Basara est le genre de manga qu'on adore ou qu'on rejette en bloc, c'est pour cela que j'ai déconseillé l'achat de cette BD. Je conseille le coup d'oeil en tout cas, et l'essai si vous n'êtes pas découragé après avoir feuilleté ce manga.
Parce qu'avouons-le, Basara c'est très moche et brouillon graphiquement. Et la narration est souvent confuse. Bref, c'est très décourageant au premier abord.
Mais une fois qu'on prend son courage à deux mains et qu'on se plonge dedans, alors on découvre des personnages très charismatiques (Shuri en tête) et une histoire passionnante. Car si le point de départ est bateau (une jeune fille "élue" doit délivrer son pays de l'opresseur), le traitement l'est moins. Sarasa n'a pas de super pouvoirs pour parvenir à ses fins. Ses armes seront essentiellement politiques et diplomatiques, et le chemin sera long et difficile pour réussir.
Alors bien sûr c'est parfois kitsch, bien sûr on n'échappe pas aux grands sentiments... Mais en même temps on est loin d'une épopée facile, naïve et irréaliste.
Le scénario est loin d'être bête et évite soigneusement le piège du manichéisme. Ca fait même réfléchir parfois ! :o)
Edit : décidément, le dessin et le découpage ne s'arangent pas, même au bout de 20 tomes !... ça gâche vraiment tout. Ma note passe de 4 à 3.
Un polar pas mauvais même si l’histoire n'est pas toujours facile à suivre du fait des nombreux flash-back et des changement de dessinateur (3 premiers tomes, 3 dessinateurs différent) mais cela reste agréable à lire et à suivre.
Pour le tome 1 les dessins sont moyens, ils paraissent bâclés, les traits des différents persos ne sont pas aboutis, les décors peu travaillés, dommage. Pour les tomes suivants bien que les styles soient différents c’est plutôt agréable à regarder et à suivre.
Pour le scénar, c’est bien fait mais polar sur fond de complot, rien de bien original. Mais c’est bien traité on passe un bon moment en lisant cette série, c’est là le principal.
Un bon polar mais basique sans rien d’extra ou d’original.
Alors là, je suis franchement d'accord sur le fait que c'est peut-être la plus grosse déception de l'année.
Non mais, c'est vrai, quoi! Depuis le temps qu'on nous en parle de ce Gribouillis, nous autres, fans de Turf, nous attendions, il est vrai, cent fois plus de cet ouvrage.
Le jour de parution de l'album, je cours en magasin afin d'être parmi les premiers privilégiés à lire cette tant attendue aventure du petit gribouillis perdu dans les pages d'un magazine de vente par correspondance. Arrivé sur place, je ne peux qu'être ébloui par la présentation de l'oeuvre. En dehors de la couverture magistrale, l'intérieur me réservait aussi pas mal d'excellentes surprises.
Déjà le dessin. Rien à dire si ce n'est que Turf est un génie. Les ombres, les personnages, les phylactères,... tout! Même la mise en page est fidèle à la Nef des fous.
Mais alors, pourquoi seulement 3/5 si tout est aussi exceptionnel?!!
Simplement parce que le scénario est franchement moyen. Les textes ne sont pas terribles, les personnages sont souvent d'un inintérêt assez impressionnant, et l'histoire n'avance pas, ou du moins, pas comme on pourrait l'attendre d'une histoire contée par un auteur tel que Turf.
C'est long, très long, trop long.
On en arrive à compter le nombre de pages qu'il reste avant la fin de l'histoire, tellement on s'ennuie.
Mais il faut quand-même laisser à Turf que l'idée de base de l'histoire est fabuleuse.
Donc : déception, oui. Mais Gribouillis reste malgré tout une bonne BD, ne serait-ce que pour ces dessins exceptionnels.
On espère quand-même que Turf continuera sa Nef des fous avant de nous offrir un autre one-shot aussi décevant.
Derrière un graphisme trés soigné et une mise en page claire et précise, se trame un scénario intéressant. Cette histoire de deux univers qui s'entremêlent et conduisent des jeunes gens sans histoires à dépasser leurs limites, se laisse suivre avec beaucoup d'attention. Les personnages principaux ont un charisme réel et on s'attache trés rapidement à eux. Le gros bémol que je ferais à cette série (que j'ai découvert en intégrale), réside dans le sentiment de rester sur ma faim que j'ai eu en lisant le mot fin justement. Ainsi, la nature de ces fameux monstres qui surgissent au hasard de regards amoureux et des ventres des femmes, reste jusqu'au bout imprécise, floue, comme leur fameuse guide féminin d'ailleurs. Malgré les explications à la vite fait, que l'on nous balance au cours de l'histoire, je pense que l'ensemble aurait gagné à être approfondi. Mais bon, j'ai vraiment passé un bon moment avec cette série.
