Voici l'une des oeuvres phares de Frank Miller. Quand on connaît le bonhomme, cela suffit déjà pour juger la qualité de ce comics.
L'un des points forts de Miller, c'est de souligner le côté sombre, froid et souvent inquiétant de ses personnages. Et quel personnage en l'occurrence ! Il s'attaque ni plus ni moins à l'un des symbôles les plus reconnus du monde des comics : Batman.
À l'instar de Superman ou Spiderman, Batman est un héros d'une popularité telle qu'il est devenu "intouchable". C'est bien le problème des icônes : il est difficile de les faire évoluer de manière profonde, de peur de heurter les hordes de fans qui demandent et redemandent des recettes toutes faites pour des héros qui finissent par perdre de leur attrait.
Très intelligemment, Miller a contourné le problème. Le Batman qu'il nous présente est bel et bien Bruce Wayne, mais à l'âge de la retraite. Le personnage flirte avec la soixantaine, et son aventure débute 10 ans après qu'il ait raccroché son masque de super-héros.
Sur ce point d'ailleurs, on retrouve une thématique déjà développée dans les "Watchmen" de Moore.
Ici, Batman combat bien plus que des ennemis costumés ou les petites frappes qui font règner la violence dans les rues de Gotham City. C'est contre lui-même que la lutte sera la plus âpre.
Contre son corps d'abord, qui lui joue des tours et la vieillesse aidant l'abandonne aux moments les plus cruciaux.
Contre ses envies surtout : partagé entre le désir de rendre la justice et celui plus primaire de vengeance, Batman est plus que jamais en plein dilemme, à la limite du dérapage.
Faut-il tuer les assassins ? terroriser les terroristes ?
Étonnant l'écho que cette BD de 1986 peut trouver dans l'actualité américaine contemporaine ...
Moins jusqu'auboutiste que dans son chef d'oeuvre "Sin City" (l'éditeur DC Comics a dû y veiller ...), le scénario témoigne d'une force narrative hors du commun, qui fait des histoires de Miller des objets instantanément reconnaissables sans être pour autant prévisibles.
Côté graphisme, même si Miller ne sera jamais meilleur qu'en Noir & Blanc, son style reste percutant, simple et fouillé à la fois, toujours très personnel.
À mes yeux, Batman : Dark Night est une référence dans la carrière de ce super-héros, voire dans l'histoire des comics en général. Si vous ne deviez lire qu'une aventure de Batman : lisez celle-ci !
Sans hésitation.
Je vais être très sommaire vu la quantité d'avis déjà donné. C'est pas parce qu'une BD a du succès que c'est obligatoirement de la mërde. Ca m'énerve qu'on tire à boulets rouges dessus parce qu'il y a des qualités indéniables. Le scénar est bien construit, le dessin de Tarquin est superbe, c'est plein d'humour et d'imagination. Hébus est à juste titre devenu un personnage mythique. A la différence de beaucoup, je préfère même le deuxième cycle que je trouve vraiment dépaysant (le palais des dieux etc...). Une très belle réussite.
C pas culte, c super hypra cultissime . Qui n'a pas lu un gag de Gaston sans exploser de rire . J'admet qu'il y a des gags pouvant être qualifiés de nuls mais en grande majorité c crise de rire à répétitions . Des gags dont on ne se lasse tellement ils sont marrants . Que dire de plus, c'est la référence en matière d'humour, c le maitre de Titeuf et autres Cédric . Tout le monde se doit de lire tout les gags quitte à s'en decrocher la machoire de lire . Bonne lecture et n'essayer pas de vour retenir de rire c quasi impossible .
La BD phare de chez Soleil et il y a une bonne raison. L'humour, le scénario, le dessin, bref tout ça fait une superbe BD qui restera en mémoire de tout bédéphile (qu'on aime ou pas, d'ailleurs).)
D'une excellente surprise, cette série est devenue un enchantement. Alors que j'avais pas mal d'à priori, pensant que c'était une BD prétexte à voir de belles scènes de cul, j'ai été soufflé par la maîtrise scénaristique de Dufaux, dans une genre peu exploré et pas facile. Déjà, il a eu 100 fois raisons de confier son bébé à Miralles:
1. elle dessine divinement bien les femmes et le reste aussi - mais surtout les femmes :) -
2. il faut être une femme pour dessiner une histoire aussi subtile et aussi "limite".
Le contexte historique est superbement bien rendu: ces temps troublés d'avant guerre et ces jeux de pouvoirs et d'influence, qu'ils soient à l'échelle de l'Europe ou du harem, sont passionnants. Tout est décrit avec pudeur et intelligence. Le petit regret que j'ai c'est qu'on est clairement plus intéressé par les scènes passées que par l'histoire actuelle, ce qui a tendance à déséquilibrer un peu l'ensemble. Il me tarde de voir le nouveau cycle en Afrique même si j'ai un peu d'apréhension: une telle qualité va-t-elle perdurer lors d'une histoire différente?
