Un bon 3,5. Cet album raconte sous forme de chapitres dans la vie de Mickey Loverose différentes petites histoires, à caractère parfois très nettement fantastique, souvent humoristique, et toujours à la fois (très gentiment) érotique et poétique. Le dessin de Will est pour beaucoup dans cet aspect de poésie un peu surannée : effectivement très typé vieille bd franco-belge, tout à l'aquarelle, il est vraiment beau à contempler et affirme le caractère un peu mélancolique/nostalgique de l'album.
Léger et raffiné à sa manière, clairement plus érotique dans l'esprit plus que dans les scènes, j'ai vraiment bien aimé "Le jardin des désirs".
C’est un bon album porno, pas de doutes. Les différentes scènes sont variées et sans qu’elles soient originales, elles réussissent à captiver le lecteur. Mancini a un sacré coup de crayon, chaque planche est détaillée au possible, même les scènes les plus anodines.
En fait, cette BD a deux grands défauts :
- Mancini a cherché à faire une véritable histoire, au détriment des scènes de cul. Ca perd en intensité… (il y a parfois 3 ou 4 pages sans sexe ! l’horreur… lol)
- le vocabulaire employé rend la lecture poussive et souvent ridicule (« souffrez madame que je vous inonde de ma royal liqueur », c’est à mourir de rire !), c’est dommage, ça casse tout.
C’est un peu dommage, parce qu’il y a un réel talent graphique dans cet auteur…
(à noter une scène gay très correcte, même si perso elle m’a plus saoulé qu’autre chose)
Une BD vraiment hard de Jacobsen, remplie de seins monstrueux qui filent un peu le dégoût parfois, de scènes tellement orgiaques qu’on peine à les croire un tant soit peu réelles, ce qui provoque une lecture assez détachée et finalement plutôt marrante. Le dessin est super classique mais plutôt agréable mais la manière d’appréhender le sexe de Jacobsen dans « Miss Buterfly » est à la fois trop extrême et trop second degré pour vraiment séduire.
Dany a un excellent coup de crayon pour rendre des formes féminines entêtantes, et quand il dévoile de véritables illustrations au fil des pages, le mâle moyen (et obsédé) ne peut être qu'admiratif (il peut accessoirement essuyer le filet de bave qui lui coule au coin des lèvres). Les blagues rapportées ici sont pour la plupart archi-connues, nul doute que ces albums y soient pour beaucoup. Toutes ne sont pas excellentes, et répétition et lassitude guettent clairement au bout de quelques tomes. Mais tout ça est tellement... non, pas "bon enfant", car l'érotisme est vraiment présent, mais c'est présenté avec tellement de naturel, le dessin est si joli, qu'on ne peut s'empêcher de sourire et d'admirer.
Le dessin est moins plaisant que dans d’autres bouquins de Morale mais reste assez séduisant dans son classicisme. L’histoire est quand même moins hard que le titre ne pourrait le laisser penser, sous fond de pseudo enquête policière qui n’apporte pas grand chose à l’ensemble, sans pour autant gâcher vraiment quoi que ce soit.
Ah ah ! Ce truc est complètement con. :)
L'aspect "cul" (ce n'est ni vraiment érotique ni pornographique, contrairement aux animes qui eux sont plutôt hards) est relativement bien intégré à l'histoire. Disons que tout le scénario est basé dessus, avec une logique parfois bonne et parfois un peu plus floue. Par exemple les démons font des humains (enfin, des humaines, surtout) leurs esclaves en copulant sauvagement avec eux, tous tentacules dehors. C'est plutôt vaguement répugnant, mais s'il y a effectivement viol, la violence elle est très limitée. Ca ne dédouane évidemment pas l'acte, mais ça amoindrit son impact à la lecture. Et puis bon, c'est pas une série profonde (certaines gorges exceptées), c'est surtout un gros nanar fait pour distraire, du fantastique/aventure dont la particularité est d'être beaucoup basé sur le cul.
