J'ai pour l'instant lu les 2 premiers tomes, formant le premier cycle. J'avoue ne pas être trop fan du genre mais c'est très bien raconté, très littérature, et même marrant à certains passages.
Tout cela est supporté par un dessin somme toute moyen mais agréable.
Après les 2 premiers tomes, je dois avouer que je trouve ça pas mal du tout, même si on est loin du conte d'origine, et je ne sais d'ailleurs même pas si on peut conseiller celui ci à des enfants. Bons dessins de Loisel, même s'il fait toujours les femmes avec des grandes dents (cf. les sirènes), ça fait un peu caricature même.
Le tome 2 est un peu lent, beaucoup de pages pour pas grand chose d'intéressant, lisons la suite.
La suite, la voilà :
Ça commence vraiment à devenir intéressant surtout le tome 4 qui fait le lien avec le conte originel de façon plus précise, on est vraiment pris dans le flot des péripéties de nos héros (c’est beau ça :))
C'est la belle couverture et les beaux dessins qui m'ont attiré a acheter cette album. Hé bien apres lecture, je trouve ça pas mal : "juste" pas mal, limite decevant. Mais il faut dire que je ne suis pas fan des BD qui traite beaucoup de la guerre, surtout celle du viet nam car tout est tres violent et dur a supporter. Le sujet principal est quand meme le don de Sam Lawry qui entraine surement une grande série mais qui ne deviendra jamais culte selon moi : il doit manquer quelquechose...
On voit que l'auteur à consacré à cette bande-desinée beaucoup de travail, de recherches. Les dessins de Croci sont superbes et le noir & blanc colle avec le ton du récit. Cependant, la lecture de cette Bd n'est pas de tout repos... et loin d'être relaxante...
Une chose est claire, le dessin est excellent. Dynamique, enthousiaste et servi par d'excellentes couleurs.
Le scénario est bon, oui. Le problème, c'est qu'Arleston a lu ses bon classiques de SF/Fantasy et a allègrement pompé des idées dedans, alors ça me fait rire quand je lis des remarques élogieuses à ce sujet.
Le troisième tome est une transposition sans vergogne des aventures de Cugel (de Jack Vance). Je ne suis pas un fan d'Arleston, et cette série confirme ce que je pense.
Mais bon, au delà du plagiat et de certains stéréotypes (du genre le groupe de persos qui semble sortir tout droit d'un scénar de jeu de rôle), c'est graphiquement très beau.
Une bonne histoire assurément...
Le fond de snuffs movie me rapelle vachement 8mm avec Nicolas Cage, il y a un coté vachement dérangeant quand meme...
Mais l'intrigue (du moin pour le 1er tome) est assez bonne et justement, à la fin du 1er tome, on reste sur un gout de : "merde, je veux savoir la suite !" ce qui est bon signe...
Sinon coté dessins, c'est assez spécial, mais tout de meme agréable à l'oeil... De plus les couleurs passent vraiment bien...
Dans l'ensemble une bonne bd mais pour moi, il manque quand meme quelque chose...
Meynet sait bien dessiner les femmes; je me demande même si c'est pas pour ça que Yann l'a choisi. Son travail sur "Tatiana K." montrait déjà des qualités similaires mais cette série patissait d'une intrigue indigente et soporifique. "Les éternels" fait un peu mieux : Yann nous plonge dans le monde des diamantaires d'Anvers et c'est assez dépaysant. Son héroine est certes une bombe mais elle est tourmentée et hantée par la mort; bref le côté un peu psychologique du personnage est travaillé et c'est suffisament rare pour être souligné. Malheureusement ce bon début de série palit d'une suite un peu rocambolesque pour ne pas dire abracadabrantesque donc l'originalité est inversement proportionnelle au sex appeal de l'héroine. L'histoire se finit cependant dans ce deuxième tome, j'ose espérer qu'il n'y aura pas de suite ou ça pourrait vite tourner en rond malgré le talent indéniable de Meynet: donnez lui un vrai scénar !
Sympa sympa... Ces petits poissons rouges me font vraiment marrer! Y'a juste un truc que je trouve dommage, c'est que l'album ne remprend pas les meilleurs gags (notamment certains parus dans la balise à cartoons), mais bon, cela reste bien rigolo quand même.
Bref, pas indispensable, mais un bon moment à passer, et une alternative intéressante à cet maître du gag en une case qu'est Geluck avec son Chat.
