Un rapide coup d’oeil chez mon libraire m’avait fait aussitôt reposer cette bd. Mais l’avis enthousiaste de ThePatrick et l’intérêt d’Elveen pour cette bd ont attisé ma curiosité.
Tout comme Kael, cet album m’a laissé sur une bonne impression sans pour autant crier au génie. "Salvatore" vaut surtout le détour pour sa narration, fraîche et légère, et les quelques notes d’humour parsemées de ci de là, rendant la lecture agréable. Le ton adopté par De Crécy est donc bien à propos. Toutefois, l’histoire en tant que telle, creuse par moment, m’a nettement moins intéressée. Quant aux dessins, le trait à main levée volontairement tremblotant est justement ce qui m’avait freiné au début. Finalement, je trouve ce style bien adapté à l’histoire.
Je ne savais pas que cette BD allait sortir, aussi c'est avec surprise que je l'ai découverte sur les étagères de ma librairie. En l'ouvrant, j'avais aussi quelques appréhensions :
- est-ce que ça allait être une nouvelle adaptation BD comme les récentes adaptations de mauvaises séries télés ?
- est-ce que l'humour de Naheulbeuk allait bien passer en BD ?
- ayant vu les différentes BDs ou dessins déjà diffusés sur le net en rapport avec Naheulbeuk, est-ce que cette BD là n'allait pas faire trop amateur ?
Eh bien, non ! Je trouve cette adaptation brillamment réussie.
On retrouve le scénario quasiment exact de la série (avec quelques adaptations évidemment). Le dessin fait un peu amateur mais passe bien au bout de quelques planches et se révèle parfois très sympa, même avec ces couleurs informatisées que d'habitude je n'aime pas.
On retrouve nos personnages préférés : le voleur malheureux, la tapette d'elfe, le nain elfophobe, la magicienne qui ne connait que des sorts de niveau 1, le barbare qui semble avoir subi une telle trépanation qu'il ne lui reste que le mot "Baston" en tête, et enfin l'ogre au caractère et à l'élégance incontestables.
Et mine de rien, l'humour passe assez bien en BD. Autant dans la version audio, j'avais parfois un peu de mal à suivre certaines paroles ou des jeux de mots ou blagues noyés dans le flot de paroles, autant ici, on n'en loupe aucune et je dois avoir m'être bien marré en lisant.
Bon, il y a bien quelques défauts : l'encrage est un peu hésitant et rappelle parfois trop le côté un peu amateur du dessin, et la narration est parfois un peu abrupte et certaines transitions ne passent pas complètement. En outre, certains dialogues et gags assez auditifs ne passent pas toujours bien à l'écrit.
Mais malgré ces petits défauts, c'est aussi frais et sympa que la version connue sur le Net et franchement c'est une lecture qui se fait avec plaisir.
Pas trop mal ce spin off en fait. Ah, c'est sur que niveau dessin, on est bien loin du grand Ledroit et de ses couleurs éclatantes. Par contre niveau scénar, je ne considère pas l'histoire originale comme géniale donc malgré quelques incohérences, le scénario de Mills est de bonne facture. De toute façon, son spin off ne pouvait être que réussi à partir du moment où il a décidé de le centrer sur la callipyge et cruelle Claudia, d'assez loin le personnage le plus intéressant du cycle mère je trouve. On ne peut pas dire que l'attente pour lire le deuxième tome sera insupportable mais la lecture se fera avec plaisir en ce qui me concerne.
Un gros coup de coeur également pour les dessins ! Les tons monochromatiques des planches concourent effectivement à rendre l’atmosphère du récit oppressante. On assiste à la lente déchéance d’un groupe de rescapés confinés sur une embarcation. La narration est assez lente et de nombreux points restent obscurs. Mais ce n’est qu’un premier tome. Nul doute que les zones d’ombres vont se décanter par la suite. La lenteur du récit, quant à elle, n’est pas anodine puisqu’elle ajoute un poids supplémentaire à une ambiance déjà pesante. Cela reste une bd très particulière mais pour laquelle j’ai suffisamment d’accroches pour continuer à la lire. Je reste donc confiant pour la suite, les scénarios précédents de Mosdi m’ayant toujours donné satisfaction (revirements de situations intéressants). A confirmer néanmoins avec le deuxième tome! ;)
Le Western est un genre que j’affectionne particulièrement. Je qualifierai "Chiens de Prairie" d’honnête one shot du genre. Certes, le trait de Berthet n’est pas mon préféré (trop lisse) mais force est de reconnaître qu’il convient à cette histoire où, comme le précise Ro, quelques grandes figures font leur apparition (Calamity, le juge Wallace ou encore Wild Bill). Toutefois, le récit est centralisé autour de J.B. Bone. D’ailleurs, les scènes d’action se font rares au profit de la personnalité de J.B. fortement développée (notamment grâce à la présence du petit garçon "sourd et muet"). Je trouve l’histoire un tantinet longuet mais le petit revirement de situation de la fin vient ponctuer ce récit comme il le faut pour ne pas rester sur une impression mitigée.