Il est étonnant comme on peut ne pas accrocher à une BD pour finalement en devenir vraiment fan lorsque l'on tente de s'y replonger. Cela m'est arrivé également avec les Lapinots, à croire que Trondheim mérite vraiment une seconde lecture pour ceux qui n'accroche pas à son style.
Ce que j'aime dans la grande saga "Donjon", ce n'est pas tant l'humour de MM Trondheim et Sfar (quoique je sois quand même souvent mort de rire) mais bien la cohérence de l'oeuvre, des personnages, des histoires. Tout est incroyablement riche et tient extraordinairement bien la route.
"Donjon Zénith", bien que série initiale de cette grande saga et également segment le plus populaire, n'est pas ma partie favorite, de peu; je lui préfère le très poétique et très noir "Donjon Crépuscule". On ne peut cependant que louer les qualités de cette série, drôle, sans temps mort, proposant des réflexions souvent extrêmement intéressantes (la formation d'Herbert et de la souris dans l'excellent tome 2) et suscitant une jubilation jamais démentie. Les croisements avec les autres segments ajoutent un plus indéniable; avoir par exemple rétrouvé le vil canard Guillaume de la Cour dans "Zénith" 4 après l'avoir découvert dans "Monsters" 1 fut un vrai plaisir.
Le dessin de Trondheim n'est pas celui que je préfère en bande dessinée, c'est clair mais il reste très lisible et dynamique. Il permet de plus un rythme de parution élevé ce qui, compte tenu de la qualité de la série, est un plus indéniable.
ATTENTION CHEF D'OEUVRE!!!
Voici le seul manga écrit qu'ai fait maître Miyazaki (Princesse Mononoke, Porco Rosso, Laputa, Conan, Edgar le cambrioleur...).
L'histoire est fabuleuse et on retrouve tous les sujets chers au coeur de Miyazaki (écologie, rapports humains/animaux...), et surtout on retrouve des éléments expliquant les films qu'il fit plus tard (insectes géants, un jardin où l'on oublie son nom, comme dans Chihiro...). En bref, que des bonnes idées.
Côté dessins, c'est magnifique mais cela se rapproche plus du style BD que manga (même si c'est en noir et blanc).
En résumé c'est un manga indispensable avec une histoire magnifique pleine de bons sentiments et une très bonne qualité graphique.
P.S. : Pour ceux qu'ont vu le film, comme d'habitude c'est un condensé de la BD (seulement les 2 premiers volumes d'ailleurs), et celle-ci éclairera tout ce que vous n'avez pas compris.
Adorateur du jeune perfide prénommé Sir Pyle, je ne peux qu'adorer tous les albums de l'alliance magique des deux auteurs Morvan et Munuera.
En effet, je l'avoue, je n'ai lu que le dernier tome (tome 5) des aventures de Merlin. Je ne sais pas encore si je vais me procurer les précédents tomes de cette série. J'ai peur d'être déçu vu la qualité de ce dernier Tome.
Comme dans Sir Pyle, les auteurs partent de faits reels. Cependant une partie (parfois une très grosse) est reinventée pour laisser place au rire et à de multiples personnages secondaires.
Le dessin est somptueux, j'adore vraiment le style de Munuera.
Pour finir....
Oh et puis lisez-le et vous verrez vous-même. :p
C'est la série de peyo que je préfère, devant benoit Brisefer, les schtroumpf et poussy (euh, la j'ai été loin ptet).
Tout son charme repose sur des seconds roles fabuleux, comme le sire de Bassefosse.... "QUI NE CRAINT NI LES PLAIES, NI LES BOSSES, C'EST HERCULE, C'EST HERCULE DE BASSEFOSSE, QUI JAMAIS DEVANT L'ENNEMI NE RECULE, DE BASSEFOSSE, DE BASSEFOSSE, C'EST HERCULE....."
teuh teuh eurk... pardon ai pas pu m'empecher... il va encore pleuvoir..
Le fourbe Acelin est aussi à découvrir, une gueule de traitre comme persone n'a plus jamais réussi à en dessiner!
Commencez par "L'anneau des castellac", "la flute à six schtroumpf" ou "le sire de montresor".
Je n'ai qu'un mot a dire : Excellent! J'espere qu'il y aura d'autres albums relatant l'histoire d'autres perso avant leur entrée dans les chroniques de la lune noire. Cette BD permet de faire un bon petit retour en arriere et redonne envie une fois de plus de se replonger dans l'univers des chroniques en suivant plus particulierement Ghorghor Bey :) Vivement la suite...
