Un énorme coup de coeur pour cette BD.
Quel talent : en contant la vie d'une avenue, c'est l'histoire des Etats Unis que l'on revisite.
Cette bd se lit sans que l'on se rende compte du perpétuel changement des personnages au fil des époques. Bien sur, il y a des liens parents, sociaux, ethniques entre eux.
Le scénario ne se veut pas moraliste mais réaliste sur les comportements humains au fil des ages.
On dirait un échantillon de labo qui serait en observation, dans le but de comprendre ce qu'il se passe à plus grande échelle.
C'est tellement dense que ça ne se raconte pas.
Il y a de l'humour, des personnages détestables, de la romance, etc.... Il doit y avoir de tout dans ces pages !!!
Le dessin N&B est un modèle du genre, le découpage parfois original mais toujours efficace.
Une vraie merveille qui finira par trouver son public.
Je ne ferai pas de concession : 5 étoiles, pas moins ! Le désespoir du singe offre tout ce que j’aime dans la littérature et la bande dessinée.
Le scénario possède une force, un vrai souffle. Une tragédie romantique sur fond de fresque révolutionnaire, émouvante, exaltante et intense, où chaque vie soudainement bouleversée par les convulsions sociopolitiques d’un état répressif revêt les apparences implacables du destin. On ne pourra que vibrer pour ces personnages d'emblée séduisants dont les chemins imprévisibles vont se fondre ou se heurter au gré des menaces puis bientôt des drames, hasards révélateurs qui les rendront profondément attachants. Un canevas aux rapports humains subtils et si bien exhibés : troublante justesse dans la tonalité des dialogues et virtuosité étourdissante d’une narration qui passe avec brio de la furie de la guerre civile à l’imperceptibilité des sentiments, de la colère tumultueuse du peuple aux doux murmures des tête-à-tête. Une figuration romanesque et quelque peu dramaturgique de l’Histoire qui laisse percevoir à travers ses planches l’aura d’un certain Monsieur Tolstoï.
À l’image de la plume, le pinceau s’exprime en maestro. Une ligne caméléon qui varie le style et les effets pour faire totalement corps avec le récit. Précise, élancée ou ample, elle est affective dans les instants d’insouciance ou de romance, mais se montre beaucoup plus instinctive, torturée et confuse dans les moments difficiles et les visions angoissantes. Capturant l’émotion juste dans chaque situation, elle la restitue intacte dans une éloquence graphique à couper le souffle. En prenant des accents d’expressionnisme dans sa schématisation de l’appareil policier (ombres caricaturales aux yeux rouges), voire de symbolisme dans cette locomotive démesurée ou dans les sensations antinomiques qu’offre la visite de ce désert d’épaves (magnifique spectacle d’une catastrophe écologique), elle ajoute une dimension poétique qui permet d’amadouer un ensemble souvent violent et cruel. Un esthétisme sans fioritures exacerbé par une colorisation en aplats très inspirée, belle et puissamment évocatrice. Le résultat est magistral.
La suite de l’œuvre sera-t-elle du même acabit ? En l’espérant, je lui réserve la place d’honneur de ma bibliothèque.
Déjà que Sanctuaire était une réussite totale dans l'univers du fantastique (atmosphère très sombre, des événements inhabituels voire carrément étrange qui s'insinuent dans l'histoire, qui va finalement virer au cauchemar), Bunker me semble être une réussite aussi importante, particulièrement au niveau graphique, car je trouve que le dessin est plus fin et précis et sans parler des couleurs qui sont somptueuses.
On pourrait reprocher à cet album d'être un peut lent, car c'est vrai il n'y a pas beaucoup d'action, mais n'oublions pas que ce n'est que le premier tome, et il faut toujours du temps pour placer "les bases" d'une telle histoire...
Attention, Chef-d'œuvre !
Je trouve rarement dans la bd actuelle une série qui me plaise et là j’ai été transporté par cette histoire de brasseurs mêlant trahisons familiales et intrigues financières.
C’est superbement mené du début à la fin. On ne doute à aucun moment de la crédibilité du scénario. Les dessins sont également très réussis.
Le dernier tome (qui est plus un hors série) « Les Steenfort » est très utile car il apporte de la lumière sur cette saga.
Une BD incontournable à découvrir.
