J'avoue que Carmen Mc Callum ne m'a pas laissé une super impression. Il est vrai que c'est bien dessiné, l'héroïne est belle ainsi que les couleurs, il y a de l'action, mais je ne me souviens même plus trop de l'histoire ou alors je l'ai lu trop vite ou je pensais à autre chose :). Peut être qu'une relecture est à envisager
De plus j'ai lu les 3 premiers tomes et je ne m'étais même pas rendu compte que c'était la fin d'un cycle, vous me direz qu'il faut avoir lu le tome 4 pour pouvoir le dire. Cela reste une histoire de drogue, d'armes et de mafia.
En clair, je trouve ça ni très bon, ni mauvais, ce qui explique cette note mi-figue, mi-raisin
Je pense qu'il faut d'abord considérer un album comme celui-ci comme un fabuleux témoignage de son époque (décidément bien révolue dans le consumérisme ambiant).
A cette époque, on savait encore contester, contre quoi et contre qui, et on savait encore rêver, sans avoir peur d'être taxé de mégalomane ou de naïf par les chantres du "réalisme mercantile". On savait aussi s'évader en utilisant, il est vrai, des moyens pas toujours très "légaux", comme en témoigne deux des titres de ces histoires ("Trip" et "Overdose").
Christin, le célèbre scénariste, n'en était encore qu'à ses débuts, mais il savait déjà très bien là où il allait et ce qu'il voulait.
Le dessin de Vern est assez différent d'une histoire à l'autre, on passe d'un dessin très rond, très proche du graphisme du "yellow submarine" des Beatles, à des styles plus caractéristiques des années 70.
Bon alors un conseil, mettez un bon petit Miles Davis période jazz-rock sur votre platine (pourquoi pas le fameux "Bitches Brew"), allumez ce que vous voulez, et laissez-vous porter par cet album aux couleurs chatoyantes et aux formes vivantes et généreuses.
Je trouve de manière générale que les histoires de jérome sont trés à l'étroit dans le format de parution actuel, c'est à dire "histoire sans suite". C'est d'autant plus dommage que souvent les idées de départ sont hyper séduisantes. Le dessin quant à lui est trés fluide et précis.
Une série intéressante au final...
Décidément, Etienne Lécroart ne fait pas dans la BD classique, et tant mieux ! Une fois encore, il expérimente sur un thème donné et original ; dans le cas présent, montrer une petite histoire par les yeux de chacun de ses dix protagonistes. D'autres s'y sont essayés (le film "Time Code" en est un exemple, même si le but n'était pas le même; Constellation, de Benoît Peeters, paru récemment, en est un autre) mais à ma connaissance pas avec cette ampleur (dix histoires), ni avec cet humour basé sur l'ambiguïté des situations, des sons (l'album est bourré de "jeux de mots" et de malentendus acoustiques :) ).
Les histoires se recoupent plus ou moins, certaines faisant découvrir des informations que les autres ignorent totalement, d'autres répétant des scènes presque identiques, au point de vue près. Toutes se finissent en un même endroit, chaque histoire venant prolonger la fin de la précédente.
Ce concept est certainement très intéressant, et l'album demande au moins une relecture afin de vérifier la cohérence de la scène présentée ; de plus, l'ordre de présentation n'étant pas l'ordre chronologique, on peut être amené à retourner en arrière pour comprendre, ou au contraire devoir attendre quelque explication... Pour un peu, on aurait l'impression de se promener dans un monde virtuel dont chaque facette nous serait exposée.
Côté plaisir de lecture, ma foi, si l'idée est franchement originale, l'histoire assez bien menée, l'humour presque omniprésent, je dois avouer avoir éprouvé une certaine lassitude à lire dix fois la même scène... Je recommanderai donc la lecture de cet ouvrage plutôt aux amateurs d'originalité, eux devraient très largement apprécier.
J'avoue ne pas savoir comment a été fait cet album. La suite n'est donc que conjectures et impressions.
La première chose qui frappe, c'est le mélange de deux graphismes très différents, celui de Trondheim, et celui de Konture, dans une même case... Ainsi, certaines sont littéralement coupées en deux par les différences de style. D'autres en revanche sont réalisées entièrement par l'un ou l'autre dessinateur, celui-ci dessinant les deux personnages (on pourra d'ailleurs constater que dessiner Lapinot n'est pas aussi simple que certains veulent bien le dire !), et laissant à son binôme le soin d'imaginer une suite...
