Note approximative : 2.5/5
Voici une bd réaliste, proche du documentaire sur Cousteau et son équipage. Elle est instructive, assez bien dessinée, mais l'ennui c'est que c'est le genre de BD qu'on ne lit qu'une fois. Une fois qu'on l'a lue, voilà, on n'a plus envie de revoir un documentaire déjà vu...
Bon, de par son interêt éducatif et par la qualité globale de cette BD, je vais dire que c'est plutôt pas mal, mais ce n'est pas le genre de BD que j'achèterais.
On a droit à une B.D qui sort de l'ordinaire et à la première lecture j'étais tellement emballé que j'ai failli mettre une trop bonne note sans réfléchir. En relisant à froid j'ai rajusté mon jugement.
D'accord c'est original et bien imaginé, le dessin est bon. A ceux qui s'embrouillent et ne savent pas distinguer les squelettes, je me demande comment ils font en lisant les schtroumpfs, les pauvres.
Le ton est un peu grandiloquent et manque parfois de naturel. Puis le scénario s'emballe parfois un peu trop et on sait plus où ça veut aller tout ça.
Il est clair qu'il faut s'accrocher pour tout comprendre.
Cependant, original et fort. A découvrir.
Pas mal du tout.
Un vision, de New-York déja et une critique de la société américaine (et de la nôtre). Les désillusions d'un flic noyé dans un océan de bitume, règne de la violence et de l'anarchie.
Un dessin que l'on aimerait un peu plus noir car finalement on se retrouve assez souvent dans un comique assez déstabilisant par rapport au côté tragique et du ton désabusé, sans doute pour éviter de tomber dans un pessimisme larmoyant qui deviendrait vite énervant. Finalement donc, un bon équilibre du tristounet-la société-est-merdique / quelques gags marrants. (Bon je shématise un peu)
Et puis l'idée est bien originale.
Des trois périodes de Donjon, Potron-Minet est celle qui m'attire le moins. Le dessin tout d'abord en est plus sombre et moins soigné je trouve que Zénith. Ensuite l'histoire en est délibérément sombre elle aussi, on dirait. Non pas que l'univers soit apocalyptique à la façon de Crépuscule, mais les personnages sont faibles et opprimés : ça sent un peu trop l'ambiance "j'ai beaucoup souffert dans ma jeunesse et tout n'était pas toujours rose, alors je me suis endurci en grandissant et voilà ce que je deviendrais dans Zénith".
De même les histoires de Hyacinthe deviennent déjà en simplement 3 épisodes un peu répétitives dans les thèmes...
C'est peut-être une histoire de goût mais je préfère vraiment les autres périodes à celle-ci dont je crains qu'elle ne s'épuise un peu vite car accès sur un thème unique à la différence de Zénith qui peut aller dans toutes les directions.
Les histoires sont sympas, pas prise de tête, et dans un environnement de souvenirs de jeunesse franchouillarde bien sympathique.
Les dessins sont parfois un peu bizarres, notamment le lapin de compagnie du héros qui est souvent vraiment louche dans sa forme.
Néanmoins, les albums du Cadet des Soupetard se lisent bien et sont très agréables.
Moi je continue à apprécier cette BD, sans pour autant l'adorer.
Le scénario de départ nous montre une sorte de western (sauf que cela se passe dans le Sud-Est des USA) original par son décor et ses personages. Il est plus basé sur les conflits entre blancs racistes et noirs organisés que sur un banal western. Le héros est loin d'y être parfait et ça fait son charme.
Ensuite, il est vrai que les derniers tomes incluent une bonne part de mystique et de fantastique mais ça ne me choque pas plus que ça.
C'est une BD moyenne mais qui se lit bien.
Les bons côtés de cette BD, ce sont son scénario original et le décor dans lequel le tout se joue.
Les mauvais côtés sont sa violence gratuite et la surenchère qu'elle laisse transparaitre. Et puis comme je le reproche trop souvent à Jodorowsky, l'homme y est tellement rabaissé que c'en est presque grotesque, à tel point que certains points du scénario sont incohérents tant on sent que l'auteur a voulu pousser encore plus dans le morbide et la violence.
C'est une Bd intéressante car elle est dérangeante et elle n'est pas qu'un pur divertissement, mais je trouve qu'une fois de plus, Jodo en a fait trop, beaucoup trop.
J'ai eu d'abord du mal à accrocher à Bone (qu'on m'avait fait lire vers 3 heures du matin en anglais alors que j'étais malade...). Puis l'ayant repris en français, là, j'ai plus accroché à partir du tome 2 et des suivants.
