Une gentille série d'humour Dupuis sans rien de particulier, scénarisée par l'un des papa du petit Spirou, et dessinée sans grande originalité par un Stuf soigneux et plutôt talentueux dans son genre.
Les histoires sont sympas, les chutes sont souvent drôles, l'idée de base est assez morbide...
Bref, une jolie série, qui passe parfaitement bien dans le journal Spirou mais encore une fois, sans grande surprise. Marrant...
En bouquins (marabout junior), "Bob Morane" a fait réver ma jeunesse. Les B.D. sans doute moins. L'abominable Mr. Ming et ses pouvoirs qui, au fil du temps, sont devenus surnaturels, revient régulièrement. Série inégale, mais qui ne se prend pas au sérieux, et dont les personnages, très typés, sont ausi manichéens... Sauf peut-être la nièce de l'ombre jaune, qui aide en secret B.M. Tous les albums ne sont pas à lire, mais certains font preuve d'une réelle invention.
Albert Weinberg, de l'école belge, est de la génération des Jacobs, Hubinon et Charlier. Le style des aventures est similaire. Série avec de grosses inégalités dans les scénarii, allant du simple pilote d'essai à la science-fiction la plus totale. ( "le maitre du soleil"). Se laisse lire sans être culte. Rien à voir avec le style des B.D. modernes. Un peu de nostalgie...Toutefois, il faut se rendre compte que les histoires sont parfois abracadabrantes, et en voulant se renouveler, A. Weinberg se perd parfois en frôlant l'irréaliste. Mais A. Weinberg est un des derniers "monstres" de le B.D., et en plus quelqu'un de très attachant.Même si tout n'est pas à conserver dans son oeuvre, Dan Cooper ne peut être passé sous silence.
Malgré le graphisme que je trouve parfois imprécis dans les personnages : visages, silhouettes et mouvements, j'ai bien accroché aux dessins, notamment grâce à la mise en couleurs style aquarelle, avec de très beaux rendus. Nous y suivons un professeur dans une Roumanie encore sous l'emprise du régime, lorsqu'il sort de 10 années d'emprisonnement pour un viol qu'il n'a pas commis, sur une étudiante dont il était fort épris. Il veut la retrouver, savoir pourquoi elle l'a piégé.
Politique et sentiments se mêlent, pour un récit tout en subtilité.
Pas un chef d'oeuvre, mais à lire.
Déjà, comme les autres livres de la collection, l'album en lui-même me fascine : grand format, couverture souple et noire avec une superbe illusutration, dessins noirs et blancs avec un superbe rendu.
Mais, contrairement aux autres Chabouté que je connais, celui-ci se révèle aussi passionant par son contenu. Autant l'avouer, sur tout ce que j'ai lu ce mois-ci, c'est là que j'ai le plus pris mon panard.
Le personnage principal est immonde, un fonctionnaire plus que caricatural du raciste, mysogine, et enfoiré de la pire espèce. C'est bien simple, on a envie de le tuer dès la deuxième page. Et là où ce "Pleine Lune" devient un délice, c'est qu'il contient les pires crasses que l'on puisse imaginer, et cela lui arrive, tout en s'enchaînant. Et c'est vraiment jubilatoire.
J'aime beaucoup les traits qui travaillent beaucoup avec les ombres, et la narration jouissive, on sent que l'auteur s'est éclaté en réalisant cet album.
Cependant, petit bémol,je resterai peut-être réservé sur l'achat tout de même, car pour le prix de 18 euros, cela se lit assez vite, et aussi bon que soit le moment qu'il nous fait passer, il ne reste pas impérissable.
A lire en tous les cas.
Un très bon album qui se permet, cerise sur le gateau, une petite révélation finale surprenante.
Avec cette mimolette (N.d. Modo : Ciboulette, banane !), Duffour semble hésiter entre l'absurde et la physique quantique ou entre le délirant et la critique humaine : il y a beaucoup à dire… Avec son dessin simple mais qui fait mouche, Duffour entraîne son lecteur dans un récit dont le tempo va crescendo : parti calmement et de façon conventionnelle, il va peu à peu atteindre des sommets d'agitation et de frénésie rythmique. Au delà de cette vertigineuse ascension qui s'accompagne de personnages et de situations de plus en plus inattendus, on se demande quand même si cela était vraiment nécessaire et surtout : où va t-on ? Car le lecteur s'enfonce de plus en plus profondément dans la lecture des 7 vies du dévoreur d'ombres et ignore jusqu'où cela va le mener. Aussi quand la dernière planche intervient, il se retrouve un peu perplexe, peut-être même déçu ? Ce fut mon cas, et cela m'a laissé une impression mitigée sur cet album.
