Une bonne Bd, une histoire qui se lit d'un trait, mais dont on savoure agréablement les parfums de forêt, de rivière, de retour au pays.
L'histoire sonne très juste. Au début en particulier, les quelques planhes qui se passent dans la famille-qui-marche-mais-sans-plus sont très bien faites. Puis c'est le voyage vers la campagne et la véritable histoire qui commence. Tous ceux qui ont passés beaucoup de temps pendant leur enfance dans un endroit très différent de celui où ils vivent aujourd'hui devraient savourer ces pages.
La fin n'est pas joyeuse. La réalité ratrappe le lecteur en même temps que le héros. A lire avant d'avoir rennoncé à ses rêves d'enfants !
14/20 Les dessins de Gibrat sont toujours aussi attrayant et ses femmes aussi belles.
Il nous entraîne ici dans un très jolie conte où la fin du monde cotoie les fées, les sirènes et la mort....que l' on aurait bien envie de séduire.
Une histoire relativement courte (ou qui se lit très vite) mais très agréable.
Comme la plupart des gens de l'époque de la parution d'Angelot du Lac (bien lourde, cette phrase :)), j'ai découvert cette série dans le magasine Astrapi, que je lisais assidûment.
Et cette nouvelle série d'Yvan Pommeaux, qui suivait les premiers tomes de Marion Duval, m'avait vraiment enchanté. Un univers Médiéval pour suivre l'histoire du petit écuyer Angelot, c'est assez mignon sans être cul-cul, assez bien narré pour être intéressant, bref, vraiment bien foutu.
La trame scénaristique est tout à fait correcte même s’il ne faut pas oublier que cette série s'adresse à la jeunesse et qu'on se régalera beaucoup plus en lisant le troisième testament si l'on souhaite rester dans le même contexte historique ! Le tout est assez poétique, ce qui est un bon point.
Les illustrations d'Yvan Pommeaux, mises en couleur par sa compagne, sont vraiment typiques de l'auteur. Un style à la fois classique et particulier, détaillé, qui permet de donner une ambiance parfaite à l'ensemble des récits.
Bref, une série que je trouvais géniale étant môme, mais qui bien sûr a perdu tout son intérêt maintenant. Que c'est triste de grandir, parfois ! (seulement parfois, hein :))
et encore du sfar ! à l'état brut, presque. les dessins partent dans tous les sens, on connait bien le style mais... là c'est très surchargé à mon goût. même un peu trop; ça se perd, ça s'égare trop, on dirait qu'il suit plus ses propres délires qu'une véritable histoire. on perd le fil facilement, hélas... il y a plein de personnages de partout, pleins de saynettes continuelles, on en sort plus, on en voit pas le bout... pff... sfar est beaucoup plus brillant avec ses vampires !
Eh oui, dans le style autobiographique, cette bd fait mouche. Non, ce n'est pas un culte, mais c'est certain, c'est très très fort. Beaucoup d'émotions, c'est la principale raison du succcès de "pilules bleues". Il y a de bons délires (le rhinocéros m'a bien fait marrer). Mais il y a des défauts : le dessin, peu soigné, le rythme, inégal. (Et puis moi, le quotidien ça me lourde un peu, eh oui.)
En tout cas c'est une oeuvre touchante, intéressante, à découvrir !
Difficile de ressortir indemne d'une telle lecture... Dans notre futur, point de salut, hormis peut-être si l'on croit à l'amour. Un scénario carré et barré, qui ne laisse pas de place au hasard, un dessin qui s'améliore au fil des albums, mais une histoire qui donne le cafard.
Le premier cycle est fort intéressant, posant de nombreuses questions fondamentales. A partir du tome 6, il s'agit d'une resucée qui n'atteint pas le niveau du début.
A connaître absolument.
Voilà une bédé dont le classement dans la catégorie "Roman Graphique" est incontestable. En fait, c'est même assez étonnant, puisque parallèlement à la bédé, l'auteur a également écrit un roman (ou l'inverse si vous préférez). L'histoire est, il est vrai, assez captivante, et l'on se met vite dans la peau du personnage, en proie à certaines questions existentielles, pour ne pas dire à une certaine forme de dépression. L'histoire est pleine de sensibilité, de réalisme. La chute, aux relents quasi fantastiques, est vraiment bien trouvée. Bref, c'est très bon!
