Un premier tome pas mal, un peu dans le style de Phenomenum (également chez Glénat), le jeune héros découvrant ses nouveaux super-pouvoirs … mais malheureusement pas aussi bon ! Certes pas aussi bon que l’excellent Phenomenum, mais agréable à lire et à suivre quand même, c’est bien fait, intéressant on s’ennuie pas et on passe un bon moment grâce à cet album et c’est bien ça le principal.
Pour les dessins rien d’original, c’est très classique mais agréable et en accord avec l’histoire, donc rien à redire. Les couleurs elles rehaussent bien le dessin et rendent le tout très agréable à suivre !
Un bon premier tome donc, rien d’extra mais un album sympa, à suivre…
Une sacrée BD que voilà… Matti Hagelberg me laisse un brin perplexe après la fin de cette lecture, et je me retrouve bien embêté pour rédiger un avis un tant soit peu développé. Pourtant il y en aurait des choses à dire sur cet album ! La couverture à elle seule résume bien le choc que procure cette lecture. Car c'est bien de choc qu'il s'agit lorsqu'on ouvre pour la première fois un album de Hagelberg (ce qui fut mon cas avec cet "Holmenkollen"). Choc face au dessin, à la fois extrêmement détaillé et simple, à la fois très fin et très épais. Jouant avec les angles de vue et les perspectives, Hagelberg semble se positionner en espèce d'artiste d'un underground à la fois façon pop-art (avec ses ambiances plus ou moins kitsch) et contemporain. Ce paradoxe n'est pas le seul dans cette BD, et on ne cesse au fil de sa lecture d'être étonné face à l'arrivée d'un personnage connu dans une situation totalement incongrue (le commandant Cousteau qui squatte une baignoire après être apparu par un robinet qui coule…)
Mariant les clins d'œil et mélangeant les genres, Hagelberg signe ici une bien singulière BD, n'hésitant pas à bouleverser les codes du genre. Il se met lui même en scène dans des situations tour à tour inconfortables, gratifiantes ou délirantes. Il y a aborde ses propres angoisses et ses propres tourments mais toujours de manière détournée, en faisant appel à un fort symbolisme (religieux souvent, populaire parfois). Le récit paraît alors totalement décousu, pour ne pas dire sans aucune structure, mais pour son originalité, pour ses créations et pour sa vision en trompe l'œil mâtiné de surréalisme, "Holmenkollen" mérite un coup d'oeil.
Voilà une BD très difficile à noter ! Une très bonne idée de base du scénario, des couleurs incroyables, des alternances de planches à dominante unicolore du plus bel effet. Bref, trois premiers tomes très réussis même si on regrette que l'histoire avance aussi lentement, et puis voilà le quatrième tome et c'est le désastre! On retrouve le dessin, les couleurs qu'on adore mais on s'y est habitué et on attend l'action et là... le scénario part complètement en vrille, une sensation de bâclé ! J'attendais beaucoup du cinquième tome, mais il est malheureusement dans la lignée du 4. C'est avec regret que je n'achéterai pas le 6 !
Ce n'est peut-être pas le meilleur album de Chabouté, mais ça reste bien sûr très très bon.
Ici c'est encore plus sombre et angoissant, parce que beaucoup plus réaliste et terre-à-terre. La malchance du héros, ajouté à cela des personnages secondaires ignobles et véreux qui l'enfoncent, plus la fin sinistre (cela n'étonnera quiconque ayant lu du Chabouté).
Des personnages somme toute ordinaires , qu'on peut croiser tous les jours dans sa propre vie. C'est ça qui est effrayant, mais aussi très réjouissant (du moins à la lecture).
Un album de Chabouté qui se terminerait bien, ce serait honteux.
J'ai découvert cette BD grâce à ce superbe site. Et je dois dire que je n'ai pas été déçu.
Les dessins de Ledroit sont sublimes, peut-être un peu trop fouillis parfois mais d'une telle qualité que bon, on ne peut être qu'ébloui.
Le scénario, lui, reste classique mais assez captivant pour vous emmener jusqu'au bout de l'histoire. Ce mélange de polar associé aux mythes indiens est captivant mais déjà vu. En ce qui concerne l'ambiance noire, chapeau bas.
Je me suis arrêté aux deux premiers, comme vous l'avez conseillé.
Achat sans souci, allez-y les yeux fermés, pour qui aime les polars noir.
Ayant apprécié "Gabrielle", je me suis précipitée sur "Le miroir des alices".
Niveau dessin, c'est du Kara toujours aussi sympa : j'aime, même s'il a une 'tite influence manga.