Car il y a d'évidentes qualités qui rendent la lecture de cette BD vraiment divertissante, joyeuse et même parfois succulente. Le dessin tout d'abord : il s'agit d'un noir et blanc fin, sans fioritures mais très efficace. Les personnages ensuite : tous plein de défauts, de véritables hommes avec leurs travers ou des figures symboliques. Bêtes, dieux, démons, humains et animaux (mythologiques ou non) cohabitent joyeusement dans ce feu d'artifice de non-sens et de théories quantiques que n'aurait certainement pas renié un Marc-Antoine Mathieu. Certaines planches de Duffour sont en effet vraiment réussies, autant par leur dynamisme graphique que par leur interprétation (mythologique, culturelle, religieuse…). La construction sous forme de 7 sous-histoires se suivant et mettant en scène des univers différents (mais complémentaires) qui reprennent les mêmes personnages participent à ce sentiment de rythme effréné. La fin abrupte n'en est que plus étrange…
Série BD effectivement ancienne quoique fournie. L'humour n'y a pas si mal vieilli et les scénarios complètement déjantés y sont pleins de surprises et d'imprévus.
Le dessin est plutôt du genre caricatural pas si désagréable en lui-même. Il est rendu un peu confus par l'abondance de texte par moment ou par l'aspect fouillis de sa composition.
C'est l'humour, l'ironie, le délire qui règnent en maîtres dans chaque album de San-A et ça se retrouve même au niveau visuel.
Je ne trouve pas que ça soit extraordinaire mais bon, ça se lit avec le sourire.
Un achat du festival de Bercy que je ne regrette pas, Jarry est sympa et les dédicaces étaient soignées. Je n'en ai pas eu mais j'ai pas mal discuté avec eux. C'est Arleston qui les a choisis pour une aventure chez Soleil, mais l'éditeur étant trop long à se décider, ils sont allés chez Delcourt (ce qui n'est pas un mal en soi).
Question dédicace j'ai essayé de tricher, une fois un petit mot de Jarry dans l'album j'ai proposé à Elsa qu'elle fasse la couleur (en attendant que G ait terminé son dessin) et que Guillaume dessine par-dessus mais ça n'a pas marché, dommage !
L'ambiance est assez spéciale, un peu vieille Russie et l'histoire est intéressante. On peu déceler des références à "Akira" (le sujet d'experience pas trop contrôlable), "Terminator" (l'invulnérabilité apparente de la sirène), et le style des persos peut faire un chouyat manga.
C'est un premier opus qui mérite le détour et j'envisage de mettre 4 étoiles à la sortie du T2 s'ils persistent dans la qualité de leur travail.
Une très bonne série très sympa, la vie et les réflexions pseudo philosophique de Fernand le vampire, du Sfar dans toute sa splendeur!!!
Pour les dessinsn que dire, c'est ceux de Sfar, très persos, on aime ou on n'aime pas, moi perso j'accroche bien, c'est agréable à suivre et adapté aux thèmes de la série.
Pour le scénario c'est très bien fait, très agréable à lire, Sfar à su créer un univers et une galerie de persos cohérents, intéressants, et attachants. On passe un bon moment en lisant ces albums et c'est bien là l'essentiel !
Une descente aux enfers illustrée intelligement par Chabouté. Les couleurs employées dans l'album (noir, brun, gris... d'ailleurs celles de la couverture ) viennent renforcer l'atmosphère dramatique de ce premier opus.
Aucun humour dans cette BD, mais drame, solitude et angoisse. En outre les visages allongés des principaux protagonistes en font une oeuvre assez noire. Avec un assureur véreux, un expert en assurance compromis , et surtout la malchance, on tombe dans le film "ma petite entreprise"... l'humour en moins. Un premier volume prometteur.