L'humour y est fin et agréable. Au départ, on ne sait pas où veut en venir l'histoire et on le découvre peu à peu ce qui est une bonne chose. J'adore les rats-garous et leurs envies de ragouts. :o)
Néanmoins, vers les derniers tomes je trouve que ça s'essouffle fortement. Le scénario tombe dans l'héroïc-fantasy avec une touche de seigneur des anneaux, des anciens ennemis qui reviennent, des prophéties ou presque, des rivalités entre groupes armés... et surtout l'humour qui s'en va de plus en plus.
Bref, j'ai bien aimé à un moment, mais j'aime moins Bone, maintenant. Je trouve qu'ils auraient dû s'arrêter au tome 6 : la suite n'a pas d'interêt et coule la série à mes yeux.
Bah moi j'aimais bien ça....
Bon ok, ça fait un peu tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, et on a vu mieux en matière de dessin. Mais les 4 compères étaient excellents je trouve (le sanglier qui se pique ses fous rire moi je trouvais ça tordant :D).
Evidemment y a eu mieux, mais néanmoins ça reste une bd sympathoche...
"Cours Camarade" est un road movie très agréable à lire mais qui vous semblera familier. En effet, l'auteur s'est visiblement inspiré de cette bd pour créer son chef-d'oeuvre, "L'Autoroute de soleil".
Baru nous propose donc un scénario bien ficelé mais moins abouti que l'album précité. On retrouve plus ou moins tous les personnages. Pour rappel, on nous raconte, ici, les aventures de deux amis, un français et un algérien qui sont persécutés par des loosers raliant les idées de Jean-Marie Le Pen.
L'histoire tient bien la route et les personnages ne manquent pas d'humour.
Le dessin de l'auteur est parfois maladroit. Certaines planches sont même franchement laides mais il faut avouer que cette bd date de 1988, il nous a prouvé par après qu'il savait faire beaucoup mieux. Ceci dit, on reconnaît sa "patte" à travers son trait qui est déjà vif et expressif.
Il m'a fallu un certain temps pour trouver cet album et c'est finalement par hasard que j'ai mis la main dessus et pour une modique somme. Que du bonheur !!!
Je conseille ce one-shot mais surtout si, tout comme moi, vous êtes fan de cet auteur. Pour les autres, "Cours Camarade" reste une bd sympa mais à lire après "L'Autoroute de Soleil".
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L'Aventure de l'équipage Cousteau
Note approximative : 2.5/5 Voici une bd réaliste, proche du documentaire sur Cousteau et son équipage. Elle est instructive, assez bien dessinée, mais l'ennui c'est que c'est le genre de BD qu'on ne lit qu'une fois. Une fois qu'on l'a lue, voilà, on n'a plus envie de revoir un documentaire déjà vu... Bon, de par son interêt éducatif et par la qualité globale de cette BD, je vais dire que c'est plutôt pas mal, mais ce n'est pas le genre de BD que j'achèterais.
Monsieur Mardi-Gras Descendres
On a droit à une B.D qui sort de l'ordinaire et à la première lecture j'étais tellement emballé que j'ai failli mettre une trop bonne note sans réfléchir. En relisant à froid j'ai rajusté mon jugement. D'accord c'est original et bien imaginé, le dessin est bon. A ceux qui s'embrouillent et ne savent pas distinguer les squelettes, je me demande comment ils font en lisant les schtroumpfs, les pauvres. Le ton est un peu grandiloquent et manque parfois de naturel. Puis le scénario s'emballe parfois un peu trop et on sait plus où ça veut aller tout ça. Il est clair qu'il faut s'accrocher pour tout comprendre. Cependant, original et fort. A découvrir.
Soda
Pas mal du tout. Un vision, de New-York déja et une critique de la société américaine (et de la nôtre). Les désillusions d'un flic noyé dans un océan de bitume, règne de la violence et de l'anarchie. Un dessin que l'on aimerait un peu plus noir car finalement on se retrouve assez souvent dans un comique assez déstabilisant par rapport au côté tragique et du ton désabusé, sans doute pour éviter de tomber dans un pessimisme larmoyant qui deviendrait vite énervant. Finalement donc, un bon équilibre du tristounet-la société-est-merdique / quelques gags marrants. (Bon je shématise un peu) Et puis l'idée est bien originale.
Donjon Potron-minet
Des trois périodes de Donjon, Potron-Minet est celle qui m'attire le moins. Le dessin tout d'abord en est plus sombre et moins soigné je trouve que Zénith. Ensuite l'histoire en est délibérément sombre elle aussi, on dirait. Non pas que l'univers soit apocalyptique à la façon de Crépuscule, mais les personnages sont faibles et opprimés : ça sent un peu trop l'ambiance "j'ai beaucoup souffert dans ma jeunesse et tout n'était pas toujours rose, alors je me suis endurci en grandissant et voilà ce que je deviendrais dans Zénith". De même les histoires de Hyacinthe deviennent déjà en simplement 3 épisodes un peu répétitives dans les thèmes... C'est peut-être une histoire de goût mais je préfère vraiment les autres périodes à celle-ci dont je crains qu'elle ne s'épuise un peu vite car accès sur un thème unique à la différence de Zénith qui peut aller dans toutes les directions.
