Ahhh Largo Winch, bel homme, milliardaire en dollars, lui arrivant des aventures réalistes mais peu courantes, vraiment c’est une série que j’ai eu le plaisir de lire. Faire des cycles de deux tomes c’est vraiment sympathique. Aucun regret d’achat même si on pourrait les lire simplement à la bibliothèque. Alors je conseille l’achat par deux de temps à autre. Si vraiment l’histoire vous prend mais sinon lisez-les tout simplement cela vaut le détour sans être une révélation.
XIII le sujet épineux…un début vraiment remarquable car appuyé sur un bon scénario et des personnages que l’on souhaite mieux découvrir, une intrigue passionnante mais... mais (et oui, il y a un mais et de taille pour moi), on sent au bout de quelques tomes que les auteurs ont réellement trouvé la poule aux œufs d’or et que leur but c’est d’en rajouter pour que jamais cela se finisse (et pourtant j'adore Van Hamme)...
C’est pourquoi le 3/5 (et j’hésite avec le 2/5) me parait vraiment gentil de ma part. Je conseille la lecture juste pour dire "je l’ai lu" et savoir de quoi on parle dans une discussion mais en aucun cas l’achat surtout que l’on ne sait pas si cela va se finir un jour...
J’ai acheté cette bd car la couverture m'attraya et bien j'ai eu raison. Une bonne histoire même si coté perso c'est pas encore bien posé, on sait pas trop non plus où va nous mener l'histoire. Au niveau des graphismes c'est très bien fait, les dessins appuient très bien l'histoire et le découpage parfait rend l'action fluide. Le travail de colorisation est assez remarquable et les effets arrivent à bien nous plonger dans le ton de l'histoire.
Pour conclure, sans être exceptionnelle, Okko est une très bonne bd encourageante et j'attends impatiemment la conclusion du premier cycle. Je risque alors d'augmenter ma note.
Je ne connais pas TBC, mais je suis rentré dans cette BD yougoslave sans à priori. Cette chasse à l'homme est assez haletante, on est vraiment dans la peau de cette petite frappe qu'est Lézard, qui ne comprend pas trop ce qui lui arrive, lui qui se trouve malgré lui au coeur de ces conflits d'intérêts. Le dessin est franchement bon, très expressif avec son noir et blanc, et j'ai trouvé très intéressant le fait de ne pas en dire plus que ce qu'apprend Lézard (ou presque).
Cependant, on referme l'album avec un étrange goût d'inachevé, une petite déception par rapport au changement de rythme de la partie finale, peut-être ?
Attention, c'est une BD muette. Tout passe dans le comique (ou pas) de la situation, dans les regards des personnages, l'action omniprésente. Car tout va très vite dans cet album, à tel point que c'en est parfois un tantinet confus. Heureusement que le trait est limpide, rehaussé de trames, et parsemé d’idéogrammes (pour respecter la règle du mutisme). L’histoire délirante, cruelle, noire, dépeint un monde violent et léger à la fois, dans lequel rien ne semble vraiment important. Hollywood Bau est un clip dessiné, une fable gore, menée sur un rythme sans faute, avec brio et insouciance. A mi-chemin entre Tex Avery et certains Tarantino, c'est un thriller nerveux et distrayant.
Un OVNI. Je pense que c'est la meilleure façon de définir ce manga. Ca ne ressemble à rien de connu et on ne peut pas y rester insensible.
Vaguement inspirée de l'histoire de Cendrillon, Junko Mizuno livre là un drôle de cocktail : zombies, pin-ups, stars de rock... Steamboy13 a très bien su saisir ces éléments. On voit que l'auteur est très inspirée par les années 70, avec ses dessins psychédéliques et ses couleurs flashies. D'ailleurs elle se réclame de l'influence d'Osamu Tezuka et de Russ Meyer. On comprend mieux pourquoi ses héroïnes se baladent avec la poitrine dénudée, sans que cela se justifie... ;)
Mais sinon, ça se lit assez bien, c'est divertissant, bien que foutraque.
Un pavé regroupant les sales blagues est disponible, super!
Amis de la poésie et de la finesse, ne vous attardez pas ici.
C'est vraiment particulier, un humour bien gras et "hard-crade", faut aimer.
Je suis assez d'accord avec Alix, ces blagues fonctionnent mieux en BD que racontées autour d'une table.
Les dessins ont un aspect dégueulasse et organique qui colle bien avec les gags.