Petrus Barbygère c'est le conte fantastique par excellence.
Tout y est parfaitement dosé. Le dessin de Sfar est détaillé et vivant, avec des personnages très expressifs et attachants. Les dialogues de Dubois sont magnifiques et très fouillés, un verbiage étonnant !
Une grande aventure à ne pas manquer. C'est un conte qui ne se lit pas mais qui se savoure lentement, un véritable délice pour l'oeil et l'esprit.
Je suis d'accord avec l' Ymagier, car on peut véritablement parler de poésie lorsqu'il s'agit du Noël de Franquin.
Et ce qui est extraordinaire chez ce dernier, c'est qu'il ne fabrique pas un conte à partir des ingrédients traditionnels (féés, diablotins, mages etc.) Mais il donne vie à des personnages figés sur des panneaux routiers, ce qui, l'on en conviendra, n'est pas évident.
Et puis, regardez les sourires du petit Noel, ou ses déceptions, le dessin de son visage est on ne peut plus expressif. J'avoue que l'histoire m'avait beaucoup touché lorsque je l'avais lue dans sa parution d'origine (j'avais alors entre douze et quinze ans) et ça fonctionne encore totalement alors que j'en ai 61 maintenant !
Il ne faut pas oublier aussi le petit récit "Joyeuses Paques" tout aussi touchant avec des
idées simples et des dessins magnifiques.
Enfin il y a l'histoire de "l'Elaoin Sdretu", que je trouve géniale car là aussi , foin de fées et autres ustensiles poétiques bien connus. Non, la poésie passera par un engin loufoque comme l'est son nom (Elaoin Sdretu étant, comme je ne le savais pas, les six premières touches de la colonne de gauche puis les six touches suivantes de la même colonne d'une Linotype.
Cet engin fabrique à la demande, exprimée ou non du petit Noël, tout ce dont il rêve, non sans provoquer parfois quelques petits dégâts ! Sans oublier de petits clins d'oeil avec les récits précédents (notamment lorsque Noël regarde avec nostalgie le panneau routier "interdiction de dépasser et représentant deux voitures, l'une rouge, l'autre noire, avec lesquelles il s'était amusé l'année précedente puisqu'elles avaient décidé de prendre vie pour agrémenter le "Noël" du petit Noël.
Pour toute l'émotion procurée par la lecture et la vision du dessin magnifique de FRANQUIN
émotion renouvelée aujourd'hui, j'attribue cinq sur cinq, note exceptionnelle à la mesure
du plaisir éprouvé.
Salut à tous !
'Viens de me relire l'intégralité des tomes pour la troisième ou quatrième fois, tiens...
Que du bonheur, que ce Vagabond-là...
J'ignore totalement quelle est la part d'invention dans tout ça, aussi bien de la part de l'oeuvre originale que de la part du mangaka, mais on est plongé dans l'histoire de bout en bout, histoire servie par un dessin superbe, fluide, nerveux.
On perçoit réellement la tension des combats, orchestrés de façon magistrale. Et même s'il s'agit d'une succession de duels, on ne se retrouve pas face à un vulgaire manga de frite tous azimuts: c'est tout bonnement la quête du sens de la vie d'un type qui a choisi la voie du sabre (à moins que ce ne soit le sabre qui l'ait choisi...)!
Une excellente série :)
Les Légendes des Contrées Oubliées sont tout simplement grandioses... le premier qui affirmera le contraire subira le supplice de la carotte moldave... même tarif pour ceux qui oseront me demander d'argumenter!
Non mais, il est des choses sur lesquelles l'on ne peut transiger :D
Grosse claque... très grosse claque!
J'ai découvert l'Incal sur le tard, mais quelle découverte!?!?
Certes le dessin a pris un coup de vieux, il peut même ne pas plaire... mais côté maîtrise, y en a un paquet qui peuvent tout de suite allez se rhabiller!
D'accord, Jodo est un fou furieux à la morale douteuse, l'histoire a aussi pris quelques rides... mais quelle histoire!?!?
Le chef-d'oeuvre par excellence!