La deuxième chose, ce sont les références abondantes au monde réel, ainsi qu'aux mondes respectif des deux héros. Exemple du premier cas, la présence épisodique des deux dessinateurs dans les cases, et exemple du second, cette phrase de Lapinot par Konture qui m'a laissé écroulé de rire : "Bouhouhouou que c'est sale tout cet underground ! Je veux retourner chez Dargô !!" :) :) :)
Le déroulement de l'histoire est quelque peu chaotique. Les auteurs partent parfois sur une idée pour l'abandonner peu après, sans qu'elle ait pu "mieux" fructifier ; on a aussi de temps à autre l'impression d'être dans une impasse. En fait, la sensation est assez similaire à ce qu'on peut parfois éprouver dans un jeu de rôle : "Et là, je fais quoi ?". Inutile donc de s'attendre à quelque chose de bien construit et réfléchi, cet album est par nature une improvisation !
Ses points forts sont son concept, l'humour très spécial, la gueguerre entre les deux auteurs... Son point faible est probablement... son concept même, qui en déroutera plus d'un.
La couverture du tome 1 est bien moche, et le texte au dos assez débile ("Cours, Blanco, cours, toutes les polices sont à tes trousses !") ; voilà qui n'était pas très encourageant au départ. En plus, je ne suis pas particulèrement fan de Taniguchi, de manga, et d'histoires d'animaux héroïques...
Pourtant, la lecture du "Chien Blanco" s'est révélé plutôt plaisante. Oh, rien de génial, hein ; il y a même plusieurs défauts assez importants. Par exemple, alors que l'histoire se situe dans un contexte réaliste, les pouvoirs sans cesse grandissants du chien sont de plus en plus invraisembables : il vole presque, aucune balle ne peut l'atteindre, il peut tuer en 5 secondes une escouade entière de soldats armés et bien entraînés sans même être égratigné, il perçoit les appels de ceux qu'il aime à des milliers de kilomètres... Hé, c'est pas Blanco qu'il fallait l'appeler, c'est Krypto, comme le chien de Superman ! Quand on pense que les principaux superpouvoirs des véritables chiens se limitent à leur super-souplesse qui leur permet de se lécher les couilles, et à leur estomac super-bien accroché grâce auquel ils peuvent supporter toute la journée l'odeur immonde de leur propre haleine, et renifler sans gerber le cul puant de leurs congénères...
Bon, bref. A part ça, la poursuite devient un poil répétitive au bout d'un moment. On a un peu l'impression d'assister plusieurs fois aux mêmes scènes, les rebondissements ne sont pas légion...
Mais bon, comme je disais, cette petite série (contrairement à beaucoup de mangas qui s'étendent sur 3000 tomes, celui-ci se finit au bout de 2) se laisse lire. Rien d'excellent, rien d'inoubliable, mais agréable quand même.
Une tres belle bande-dessinée ! Normal c'est Boiscommun qui l' a dessinée. Le scénar est très plaisant et étonnant : Un prêtre qui, sous l'inflence de démons, s'apprete ( "ça prêtre"... :D ok, ok .... ) à réveiller Azazel le démon!!! Mais heuresement, les anges-gardiens de St Eustache sont là ( dont la sexy "Om" ) et veillent au grain ....
Voiçi un dessin assez juste. Un histoire assez juste sans véritable fin (domage). Le début d'un grand dessinateur !
Un "must" que les bédéphiles, fans de XIII, ne doivent rater sous aucun prétexte!
La version enfin colorisée de cette superbe BD d'aventure réalisée en 1973 par William Vance et dont il n'existait jusqu'ici que quelques rares éditions en noir et blanc.
A paraitre : tome 1, tome 2, tome 3, tome 4, tome 5 (?)
C'est bien, même si j'aurai préféré que le marsupilami reste avec Spirou et Fantasio...( et Spip! )...
Il est intéressant d'observer la rivalité du marsu avec Mars le noir dans un des ablums de cette série parallèle.
Une BD amusante qui plaira aux plus jeunes.
Bof, bof...(La présence de quelques planches de Crisse dans un de ces comix a attiré mon attention)...A part ça, le dessin des auteurs de la série principale est bon, la mise en scène efficace mais le scénario et la fluidité de l'aventure m'empêche de rentrer dans l'histoire...Bref, j'accroche pas trop...Je dirai même que ça me lasse assez vite...