En tout cas, j'admire le talent imaginatif de l'auteur qui, rencontré en dédicace, invente sur place un petit gag en rapport avec la personne à qui l'album est destiné... sympa sympa!
J'ai seulement lu les deux premiers.
L'histoire est pas mal, mais très très difficile à suivre. Elle se décompose en petits épisodes qui ont ou non un rapport, qui démarrent en général sur des chapeaux de roue pour être un peu expliqués par la suite sous la forme d'allusions du chef ou de réflexions vagues des agents de la section 9. Le tout est parsemé de longues notes de l'auteur qui répondent aux questions techniques que personne ne se pose. En bref, je veux croire que l'auteur comprend, lui, ce qu'il raconte, mais pour le lecteur, cela reste du domaine de l'hypothèse.
Mais cela n'empêche pas d'aprecier l'action ou l'humour toujours présent (ma scène préférée : les robots-montures veulent asservir les humains jusqu'à ce qu'ils se rendent compte que ces derniers sont déjà à leur service, toujours là pour les huiler quand il le faut), ainsi que les dessins parfois confus mais plutôt chouettes.
Pour ceux qui hésitent entre le film et la BD : le film est encore plus incompréhensible, sauf sur la fin, et les dessins sont nettement moins bien (la fille est moche).
Cette mini-série de 1995 (l'une des rares que Le Téméraire ait eu le temps de publier dans son intégralité avant de sombrer corps et âme) ressemble à une sorte de brouillon de Preacher, longue saga que le même scénariste débuterait quelques temps plus tard (avec Steve Dillon aux crayons). Comme celle de Preacher, l'histoire est riche en scènes cataclysmiques, en fusillades et en séquences gore. Comme le Jesse Custer de Preacher, Rosie Nolan est une forte tête qui ne se laisse marcher sur les pieds par personne ; elle possède un pouvoir divin, qui lui sert autant qu'il lui pèse, et va chercher à découvrir pourquoi ; elle va parcourir le monde avec ses potes, et être poursuivie par diverses factions, dont un fou furieux qui va mettre une armée entière à ses trousses, d'abord par devoir, puis par vengeance personnelle. Comme Jesse, Rosie est accompagnée d'un sidekick féminin fort et plein de ressources (la Tulip de Preacher est experte en arme à feu, la Sam de "Goddess" est pilote d'avion) et d'un sidekick masculin au caractère ambigu (le Cassidy de Preacher voudrait être un bon ami mais, par égoïsme, il finit toujours par foutre en l'air la vie de ses potes ; le Mudhawk de "Goddess" est prêt à tout pour aider Rosie et protéger la nature, mais c'est aussi un tueur sadique et sans scrupules). Bref, les ressemblances entre les deux séries ne manquent pas.
Mais Preacher sera, au final, bien différent, beaucoup plus développé et surtout, il faut bien le dire, nettement plus réussi que "Goddess" qui n'est clairement pas un chef-d'oeuvre impérissable malgré ses qualités. Les dessins de Winslade sont certes plus beaux que ceux de Dillon (mais ils ont moins de personnalité) mais le scénar, lui, est bien plus faible. Les personnages ont moins d'épaisseur (mais c'est vrai qu'en 8 épisodes seulement, il avait moins de temps pour les développer qu'en 66 épisodes), il y a presque trop d'action, le côté "fable écolo" est un peu nunuche par moments... Pour ne rien arranger, l'édition française témoigne d'un certain manque de soin : la traduction est médiocre, chaque tome a un lettrage différent et celui du tome 2 est carrément dégueulasse, il y a une faute nulle sur la quatrième de couverture du tome 1 (où l'on présente Rosie comme une "jeune berlinoise" alors que c'est une jeune dublinoise)... Alors c'est vrai qu'on ne s'ennuie pas en lisant "Goddess", qui est très rythmé ; qu'on ne voit pas souvent de BD d'action dont le personnage est une fille mais pas une bombe sexuelle à gros seins façon Lara Croft ; que les fans non-anglophones de Garth Ennis seront toujours contents de pouvoir lire, en V.F., une série complète de lui sans qu'il s'agisse d'une BD consacrée à un bourrin de Marvel (style Punisher ou Fury), mais on ne peut pas dire pour autant que "Goddess" casse des briques.
