Une curiosité que cette série. Grand admirateur des Verne, Wells et autres Conan Doyle, Guy Counhaye a créé tout seul, patiemment, cette série méconnue mais foncièrement sympathique.
Le dessin, sans être révolutionnaire, peut dérouter parfois par ses aspects simplistes. Le scénario, nourri en perfusion par les oeuvres de Verne, nous permet de suivre des histoires plutôt distrayantes. manque un poil de rigueur scénaristique pour mériter le cran au-dessus, celui d'une très bonne BD.
A noter que le tome 4 paraît en août 2003.
Tiens, encore un fan de Jules Verne qui se lance dans une BD de son inspiration...
J'ai lu ça en prépublication dans BoDoï, et malgré le dessin, qui me rebute un peu personnellement, j'ai pris (relativement) du plaisir à suivre le parcours de ce savant qui va jusqu'au bout de ses idées, quitte à renier ses principes (ne pas en faire une utilisation commerciale de son invention majeure)...
Le principe, vous l'aurez compris, me plaît. Mais le découpage pas trop, la façon dont l'histoire est contée, un peu fouillis à mon goût... Attendons un second album pour avoir les idées plus claires...
Cet album est assez envoûtant, mais j'avoue que je ne sais toujours pas si j'ai aimé ou détesté !
Le dessin est superbe, de loin il semblait plutôt repoussant mais en y plongeant, j'y ai accroché sans problème.
L'histoire est... comment dire ? on a l'impression d'être dans un rêve sans queue ni tête, avec une intrigue assez tenue comme justification à l'existence de l'album. Ce qui n'est pas un reproche. C'est juste déroutant.
Je n'ai pas été gênée par le côté muet, au contraire il renforce cette impression de rêve.
Je préfère ne pas le conseiller, car je n'ai pas encore d'opinion réelle ; une 2ème lecture s'impose, mais pas tout de suite.
On entre tout de suite dans le vif du sujet : le bien contre le mal, les gentils contre les méchants.
Malgré des dessins et des couleurs magnifiques, j'ai du mal à accrocher à la première partie de l'histoire où une bataille se déroule sur une quinzaine de pages... c'est long.
La seconde partie est quant à elle plus intéressante. Bien sûr l'action y est moins importante, mais l'histoire prend réellement forme et on comprend le but de l'histoire : tuer Fedath, le seigneur d'ombre (pardon de dévoiler un secret de polichinelle) et pour cela il faudra déjà trouver le fameux grimoire d'Haleth.
En conclusion, bien que très proche du "seigneur des anneaux", cette histoire ne me déplaît pas, contrairement aux autres posteurs.
Les bases sont posées dans ce premier tome, il faudra donc attendre le deuxième afin de mieux définir cette série.
Pour le moment, sans être génial, on va dire que ça passe plutôt bien.
Ce n'est pas à proprement parler de la bd, car chaque planche se limite à une scène humoristique. Comme l'a souligné Steril, les dessins sont plutôt bon dans le genre, bien meilleur en tous les cas que la série actuelle de Ernst, "les Zappeurs". C'est vite lu, mais les gags sont souvent bien trouvés. De quoi passer un bon moment donc, mais l'achat ne s'impose pas non plus, sauf si c'est une super-occaz. ;)
Raymond Reding, pionnier de la BD "sportive", a lancé en 1961 cette jeune série en solo, afin d'allier ses deux passions.
Aventures mystérieuses, poursuites, gros flingues, morale un rien surannée, la recette est aujourd'hui éculée. Mais pour un lectorat des années 1960 et 70, il s'agissait bien là d'une série palpitante, au dessin qui sans être révolutionnaire se révéla très solide au fil des volumes.
Cette série dérivée de l'univers d'"Arcanes" est assez surprenante, car pour une fois celle-ci égale la série-mère en qualité scénaristique.
A travers cette histoire, Jean-pierre Pecau, le scénariste, veut nous donner plus d'indices sur le pourquoi et le comment des cartes du hasard qui sont si importantes dans cette série. Par la même occasion on suit le parcours d'un personnage-clef d'"Arcanes", Pandora. On va ainsi participer à son initiation qui a commencé dès son adolescence et découvrir ses rencontres qui, à mon avis, seront parfois inattendues. De plus, cette héroïne est mignonne, très attachante et non dénuée d'humour.
Le scénario est très agréable et on lit avec beaucoup de plaisir les aventures de cette jeune fille qui détient le pouvoir de changer le futur. Tout ceci s'accompagne d'une bonne dose d'action et de rebondissements, sans oublier le mystère. Certaines questions restent encore en suspens. Par exemple, qui sont ces nonnes tueuses et surtout pourquoi des nonnes ?
D'un point de vue graphique, Damien ("les fées noires") a un très joli coup de pinceau. Celui-ci colle parfaitement avec le scénario. Son trait est net, précis et efficace. Les visages féminins m'ont fait parfois penser au dessin de Benoit Springer ("Volunteer"). Une petite mention spéciale est à noter pour la dernière case de la page 45. on y voit le visage de Pandora. Celui-ci est visiblement heureux et épanoui. Superbe !