Niveau couleurs, ça c'est du changement ou je m'y connais pas ! Et en mieux ! Ca fait moins "fouilli" (en même temps ça collait bien à l'atmosphère de "Gabrielle"), c'est superbe.
Une histoire bien sympatoche aussi, un peu lente quelquefois, mais un tome accrocheur au final...
Ca je conseille : à lire et à posséder !
Une vision originale de la mort, vraiment, c'est très prenant ! Mais alors quelque part, après la lecture, j'étais un peu démoralisée moi... :(
Le dessin est très sympa et l'effet N&B renforce l'atmosphère de monde. Une bonne série !
Pourquoi le joker est-il le joker ? Pourquoi Batman et lui sont-ils si intimement liés ? Voilà les questions auxquelles cet album se propose d'apporter des réponses.
Loin des aventures plus classiques du héros chauve-souris, cette aventure signée de la main d'Alan Moore en personne est à la fois originale et très intéressante. Derrière un dessin aux couleurs criardes et saturé de teintes vives, on peut se pencher sur la personnalité du Joker (mais aussi sur celle de Batman) avec un angle nouveau. Moore introduit ici la notion du passé du Joker, de celui qu'il était "avant". A l'inverse de la majorité des autres histoires mettant en scène l'ennemi juré de Batman, "Rire et mourir" s'attarde sur la personnalité de l'homme qui se cache derrière ces cheveux verts, ce fard blanc et ces costumes abracadabrants…
Cet évident intérêt pour tous les fans de Batman se double ici d'une histoire bien ficelée et d'une dimension humaine à signaler dans tout le fatras des aventures en rapport avec le héros masqué.
Il s'agit ici bien plus d'un album sur le Joker que sur Batman mais c'est un album bien construit, qui révèle des choses tout en laissant planer les parts d'ombre nécessaires pour entretenir les mythes…
Le début de l'album m'a plutôt déplu : très rapide, bêtises d'adolescents dans lesquelles je ne me reconnais absolument pas, mysticisme...
Vient ensuite le drame, avec une (petite !) deuxième partie -- la réaction de Mélanie -- qui ne me convainct guère plus : l'émotion ou les émotions ont du mal à passer. Même si je les reconnais, elles ne me prennent pas au ventre.
Et enfin la troisième partie -- Romain -- assez terrible (la page 18, affreux !) et prenante.
Il y a ici sur bdparadisio un sujet où l'auteur parle de "Romain".
Ne l'ayant pas lu (:)), je ne sais quelle était l'intention de Mélaka : raconter une partie de sa vie, de celle de Romain, "se décharger", etc.
Mon impression est donc qu'il s'agit "d'une histoire", pas particulièrement autobiographique puisqu'elle fait la part belle à Romain. D'autre part, pour un morceau d'autobiographie c'est très, très rapide. Les émotions n'ont tout d'abord pas le temps de bien transparaître, on a l'impression que le format Mimolette est trop étroit pour ce que Mélaka a à raconter et qu'elle doit se hâter de jeter les bases, pour ensuite seulement pouvoir mieux se concentrer.
Niveau dessin, euh... je sais pas quoi en dire. Ca me plaît, on y trouve des éléments qui rappellent Menu, les Simpsons, Wazem... Le découpage est assez classique, avec quelques (deux) effets à la Tezuka. Dans l'ensemble c'est plutôt bien abouti et ça me plaît assez, voilà c'était le commentaire débile du jour. :)
Alors bon, dans l'ensemble c'est plutôt sympa, même si je reste sur l'impression de "trop court".
Un bon premier tome qui met du temps à partir mais qui laisse suffisement de questions dans la tête du lecteur pour lui donner envie de lire la suite.
J'aime bien les dessins et le scénario promet d'être fort sympathique.
Pour les plus sceptiques il serait plus judicieux d'attendre le second tome de la série sinon une lueur de déception se lira dans leurs yeux, à travers lesquels leurs pensées se feront jour, et pour nous, lecteurs enthousiastes, une grande peur doublée d'un doute, aussi étrange qu'imprévisible et mystérieux, envahira notre corps, notre conscience et des idées aussi noires que celles de Franquin surgiront à notre esprit et là, je ne réponds plus de rien, seule la destinée restera maîtresse de notre destin.
Enfin, si vous ne voulez pas d'une introduction un peu trop longue, attendez le tome 2 qui sera très certainement responsable d'une quatrième étoile.