Bref, on ne peut pas dire que ce soit du haut niveau mais je plaide coupable, ça me fait souvent sourire. Ceci dit de là à en conseiller l'achat...
Douze tomes cela risque d'être fortement indigeste.
Difficile de juger Okko à la lecture de ce premier tome, la mythologie mise en place fonctionne bien et l'histoire décolle vite c'est bien. J'aime aussi le système narratif, par contre pour ce qui est des personnages pour l'instant c'est un peu "léger", mais bon la série débute alors j'espère que ceux-ci vont prendre de l'épaisseur par la suite.
Graphiquement c'est beau et inventif, un univers très bien retranscrit, le travail au niveau des couleurs est remarquable!
Un premier volume qui annonce une série de qualité, vivement le second!
Si il est du même tonneau ma note sera revue à la hausse.
Jolie critique de la religion juive. Quelle bonne idée de nous montrer cela par les yeux d'un chat. Eh oui un chat !!!
Je ne vais pas répéter ce que les autres ont dit alors j'en viens directement à ce qui m'a fait mettre le 3/5 :
- Le dessin c'est du Sfar : on aime ou on n'aime pas mais je trouve qu'il est trop irrégulier. Parfois les cases sont vraiment belles mais à d'autres moments, ça frôle le moche...
- Le scénario que je trouvais génial dans le tome 1 baisse de niveau dès le tome 2 et c'est bien dommage. La critique est moins évidente et l'histoire moins captivante.
Ceci dit ne vous y trompez pas, "Le chat du rabbin" est une BD qui mérite d'être lue.
Calmos les "enfants", nous avons là un album très agréable mais pas de quoi se pâmer de la sorte voyons !
C'est la première fois que je lis un album de Nicolas De Crécy, mais je pense que je vais creuser un peu sur cet auteur qui semble être quand même bien déjanté.
Oui, ce premier tome de Salvatore est un album déjanté, parfois proche du grand n'importe quoi, mais qui reste quand même très calme, très maîtrisé. Du coup, je n'ai pas franchement ri en lisant, mais le sourire ne m'a pas laché ;)
On verra ce que donne la suite... ça m'intrigue pas mal...
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Largo Winch
Ahhh Largo Winch, bel homme, milliardaire en dollars, lui arrivant des aventures réalistes mais peu courantes, vraiment c’est une série que j’ai eu le plaisir de lire. Faire des cycles de deux tomes c’est vraiment sympathique. Aucun regret d’achat même si on pourrait les lire simplement à la bibliothèque. Alors je conseille l’achat par deux de temps à autre. Si vraiment l’histoire vous prend mais sinon lisez-les tout simplement cela vaut le détour sans être une révélation.
XIII
XIII le sujet épineux…un début vraiment remarquable car appuyé sur un bon scénario et des personnages que l’on souhaite mieux découvrir, une intrigue passionnante mais... mais (et oui, il y a un mais et de taille pour moi), on sent au bout de quelques tomes que les auteurs ont réellement trouvé la poule aux œufs d’or et que leur but c’est d’en rajouter pour que jamais cela se finisse (et pourtant j'adore Van Hamme)... C’est pourquoi le 3/5 (et j’hésite avec le 2/5) me parait vraiment gentil de ma part. Je conseille la lecture juste pour dire "je l’ai lu" et savoir de quoi on parle dans une discussion mais en aucun cas l’achat surtout que l’on ne sait pas si cela va se finir un jour...
Okko
J’ai acheté cette bd car la couverture m'attraya et bien j'ai eu raison. Une bonne histoire même si coté perso c'est pas encore bien posé, on sait pas trop non plus où va nous mener l'histoire. Au niveau des graphismes c'est très bien fait, les dessins appuient très bien l'histoire et le découpage parfait rend l'action fluide. Le travail de colorisation est assez remarquable et les effets arrivent à bien nous plonger dans le ton de l'histoire. Pour conclure, sans être exceptionnelle, Okko est une très bonne bd encourageante et j'attends impatiemment la conclusion du premier cycle. Je risque alors d'augmenter ma note.
La Cavale de Lézard
Je ne connais pas TBC, mais je suis rentré dans cette BD yougoslave sans à priori. Cette chasse à l'homme est assez haletante, on est vraiment dans la peau de cette petite frappe qu'est Lézard, qui ne comprend pas trop ce qui lui arrive, lui qui se trouve malgré lui au coeur de ces conflits d'intérêts. Le dessin est franchement bon, très expressif avec son noir et blanc, et j'ai trouvé très intéressant le fait de ne pas en dire plus que ce qu'apprend Lézard (ou presque). Cependant, on referme l'album avec un étrange goût d'inachevé, une petite déception par rapport au changement de rythme de la partie finale, peut-être ?