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Passe-moi l'ciel
Une gentille série d'humour Dupuis sans rien de particulier, scénarisée par l'un des papa du petit Spirou, et dessinée sans grande originalité par un Stuf soigneux et plutôt talentueux dans son genre. Les histoires sont sympas, les chutes sont souvent drôles, l'idée de base est assez morbide... Bref, une jolie série, qui passe parfaitement bien dans le journal Spirou mais encore une fois, sans grande surprise. Marrant...
Bob Morane
En bouquins (marabout junior), "Bob Morane" a fait réver ma jeunesse. Les B.D. sans doute moins. L'abominable Mr. Ming et ses pouvoirs qui, au fil du temps, sont devenus surnaturels, revient régulièrement. Série inégale, mais qui ne se prend pas au sérieux, et dont les personnages, très typés, sont ausi manichéens... Sauf peut-être la nièce de l'ombre jaune, qui aide en secret B.M. Tous les albums ne sont pas à lire, mais certains font preuve d'une réelle invention.
Dan Cooper
Albert Weinberg, de l'école belge, est de la génération des Jacobs, Hubinon et Charlier. Le style des aventures est similaire. Série avec de grosses inégalités dans les scénarii, allant du simple pilote d'essai à la science-fiction la plus totale. ( "le maitre du soleil"). Se laisse lire sans être culte. Rien à voir avec le style des B.D. modernes. Un peu de nostalgie...Toutefois, il faut se rendre compte que les histoires sont parfois abracadabrantes, et en voulant se renouveler, A. Weinberg se perd parfois en frôlant l'irréaliste. Mais A. Weinberg est un des derniers "monstres" de le B.D., et en plus quelqu'un de très attachant.Même si tout n'est pas à conserver dans son oeuvre, Dan Cooper ne peut être passé sous silence.
La Fille aux Ibis
Malgré le graphisme que je trouve parfois imprécis dans les personnages : visages, silhouettes et mouvements, j'ai bien accroché aux dessins, notamment grâce à la mise en couleurs style aquarelle, avec de très beaux rendus. Nous y suivons un professeur dans une Roumanie encore sous l'emprise du régime, lorsqu'il sort de 10 années d'emprisonnement pour un viol qu'il n'a pas commis, sur une étudiante dont il était fort épris. Il veut la retrouver, savoir pourquoi elle l'a piégé. Politique et sentiments se mêlent, pour un récit tout en subtilité. Pas un chef d'oeuvre, mais à lire.
Pleine lune
Déjà, comme les autres livres de la collection, l'album en lui-même me fascine : grand format, couverture souple et noire avec une superbe illusutration, dessins noirs et blancs avec un superbe rendu. Mais, contrairement aux autres Chabouté que je connais, celui-ci se révèle aussi passionant par son contenu. Autant l'avouer, sur tout ce que j'ai lu ce mois-ci, c'est là que j'ai le plus pris mon panard. Le personnage principal est immonde, un fonctionnaire plus que caricatural du raciste, mysogine, et enfoiré de la pire espèce. C'est bien simple, on a envie de le tuer dès la deuxième page. Et là où ce "Pleine Lune" devient un délice, c'est qu'il contient les pires crasses que l'on puisse imaginer, et cela lui arrive, tout en s'enchaînant. Et c'est vraiment jubilatoire. J'aime beaucoup les traits qui travaillent beaucoup avec les ombres, et la narration jouissive, on sent que l'auteur s'est éclaté en réalisant cet album. Cependant, petit bémol,je resterai peut-être réservé sur l'achat tout de même, car pour le prix de 18 euros, cela se lit assez vite, et aussi bon que soit le moment qu'il nous fait passer, il ne reste pas impérissable. A lire en tous les cas. Un très bon album qui se permet, cerise sur le gateau, une petite révélation finale surprenante.
