à première vue, mais après un début où j'ai eu du mal, je suis tombé littéralement amoureux de ces dessins. C'est vrai que c'est un style particulier, mais bon personnellement j'aime beaucoup: les traits sont très nombreux, mais tellement bien ordonnés que le rendu est absolument magnifique. Et dans le tome -84, Blain arrive au sommet de son art: les décors, principalement ceux de villes, sont sublimes, les personnages très expressifs, bref, c'est super beau!
Les tomes 5 et 6 sont sortis presque coup sur coup, je me lance! J'ai acheté ce manga d'après les conseils avisés de ma libraire. N'accrochant pas immédiatement au dessin, j'ai hésité un long moment avant de me plonger tête baissée dans cette aventure tumultueuse du petit Ki-itchi.
Comme je l'ai déjà dit, le dessin ne m'a pas du tout séduit. Je le trouve assez grossier, trouble, inégal... ce qui, à vrai dire, pourrait très bien être des qualités dans certains contextes! Et d'ailleurs, ça l'est. Dans les moments intenses, dans lesquels le dessinateur exprime une rare violence intérieure et émotionnelle, ça fonctionne très bien.
Par contre, ce qui m'a emballé, c'est l'histoire de ce gamin qui frappé de plein fouet par le destin développe une faculté de survie pour le moins surprenante. Je ne saurais pas dire exactement comment cette histoire a su m'agripper. Ce n'est sûrement pas la mise en page ou la qualité du papier, peut-être le sujet, le rythme narratif...
Cette série est à conseiller, car elle se distingue fortement du genre. Toutefois, je m'inquiète : On m'avait dit que la série serait complète après le 4ème ou 5ème tome. Alors QUID?
La meilleure série de Peyo, incontestablement. Cette oeuvre est l'ancêtre de l'heroïc fantasy, avec ses magiciens, dragons, sorciers, le tout empreint d'une certaine poésie. Cela date quand même des années 50, 60, ce qui fait que les premiers albums ont beaucoup vieilli (on notera cependant l'apparition de Pirlouit dans Le lutin du bois aux roches). La série ne décolle vraiment qu'avec le sixième tome. Mais là, on entre dans la meilleure phase des albums de Johan et Pirlouit. Peyo signe ici quelques uns de ses chefs-d'oeuvre : la flûte à 6 schtroumpfs, la guerre des sept fontaines, l'anneau des Castellac. J'aime un peu moins le pays maudit. L'inventivité est au rendez-vous, le personnage de Pirlouit est formidable et c'est dans ces albums que Peyo a créé les schtroumpfs. Par contre, il faut éviter les albums qui ont été faits après la mort de Peyo.
Une série à découvrir ou à redécouvrir...
5 étoiles, ça peut paraître beaucoup dans la mesure où cette série est, à mon humble avis, très difficile d'accès.
De prime abord, le style narratif semble lourd voire pompeux ; doublé d'un dessin déroutant. Alors, me direz-vous, pourquoi lui avoir décerné la note maximale ?
Paradoxalement, pour ce même style. Cette brutalité d'écriture s'avère très efficace, elle colle parfaitement au mythe arthurien (tout du moins à l'image que je m'en fais), très loin des clichés grotesques.
J'invite les amoureux de mythes et légendes à s'évader dans les terres d'une Bretagne magique, à travers cette oeuvre singulière, contemplative et magistrale.
Cette série est à réserver aux nostalgiques de la grande période du journal Spirou. En fait, je ne conseille l'achat que des 6 premiers albums. Certes, la meilleure série de Peyo reste Johan et Pirlouit, mais Benoît Brisefer ne démérite pas. Une série qui n'a pas trop vieilli et que la jeunesse peut facilement découvrir. Le personnage de Benoît est très attachant, sauf qu'on le plaint d'avoir toujours un rhume au mauvais moment. Les albums que je préfère sont Le cirque Bodoni et Tonton Placide.