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Carmen Mc Callum
J'avoue que Carmen Mc Callum ne m'a pas laissé une super impression. Il est vrai que c'est bien dessiné, l'héroïne est belle ainsi que les couleurs, il y a de l'action, mais je ne me souviens même plus trop de l'histoire ou alors je l'ai lu trop vite ou je pensais à autre chose :). Peut être qu'une relecture est à envisager De plus j'ai lu les 3 premiers tomes et je ne m'étais même pas rendu compte que c'était la fin d'un cycle, vous me direz qu'il faut avoir lu le tome 4 pour pouvoir le dire. Cela reste une histoire de drogue, d'armes et de mafia. En clair, je trouve ça ni très bon, ni mauvais, ce qui explique cette note mi-figue, mi-raisin
En douce, le bonheur
Je pense qu'il faut d'abord considérer un album comme celui-ci comme un fabuleux témoignage de son époque (décidément bien révolue dans le consumérisme ambiant). A cette époque, on savait encore contester, contre quoi et contre qui, et on savait encore rêver, sans avoir peur d'être taxé de mégalomane ou de naïf par les chantres du "réalisme mercantile". On savait aussi s'évader en utilisant, il est vrai, des moyens pas toujours très "légaux", comme en témoigne deux des titres de ces histoires ("Trip" et "Overdose"). Christin, le célèbre scénariste, n'en était encore qu'à ses débuts, mais il savait déjà très bien là où il allait et ce qu'il voulait. Le dessin de Vern est assez différent d'une histoire à l'autre, on passe d'un dessin très rond, très proche du graphisme du "yellow submarine" des Beatles, à des styles plus caractéristiques des années 70. Bon alors un conseil, mettez un bon petit Miles Davis période jazz-rock sur votre platine (pourquoi pas le fameux "Bitches Brew"), allumez ce que vous voulez, et laissez-vous porter par cet album aux couleurs chatoyantes et aux formes vivantes et généreuses.
Jérôme K. Jérôme Bloche
Je trouve de manière générale que les histoires de jérome sont trés à l'étroit dans le format de parution actuel, c'est à dire "histoire sans suite". C'est d'autant plus dommage que souvent les idées de départ sont hyper séduisantes. Le dessin quant à lui est trés fluide et précis. Une série intéressante au final...
Ratatouille
Décidément, Etienne Lécroart ne fait pas dans la BD classique, et tant mieux ! Une fois encore, il expérimente sur un thème donné et original ; dans le cas présent, montrer une petite histoire par les yeux de chacun de ses dix protagonistes. D'autres s'y sont essayés (le film "Time Code" en est un exemple, même si le but n'était pas le même; Constellation, de Benoît Peeters, paru récemment, en est un autre) mais à ma connaissance pas avec cette ampleur (dix histoires), ni avec cet humour basé sur l'ambiguïté des situations, des sons (l'album est bourré de "jeux de mots" et de malentendus acoustiques :) ). Les histoires se recoupent plus ou moins, certaines faisant découvrir des informations que les autres ignorent totalement, d'autres répétant des scènes presque identiques, au point de vue près. Toutes se finissent en un même endroit, chaque histoire venant prolonger la fin de la précédente. Ce concept est certainement très intéressant, et l'album demande au moins une relecture afin de vérifier la cohérence de la scène présentée ; de plus, l'ordre de présentation n'étant pas l'ordre chronologique, on peut être amené à retourner en arrière pour comprendre, ou au contraire devoir attendre quelque explication... Pour un peu, on aurait l'impression de se promener dans un monde virtuel dont chaque facette nous serait exposée. Côté plaisir de lecture, ma foi, si l'idée est franchement originale, l'histoire assez bien menée, l'humour presque omniprésent, je dois avouer avoir éprouvé une certaine lassitude à lire dix fois la même scène... Je recommanderai donc la lecture de cet ouvrage plutôt aux amateurs d'originalité, eux devraient très largement apprécier.