A la fin de la bédé, l'auteur nous livre quelques passages de son roman. Me vient alors une question: quel est l'intérêt de cette bédé? En effet, si l'histoire est vraiment forte, et mérite vraiment d'être connue, je ne vois pas, à la lecture des extraits du roman, ce qu'apporte le traitement graphique à cette histoire. Les quelques passages que j'ai lus me semblent même plus aboutis, plus riches et plus évocateurs dans la version purement littéraire, au point de donner envie à la personne qui achève la bédé de se plonger dans le roman. Donc, si ce n'est de pousser quelques bédéphiles paresseux à lire un roman qu'ils n'auraient pas lu autrement, je ne comprends pas exactement la démarche de l'auteur quand il décide de traiter son histoire de deux manières différentes. En effet, à mes yeux, le dessin et les couleurs ne cassent pas la baraque...
Bref, "Quelques mois à l'Amélie" est indiscutablement une histoire à décourvir, à lire... le tout étant de savoir s'il ne vaudrait pas mieux directement s'orienter vers le roman plutôt que la bande dessinée...Bref, à la question "Achat conseillé? Oui/Non", j'hésite !
je trouve que c'est à lire, pas à posséder. Moi j'aime bien cette BD au second degré...ce que j'aime chez (Daniela) notre bon vieux Harry c'est qu'il est vraiment super fort, les filles tombent comme des mouches, c'est le plus grand détective du monde, son accolyte à des pulls de folie dans les albums, et puis les commentaires...Nan c'est vraiment à lire, tout cela est délicieusement désuet
Sympathique premier tome... une série qui promet d'être intéressante. Un dessin "à la Sfar", n'en déplaise à certain, mais tout de même personnalisé, et une intrigue gentillette, mais prenante. Pas aussi enfantin que ça, contrairement à l'effet rendu par le dessin, le scénar aborde tranquillement en dérision la politique, les héros, les histoires de pouvoir ou d'amour... L'héroïne a ce qu'il faut pour être attachante, et l'histoire cultive le nécessaire pour garder le mystère sur le prochain tome, donc ça se fait attendre... et l'ex-libris de la série est carrément sympa...
Ouais c'était bien sympa, Tomtom et Nana. Des vrais bons délires de gosses, des conneries parfaites, bref, un mélange super efficace... Terrible pour terminer les "j'aime lire".
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Fanchon
Une bonne Bd, une histoire qui se lit d'un trait, mais dont on savoure agréablement les parfums de forêt, de rivière, de retour au pays. L'histoire sonne très juste. Au début en particulier, les quelques planhes qui se passent dans la famille-qui-marche-mais-sans-plus sont très bien faites. Puis c'est le voyage vers la campagne et la véritable histoire qui commence. Tous ceux qui ont passés beaucoup de temps pendant leur enfance dans un endroit très différent de celui où ils vivent aujourd'hui devraient savourer ces pages. La fin n'est pas joyeuse. La réalité ratrappe le lecteur en même temps que le héros. A lire avant d'avoir rennoncé à ses rêves d'enfants !
Marée Basse
14/20 Les dessins de Gibrat sont toujours aussi attrayant et ses femmes aussi belles. Il nous entraîne ici dans un très jolie conte où la fin du monde cotoie les fées, les sirènes et la mort....que l' on aurait bien envie de séduire. Une histoire relativement courte (ou qui se lit très vite) mais très agréable.
Angelot du lac
Comme la plupart des gens de l'époque de la parution d'Angelot du Lac (bien lourde, cette phrase :)), j'ai découvert cette série dans le magasine Astrapi, que je lisais assidûment. Et cette nouvelle série d'Yvan Pommeaux, qui suivait les premiers tomes de Marion Duval, m'avait vraiment enchanté. Un univers Médiéval pour suivre l'histoire du petit écuyer Angelot, c'est assez mignon sans être cul-cul, assez bien narré pour être intéressant, bref, vraiment bien foutu. La trame scénaristique est tout à fait correcte même s’il ne faut pas oublier que cette série s'adresse à la jeunesse et qu'on se régalera beaucoup plus en lisant le troisième testament si l'on souhaite rester dans le même contexte historique ! Le tout est assez poétique, ce qui est un bon point. Les illustrations d'Yvan Pommeaux, mises en couleur par sa compagne, sont vraiment typiques de l'auteur. Un style à la fois classique et particulier, détaillé, qui permet de donner une ambiance parfaite à l'ensemble des récits. Bref, une série que je trouvais géniale étant môme, mais qui bien sûr a perdu tout son intérêt maintenant. Que c'est triste de grandir, parfois ! (seulement parfois, hein :))
Petrus Barbygère
et encore du sfar ! à l'état brut, presque. les dessins partent dans tous les sens, on connait bien le style mais... là c'est très surchargé à mon goût. même un peu trop; ça se perd, ça s'égare trop, on dirait qu'il suit plus ses propres délires qu'une véritable histoire. on perd le fil facilement, hélas... il y a plein de personnages de partout, pleins de saynettes continuelles, on en sort plus, on en voit pas le bout... pff... sfar est beaucoup plus brillant avec ses vampires !