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Garulfo
J'ai pour l'instant lu les 2 premiers tomes, formant le premier cycle. J'avoue ne pas être trop fan du genre mais c'est très bien raconté, très littérature, et même marrant à certains passages. Tout cela est supporté par un dessin somme toute moyen mais agréable.
Peter Pan
Après les 2 premiers tomes, je dois avouer que je trouve ça pas mal du tout, même si on est loin du conte d'origine, et je ne sais d'ailleurs même pas si on peut conseiller celui ci à des enfants. Bons dessins de Loisel, même s'il fait toujours les femmes avec des grandes dents (cf. les sirènes), ça fait un peu caricature même. Le tome 2 est un peu lent, beaucoup de pages pour pas grand chose d'intéressant, lisons la suite. La suite, la voilà : Ça commence vraiment à devenir intéressant surtout le tome 4 qui fait le lien avec le conte originel de façon plus précise, on est vraiment pris dans le flot des péripéties de nos héros (c’est beau ça :))
Sam Lawry
C'est la belle couverture et les beaux dessins qui m'ont attiré a acheter cette album. Hé bien apres lecture, je trouve ça pas mal : "juste" pas mal, limite decevant. Mais il faut dire que je ne suis pas fan des BD qui traite beaucoup de la guerre, surtout celle du viet nam car tout est tres violent et dur a supporter. Le sujet principal est quand meme le don de Sam Lawry qui entraine surement une grande série mais qui ne deviendra jamais culte selon moi : il doit manquer quelquechose...
Auschwitz
On voit que l'auteur à consacré à cette bande-desinée beaucoup de travail, de recherches. Les dessins de Croci sont superbes et le noir & blanc colle avec le ton du récit. Cependant, la lecture de cette Bd n'est pas de tout repos... et loin d'être relaxante...
Les Feux d'Askell
Une chose est claire, le dessin est excellent. Dynamique, enthousiaste et servi par d'excellentes couleurs. Le scénario est bon, oui. Le problème, c'est qu'Arleston a lu ses bon classiques de SF/Fantasy et a allègrement pompé des idées dedans, alors ça me fait rire quand je lis des remarques élogieuses à ce sujet. Le troisième tome est une transposition sans vergogne des aventures de Cugel (de Jack Vance). Je ne suis pas un fan d'Arleston, et cette série confirme ce que je pense. Mais bon, au delà du plagiat et de certains stéréotypes (du genre le groupe de persos qui semble sortir tout droit d'un scénar de jeu de rôle), c'est graphiquement très beau.
Le Réseau Bombyce
Une bonne histoire assurément... Le fond de snuffs movie me rapelle vachement 8mm avec Nicolas Cage, il y a un coté vachement dérangeant quand meme... Mais l'intrigue (du moin pour le 1er tome) est assez bonne et justement, à la fin du 1er tome, on reste sur un gout de : "merde, je veux savoir la suite !" ce qui est bon signe... Sinon coté dessins, c'est assez spécial, mais tout de meme agréable à l'oeil... De plus les couleurs passent vraiment bien... Dans l'ensemble une bonne bd mais pour moi, il manque quand meme quelque chose...
Les Eternels
Meynet sait bien dessiner les femmes; je me demande même si c'est pas pour ça que Yann l'a choisi. Son travail sur "Tatiana K." montrait déjà des qualités similaires mais cette série patissait d'une intrigue indigente et soporifique. "Les éternels" fait un peu mieux : Yann nous plonge dans le monde des diamantaires d'Anvers et c'est assez dépaysant. Son héroine est certes une bombe mais elle est tourmentée et hantée par la mort; bref le côté un peu psychologique du personnage est travaillé et c'est suffisament rare pour être souligné. Malheureusement ce bon début de série palit d'une suite un peu rocambolesque pour ne pas dire abracadabrantesque donc l'originalité est inversement proportionnelle au sex appeal de l'héroine. L'histoire se finit cependant dans ce deuxième tome, j'ose espérer qu'il n'y aura pas de suite ou ça pourrait vite tourner en rond malgré le talent indéniable de Meynet: donnez lui un vrai scénar !
Le Fond du bocal
Sympa sympa... Ces petits poissons rouges me font vraiment marrer! Y'a juste un truc que je trouve dommage, c'est que l'album ne remprend pas les meilleurs gags (notamment certains parus dans la balise à cartoons), mais bon, cela reste bien rigolo quand même. Bref, pas indispensable, mais un bon moment à passer, et une alternative intéressante à cet maître du gag en une case qu'est Geluck avec son Chat. En tout cas, j'admire le talent imaginatif de l'auteur qui, rencontré en dédicace, invente sur place un petit gag en rapport avec la personne à qui l'album est destiné... sympa sympa!