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Dropsie Avenue
Un énorme coup de coeur pour cette BD. Quel talent : en contant la vie d'une avenue, c'est l'histoire des Etats Unis que l'on revisite. Cette bd se lit sans que l'on se rende compte du perpétuel changement des personnages au fil des époques. Bien sur, il y a des liens parents, sociaux, ethniques entre eux. Le scénario ne se veut pas moraliste mais réaliste sur les comportements humains au fil des ages. On dirait un échantillon de labo qui serait en observation, dans le but de comprendre ce qu'il se passe à plus grande échelle. C'est tellement dense que ça ne se raconte pas. Il y a de l'humour, des personnages détestables, de la romance, etc.... Il doit y avoir de tout dans ces pages !!! Le dessin N&B est un modèle du genre, le découpage parfois original mais toujours efficace. Une vraie merveille qui finira par trouver son public.
Le Désespoir du Singe
Je ne ferai pas de concession : 5 étoiles, pas moins ! Le désespoir du singe offre tout ce que j’aime dans la littérature et la bande dessinée. Le scénario possède une force, un vrai souffle. Une tragédie romantique sur fond de fresque révolutionnaire, émouvante, exaltante et intense, où chaque vie soudainement bouleversée par les convulsions sociopolitiques d’un état répressif revêt les apparences implacables du destin. On ne pourra que vibrer pour ces personnages d'emblée séduisants dont les chemins imprévisibles vont se fondre ou se heurter au gré des menaces puis bientôt des drames, hasards révélateurs qui les rendront profondément attachants. Un canevas aux rapports humains subtils et si bien exhibés : troublante justesse dans la tonalité des dialogues et virtuosité étourdissante d’une narration qui passe avec brio de la furie de la guerre civile à l’imperceptibilité des sentiments, de la colère tumultueuse du peuple aux doux murmures des tête-à-tête. Une figuration romanesque et quelque peu dramaturgique de l’Histoire qui laisse percevoir à travers ses planches l’aura d’un certain Monsieur Tolstoï. À l’image de la plume, le pinceau s’exprime en maestro. Une ligne caméléon qui varie le style et les effets pour faire totalement corps avec le récit. Précise, élancée ou ample, elle est affective dans les instants d’insouciance ou de romance, mais se montre beaucoup plus instinctive, torturée et confuse dans les moments difficiles et les visions angoissantes. Capturant l’émotion juste dans chaque situation, elle la restitue intacte dans une éloquence graphique à couper le souffle. En prenant des accents d’expressionnisme dans sa schématisation de l’appareil policier (ombres caricaturales aux yeux rouges), voire de symbolisme dans cette locomotive démesurée ou dans les sensations antinomiques qu’offre la visite de ce désert d’épaves (magnifique spectacle d’une catastrophe écologique), elle ajoute une dimension poétique qui permet d’amadouer un ensemble souvent violent et cruel. Un esthétisme sans fioritures exacerbé par une colorisation en aplats très inspirée, belle et puissamment évocatrice. Le résultat est magistral. La suite de l’œuvre sera-t-elle du même acabit ? En l’espérant, je lui réserve la place d’honneur de ma bibliothèque.
Bunker
Déjà que Sanctuaire était une réussite totale dans l'univers du fantastique (atmosphère très sombre, des événements inhabituels voire carrément étrange qui s'insinuent dans l'histoire, qui va finalement virer au cauchemar), Bunker me semble être une réussite aussi importante, particulièrement au niveau graphique, car je trouve que le dessin est plus fin et précis et sans parler des couleurs qui sont somptueuses. On pourrait reprocher à cet album d'être un peut lent, car c'est vrai il n'y a pas beaucoup d'action, mais n'oublions pas que ce n'est que le premier tome, et il faut toujours du temps pour placer "les bases" d'une telle histoire...
Les Maîtres de l'Orge
Attention, Chef-d'œuvre ! Je trouve rarement dans la bd actuelle une série qui me plaise et là j’ai été transporté par cette histoire de brasseurs mêlant trahisons familiales et intrigues financières. C’est superbement mené du début à la fin. On ne doute à aucun moment de la crédibilité du scénario. Les dessins sont également très réussis. Le dernier tome (qui est plus un hors série) « Les Steenfort » est très utile car il apporte de la lumière sur cette saga. Une BD incontournable à découvrir.