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Nova Genesis
Un premier tome pas mal, un peu dans le style de Phenomenum (également chez Glénat), le jeune héros découvrant ses nouveaux super-pouvoirs … mais malheureusement pas aussi bon ! Certes pas aussi bon que l’excellent Phenomenum, mais agréable à lire et à suivre quand même, c’est bien fait, intéressant on s’ennuie pas et on passe un bon moment grâce à cet album et c’est bien ça le principal. Pour les dessins rien d’original, c’est très classique mais agréable et en accord avec l’histoire, donc rien à redire. Les couleurs elles rehaussent bien le dessin et rendent le tout très agréable à suivre ! Un bon premier tome donc, rien d’extra mais un album sympa, à suivre…
Holmenkollen
Une sacrée BD que voilà… Matti Hagelberg me laisse un brin perplexe après la fin de cette lecture, et je me retrouve bien embêté pour rédiger un avis un tant soit peu développé. Pourtant il y en aurait des choses à dire sur cet album ! La couverture à elle seule résume bien le choc que procure cette lecture. Car c'est bien de choc qu'il s'agit lorsqu'on ouvre pour la première fois un album de Hagelberg (ce qui fut mon cas avec cet "Holmenkollen"). Choc face au dessin, à la fois extrêmement détaillé et simple, à la fois très fin et très épais. Jouant avec les angles de vue et les perspectives, Hagelberg semble se positionner en espèce d'artiste d'un underground à la fois façon pop-art (avec ses ambiances plus ou moins kitsch) et contemporain. Ce paradoxe n'est pas le seul dans cette BD, et on ne cesse au fil de sa lecture d'être étonné face à l'arrivée d'un personnage connu dans une situation totalement incongrue (le commandant Cousteau qui squatte une baignoire après être apparu par un robinet qui coule…) Mariant les clins d'œil et mélangeant les genres, Hagelberg signe ici une bien singulière BD, n'hésitant pas à bouleverser les codes du genre. Il se met lui même en scène dans des situations tour à tour inconfortables, gratifiantes ou délirantes. Il y a aborde ses propres angoisses et ses propres tourments mais toujours de manière détournée, en faisant appel à un fort symbolisme (religieux souvent, populaire parfois). Le récit paraît alors totalement décousu, pour ne pas dire sans aucune structure, mais pour son originalité, pour ses créations et pour sa vision en trompe l'œil mâtiné de surréalisme, "Holmenkollen" mérite un coup d'oeil.
Golden City
Voilà une BD très difficile à noter ! Une très bonne idée de base du scénario, des couleurs incroyables, des alternances de planches à dominante unicolore du plus bel effet. Bref, trois premiers tomes très réussis même si on regrette que l'histoire avance aussi lentement, et puis voilà le quatrième tome et c'est le désastre! On retrouve le dessin, les couleurs qu'on adore mais on s'y est habitué et on attend l'action et là... le scénario part complètement en vrille, une sensation de bâclé ! J'attendais beaucoup du cinquième tome, mais il est malheureusement dans la lignée du 4. C'est avec regret que je n'achéterai pas le 6 !
Purgatoire
Ce n'est peut-être pas le meilleur album de Chabouté, mais ça reste bien sûr très très bon. Ici c'est encore plus sombre et angoissant, parce que beaucoup plus réaliste et terre-à-terre. La malchance du héros, ajouté à cela des personnages secondaires ignobles et véreux qui l'enfoncent, plus la fin sinistre (cela n'étonnera quiconque ayant lu du Chabouté). Des personnages somme toute ordinaires , qu'on peut croiser tous les jours dans sa propre vie. C'est ça qui est effrayant, mais aussi très réjouissant (du moins à la lecture). Un album de Chabouté qui se terminerait bien, ce serait honteux.
Xoco
J'ai découvert cette BD grâce à ce superbe site. Et je dois dire que je n'ai pas été déçu. Les dessins de Ledroit sont sublimes, peut-être un peu trop fouillis parfois mais d'une telle qualité que bon, on ne peut être qu'ébloui. Le scénario, lui, reste classique mais assez captivant pour vous emmener jusqu'au bout de l'histoire. Ce mélange de polar associé aux mythes indiens est captivant mais déjà vu. En ce qui concerne l'ambiance noire, chapeau bas. Je me suis arrêté aux deux premiers, comme vous l'avez conseillé. Achat sans souci, allez-y les yeux fermés, pour qui aime les polars noir.