The Ghost in the shell
J'ai seulement lu les deux premiers. L'histoire est pas mal, mais très très difficile à suivre. Elle se décompose en petits épisodes qui ont ou non un rapport, qui démarrent en général sur des chapeaux de roue pour être un peu expliqués par la suite sous la forme d'allusions du chef ou de réflexions vagues des agents de la section 9. Le tout est parsemé de longues notes de l'auteur qui répondent aux questions techniques que personne ne se pose. En bref, je veux croire que l'auteur comprend, lui, ce qu'il raconte, mais pour le lecteur, cela reste du domaine de l'hypothèse. Mais cela n'empêche pas d'aprecier l'action ou l'humour toujours présent (ma scène préférée : les robots-montures veulent asservir les humains jusqu'à ce qu'ils se rendent compte que ces derniers sont déjà à leur service, toujours là pour les huiler quand il le faut), ainsi que les dessins parfois confus mais plutôt chouettes. Pour ceux qui hésitent entre le film et la BD : le film est encore plus incompréhensible, sauf sur la fin, et les dessins sont nettement moins bien (la fille est moche).
Goddess
Cette mini-série de 1995 (l'une des rares que Le Téméraire ait eu le temps de publier dans son intégralité avant de sombrer corps et âme) ressemble à une sorte de brouillon de Preacher, longue saga que le même scénariste débuterait quelques temps plus tard (avec Steve Dillon aux crayons). Comme celle de Preacher, l'histoire est riche en scènes cataclysmiques, en fusillades et en séquences gore. Comme le Jesse Custer de Preacher, Rosie Nolan est une forte tête qui ne se laisse marcher sur les pieds par personne ; elle possède un pouvoir divin, qui lui sert autant qu'il lui pèse, et va chercher à découvrir pourquoi ; elle va parcourir le monde avec ses potes, et être poursuivie par diverses factions, dont un fou furieux qui va mettre une armée entière à ses trousses, d'abord par devoir, puis par vengeance personnelle. Comme Jesse, Rosie est accompagnée d'un sidekick féminin fort et plein de ressources (la Tulip de Preacher est experte en arme à feu, la Sam de "Goddess" est pilote d'avion) et d'un sidekick masculin au caractère ambigu (le Cassidy de Preacher voudrait être un bon ami mais, par égoïsme, il finit toujours par foutre en l'air la vie de ses potes ; le Mudhawk de "Goddess" est prêt à tout pour aider Rosie et protéger la nature, mais c'est aussi un tueur sadique et sans scrupules). Bref, les ressemblances entre les deux séries ne manquent pas. Mais Preacher sera, au final, bien différent, beaucoup plus développé et surtout, il faut bien le dire, nettement plus réussi que "Goddess" qui n'est clairement pas un chef-d'oeuvre impérissable malgré ses qualités. Les dessins de Winslade sont certes plus beaux que ceux de Dillon (mais ils ont moins de personnalité) mais le scénar, lui, est bien plus faible. Les personnages ont moins d'épaisseur (mais c'est vrai qu'en 8 épisodes seulement, il avait moins de temps pour les développer qu'en 66 épisodes), il y a presque trop d'action, le côté "fable écolo" est un peu nunuche par moments... Pour ne rien arranger, l'édition française témoigne d'un certain manque de soin : la traduction est médiocre, chaque tome a un lettrage différent et celui du tome 2 est carrément dégueulasse, il y a une faute nulle sur la quatrième de couverture du tome 1 (où l'on présente Rosie comme une "jeune berlinoise" alors que c'est une jeune dublinoise)... Alors c'est vrai qu'on ne s'ennuie pas en lisant "Goddess", qui est très rythmé ; qu'on ne voit pas souvent de BD d'action dont le personnage est une fille mais pas une bombe sexuelle à gros seins façon Lara Croft ; que les fans non-anglophones de Garth Ennis seront toujours contents de pouvoir lire, en V.F., une série complète de lui sans qu'il s'agisse d'une BD consacrée à un bourrin de Marvel (style Punisher ou Fury), mais on ne peut pas dire pour autant que "Goddess" casse des briques.