Les 7 vies du dévoreur d'ombres
Avec cette mimolette (N.d. Modo : Ciboulette, banane !), Duffour semble hésiter entre l'absurde et la physique quantique ou entre le délirant et la critique humaine : il y a beaucoup à dire… Avec son dessin simple mais qui fait mouche, Duffour entraîne son lecteur dans un récit dont le tempo va crescendo : parti calmement et de façon conventionnelle, il va peu à peu atteindre des sommets d'agitation et de frénésie rythmique. Au delà de cette vertigineuse ascension qui s'accompagne de personnages et de situations de plus en plus inattendus, on se demande quand même si cela était vraiment nécessaire et surtout : où va t-on ? Car le lecteur s'enfonce de plus en plus profondément dans la lecture des 7 vies du dévoreur d'ombres et ignore jusqu'où cela va le mener. Aussi quand la dernière planche intervient, il se retrouve un peu perplexe, peut-être même déçu ? Ce fut mon cas, et cela m'a laissé une impression mitigée sur cet album. Car il y a d'évidentes qualités qui rendent la lecture de cette BD vraiment divertissante, joyeuse et même parfois succulente. Le dessin tout d'abord : il s'agit d'un noir et blanc fin, sans fioritures mais très efficace. Les personnages ensuite : tous plein de défauts, de véritables hommes avec leurs travers ou des figures symboliques. Bêtes, dieux, démons, humains et animaux (mythologiques ou non) cohabitent joyeusement dans ce feu d'artifice de non-sens et de théories quantiques que n'aurait certainement pas renié un Marc-Antoine Mathieu. Certaines planches de Duffour sont en effet vraiment réussies, autant par leur dynamisme graphique que par leur interprétation (mythologique, culturelle, religieuse…). La construction sous forme de 7 sous-histoires se suivant et mettant en scène des univers différents (mais complémentaires) qui reprennent les mêmes personnages participent à ce sentiment de rythme effréné. La fin abrupte n'en est que plus étrange…
Les Aventures du commissaire San-Antonio
Série BD effectivement ancienne quoique fournie. L'humour n'y a pas si mal vieilli et les scénarios complètement déjantés y sont pleins de surprises et d'imprévus. Le dessin est plutôt du genre caricatural pas si désagréable en lui-même. Il est rendu un peu confus par l'abondance de texte par moment ou par l'aspect fouillis de sa composition. C'est l'humour, l'ironie, le délire qui règnent en maîtres dans chaque album de San-A et ça se retrouve même au niveau visuel. Je ne trouve pas que ça soit extraordinaire mais bon, ça se lit avec le sourire.
Les Chroniques de Magon
Un achat du festival de Bercy que je ne regrette pas, Jarry est sympa et les dédicaces étaient soignées. Je n'en ai pas eu mais j'ai pas mal discuté avec eux. C'est Arleston qui les a choisis pour une aventure chez Soleil, mais l'éditeur étant trop long à se décider, ils sont allés chez Delcourt (ce qui n'est pas un mal en soi). Question dédicace j'ai essayé de tricher, une fois un petit mot de Jarry dans l'album j'ai proposé à Elsa qu'elle fasse la couleur (en attendant que G ait terminé son dessin) et que Guillaume dessine par-dessus mais ça n'a pas marché, dommage ! L'ambiance est assez spéciale, un peu vieille Russie et l'histoire est intéressante. On peu déceler des références à "Akira" (le sujet d'experience pas trop contrôlable), "Terminator" (l'invulnérabilité apparente de la sirène), et le style des persos peut faire un chouyat manga. C'est un premier opus qui mérite le détour et j'envisage de mettre 4 étoiles à la sortie du T2 s'ils persistent dans la qualité de leur travail.
Le Bestiaire amoureux (Grand Vampire)
Une très bonne série très sympa, la vie et les réflexions pseudo philosophique de Fernand le vampire, du Sfar dans toute sa splendeur!!! Pour les dessinsn que dire, c'est ceux de Sfar, très persos, on aime ou on n'aime pas, moi perso j'accroche bien, c'est agréable à suivre et adapté aux thèmes de la série. Pour le scénario c'est très bien fait, très agréable à lire, Sfar à su créer un univers et une galerie de persos cohérents, intéressants, et attachants. On passe un bon moment en lisant ces albums et c'est bien là l'essentiel !
Purgatoire
Une descente aux enfers illustrée intelligement par Chabouté. Les couleurs employées dans l'album (noir, brun, gris... d'ailleurs celles de la couverture ) viennent renforcer l'atmosphère dramatique de ce premier opus. Aucun humour dans cette BD, mais drame, solitude et angoisse. En outre les visages allongés des principaux protagonistes en font une oeuvre assez noire. Avec un assureur véreux, un expert en assurance compromis , et surtout la malchance, on tombe dans le film "ma petite entreprise"... l'humour en moins. Un premier volume prometteur.