Petrus Barbygère
Petrus Barbygère c'est le conte fantastique par excellence. Tout y est parfaitement dosé. Le dessin de Sfar est détaillé et vivant, avec des personnages très expressifs et attachants. Les dialogues de Dubois sont magnifiques et très fouillés, un verbiage étonnant ! Une grande aventure à ne pas manquer. C'est un conte qui ne se lit pas mais qui se savoure lentement, un véritable délice pour l'oeil et l'esprit.
Les Noëls de Franquin
Je suis d'accord avec l' Ymagier, car on peut véritablement parler de poésie lorsqu'il s'agit du Noël de Franquin. Et ce qui est extraordinaire chez ce dernier, c'est qu'il ne fabrique pas un conte à partir des ingrédients traditionnels (féés, diablotins, mages etc.) Mais il donne vie à des personnages figés sur des panneaux routiers, ce qui, l'on en conviendra, n'est pas évident. Et puis, regardez les sourires du petit Noel, ou ses déceptions, le dessin de son visage est on ne peut plus expressif. J'avoue que l'histoire m'avait beaucoup touché lorsque je l'avais lue dans sa parution d'origine (j'avais alors entre douze et quinze ans) et ça fonctionne encore totalement alors que j'en ai 61 maintenant ! Il ne faut pas oublier aussi le petit récit "Joyeuses Paques" tout aussi touchant avec des idées simples et des dessins magnifiques. Enfin il y a l'histoire de "l'Elaoin Sdretu", que je trouve géniale car là aussi , foin de fées et autres ustensiles poétiques bien connus. Non, la poésie passera par un engin loufoque comme l'est son nom (Elaoin Sdretu étant, comme je ne le savais pas, les six premières touches de la colonne de gauche puis les six touches suivantes de la même colonne d'une Linotype. Cet engin fabrique à la demande, exprimée ou non du petit Noël, tout ce dont il rêve, non sans provoquer parfois quelques petits dégâts ! Sans oublier de petits clins d'oeil avec les récits précédents (notamment lorsque Noël regarde avec nostalgie le panneau routier "interdiction de dépasser et représentant deux voitures, l'une rouge, l'autre noire, avec lesquelles il s'était amusé l'année précedente puisqu'elles avaient décidé de prendre vie pour agrémenter le "Noël" du petit Noël. Pour toute l'émotion procurée par la lecture et la vision du dessin magnifique de FRANQUIN émotion renouvelée aujourd'hui, j'attribue cinq sur cinq, note exceptionnelle à la mesure du plaisir éprouvé. Salut à tous !
Vagabond
'Viens de me relire l'intégralité des tomes pour la troisième ou quatrième fois, tiens... Que du bonheur, que ce Vagabond-là... J'ignore totalement quelle est la part d'invention dans tout ça, aussi bien de la part de l'oeuvre originale que de la part du mangaka, mais on est plongé dans l'histoire de bout en bout, histoire servie par un dessin superbe, fluide, nerveux. On perçoit réellement la tension des combats, orchestrés de façon magistrale. Et même s'il s'agit d'une succession de duels, on ne se retrouve pas face à un vulgaire manga de frite tous azimuts: c'est tout bonnement la quête du sens de la vie d'un type qui a choisi la voie du sabre (à moins que ce ne soit le sabre qui l'ait choisi...)! Une excellente série :)
Légendes des Contrées Oubliées
Les Légendes des Contrées Oubliées sont tout simplement grandioses... le premier qui affirmera le contraire subira le supplice de la carotte moldave... même tarif pour ceux qui oseront me demander d'argumenter! Non mais, il est des choses sur lesquelles l'on ne peut transiger :D
Le Vent dans les Saules
Magnifique, époustouflant, somptueux, sublime, splendide, grandiose, féerique, merveilleux, formidable, stupéfiant, éblouissant, mirifique, incomparable, superbe, magique... Je continue? :D Une histoire exquise, transcendée par l'incroyable coup de patte du maître... A lire, absolument!
l'Incal
Grosse claque... très grosse claque! J'ai découvert l'Incal sur le tard, mais quelle découverte!?!? Certes le dessin a pris un coup de vieux, il peut même ne pas plaire... mais côté maîtrise, y en a un paquet qui peuvent tout de suite allez se rhabiller! D'accord, Jodo est un fou furieux à la morale douteuse, l'histoire a aussi pris quelques rides... mais quelle histoire!?!? Le chef-d'oeuvre par excellence!