Le dessin est étonnament bon... Pas de doute, l'auteur maîtrise bien l'aspect technique ! Après, les choix esthétiques plaisent parfois, et déplaisent d'autres.
J'ai vraiment bien aimé le premier tome (pour l'aspect nanar), mais la suite s'enlise malheureusement très vite. L'histoire s'épuise, dure, ne va nulle part. En plus les cinq tomes parus à ce jour sont restés sans suite, on ne connaîtra donc peut-être jamais la fin. Quant à l'acheter au prix fort, non.
A vrai dire, ces BDs ressemblent à s'y méprendre aux Or-Séries que Fluide Glacial publie d'habitude en format magazine, sauf que là, c'est sous une couverture cartonnée et bien solide. Le contenu est quasiment identique à ces hors-séries : une suite d'histoires courtes ou de gags en une page entrecoupés parfois de textes délirants et humoristiques. Tout le monde s'y colle, des anciens de la maison Fluide comme Maester, Léandri ou le regretté Moerell jusqu'aux plus inconnus des petits nouveaux. Les niveaux de chaque histoire sont très variables allant du purement hilarant jusqu'au très décevant, mais dans l'ensemble, c'est un agréable moment que j'ai passé à la lecture de chacun de ces albums un peu spéciaux.
En outre, le contenu est dense et pour un tel prix, disons que c'est de l'humour dont je ne vois pas pourquoi je me priverais.
Avec une couverture et un titre comme ça, impossible de ne pas ouvrir ce livre pour voir ce qu'il renferme !
On se rend vite compte que c'est du comics dans la plus pure tradition : des couleurs à l'informatique assez froides mais qui participent idéalement à l'ambiance, un dessin sans véritable personnalité même s'il est franchement bien maîtrisé. Jusque là, rien d'exceptionnel me direz-vous ? Vous êtes un peu difficiles, parce que moi, j'ai très vite eu envie de lire cet album !
Oui mais en fait, ce one-shot se révèle être plein de (bonnes) surprises ! Le scénario qui paraît de prime abord assez classique est rondement mené, chaque scène ayant son utilité dans cette BD où l'action est omniprésente. Pas de pertes de temps inutiles, on entre très vite dans le vif du sujet pour n'en sortir qu'à la dernière page, les 100 pages (ou presque) étant très denses. Pas de doute, ce n'est pas un simple polar sans saveur ni surprises !
Une BD qui devrait sans aucun doute ravir les fans habituels de comics :)
Note approximative : 2.5/5
Mot est un bon gros monstre gentil qui déboule dans la vie d'un gamin. Bon, évidemment, avec sa taille et son tact, il a tendance à tout casser et à se mêler de tout. Mais d'un autre côté, il est capable d'emmener Léo et ses amis dans des voyages de par le monde et dans le temps pour vivre des aventures délirantes et endiablées.
Délirante, cette série l'est un peu. Les scénarios sont parfois un peu du grand n'importe quoi légèrement parodique, mais l'ambiance n'en est pas désagréable.
C'est surtout le dessin d'Azpiri qui est intéressant ici. Il est plutôt bon, et bien rendu par des couleurs super flashy mais qui collent bien avec le tout.
Les histoires ne sont pas totalement captivantes, la narration un peu fouillis, l'humour pas toujours extra, mais bon, ça reste une série assez sympa et pas prise de tête.
Après la lecture du premier tome, je reste assez dubitatif. Certes, l’atmosphère du récit me plait, tout comme le rendu des planches. L’intérêt porté à cette série réside dans le "fantastique", moteur du récit sur laquelle repose l’intrigue. En outre, ce côté mystérieux et fantastique de l’histoire est ponctué par une touche d’humour bien à propos avec les deux enquêteurs anglais bêtes et maladroits. Toutefois, le final est quelque peu frustrant par cette enquête qui semble inachevée. L’intérêt de cet opus s’amenuise donc à cause du "moteur du récit" qui vient à s'essouffler.
Une histoire en demi-teinte.