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Erminio le Milanais
Une très belle histoire dramatique contée d’une main de maître. Les dessins en noir et blanc accentuent vraiment l’atmosphère qui se dégage de ce récit qui traite bien sûr des difficultés d’intégration que peuvent éprouver certaines personnes lorsqu’ils décident d’apporter leur pierre à un édifice qui ne les désire pas à priori, mais c’est avant tout une très belle histoire d’amour et une véritable leçon de vie. Si Pagnol avait été auteur de BD, il aurait peut-être écrit Erminio le milanais. Bravo
Rafales
En lisant les avis précédents à propos de cette série, j’ai été surpris en général par le sentiment de déception et la sévérité de la note. Pour ma part je trouve que ces 2 premiers tomes sont d’une très bonne qualité avec un dessin classique et agréable quoique un peu figé, un scénario prenant qui prédit pour l’instant le risque de destruction (ou d’autodestruction) de l’homme par l’homme (j’aime bien cette façon plutôt Darwinienne d’imaginer l’évolution) avec une intrigue mêlant investigation journalistique, espionnage, action et intrigues politiciennes. Sans être un must, c’est bien fait et agréable à suivre et ce n’est déjà pas si mal !
Donjon Monsters
La série la plus difficile à chroniquer, car la plus diverse. La force de Sfar et Trondheim est d'inventer des histoires parfois très drôles et toujours très inventives pour les personnages secondaires du donjon. Les auteurs peuvent s'intéresser aux trois périodes différentes du donjon en développant la psychologie d'un personnage de second plan. Des dessinateurs très bons se sont succédés sur ces albums, que ce soit Menu, Andréas, Yoann, Killofer ou Blutch. J'ai une petite préférence pour l'album de Yoann sur Grogro du ramdam pour les brasseurs et le merveilleux mon fils le tueur dessiné par Blutch. La vision de la fin de Terra Amata vue sous deux angles différents (Marvin rouge et Herbert) est aussi très intéressante. Une excellente série, mais à réserver sans doute plus aux vrais fans du Donjon.
Rubrique-à-Brac
Cultissime !!! Sans aucune contestation, la meilleure série de la grande œuvre de Gotlib. Les quatre tomes se valent dans l’excellence. Et puis « Rubrique-à-brac » n’est pas une bd qu’on lit en un quart d’heure ! Il faut bien deux heures pour apprécier tout le génie de Gotlib. Et le réapprécier, puisque quand on a découvert cette bd, on la relit un nombre de fois incalculable… Je ne vois pas un seul reproche à faire à cette bd. Les scénarii de deux pages sont excellents. Qu’ils parlent de cinéma, d’extraterrestres ou d’animaux (mention spéciale pour le professeur Burp : tous ses exposés m’ont fait tordre de rire), tous les gags, je dis bien tous, sont réussis. L’humour glacial et sophistiqué de Gotlib est partout, et, dans cette série, sans vulgarité comme dans Rhââ Lovely. Et surtout, le plus important, cette bd n’a pas vieilli d’une ride. Les dessins… géniaux aussi ! Le coup de crayon est parfait, sans erreurs. Aujourd’hui, l’une des meilleurs bds d’humour du monde de la bd, si ce n’est pas la meilleure… Et pour finir, le gag le plus énorme de Gotlib: Isaac Newton, que l'auteur nous ressert à toutes les sauces, mais qui est toujours aussi bon!
Rhââ Lovely
Dans la série gros délire de Gotlib, j’avais préféré Rhââ-Gnagna, mais bon, c’est quand même toujours du très bon. Les scénarii sont archi-salaces, parfois même trop. On voit quinze quéquettes par page, alors même si c’est délirant, il y a un peu d’abus. Mais bon, on va pas s’arrêter là, ça ne gâche pas le plaisir. Les scénarii sont vraiment sympas : on trouve le bois Huon où on croise les personnages de contes en positions un peu… enfin, vous m’avez compris (par exemple, Blanche-Neige qui se tape les sept nains). Les dessins sont également magnifiques (et le mot n’est pas trop haut), Gotlib est au sommet de son art, le coup de crayon ne comporte absolument aucune imperfection, c‘est du très très lourd. Bref, j’adore, alors Rhââ Lovely !!!