Au début de ma lecture, j’étais parti avec un avis négatif sur cette série, je me suis dis "tiens c’est Tarek le scénariste (auteur de la série "Cyrill et les ombres du bois cendré", où il ne se passe rien) ça va être nul" ; et puis non, à la lecture du tome je ne me suis pas ennuyé, c’est très rapide à lire.
J’ai trouvé cette petite histoire originale, bien racontée et je ne sais pas pourquoi j’ai rêvé de la lune pendant la nuit. :)
A part ces gentils compliments, il y a un passage où le cosmonaute n’a pas son casque dans l’espace (c’est un petit détail mais ça compte).
Les dessins et les couleurs sont très bons, j’aime bien ce style avec des grosses têtes.
Que dire de plus, à conseiller pour les enfant qui trouveront certainement cette bd bien.
Un conte tout beau tout gentil tout mignon qui fait passer un bon momment de lecture sans être pour autant un immanquable.
Le scénario n'est pas très développé, mais bon c'est sympa et ça ne nous donne pas envie d'arrêter.
Quant aux dessins, ils conviennent bien dans le style avec des persos qui ont des jambes fines et élancées, des couleurs vives ...
A bouquiner dans une librairie ou dans le Lanfeust Mag.
Pour les petits ...
Un manga sans grande originalité, ni pour les clichés, ni pour le dessin, ni pour le scénario.
Pourtant, la lecture est très agréable, et puis Tchii est tellement mignone ! Les situations ont tendance à se répéter un peu, mais l'histoire avance petit à petit.
Enfin, le thème relation homme-ordi est vraiment traité sous toutes ses faces, à travers les histoires des différents personnages, ce qui donne un peu de profondeur au récit.
MAJ (fin de la série) :
mouais... la fin est vraiment bizarre. Bon, elle n'est pas inatendue, loin de là. Mais on assiste à un changement de rythme dans les deux derniers tomes, et la conclusion me laisse perplexe. C'est une série étrange, avec des hauts et des bas, des histoires secondaires qui ne sont pas sans intérêt et une trame générale qui ne semble être que l'occasion de montrer les réactions d'un jeune garçon moitié fleur bleu moitié lecteur de magasines érotiques.
A noter pour ceux qui désirent acheter la série que les albums en tant qu'objets sont très réussis, surtout pour des mangas : de jolies couvertures, du beau papier, et une carte offerte par album.
J'ai lu cette série dans le Lanfeust mag, et au début j'accrochais pas trop, ... les couleurs, le dessin, ca ne m'attirait pas.
Et puis je me suis lancé, et au bout de 5 planches la magie a opéré : une belle histoire et un charisme étonnant des personnages et surtout de la petite Akameshi (qui n'est pas du tout désagréable a regarder, surtout en string !).
J'attends la suite pour conforter mon idée...
Zep... je suis fan. Du coup, difficile d'être vraiment objectif sur l'un de ses albums.
Le dessin est génial, les textes savoureux et les chutes tout à fait dignes de certains Titeuf.
Bien sûr, cet album n'est pas à mettre entre n'importe quelles mains (même si moi, je l'ai découvert assez tôt, je l'avoue).
Si "Titeuf" convient à tout âge par la légéreté avec laquelle il aborde certains thèmes soi-disant vulgaires, celui-ci fait moins dans la dentelle. (Logique puisqu'on passe du petit gamin de moins de 10 ans à l'ado avide de sexe et d'expériences nouvelles).
Donc, du tout grand Zep, même si "Les filles éléctriques" reste à ce jour son moins bon album à mon goût.
Les dessins ne sont pas beaux, même s'ils sont intéressants, et le scénario est plutôt vide.
Pourtant, je trouve que cette BD vaut le détour, peut-être en tant que exercice de style plutôt original : l'absence même de dialogue ou de fil directeur permet de mieux suivre encore les tribulations du primitif en vadrouille.
Mais bon, c'est vite lu.