Hollywood Bau
Attention, c'est une BD muette. Tout passe dans le comique (ou pas) de la situation, dans les regards des personnages, l'action omniprésente. Car tout va très vite dans cet album, à tel point que c'en est parfois un tantinet confus. Heureusement que le trait est limpide, rehaussé de trames, et parsemé d’idéogrammes (pour respecter la règle du mutisme). L’histoire délirante, cruelle, noire, dépeint un monde violent et léger à la fois, dans lequel rien ne semble vraiment important. Hollywood Bau est un clip dessiné, une fable gore, menée sur un rythme sans faute, avec brio et insouciance. A mi-chemin entre Tex Avery et certains Tarantino, c'est un thriller nerveux et distrayant.
Cinderalla
Un OVNI. Je pense que c'est la meilleure façon de définir ce manga. Ca ne ressemble à rien de connu et on ne peut pas y rester insensible. Vaguement inspirée de l'histoire de Cendrillon, Junko Mizuno livre là un drôle de cocktail : zombies, pin-ups, stars de rock... Steamboy13 a très bien su saisir ces éléments. On voit que l'auteur est très inspirée par les années 70, avec ses dessins psychédéliques et ses couleurs flashies. D'ailleurs elle se réclame de l'influence d'Osamu Tezuka et de Russ Meyer. On comprend mieux pourquoi ses héroïnes se baladent avec la poitrine dénudée, sans que cela se justifie... ;) Mais sinon, ça se lit assez bien, c'est divertissant, bien que foutraque.
Les Sales Blagues de l'Echo
Un pavé regroupant les sales blagues est disponible, super! Amis de la poésie et de la finesse, ne vous attardez pas ici. C'est vraiment particulier, un humour bien gras et "hard-crade", faut aimer. Je suis assez d'accord avec Alix, ces blagues fonctionnent mieux en BD que racontées autour d'une table. Les dessins ont un aspect dégueulasse et organique qui colle bien avec les gags. Bref, on ne peut pas dire que ce soit du haut niveau mais je plaide coupable, ça me fait souvent sourire. Ceci dit de là à en conseiller l'achat... Douze tomes cela risque d'être fortement indigeste.
Okko
Difficile de juger Okko à la lecture de ce premier tome, la mythologie mise en place fonctionne bien et l'histoire décolle vite c'est bien. J'aime aussi le système narratif, par contre pour ce qui est des personnages pour l'instant c'est un peu "léger", mais bon la série débute alors j'espère que ceux-ci vont prendre de l'épaisseur par la suite. Graphiquement c'est beau et inventif, un univers très bien retranscrit, le travail au niveau des couleurs est remarquable! Un premier volume qui annonce une série de qualité, vivement le second! Si il est du même tonneau ma note sera revue à la hausse.
Le Chat du Rabbin
Jolie critique de la religion juive. Quelle bonne idée de nous montrer cela par les yeux d'un chat. Eh oui un chat !!! Je ne vais pas répéter ce que les autres ont dit alors j'en viens directement à ce qui m'a fait mettre le 3/5 : - Le dessin c'est du Sfar : on aime ou on n'aime pas mais je trouve qu'il est trop irrégulier. Parfois les cases sont vraiment belles mais à d'autres moments, ça frôle le moche... - Le scénario que je trouvais génial dans le tome 1 baisse de niveau dès le tome 2 et c'est bien dommage. La critique est moins évidente et l'histoire moins captivante. Ceci dit ne vous y trompez pas, "Le chat du rabbin" est une BD qui mérite d'être lue.
Salvatore
Calmos les "enfants", nous avons là un album très agréable mais pas de quoi se pâmer de la sorte voyons ! C'est la première fois que je lis un album de Nicolas De Crécy, mais je pense que je vais creuser un peu sur cet auteur qui semble être quand même bien déjanté. Oui, ce premier tome de Salvatore est un album déjanté, parfois proche du grand n'importe quoi, mais qui reste quand même très calme, très maîtrisé. Du coup, je n'ai pas franchement ri en lisant, mais le sourire ne m'a pas laché ;) On verra ce que donne la suite... ça m'intrigue pas mal...