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Le jardin des désirs
Un bon 3,5. Cet album raconte sous forme de chapitres dans la vie de Mickey Loverose différentes petites histoires, à caractère parfois très nettement fantastique, souvent humoristique, et toujours à la fois (très gentiment) érotique et poétique. Le dessin de Will est pour beaucoup dans cet aspect de poésie un peu surannée : effectivement très typé vieille bd franco-belge, tout à l'aquarelle, il est vraiment beau à contempler et affirme le caractère un peu mélancolique/nostalgique de l'album. Léger et raffiné à sa manière, clairement plus érotique dans l'esprit plus que dans les scènes, j'ai vraiment bien aimé "Le jardin des désirs".
Les trois mousquetaires
C’est un bon album porno, pas de doutes. Les différentes scènes sont variées et sans qu’elles soient originales, elles réussissent à captiver le lecteur. Mancini a un sacré coup de crayon, chaque planche est détaillée au possible, même les scènes les plus anodines. En fait, cette BD a deux grands défauts : - Mancini a cherché à faire une véritable histoire, au détriment des scènes de cul. Ca perd en intensité… (il y a parfois 3 ou 4 pages sans sexe ! l’horreur… lol) - le vocabulaire employé rend la lecture poussive et souvent ridicule (« souffrez madame que je vous inonde de ma royal liqueur », c’est à mourir de rire !), c’est dommage, ça casse tout. C’est un peu dommage, parce qu’il y a un réel talent graphique dans cet auteur… (à noter une scène gay très correcte, même si perso elle m’a plus saoulé qu’autre chose)
Miss Butterfly
Une BD vraiment hard de Jacobsen, remplie de seins monstrueux qui filent un peu le dégoût parfois, de scènes tellement orgiaques qu’on peine à les croire un tant soit peu réelles, ce qui provoque une lecture assez détachée et finalement plutôt marrante. Le dessin est super classique mais plutôt agréable mais la manière d’appréhender le sexe de Jacobsen dans « Miss Buterfly » est à la fois trop extrême et trop second degré pour vraiment séduire.
Ca vous intéresse ? (Juste pour rire)
Dany a un excellent coup de crayon pour rendre des formes féminines entêtantes, et quand il dévoile de véritables illustrations au fil des pages, le mâle moyen (et obsédé) ne peut être qu'admiratif (il peut accessoirement essuyer le filet de bave qui lui coule au coin des lèvres). Les blagues rapportées ici sont pour la plupart archi-connues, nul doute que ces albums y soient pour beaucoup. Toutes ne sont pas excellentes, et répétition et lassitude guettent clairement au bout de quelques tomes. Mais tout ça est tellement... non, pas "bon enfant", car l'érotisme est vraiment présent, mais c'est présenté avec tellement de naturel, le dessin est si joli, qu'on ne peut s'empêcher de sourire et d'admirer.
Profession esclave
Le dessin est moins plaisant que dans d’autres bouquins de Morale mais reste assez séduisant dans son classicisme. L’histoire est quand même moins hard que le titre ne pourrait le laisser penser, sous fond de pseudo enquête policière qui n’apporte pas grand chose à l’ensemble, sans pour autant gâcher vraiment quoi que ce soit.
Urotsukidoji
Ah ah ! Ce truc est complètement con. :) L'aspect "cul" (ce n'est ni vraiment érotique ni pornographique, contrairement aux animes qui eux sont plutôt hards) est relativement bien intégré à l'histoire. Disons que tout le scénario est basé dessus, avec une logique parfois bonne et parfois un peu plus floue. Par exemple les démons font des humains (enfin, des humaines, surtout) leurs esclaves en copulant sauvagement avec eux, tous tentacules dehors. C'est plutôt vaguement répugnant, mais s'il y a effectivement viol, la violence elle est très limitée. Ca ne dédouane évidemment pas l'acte, mais ça amoindrit son impact à la lecture. Et puis bon, c'est pas une série profonde (certaines gorges exceptées), c'est surtout un gros nanar fait pour distraire, du fantastique/aventure dont la particularité est d'être beaucoup basé sur le cul. Le dessin est étonnament bon... Pas de doute, l'auteur maîtrise bien l'aspect technique ! Après, les choix esthétiques plaisent parfois, et déplaisent d'autres. J'ai vraiment bien aimé le premier tome (pour l'aspect nanar), mais la suite s'enlise malheureusement très vite. L'histoire s'épuise, dure, ne va nulle part. En plus les cinq tomes parus à ce jour sont restés sans suite, on ne connaîtra donc peut-être jamais la fin. Quant à l'acheter au prix fort, non.