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Batman - The Dark Knight returns
Voici l'une des oeuvres phares de Frank Miller. Quand on connaît le bonhomme, cela suffit déjà pour juger la qualité de ce comics. L'un des points forts de Miller, c'est de souligner le côté sombre, froid et souvent inquiétant de ses personnages. Et quel personnage en l'occurrence ! Il s'attaque ni plus ni moins à l'un des symbôles les plus reconnus du monde des comics : Batman. À l'instar de Superman ou Spiderman, Batman est un héros d'une popularité telle qu'il est devenu "intouchable". C'est bien le problème des icônes : il est difficile de les faire évoluer de manière profonde, de peur de heurter les hordes de fans qui demandent et redemandent des recettes toutes faites pour des héros qui finissent par perdre de leur attrait. Très intelligemment, Miller a contourné le problème. Le Batman qu'il nous présente est bel et bien Bruce Wayne, mais à l'âge de la retraite. Le personnage flirte avec la soixantaine, et son aventure débute 10 ans après qu'il ait raccroché son masque de super-héros. Sur ce point d'ailleurs, on retrouve une thématique déjà développée dans les "Watchmen" de Moore. Ici, Batman combat bien plus que des ennemis costumés ou les petites frappes qui font règner la violence dans les rues de Gotham City. C'est contre lui-même que la lutte sera la plus âpre. Contre son corps d'abord, qui lui joue des tours et la vieillesse aidant l'abandonne aux moments les plus cruciaux. Contre ses envies surtout : partagé entre le désir de rendre la justice et celui plus primaire de vengeance, Batman est plus que jamais en plein dilemme, à la limite du dérapage. Faut-il tuer les assassins ? terroriser les terroristes ? Étonnant l'écho que cette BD de 1986 peut trouver dans l'actualité américaine contemporaine ... Moins jusqu'auboutiste que dans son chef d'oeuvre "Sin City" (l'éditeur DC Comics a dû y veiller ...), le scénario témoigne d'une force narrative hors du commun, qui fait des histoires de Miller des objets instantanément reconnaissables sans être pour autant prévisibles. Côté graphisme, même si Miller ne sera jamais meilleur qu'en Noir & Blanc, son style reste percutant, simple et fouillé à la fois, toujours très personnel. À mes yeux, Batman : Dark Night est une référence dans la carrière de ce super-héros, voire dans l'histoire des comics en général. Si vous ne deviez lire qu'une aventure de Batman : lisez celle-ci ! Sans hésitation.
Lanfeust de Troy
Je vais être très sommaire vu la quantité d'avis déjà donné. C'est pas parce qu'une BD a du succès que c'est obligatoirement de la mërde. Ca m'énerve qu'on tire à boulets rouges dessus parce qu'il y a des qualités indéniables. Le scénar est bien construit, le dessin de Tarquin est superbe, c'est plein d'humour et d'imagination. Hébus est à juste titre devenu un personnage mythique. A la différence de beaucoup, je préfère même le deuxième cycle que je trouve vraiment dépaysant (le palais des dieux etc...). Une très belle réussite.
Gaston Lagaffe
C pas culte, c super hypra cultissime . Qui n'a pas lu un gag de Gaston sans exploser de rire . J'admet qu'il y a des gags pouvant être qualifiés de nuls mais en grande majorité c crise de rire à répétitions . Des gags dont on ne se lasse tellement ils sont marrants . Que dire de plus, c'est la référence en matière d'humour, c le maitre de Titeuf et autres Cédric . Tout le monde se doit de lire tout les gags quitte à s'en decrocher la machoire de lire . Bonne lecture et n'essayer pas de vour retenir de rire c quasi impossible .
Lanfeust de Troy
La BD phare de chez Soleil et il y a une bonne raison. L'humour, le scénario, le dessin, bref tout ça fait une superbe BD qui restera en mémoire de tout bédéphile (qu'on aime ou pas, d'ailleurs).)
Djinn
D'une excellente surprise, cette série est devenue un enchantement. Alors que j'avais pas mal d'à priori, pensant que c'était une BD prétexte à voir de belles scènes de cul, j'ai été soufflé par la maîtrise scénaristique de Dufaux, dans une genre peu exploré et pas facile. Déjà, il a eu 100 fois raisons de confier son bébé à Miralles: 1. elle dessine divinement bien les femmes et le reste aussi - mais surtout les femmes :) - 2. il faut être une femme pour dessiner une histoire aussi subtile et aussi "limite". Le contexte historique est superbement bien rendu: ces temps troublés d'avant guerre et ces jeux de pouvoirs et d'influence, qu'ils soient à l'échelle de l'Europe ou du harem, sont passionnants. Tout est décrit avec pudeur et intelligence. Le petit regret que j'ai c'est qu'on est clairement plus intéressé par les scènes passées que par l'histoire actuelle, ce qui a tendance à déséquilibrer un peu l'ensemble. Il me tarde de voir le nouveau cycle en Afrique même si j'ai un peu d'apréhension: une telle qualité va-t-elle perdurer lors d'une histoire différente?