Sans doute pas un album à conseiller en premier pour celui qui veut s’essayer à ce genre mais il devrait contenter le lecteur "westernophile".
Enième histoire de haine/passion entre un flic et un parrain, Des Eclats de Nuit propose une certaine originalité dans le côté sado-masochiste du flic, mais aussi dans l'acharnement des protagonistes pour éliminer sauvagement les gêneurs. Le scénario est noir, désespéré, et réhaussé par le dessin poisseux et noir & blanc de Lanzi. Curieusement, ce dessinateur n'a rien sorti d'autre en France. Dommage, car il a un certain talent pour croquer des gueules cassées, des scènes coups de poing.
Un polar à lire à l'occasion.
Fouyaya que c'est beau!!! Fut ma première impression en jetant les yeux sur cet album conseillé par ma libraire...
Et Dieu sait que c'est beau, les illustrations sont vraiment magnifiques et nous entraînent dans une ambiance très triste mais très douce a la fois, la douceur des bras d'une mère, la douceur de son amour. Et c'est vraiment cette douceur alliée à la tristesse de cet album qui en font le grand intérêt.
Que de sentiments éprouvés par cette mère, mais que de désarroi aussi.
Seul petit point noir la rapidité de lecture (plus de soixante pages lues en moins de 15 min c'est dommage). Mais encore une fois l'intérêt n'est pas tant dans le scénario que dans les sentiments dégagés par le dessin.
Histoire plutôt sympa. Le principal reproche est pour moi le titre de cette Bd : « coma », beaucoup trop révélateur à mon goût.
J’ai lu les deux premiers albums et je ne continuerai pas. Je pense que notre auteur a bien fait le tour de la question en 2 albums.
Bravo pour les dessins de la forêt en général
Je ne conseille pas forcément l’achat, je ne suis pas sure de relire ces albums plusieurs fois de suite avec le même intérêt.
L'histoire de Borgia est plutôt basique pour l'instant, en fait cela va droit au but sans ambiguïtés, au niveau des personnages ceux qui ont l'air sadiques ou méchants le sont vraiment, il n'y a pas de fioritures.
Les scènes chocs sont présentes et vont bien avec le récit, parfois cela fait même sourire.
Les dessins de Manara sont comme d'habitude, (du moins pour ce que j'en sais) très soignés et très agréables à contempler, surtout les femmes. Et c'est tant mieux, même si ce n'est pas une BD érotique les scènes de nu ne manquent pas. Les couleurs pour ma part je les trouve plus que bien, certaines cases sont de vrais tableaux.
Un bon album qui ne se contente pas d'être un tome de mise en situation, pas mal d'évènements s'y déroulent c'est un bon point. J'attends donc la suite pour voir si ça ne va pas tomber dans l'exagération au niveau des passages un peu hard, même si c'est logique d'en trouver dans ce type de BD, j'espère aussi que les personnages seront un peu plus nuancés.
Une dernière chose, en ce qui me concerne je trouve la couverture plutôt pas mal.
Plutôt pas mal pour tous ceux qui sont fans d’histoire de chasse aux sorcières. Cette BD historique nous raconte comment sous la douleur (la question) quelqu’un pouvait accuser la première venue de suppôt de Satan. Aussi le moindre ragot ou suspicion à propos d’une femme seule pouvait la faire chavirer du coté des femmes à brûler.
Le scénario est pas mal, par contre j’ai un peu de mal avec le dessin, qui a un coté jeune dessinateur, pas expérimenté.