Le Cadet des Soupetard
Les histoires sont sympas, pas prise de tête, et dans un environnement de souvenirs de jeunesse franchouillarde bien sympathique. Les dessins sont parfois un peu bizarres, notamment le lapin de compagnie du héros qui est souvent vraiment louche dans sa forme. Néanmoins, les albums du Cadet des Soupetard se lisent bien et sont très agréables.
Jim Cutlass
Moi je continue à apprécier cette BD, sans pour autant l'adorer. Le scénario de départ nous montre une sorte de western (sauf que cela se passe dans le Sud-Est des USA) original par son décor et ses personages. Il est plus basé sur les conflits entre blancs racistes et noirs organisés que sur un banal western. Le héros est loin d'y être parfait et ça fait son charme. Ensuite, il est vrai que les derniers tomes incluent une bonne part de mystique et de fantastique mais ça ne me choque pas plus que ça. C'est une BD moyenne mais qui se lit bien.
Juan Solo
Les bons côtés de cette BD, ce sont son scénario original et le décor dans lequel le tout se joue. Les mauvais côtés sont sa violence gratuite et la surenchère qu'elle laisse transparaitre. Et puis comme je le reproche trop souvent à Jodorowsky, l'homme y est tellement rabaissé que c'en est presque grotesque, à tel point que certains points du scénario sont incohérents tant on sent que l'auteur a voulu pousser encore plus dans le morbide et la violence. C'est une Bd intéressante car elle est dérangeante et elle n'est pas qu'un pur divertissement, mais je trouve qu'une fois de plus, Jodo en a fait trop, beaucoup trop.
Bone
J'ai eu d'abord du mal à accrocher à Bone (qu'on m'avait fait lire vers 3 heures du matin en anglais alors que j'étais malade...). Puis l'ayant repris en français, là, j'ai plus accroché à partir du tome 2 et des suivants. L'humour y est fin et agréable. Au départ, on ne sait pas où veut en venir l'histoire et on le découvre peu à peu ce qui est une bonne chose. J'adore les rats-garous et leurs envies de ragouts. :o) Néanmoins, vers les derniers tomes je trouve que ça s'essouffle fortement. Le scénario tombe dans l'héroïc-fantasy avec une touche de seigneur des anneaux, des anciens ennemis qui reviennent, des prophéties ou presque, des rivalités entre groupes armés... et surtout l'humour qui s'en va de plus en plus. Bref, j'ai bien aimé à un moment, mais j'aime moins Bone, maintenant. Je trouve qu'ils auraient dû s'arrêter au tome 6 : la suite n'a pas d'interêt et coule la série à mes yeux.
Sylvain et Sylvette
Bah moi j'aimais bien ça.... Bon ok, ça fait un peu tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, et on a vu mieux en matière de dessin. Mais les 4 compères étaient excellents je trouve (le sanglier qui se pique ses fous rire moi je trouvais ça tordant :D). Evidemment y a eu mieux, mais néanmoins ça reste une bd sympathoche...
Cours Camarade !
"Cours Camarade" est un road movie très agréable à lire mais qui vous semblera familier. En effet, l'auteur s'est visiblement inspiré de cette bd pour créer son chef-d'oeuvre, "L'Autoroute de soleil". Baru nous propose donc un scénario bien ficelé mais moins abouti que l'album précité. On retrouve plus ou moins tous les personnages. Pour rappel, on nous raconte, ici, les aventures de deux amis, un français et un algérien qui sont persécutés par des loosers raliant les idées de Jean-Marie Le Pen. L'histoire tient bien la route et les personnages ne manquent pas d'humour. Le dessin de l'auteur est parfois maladroit. Certaines planches sont même franchement laides mais il faut avouer que cette bd date de 1988, il nous a prouvé par après qu'il savait faire beaucoup mieux. Ceci dit, on reconnaît sa "patte" à travers son trait qui est déjà vif et expressif. Il m'a fallu un certain temps pour trouver cet album et c'est finalement par hasard que j'ai mis la main dessus et pour une modique somme. Que du bonheur !!! Je conseille ce one-shot mais surtout si, tout comme moi, vous êtes fan de cet auteur. Pour les autres, "Cours Camarade" reste une bd sympa mais à lire après "L'Autoroute de Soleil".