Les couleurs sont, elle, peut-être pas très originales, mais elles dégagent beaucoup de fraîcheur.
En somme, une série bien symphatique qui mérite que l'on s'y intéresse, surtout que son rôle est quand même important pour cerner touts les ingrédients de la série-mère.
A conseiller !
J'ai bien aimé l'agrandissement de l'univers d'"Arcanes", mais si j'adhere à l'histoire, le desssin, sans être moche, me rebute un peu, question de goût.
Sympa, mais moins bien que la serie mère.
On veut quand même savoir la suite mais de là à l'acheter...
Encore une histoire qui met en scène notre héros à cape rouge et en collants mais je dois dire que celle-ci est plutôt bien faite. Cette série est divisée en quatres récits bien distincts. Chacun portant comme titre, une saison.
Jeph Loeb, le scénariste est déjà connu pour être le producteur de la série-tv Smallville. Et on retrouve donc, ici, sa touche personnelle. Celle-ci est visible à travers le profil de ces personnages qui sont décrits de la même manière, à quelques détails près.
Chaque saison est présentée par un narrateur différent : Jonathan Kent pour le printemps, Loïs Lane pour l'été, Lex Luthor pour l'automne et Lana Lang pour l'hiver. C'est assez original. En résumé, on nous raconte l'histoire de Clark Kent depuis son enfance. Un détail qui m'a séduit, c'est que pour une fois, Loïs Lane tient un rôle secondaire dans le récit.
Le dessin de Tim Sale est pas mal. Son trait est aéré et il réussit à restituer les émotions des différents protagonistes avec beaucoup de crédibilité.
Pour conclure, je dirais que résumer le vie de Superman en quatre saisons.......pourquoi pas ! Le résultat m'a suffisament convaincu pour en conseiller l'achat alors je dis oui à cette série.
J'ai eu un réel plaisir à découvrir ces histoires d’origine celtique remplies de charme et de rêve. Elles sont simples et jolies, typiquement le genre d’histoires qu’on se raconte au coin du feu.
Quant aux dessinateurs, chacun tire son épingle du jeu, avec son style, sa personnalité tout en gardant l’aspect général de l’album qui se veut assez réaliste. Chaque histoire est séparée de la suivante par une intervention de Koc’h le Korrigan, personnage espiègle bien sympathique qui nous en apprend un peu plus sur la Bretagne, berceau de toutes ces légendes.
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Professeur Stratus
Une curiosité que cette série. Grand admirateur des Verne, Wells et autres Conan Doyle, Guy Counhaye a créé tout seul, patiemment, cette série méconnue mais foncièrement sympathique. Le dessin, sans être révolutionnaire, peut dérouter parfois par ses aspects simplistes. Le scénario, nourri en perfusion par les oeuvres de Verne, nous permet de suivre des histoires plutôt distrayantes. manque un poil de rigueur scénaristique pour mériter le cran au-dessus, celui d'une très bonne BD. A noter que le tome 4 paraît en août 2003.
Le Neptune
Tiens, encore un fan de Jules Verne qui se lance dans une BD de son inspiration... J'ai lu ça en prépublication dans BoDoï, et malgré le dessin, qui me rebute un peu personnellement, j'ai pris (relativement) du plaisir à suivre le parcours de ce savant qui va jusqu'au bout de ses idées, quitte à renier ses principes (ne pas en faire une utilisation commerciale de son invention majeure)... Le principe, vous l'aurez compris, me plaît. Mais le découpage pas trop, la façon dont l'histoire est contée, un peu fouillis à mon goût... Attendons un second album pour avoir les idées plus claires...
Prosopopus
Cet album est assez envoûtant, mais j'avoue que je ne sais toujours pas si j'ai aimé ou détesté ! Le dessin est superbe, de loin il semblait plutôt repoussant mais en y plongeant, j'y ai accroché sans problème. L'histoire est... comment dire ? on a l'impression d'être dans un rêve sans queue ni tête, avec une intrigue assez tenue comme justification à l'existence de l'album. Ce qui n'est pas un reproche. C'est juste déroutant. Je n'ai pas été gênée par le côté muet, au contraire il renforce cette impression de rêve. Je préfère ne pas le conseiller, car je n'ai pas encore d'opinion réelle ; une 2ème lecture s'impose, mais pas tout de suite.
Le Seigneur d'Ombre
On entre tout de suite dans le vif du sujet : le bien contre le mal, les gentils contre les méchants. Malgré des dessins et des couleurs magnifiques, j'ai du mal à accrocher à la première partie de l'histoire où une bataille se déroule sur une quinzaine de pages... c'est long. La seconde partie est quant à elle plus intéressante. Bien sûr l'action y est moins importante, mais l'histoire prend réellement forme et on comprend le but de l'histoire : tuer Fedath, le seigneur d'ombre (pardon de dévoiler un secret de polichinelle) et pour cela il faudra déjà trouver le fameux grimoire d'Haleth. En conclusion, bien que très proche du "seigneur des anneaux", cette histoire ne me déplaît pas, contrairement aux autres posteurs. Les bases sont posées dans ce premier tome, il faudra donc attendre le deuxième afin de mieux définir cette série. Pour le moment, sans être génial, on va dire que ça passe plutôt bien.