Il est vrai que j’ai pris cette BD suite à une dédicace que m’a faite Monsieur Seiter sur mon dernier Fog. Bon sans cela je n’aurais pas acheté cette BD, ben oui, faut faire plaisir de tps en tps…
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Salvatore
Un rapide coup d’oeil chez mon libraire m’avait fait aussitôt reposer cette bd. Mais l’avis enthousiaste de ThePatrick et l’intérêt d’Elveen pour cette bd ont attisé ma curiosité. Tout comme Kael, cet album m’a laissé sur une bonne impression sans pour autant crier au génie. "Salvatore" vaut surtout le détour pour sa narration, fraîche et légère, et les quelques notes d’humour parsemées de ci de là, rendant la lecture agréable. Le ton adopté par De Crécy est donc bien à propos. Toutefois, l’histoire en tant que telle, creuse par moment, m’a nettement moins intéressée. Quant aux dessins, le trait à main levée volontairement tremblotant est justement ce qui m’avait freiné au début. Finalement, je trouve ce style bien adapté à l’histoire.
Le Donjon de Naheulbeuk
Je ne savais pas que cette BD allait sortir, aussi c'est avec surprise que je l'ai découverte sur les étagères de ma librairie. En l'ouvrant, j'avais aussi quelques appréhensions : - est-ce que ça allait être une nouvelle adaptation BD comme les récentes adaptations de mauvaises séries télés ? - est-ce que l'humour de Naheulbeuk allait bien passer en BD ? - ayant vu les différentes BDs ou dessins déjà diffusés sur le net en rapport avec Naheulbeuk, est-ce que cette BD là n'allait pas faire trop amateur ? Eh bien, non ! Je trouve cette adaptation brillamment réussie. On retrouve le scénario quasiment exact de la série (avec quelques adaptations évidemment). Le dessin fait un peu amateur mais passe bien au bout de quelques planches et se révèle parfois très sympa, même avec ces couleurs informatisées que d'habitude je n'aime pas. On retrouve nos personnages préférés : le voleur malheureux, la tapette d'elfe, le nain elfophobe, la magicienne qui ne connait que des sorts de niveau 1, le barbare qui semble avoir subi une telle trépanation qu'il ne lui reste que le mot "Baston" en tête, et enfin l'ogre au caractère et à l'élégance incontestables. Et mine de rien, l'humour passe assez bien en BD. Autant dans la version audio, j'avais parfois un peu de mal à suivre certaines paroles ou des jeux de mots ou blagues noyés dans le flot de paroles, autant ici, on n'en loupe aucune et je dois avoir m'être bien marré en lisant. Bon, il y a bien quelques défauts : l'encrage est un peu hésitant et rappelle parfois trop le côté un peu amateur du dessin, et la narration est parfois un peu abrupte et certaines transitions ne passent pas complètement. En outre, certains dialogues et gags assez auditifs ne passent pas toujours bien à l'écrit. Mais malgré ces petits défauts, c'est aussi frais et sympa que la version connue sur le Net et franchement c'est une lecture qui se fait avec plaisir.
Claudia - Chevalier Vampire
Pas trop mal ce spin off en fait. Ah, c'est sur que niveau dessin, on est bien loin du grand Ledroit et de ses couleurs éclatantes. Par contre niveau scénar, je ne considère pas l'histoire originale comme géniale donc malgré quelques incohérences, le scénario de Mills est de bonne facture. De toute façon, son spin off ne pouvait être que réussi à partir du moment où il a décidé de le centrer sur la callipyge et cruelle Claudia, d'assez loin le personnage le plus intéressant du cycle mère je trouve. On ne peut pas dire que l'attente pour lire le deuxième tome sera insupportable mais la lecture se fera avec plaisir en ce qui me concerne.
Felicidad
Un gros coup de coeur également pour les dessins ! Les tons monochromatiques des planches concourent effectivement à rendre l’atmosphère du récit oppressante. On assiste à la lente déchéance d’un groupe de rescapés confinés sur une embarcation. La narration est assez lente et de nombreux points restent obscurs. Mais ce n’est qu’un premier tome. Nul doute que les zones d’ombres vont se décanter par la suite. La lenteur du récit, quant à elle, n’est pas anodine puisqu’elle ajoute un poids supplémentaire à une ambiance déjà pesante. Cela reste une bd très particulière mais pour laquelle j’ai suffisamment d’accroches pour continuer à la lire. Je reste donc confiant pour la suite, les scénarios précédents de Mosdi m’ayant toujours donné satisfaction (revirements de situations intéressants). A confirmer néanmoins avec le deuxième tome! ;)
Chiens de prairie
Le Western est un genre que j’affectionne particulièrement. Je qualifierai "Chiens de Prairie" d’honnête one shot du genre. Certes, le trait de Berthet n’est pas mon préféré (trop lisse) mais force est de reconnaître qu’il convient à cette histoire où, comme le précise Ro, quelques grandes figures font leur apparition (Calamity, le juge Wallace ou encore Wild Bill). Toutefois, le récit est centralisé autour de J.B. Bone. D’ailleurs, les scènes d’action se font rares au profit de la personnalité de J.B. fortement développée (notamment grâce à la présence du petit garçon "sourd et muet"). Je trouve l’histoire un tantinet longuet mais le petit revirement de situation de la fin vient ponctuer ce récit comme il le faut pour ne pas rester sur une impression mitigée. Sans doute pas un album à conseiller en premier pour celui qui veut s’essayer à ce genre mais il devrait contenter le lecteur "westernophile".