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Basara
Basara est le genre de manga qu'on adore ou qu'on rejette en bloc, c'est pour cela que j'ai déconseillé l'achat de cette BD. Je conseille le coup d'oeil en tout cas, et l'essai si vous n'êtes pas découragé après avoir feuilleté ce manga. Parce qu'avouons-le, Basara c'est très moche et brouillon graphiquement. Et la narration est souvent confuse. Bref, c'est très décourageant au premier abord. Mais une fois qu'on prend son courage à deux mains et qu'on se plonge dedans, alors on découvre des personnages très charismatiques (Shuri en tête) et une histoire passionnante. Car si le point de départ est bateau (une jeune fille "élue" doit délivrer son pays de l'opresseur), le traitement l'est moins. Sarasa n'a pas de super pouvoirs pour parvenir à ses fins. Ses armes seront essentiellement politiques et diplomatiques, et le chemin sera long et difficile pour réussir. Alors bien sûr c'est parfois kitsch, bien sûr on n'échappe pas aux grands sentiments... Mais en même temps on est loin d'une épopée facile, naïve et irréaliste. Le scénario est loin d'être bête et évite soigneusement le piège du manichéisme. Ca fait même réfléchir parfois ! :o) Edit : décidément, le dessin et le découpage ne s'arangent pas, même au bout de 20 tomes !... ça gâche vraiment tout. Ma note passe de 4 à 3.
Celadon run
Un polar pas mauvais même si l’histoire n'est pas toujours facile à suivre du fait des nombreux flash-back et des changement de dessinateur (3 premiers tomes, 3 dessinateurs différent) mais cela reste agréable à lire et à suivre. Pour le tome 1 les dessins sont moyens, ils paraissent bâclés, les traits des différents persos ne sont pas aboutis, les décors peu travaillés, dommage. Pour les tomes suivants bien que les styles soient différents c’est plutôt agréable à regarder et à suivre. Pour le scénar, c’est bien fait mais polar sur fond de complot, rien de bien original. Mais c’est bien traité on passe un bon moment en lisant cette série, c’est là le principal. Un bon polar mais basique sans rien d’extra ou d’original.
Les Incroyables Aventures de Gribouillis
Alors là, je suis franchement d'accord sur le fait que c'est peut-être la plus grosse déception de l'année. Non mais, c'est vrai, quoi! Depuis le temps qu'on nous en parle de ce Gribouillis, nous autres, fans de Turf, nous attendions, il est vrai, cent fois plus de cet ouvrage. Le jour de parution de l'album, je cours en magasin afin d'être parmi les premiers privilégiés à lire cette tant attendue aventure du petit gribouillis perdu dans les pages d'un magazine de vente par correspondance. Arrivé sur place, je ne peux qu'être ébloui par la présentation de l'oeuvre. En dehors de la couverture magistrale, l'intérieur me réservait aussi pas mal d'excellentes surprises. Déjà le dessin. Rien à dire si ce n'est que Turf est un génie. Les ombres, les personnages, les phylactères,... tout! Même la mise en page est fidèle à la Nef des fous. Mais alors, pourquoi seulement 3/5 si tout est aussi exceptionnel?!! Simplement parce que le scénario est franchement moyen. Les textes ne sont pas terribles, les personnages sont souvent d'un inintérêt assez impressionnant, et l'histoire n'avance pas, ou du moins, pas comme on pourrait l'attendre d'une histoire contée par un auteur tel que Turf. C'est long, très long, trop long. On en arrive à compter le nombre de pages qu'il reste avant la fin de l'histoire, tellement on s'ennuie. Mais il faut quand-même laisser à Turf que l'idée de base de l'histoire est fabuleuse. Donc : déception, oui. Mais Gribouillis reste malgré tout une bonne BD, ne serait-ce que pour ces dessins exceptionnels. On espère quand-même que Turf continuera sa Nef des fous avant de nous offrir un autre one-shot aussi décevant.
Le Cycle des deux horizons
Derrière un graphisme trés soigné et une mise en page claire et précise, se trame un scénario intéressant. Cette histoire de deux univers qui s'entremêlent et conduisent des jeunes gens sans histoires à dépasser leurs limites, se laisse suivre avec beaucoup d'attention. Les personnages principaux ont un charisme réel et on s'attache trés rapidement à eux. Le gros bémol que je ferais à cette série (que j'ai découvert en intégrale), réside dans le sentiment de rester sur ma faim que j'ai eu en lisant le mot fin justement. Ainsi, la nature de ces fameux monstres qui surgissent au hasard de regards amoureux et des ventres des femmes, reste jusqu'au bout imprécise, floue, comme leur fameuse guide féminin d'ailleurs. Malgré les explications à la vite fait, que l'on nous balance au cours de l'histoire, je pense que l'ensemble aurait gagné à être approfondi. Mais bon, j'ai vraiment passé un bon moment avec cette série.