Donjon Zenith
Il est étonnant comme on peut ne pas accrocher à une BD pour finalement en devenir vraiment fan lorsque l'on tente de s'y replonger. Cela m'est arrivé également avec les Lapinots, à croire que Trondheim mérite vraiment une seconde lecture pour ceux qui n'accroche pas à son style. Ce que j'aime dans la grande saga "Donjon", ce n'est pas tant l'humour de MM Trondheim et Sfar (quoique je sois quand même souvent mort de rire) mais bien la cohérence de l'oeuvre, des personnages, des histoires. Tout est incroyablement riche et tient extraordinairement bien la route. "Donjon Zénith", bien que série initiale de cette grande saga et également segment le plus populaire, n'est pas ma partie favorite, de peu; je lui préfère le très poétique et très noir "Donjon Crépuscule". On ne peut cependant que louer les qualités de cette série, drôle, sans temps mort, proposant des réflexions souvent extrêmement intéressantes (la formation d'Herbert et de la souris dans l'excellent tome 2) et suscitant une jubilation jamais démentie. Les croisements avec les autres segments ajoutent un plus indéniable; avoir par exemple rétrouvé le vil canard Guillaume de la Cour dans "Zénith" 4 après l'avoir découvert dans "Monsters" 1 fut un vrai plaisir. Le dessin de Trondheim n'est pas celui que je préfère en bande dessinée, c'est clair mais il reste très lisible et dynamique. Il permet de plus un rythme de parution élevé ce qui, compte tenu de la qualité de la série, est un plus indéniable.
Nausicaä de la vallée du vent
ATTENTION CHEF D'OEUVRE!!! Voici le seul manga écrit qu'ai fait maître Miyazaki (Princesse Mononoke, Porco Rosso, Laputa, Conan, Edgar le cambrioleur...). L'histoire est fabuleuse et on retrouve tous les sujets chers au coeur de Miyazaki (écologie, rapports humains/animaux...), et surtout on retrouve des éléments expliquant les films qu'il fit plus tard (insectes géants, un jardin où l'on oublie son nom, comme dans Chihiro...). En bref, que des bonnes idées. Côté dessins, c'est magnifique mais cela se rapproche plus du style BD que manga (même si c'est en noir et blanc). En résumé c'est un manga indispensable avec une histoire magnifique pleine de bons sentiments et une très bonne qualité graphique. P.S. : Pour ceux qu'ont vu le film, comme d'habitude c'est un condensé de la BD (seulement les 2 premiers volumes d'ailleurs), et celle-ci éclairera tout ce que vous n'avez pas compris.
Merlin (Munuera)
Adorateur du jeune perfide prénommé Sir Pyle, je ne peux qu'adorer tous les albums de l'alliance magique des deux auteurs Morvan et Munuera. En effet, je l'avoue, je n'ai lu que le dernier tome (tome 5) des aventures de Merlin. Je ne sais pas encore si je vais me procurer les précédents tomes de cette série. J'ai peur d'être déçu vu la qualité de ce dernier Tome. Comme dans Sir Pyle, les auteurs partent de faits reels. Cependant une partie (parfois une très grosse) est reinventée pour laisser place au rire et à de multiples personnages secondaires. Le dessin est somptueux, j'adore vraiment le style de Munuera. Pour finir.... Oh et puis lisez-le et vous verrez vous-même. :p
Johan et Pirlouit
C'est la série de peyo que je préfère, devant benoit Brisefer, les schtroumpf et poussy (euh, la j'ai été loin ptet). Tout son charme repose sur des seconds roles fabuleux, comme le sire de Bassefosse.... "QUI NE CRAINT NI LES PLAIES, NI LES BOSSES, C'EST HERCULE, C'EST HERCULE DE BASSEFOSSE, QUI JAMAIS DEVANT L'ENNEMI NE RECULE, DE BASSEFOSSE, DE BASSEFOSSE, C'EST HERCULE....." teuh teuh eurk... pardon ai pas pu m'empecher... il va encore pleuvoir.. Le fourbe Acelin est aussi à découvrir, une gueule de traitre comme persone n'a plus jamais réussi à en dessiner! Commencez par "L'anneau des castellac", "la flute à six schtroumpf" ou "le sire de montresor".
Les Arcanes de la Lune Noire
Je n'ai qu'un mot a dire : Excellent! J'espere qu'il y aura d'autres albums relatant l'histoire d'autres perso avant leur entrée dans les chroniques de la lune noire. Cette BD permet de faire un bon petit retour en arriere et redonne envie une fois de plus de se replonger dans l'univers des chroniques en suivant plus particulierement Ghorghor Bey :) Vivement la suite...