Des éclats de nuit
Enième histoire de haine/passion entre un flic et un parrain, Des Eclats de Nuit propose une certaine originalité dans le côté sado-masochiste du flic, mais aussi dans l'acharnement des protagonistes pour éliminer sauvagement les gêneurs. Le scénario est noir, désespéré, et réhaussé par le dessin poisseux et noir & blanc de Lanzi. Curieusement, ce dessinateur n'a rien sorti d'autre en France. Dommage, car il a un certain talent pour croquer des gueules cassées, des scènes coups de poing. Un polar à lire à l'occasion.
L'Histoire d'une mère
Fouyaya que c'est beau!!! Fut ma première impression en jetant les yeux sur cet album conseillé par ma libraire... Et Dieu sait que c'est beau, les illustrations sont vraiment magnifiques et nous entraînent dans une ambiance très triste mais très douce a la fois, la douceur des bras d'une mère, la douceur de son amour. Et c'est vraiment cette douceur alliée à la tristesse de cet album qui en font le grand intérêt. Que de sentiments éprouvés par cette mère, mais que de désarroi aussi. Seul petit point noir la rapidité de lecture (plus de soixante pages lues en moins de 15 min c'est dommage). Mais encore une fois l'intérêt n'est pas tant dans le scénario que dans les sentiments dégagés par le dessin.
Coma
Histoire plutôt sympa. Le principal reproche est pour moi le titre de cette Bd : « coma », beaucoup trop révélateur à mon goût. J’ai lu les deux premiers albums et je ne continuerai pas. Je pense que notre auteur a bien fait le tour de la question en 2 albums. Bravo pour les dessins de la forêt en général Je ne conseille pas forcément l’achat, je ne suis pas sure de relire ces albums plusieurs fois de suite avec le même intérêt.
Borgia
L'histoire de Borgia est plutôt basique pour l'instant, en fait cela va droit au but sans ambiguïtés, au niveau des personnages ceux qui ont l'air sadiques ou méchants le sont vraiment, il n'y a pas de fioritures. Les scènes chocs sont présentes et vont bien avec le récit, parfois cela fait même sourire. Les dessins de Manara sont comme d'habitude, (du moins pour ce que j'en sais) très soignés et très agréables à contempler, surtout les femmes. Et c'est tant mieux, même si ce n'est pas une BD érotique les scènes de nu ne manquent pas. Les couleurs pour ma part je les trouve plus que bien, certaines cases sont de vrais tableaux. Un bon album qui ne se contente pas d'être un tome de mise en situation, pas mal d'évènements s'y déroulent c'est un bon point. J'attends donc la suite pour voir si ça ne va pas tomber dans l'exagération au niveau des passages un peu hard, même si c'est logique d'en trouver dans ce type de BD, j'espère aussi que les personnages seront un peu plus nuancés. Une dernière chose, en ce qui me concerne je trouve la couverture plutôt pas mal.
Sorcières (La Sorcière de Bergheim)
Plutôt pas mal pour tous ceux qui sont fans d’histoire de chasse aux sorcières. Cette BD historique nous raconte comment sous la douleur (la question) quelqu’un pouvait accuser la première venue de suppôt de Satan. Aussi le moindre ragot ou suspicion à propos d’une femme seule pouvait la faire chavirer du coté des femmes à brûler. Le scénario est pas mal, par contre j’ai un peu de mal avec le dessin, qui a un coté jeune dessinateur, pas expérimenté. Il est vrai que j’ai pris cette BD suite à une dédicace que m’a faite Monsieur Seiter sur mon dernier Fog. Bon sans cela je n’aurais pas acheté cette BD, ben oui, faut faire plaisir de tps en tps…