Les Délires Fluide Glacial
A vrai dire, ces BDs ressemblent à s'y méprendre aux Or-Séries que Fluide Glacial publie d'habitude en format magazine, sauf que là, c'est sous une couverture cartonnée et bien solide. Le contenu est quasiment identique à ces hors-séries : une suite d'histoires courtes ou de gags en une page entrecoupés parfois de textes délirants et humoristiques. Tout le monde s'y colle, des anciens de la maison Fluide comme Maester, Léandri ou le regretté Moerell jusqu'aux plus inconnus des petits nouveaux. Les niveaux de chaque histoire sont très variables allant du purement hilarant jusqu'au très décevant, mais dans l'ensemble, c'est un agréable moment que j'ai passé à la lecture de chacun de ces albums un peu spéciaux. En outre, le contenu est dense et pour un tel prix, disons que c'est de l'humour dont je ne vois pas pourquoi je me priverais.
Damned
Avec une couverture et un titre comme ça, impossible de ne pas ouvrir ce livre pour voir ce qu'il renferme ! On se rend vite compte que c'est du comics dans la plus pure tradition : des couleurs à l'informatique assez froides mais qui participent idéalement à l'ambiance, un dessin sans véritable personnalité même s'il est franchement bien maîtrisé. Jusque là, rien d'exceptionnel me direz-vous ? Vous êtes un peu difficiles, parce que moi, j'ai très vite eu envie de lire cet album ! Oui mais en fait, ce one-shot se révèle être plein de (bonnes) surprises ! Le scénario qui paraît de prime abord assez classique est rondement mené, chaque scène ayant son utilité dans cette BD où l'action est omniprésente. Pas de pertes de temps inutiles, on entre très vite dans le vif du sujet pour n'en sortir qu'à la dernière page, les 100 pages (ou presque) étant très denses. Pas de doute, ce n'est pas un simple polar sans saveur ni surprises ! Une BD qui devrait sans aucun doute ravir les fans habituels de comics :)
Mot (Monster)
Note approximative : 2.5/5 Mot est un bon gros monstre gentil qui déboule dans la vie d'un gamin. Bon, évidemment, avec sa taille et son tact, il a tendance à tout casser et à se mêler de tout. Mais d'un autre côté, il est capable d'emmener Léo et ses amis dans des voyages de par le monde et dans le temps pour vivre des aventures délirantes et endiablées. Délirante, cette série l'est un peu. Les scénarios sont parfois un peu du grand n'importe quoi légèrement parodique, mais l'ambiance n'en est pas désagréable. C'est surtout le dessin d'Azpiri qui est intéressant ici. Il est plutôt bon, et bien rendu par des couleurs super flashy mais qui collent bien avec le tout. Les histoires ne sont pas totalement captivantes, la narration un peu fouillis, l'humour pas toujours extra, mais bon, ça reste une série assez sympa et pas prise de tête.
Ada Enigma
Après la lecture du premier tome, je reste assez dubitatif. Certes, l’atmosphère du récit me plait, tout comme le rendu des planches. L’intérêt porté à cette série réside dans le "fantastique", moteur du récit sur laquelle repose l’intrigue. En outre, ce côté mystérieux et fantastique de l’histoire est ponctué par une touche d’humour bien à propos avec les deux enquêteurs anglais bêtes et maladroits. Toutefois, le final est quelque peu frustrant par cette enquête qui semble inachevée. L’intérêt de cet opus s’amenuise donc à cause du "moteur du récit" qui vient à s'essouffler. Une histoire en demi-teinte.