Les Aventures d'Irial
Au début de ma lecture, j’étais parti avec un avis négatif sur cette série, je me suis dis "tiens c’est Tarek le scénariste (auteur de la série "Cyrill et les ombres du bois cendré", où il ne se passe rien) ça va être nul" ; et puis non, à la lecture du tome je ne me suis pas ennuyé, c’est très rapide à lire. J’ai trouvé cette petite histoire originale, bien racontée et je ne sais pas pourquoi j’ai rêvé de la lune pendant la nuit. :) A part ces gentils compliments, il y a un passage où le cosmonaute n’a pas son casque dans l’espace (c’est un petit détail mais ça compte). Les dessins et les couleurs sont très bons, j’aime bien ce style avec des grosses têtes. Que dire de plus, à conseiller pour les enfant qui trouveront certainement cette bd bien.
Les Aventures d'Irial
Un conte tout beau tout gentil tout mignon qui fait passer un bon momment de lecture sans être pour autant un immanquable. Le scénario n'est pas très développé, mais bon c'est sympa et ça ne nous donne pas envie d'arrêter. Quant aux dessins, ils conviennent bien dans le style avec des persos qui ont des jambes fines et élancées, des couleurs vives ... A bouquiner dans une librairie ou dans le Lanfeust Mag. Pour les petits ...
Chobits
Un manga sans grande originalité, ni pour les clichés, ni pour le dessin, ni pour le scénario. Pourtant, la lecture est très agréable, et puis Tchii est tellement mignone ! Les situations ont tendance à se répéter un peu, mais l'histoire avance petit à petit. Enfin, le thème relation homme-ordi est vraiment traité sous toutes ses faces, à travers les histoires des différents personnages, ce qui donne un peu de profondeur au récit. MAJ (fin de la série) : mouais... la fin est vraiment bizarre. Bon, elle n'est pas inatendue, loin de là. Mais on assiste à un changement de rythme dans les deux derniers tomes, et la conclusion me laisse perplexe. C'est une série étrange, avec des hauts et des bas, des histoires secondaires qui ne sont pas sans intérêt et une trame générale qui ne semble être que l'occasion de montrer les réactions d'un jeune garçon moitié fleur bleu moitié lecteur de magasines érotiques. A noter pour ceux qui désirent acheter la série que les albums en tant qu'objets sont très réussis, surtout pour des mangas : de jolies couvertures, du beau papier, et une carte offerte par album.
Akameshi
J'ai lu cette série dans le Lanfeust mag, et au début j'accrochais pas trop, ... les couleurs, le dessin, ca ne m'attirait pas. Et puis je me suis lancé, et au bout de 5 planches la magie a opéré : une belle histoire et un charisme étonnant des personnages et surtout de la petite Akameshi (qui n'est pas du tout désagréable a regarder, surtout en string !). J'attends la suite pour conforter mon idée...
Happy Girls (Les Filles Electriques)
Zep... je suis fan. Du coup, difficile d'être vraiment objectif sur l'un de ses albums. Le dessin est génial, les textes savoureux et les chutes tout à fait dignes de certains Titeuf. Bien sûr, cet album n'est pas à mettre entre n'importe quelles mains (même si moi, je l'ai découvert assez tôt, je l'avoue). Si "Titeuf" convient à tout âge par la légéreté avec laquelle il aborde certains thèmes soi-disant vulgaires, celui-ci fait moins dans la dentelle. (Logique puisqu'on passe du petit gamin de moins de 10 ans à l'ado avide de sexe et d'expériences nouvelles). Donc, du tout grand Zep, même si "Les filles éléctriques" reste à ce jour son moins bon album à mon goût.
L'Âge de raison
Les dessins ne sont pas beaux, même s'ils sont intéressants, et le scénario est plutôt vide. Pourtant, je trouve que cette BD vaut le détour, peut-être en tant que exercice de style plutôt original : l'absence même de dialogue ou de fil directeur permet de mieux suivre encore les tribulations du primitif en vadrouille. Mais bon, c'est vite lu.