Galopinot
J'avoue ne pas savoir comment a été fait cet album. La suite n'est donc que conjectures et impressions. La première chose qui frappe, c'est le mélange de deux graphismes très différents, celui de Trondheim, et celui de Konture, dans une même case... Ainsi, certaines sont littéralement coupées en deux par les différences de style. D'autres en revanche sont réalisées entièrement par l'un ou l'autre dessinateur, celui-ci dessinant les deux personnages (on pourra d'ailleurs constater que dessiner Lapinot n'est pas aussi simple que certains veulent bien le dire !), et laissant à son binôme le soin d'imaginer une suite... La deuxième chose, ce sont les références abondantes au monde réel, ainsi qu'aux mondes respectif des deux héros. Exemple du premier cas, la présence épisodique des deux dessinateurs dans les cases, et exemple du second, cette phrase de Lapinot par Konture qui m'a laissé écroulé de rire : "Bouhouhouou que c'est sale tout cet underground ! Je veux retourner chez Dargô !!" :) :) :) Le déroulement de l'histoire est quelque peu chaotique. Les auteurs partent parfois sur une idée pour l'abandonner peu après, sans qu'elle ait pu "mieux" fructifier ; on a aussi de temps à autre l'impression d'être dans une impasse. En fait, la sensation est assez similaire à ce qu'on peut parfois éprouver dans un jeu de rôle : "Et là, je fais quoi ?". Inutile donc de s'attendre à quelque chose de bien construit et réfléchi, cet album est par nature une improvisation ! Ses points forts sont son concept, l'humour très spécial, la gueguerre entre les deux auteurs... Son point faible est probablement... son concept même, qui en déroutera plus d'un.
Blanco (Le Chien Blanco)
La couverture du tome 1 est bien moche, et le texte au dos assez débile ("Cours, Blanco, cours, toutes les polices sont à tes trousses !") ; voilà qui n'était pas très encourageant au départ. En plus, je ne suis pas particulèrement fan de Taniguchi, de manga, et d'histoires d'animaux héroïques... Pourtant, la lecture du "Chien Blanco" s'est révélé plutôt plaisante. Oh, rien de génial, hein ; il y a même plusieurs défauts assez importants. Par exemple, alors que l'histoire se situe dans un contexte réaliste, les pouvoirs sans cesse grandissants du chien sont de plus en plus invraisembables : il vole presque, aucune balle ne peut l'atteindre, il peut tuer en 5 secondes une escouade entière de soldats armés et bien entraînés sans même être égratigné, il perçoit les appels de ceux qu'il aime à des milliers de kilomètres... Hé, c'est pas Blanco qu'il fallait l'appeler, c'est Krypto, comme le chien de Superman ! Quand on pense que les principaux superpouvoirs des véritables chiens se limitent à leur super-souplesse qui leur permet de se lécher les couilles, et à leur estomac super-bien accroché grâce auquel ils peuvent supporter toute la journée l'odeur immonde de leur propre haleine, et renifler sans gerber le cul puant de leurs congénères... Bon, bref. A part ça, la poursuite devient un poil répétitive au bout d'un moment. On a un peu l'impression d'assister plusieurs fois aux mêmes scènes, les rebondissements ne sont pas légion... Mais bon, comme je disais, cette petite série (contrairement à beaucoup de mangas qui s'étendent sur 3000 tomes, celui-ci se finit au bout de 2) se laisse lire. Rien d'excellent, rien d'inoubliable, mais agréable quand même.
Anges
Une tres belle bande-dessinée ! Normal c'est Boiscommun qui l' a dessinée. Le scénar est très plaisant et étonnant : Un prêtre qui, sous l'inflence de démons, s'apprete ( "ça prêtre"... :D ok, ok .... ) à réveiller Azazel le démon!!! Mais heuresement, les anges-gardiens de St Eustache sont là ( dont la sexy "Om" ) et veillent au grain ....
Rodric
Voiçi un dessin assez juste. Un histoire assez juste sans véritable fin (domage). Le début d'un grand dessinateur ! Un "must" que les bédéphiles, fans de XIII, ne doivent rater sous aucun prétexte! La version enfin colorisée de cette superbe BD d'aventure réalisée en 1973 par William Vance et dont il n'existait jusqu'ici que quelques rares éditions en noir et blanc. A paraitre : tome 1, tome 2, tome 3, tome 4, tome 5 (?)
Marsupilami
C'est bien, même si j'aurai préféré que le marsupilami reste avec Spirou et Fantasio...( et Spip! )... Il est intéressant d'observer la rivalité du marsu avec Mars le noir dans un des ablums de cette série parallèle. Une BD amusante qui plaira aux plus jeunes.
Tellos
Bof, bof...(La présence de quelques planches de Crisse dans un de ces comix a attiré mon attention)...A part ça, le dessin des auteurs de la série principale est bon, la mise en scène efficace mais le scénario et la fluidité de l'aventure m'empêche de rentrer dans l'histoire...Bref, j'accroche pas trop...Je dirai même que ça me lasse assez vite...