Le Miroir des Alices
Ayant apprécié "Gabrielle", je me suis précipitée sur "Le miroir des alices". Niveau dessin, c'est du Kara toujours aussi sympa : j'aime, même s'il a une 'tite influence manga. Niveau couleurs, ça c'est du changement ou je m'y connais pas ! Et en mieux ! Ca fait moins "fouilli" (en même temps ça collait bien à l'atmosphère de "Gabrielle"), c'est superbe. Une histoire bien sympatoche aussi, un peu lente quelquefois, mais un tome accrocheur au final...
Monsieur Mardi-Gras Descendres
Ca je conseille : à lire et à posséder ! Une vision originale de la mort, vraiment, c'est très prenant ! Mais alors quelque part, après la lecture, j'étais un peu démoralisée moi... :( Le dessin est très sympa et l'effet N&B renforce l'atmosphère de monde. Une bonne série !
Killing Joke (Batman - The Killing Joke/Rire et Mourir/Souriez !)
Pourquoi le joker est-il le joker ? Pourquoi Batman et lui sont-ils si intimement liés ? Voilà les questions auxquelles cet album se propose d'apporter des réponses. Loin des aventures plus classiques du héros chauve-souris, cette aventure signée de la main d'Alan Moore en personne est à la fois originale et très intéressante. Derrière un dessin aux couleurs criardes et saturé de teintes vives, on peut se pencher sur la personnalité du Joker (mais aussi sur celle de Batman) avec un angle nouveau. Moore introduit ici la notion du passé du Joker, de celui qu'il était "avant". A l'inverse de la majorité des autres histoires mettant en scène l'ennemi juré de Batman, "Rire et mourir" s'attarde sur la personnalité de l'homme qui se cache derrière ces cheveux verts, ce fard blanc et ces costumes abracadabrants… Cet évident intérêt pour tous les fans de Batman se double ici d'une histoire bien ficelée et d'une dimension humaine à signaler dans tout le fatras des aventures en rapport avec le héros masqué. Il s'agit ici bien plus d'un album sur le Joker que sur Batman mais c'est un album bien construit, qui révèle des choses tout en laissant planer les parts d'ombre nécessaires pour entretenir les mythes…
Romain
Le début de l'album m'a plutôt déplu : très rapide, bêtises d'adolescents dans lesquelles je ne me reconnais absolument pas, mysticisme... Vient ensuite le drame, avec une (petite !) deuxième partie -- la réaction de Mélanie -- qui ne me convainct guère plus : l'émotion ou les émotions ont du mal à passer. Même si je les reconnais, elles ne me prennent pas au ventre. Et enfin la troisième partie -- Romain -- assez terrible (la page 18, affreux !) et prenante. Il y a ici sur bdparadisio un sujet où l'auteur parle de "Romain". Ne l'ayant pas lu (:)), je ne sais quelle était l'intention de Mélaka : raconter une partie de sa vie, de celle de Romain, "se décharger", etc. Mon impression est donc qu'il s'agit "d'une histoire", pas particulièrement autobiographique puisqu'elle fait la part belle à Romain. D'autre part, pour un morceau d'autobiographie c'est très, très rapide. Les émotions n'ont tout d'abord pas le temps de bien transparaître, on a l'impression que le format Mimolette est trop étroit pour ce que Mélaka a à raconter et qu'elle doit se hâter de jeter les bases, pour ensuite seulement pouvoir mieux se concentrer. Niveau dessin, euh... je sais pas quoi en dire. Ca me plaît, on y trouve des éléments qui rappellent Menu, les Simpsons, Wazem... Le découpage est assez classique, avec quelques (deux) effets à la Tezuka. Dans l'ensemble c'est plutôt bien abouti et ça me plaît assez, voilà c'était le commentaire débile du jour. :) Alors bon, dans l'ensemble c'est plutôt sympa, même si je reste sur l'impression de "trop court".
A.D.N
Un bon premier tome qui met du temps à partir mais qui laisse suffisement de questions dans la tête du lecteur pour lui donner envie de lire la suite. J'aime bien les dessins et le scénario promet d'être fort sympathique. Pour les plus sceptiques il serait plus judicieux d'attendre le second tome de la série sinon une lueur de déception se lira dans leurs yeux, à travers lesquels leurs pensées se feront jour, et pour nous, lecteurs enthousiastes, une grande peur doublée d'un doute, aussi étrange qu'imprévisible et mystérieux, envahira notre corps, notre conscience et des idées aussi noires que celles de Franquin surgiront à notre esprit et là, je ne réponds plus de rien, seule la destinée restera maîtresse de notre destin. Enfin, si vous ne voulez pas d'une introduction un peu trop longue, attendez le tome 2 qui sera très certainement responsable d'une quatrième étoile.