Clin d'oeil
Ce n'est pas à proprement parler de la bd, car chaque planche se limite à une scène humoristique. Comme l'a souligné Steril, les dessins sont plutôt bon dans le genre, bien meilleur en tous les cas que la série actuelle de Ernst, "les Zappeurs". C'est vite lu, mais les gags sont souvent bien trouvés. De quoi passer un bon moment donc, mais l'achat ne s'impose pas non plus, sauf si c'est une super-occaz. ;)
Jari
Raymond Reding, pionnier de la BD "sportive", a lancé en 1961 cette jeune série en solo, afin d'allier ses deux passions. Aventures mystérieuses, poursuites, gros flingues, morale un rien surannée, la recette est aujourd'hui éculée. Mais pour un lectorat des années 1960 et 70, il s'agissait bien là d'une série palpitante, au dessin qui sans être révolutionnaire se révéla très solide au fil des volumes.
Arcane Majeur
Cette série dérivée de l'univers d'"Arcanes" est assez surprenante, car pour une fois celle-ci égale la série-mère en qualité scénaristique. A travers cette histoire, Jean-pierre Pecau, le scénariste, veut nous donner plus d'indices sur le pourquoi et le comment des cartes du hasard qui sont si importantes dans cette série. Par la même occasion on suit le parcours d'un personnage-clef d'"Arcanes", Pandora. On va ainsi participer à son initiation qui a commencé dès son adolescence et découvrir ses rencontres qui, à mon avis, seront parfois inattendues. De plus, cette héroïne est mignonne, très attachante et non dénuée d'humour. Le scénario est très agréable et on lit avec beaucoup de plaisir les aventures de cette jeune fille qui détient le pouvoir de changer le futur. Tout ceci s'accompagne d'une bonne dose d'action et de rebondissements, sans oublier le mystère. Certaines questions restent encore en suspens. Par exemple, qui sont ces nonnes tueuses et surtout pourquoi des nonnes ? D'un point de vue graphique, Damien ("les fées noires") a un très joli coup de pinceau. Celui-ci colle parfaitement avec le scénario. Son trait est net, précis et efficace. Les visages féminins m'ont fait parfois penser au dessin de Benoit Springer ("Volunteer"). Une petite mention spéciale est à noter pour la dernière case de la page 45. on y voit le visage de Pandora. Celui-ci est visiblement heureux et épanoui. Superbe ! Les couleurs sont, elle, peut-être pas très originales, mais elles dégagent beaucoup de fraîcheur. En somme, une série bien symphatique qui mérite que l'on s'y intéresse, surtout que son rôle est quand même important pour cerner touts les ingrédients de la série-mère. A conseiller !
Arcane Majeur
J'ai bien aimé l'agrandissement de l'univers d'"Arcanes", mais si j'adhere à l'histoire, le desssin, sans être moche, me rebute un peu, question de goût. Sympa, mais moins bien que la serie mère. On veut quand même savoir la suite mais de là à l'acheter...
Superman - For All Seasons (Les Saisons de Superman)
Encore une histoire qui met en scène notre héros à cape rouge et en collants mais je dois dire que celle-ci est plutôt bien faite. Cette série est divisée en quatres récits bien distincts. Chacun portant comme titre, une saison. Jeph Loeb, le scénariste est déjà connu pour être le producteur de la série-tv Smallville. Et on retrouve donc, ici, sa touche personnelle. Celle-ci est visible à travers le profil de ces personnages qui sont décrits de la même manière, à quelques détails près. Chaque saison est présentée par un narrateur différent : Jonathan Kent pour le printemps, Loïs Lane pour l'été, Lex Luthor pour l'automne et Lana Lang pour l'hiver. C'est assez original. En résumé, on nous raconte l'histoire de Clark Kent depuis son enfance. Un détail qui m'a séduit, c'est que pour une fois, Loïs Lane tient un rôle secondaire dans le récit. Le dessin de Tim Sale est pas mal. Son trait est aéré et il réussit à restituer les émotions des différents protagonistes avec beaucoup de crédibilité. Pour conclure, je dirais que résumer le vie de Superman en quatre saisons.......pourquoi pas ! Le résultat m'a suffisament convaincu pour en conseiller l'achat alors je dis oui à cette série.
Les contes du Korrigan
J'ai eu un réel plaisir à découvrir ces histoires d’origine celtique remplies de charme et de rêve. Elles sont simples et jolies, typiquement le genre d’histoires qu’on se raconte au coin du feu. Quant aux dessinateurs, chacun tire son épingle du jeu, avec son style, sa personnalité tout en gardant l’aspect général de l’album qui se veut assez réaliste. Chaque histoire est séparée de la suivante par une intervention de Koc’h le Korrigan, personnage espiègle bien sympathique qui nous en apprend un peu plus sur la Bretagne, berceau de toutes ces légendes.