Pilules bleues
Eh oui, dans le style autobiographique, cette bd fait mouche. Non, ce n'est pas un culte, mais c'est certain, c'est très très fort. Beaucoup d'émotions, c'est la principale raison du succcès de "pilules bleues". Il y a de bons délires (le rhinocéros m'a bien fait marrer). Mais il y a des défauts : le dessin, peu soigné, le rythme, inégal. (Et puis moi, le quotidien ça me lourde un peu, eh oui.) En tout cas c'est une oeuvre touchante, intéressante, à découvrir !
Les Eaux de Mortelune
Difficile de ressortir indemne d'une telle lecture... Dans notre futur, point de salut, hormis peut-être si l'on croit à l'amour. Un scénario carré et barré, qui ne laisse pas de place au hasard, un dessin qui s'améliore au fil des albums, mais une histoire qui donne le cafard. Le premier cycle est fort intéressant, posant de nombreuses questions fondamentales. A partir du tome 6, il s'agit d'une resucée qui n'atteint pas le niveau du début. A connaître absolument.
Quelques Mois à l'Amélie
Voilà une bédé dont le classement dans la catégorie "Roman Graphique" est incontestable. En fait, c'est même assez étonnant, puisque parallèlement à la bédé, l'auteur a également écrit un roman (ou l'inverse si vous préférez). L'histoire est, il est vrai, assez captivante, et l'on se met vite dans la peau du personnage, en proie à certaines questions existentielles, pour ne pas dire à une certaine forme de dépression. L'histoire est pleine de sensibilité, de réalisme. La chute, aux relents quasi fantastiques, est vraiment bien trouvée. Bref, c'est très bon! A la fin de la bédé, l'auteur nous livre quelques passages de son roman. Me vient alors une question: quel est l'intérêt de cette bédé? En effet, si l'histoire est vraiment forte, et mérite vraiment d'être connue, je ne vois pas, à la lecture des extraits du roman, ce qu'apporte le traitement graphique à cette histoire. Les quelques passages que j'ai lus me semblent même plus aboutis, plus riches et plus évocateurs dans la version purement littéraire, au point de donner envie à la personne qui achève la bédé de se plonger dans le roman. Donc, si ce n'est de pousser quelques bédéphiles paresseux à lire un roman qu'ils n'auraient pas lu autrement, je ne comprends pas exactement la démarche de l'auteur quand il décide de traiter son histoire de deux manières différentes. En effet, à mes yeux, le dessin et les couleurs ne cassent pas la baraque... Bref, "Quelques mois à l'Amélie" est indiscutablement une histoire à décourvir, à lire... le tout étant de savoir s'il ne vaudrait pas mieux directement s'orienter vers le roman plutôt que la bande dessinée...Bref, à la question "Achat conseillé? Oui/Non", j'hésite !
Harry Dickson
je trouve que c'est à lire, pas à posséder. Moi j'aime bien cette BD au second degré...ce que j'aime chez (Daniela) notre bon vieux Harry c'est qu'il est vraiment super fort, les filles tombent comme des mouches, c'est le plus grand détective du monde, son accolyte à des pulls de folie dans les albums, et puis les commentaires...Nan c'est vraiment à lire, tout cela est délicieusement désuet
La Voleuse du Père Fauteuil
Sympathique premier tome... une série qui promet d'être intéressante. Un dessin "à la Sfar", n'en déplaise à certain, mais tout de même personnalisé, et une intrigue gentillette, mais prenante. Pas aussi enfantin que ça, contrairement à l'effet rendu par le dessin, le scénar aborde tranquillement en dérision la politique, les héros, les histoires de pouvoir ou d'amour... L'héroïne a ce qu'il faut pour être attachante, et l'histoire cultive le nécessaire pour garder le mystère sur le prochain tome, donc ça se fait attendre... et l'ex-libris de la série est carrément sympa...
Tom-Tom et Nana
Ouais c'était bien sympa, Tomtom et Nana. Des vrais bons délires de gosses, des conneries parfaites, bref, un mélange super efficace... Terrible pour terminer les "j'aime lire".