Donjon Potron-minet
D’abord, merci à Bdthèque car, sans ce site, je n’aurais jamais eu l’envie d’acheter cette série, qui est absolument géniale !!! Que du délirant et du très bon !!! Le premier tome « La chemise de la nuit » m’a vraiment plu. D’abord, les personnages comme les lutins ou les brous sont vraiment sympas. Ensuite, j’aime bien le personnage principal Hyacinthe, et quand il se transforme en justicier nocturne. Et enfin, il y a des petits détails vraiment irrésistibles, comme la pipe du bon Dieu et les tabacs spéciaux. Les dessins de Blain n'ont pas l'air terrible à première vue, mais après un début où j'ai eu du mal, je suis tombé littéralement amoureux de ces dessins. C'est vrai que c'est un style particulier, mais bon personnellement j'aime beaucoup: les traits sont très nombreux, mais tellement bien ordonnés que le rendu est absolument magnifique. Et dans le tome -84, Blain arrive au sommet de son art: les décors, principalement ceux de villes, sont sublimes, les personnages très expressifs, bref, c'est super beau!
Ki-itchi
Les tomes 5 et 6 sont sortis presque coup sur coup, je me lance! J'ai acheté ce manga d'après les conseils avisés de ma libraire. N'accrochant pas immédiatement au dessin, j'ai hésité un long moment avant de me plonger tête baissée dans cette aventure tumultueuse du petit Ki-itchi. Comme je l'ai déjà dit, le dessin ne m'a pas du tout séduit. Je le trouve assez grossier, trouble, inégal... ce qui, à vrai dire, pourrait très bien être des qualités dans certains contextes! Et d'ailleurs, ça l'est. Dans les moments intenses, dans lesquels le dessinateur exprime une rare violence intérieure et émotionnelle, ça fonctionne très bien. Par contre, ce qui m'a emballé, c'est l'histoire de ce gamin qui frappé de plein fouet par le destin développe une faculté de survie pour le moins surprenante. Je ne saurais pas dire exactement comment cette histoire a su m'agripper. Ce n'est sûrement pas la mise en page ou la qualité du papier, peut-être le sujet, le rythme narratif... Cette série est à conseiller, car elle se distingue fortement du genre. Toutefois, je m'inquiète : On m'avait dit que la série serait complète après le 4ème ou 5ème tome. Alors QUID?
Johan et Pirlouit
La meilleure série de Peyo, incontestablement. Cette oeuvre est l'ancêtre de l'heroïc fantasy, avec ses magiciens, dragons, sorciers, le tout empreint d'une certaine poésie. Cela date quand même des années 50, 60, ce qui fait que les premiers albums ont beaucoup vieilli (on notera cependant l'apparition de Pirlouit dans Le lutin du bois aux roches). La série ne décolle vraiment qu'avec le sixième tome. Mais là, on entre dans la meilleure phase des albums de Johan et Pirlouit. Peyo signe ici quelques uns de ses chefs-d'oeuvre : la flûte à 6 schtroumpfs, la guerre des sept fontaines, l'anneau des Castellac. J'aime un peu moins le pays maudit. L'inventivité est au rendez-vous, le personnage de Pirlouit est formidable et c'est dans ces albums que Peyo a créé les schtroumpfs. Par contre, il faut éviter les albums qui ont été faits après la mort de Peyo. Une série à découvrir ou à redécouvrir...
Arthur
5 étoiles, ça peut paraître beaucoup dans la mesure où cette série est, à mon humble avis, très difficile d'accès. De prime abord, le style narratif semble lourd voire pompeux ; doublé d'un dessin déroutant. Alors, me direz-vous, pourquoi lui avoir décerné la note maximale ? Paradoxalement, pour ce même style. Cette brutalité d'écriture s'avère très efficace, elle colle parfaitement au mythe arthurien (tout du moins à l'image que je m'en fais), très loin des clichés grotesques. J'invite les amoureux de mythes et légendes à s'évader dans les terres d'une Bretagne magique, à travers cette oeuvre singulière, contemplative et magistrale.
Benoit Brisefer
Cette série est à réserver aux nostalgiques de la grande période du journal Spirou. En fait, je ne conseille l'achat que des 6 premiers albums. Certes, la meilleure série de Peyo reste Johan et Pirlouit, mais Benoît Brisefer ne démérite pas. Une série qui n'a pas trop vieilli et que la jeunesse peut facilement découvrir. Le personnage de Benoît est très attachant, sauf qu'on le plaint d'avoir toujours un rhume au mauvais moment. Les albums que je préfère sont Le cirque Bodoni et Tonton Placide.