Série sans grande prétention, Salem la Noire n'en est pas moins attrayante, divertissante.
La lecture des deux premiers tomes s'est en effet très bien passée, avec toutefois l'impression étrange que cette BD aurait plus eu sa place dans le catalogue de Soleil Prod. que de Delcourt : Univers Heroïc Fantasy typique, couleurs à l'ordi familières des ouvrages de l'éditeur toulonais, dessin tout en rondeur...
Le scénario est ultra-classique, et l'ambiance change beaucoup entre le premier et le second tome. En effet, le deuxième opus de la série possède un côté délirant beaucoup plus prononcé que le premier : parodie du seigneur des anneaux, jardin elfique aux formes phaliques, jeux de mots plus ou moins heureux selon les cas... En fait, cette série se retrouve un peu le cul entre deux chaises : à la fois sérieuse par la quête qui se dessine petit à petit en arrière plan, à la fois comique par les situations, les dialogues... mais dans les deux cas, tout juste moyenne. De la bonne petite BD sans prétention, d'où ma note.
Le dessin est un peu gras à mon sens... et je me demande si tout cela ne vient pas de l'encrage lui-même, tant le second de couverture en crayonné est classe. Au final, les décors sont carrément sympas, mais les personnages ne sont pas vraiment attachants, pas très jolis non plus...
Bref, une bonne petite série pas prise de tête... plutôt bien menée, il faut l'avouer.
Au début de la série, j'étais accro. Histoire pleine de rebondissements, personnages nombreux et typés, bref, un truc qui vous happe et vous oblige à acheter la suivante. Mais là, je trouve dommage. L'histoire se fatigue, se répète, tourne en rond, rien de bien nouveau ni de passionnant. Un célèbre adage dit : "Les histoires les plus courtes sont les meilleures". Mais ça ne m'empêche pas d'acheter chaque nouveau volume, curiosité oblige. Si vous êtes fana de BD, je pense que ça vaut la peine de l'avoir dans sa bibliothèque.
Tiens, c'est pas trop mal tout ca. Un univers semblable à celui de Lanfeust, et le même type de personnages. C'est moins axé sur l'humour et plus sur l'exploitation d'un univers certes peu original. Les 3 premiers tomes sont pas trop mal ficelés, et donnent envie de connaître la suite. Boaf, il faut bien que quelques unes des bd grand public soient réussies, sinon où irait le monde...
C'est toujours un réel plaisir de se replonger dans le monde merveilleux de l'enfance avec ses senteurs et ses ambiances si caractéristiques. Tous ces souvenirs qui se bousculent dans notre tête remontent à la surface grâce à cet album qui est empreint de sensibilité et qui réveille en nous tant de choses agréables.
Isabelle Dethan nous offre une fois de plus un récit de qualité et il est clair qu'elle seul pouvait nous concocter une histoire telle que celle-ci.
Elle nous raconte les vacances d'une petite fille chez sa grand-mère. Dans une ambiance feutrée, nous suivons donc Eva avec le sourire aux lèvres. Difficile de faire autrement car chacune des pages est un vrai bonheur. La galerie des personnages est également très riche. La grand-mère et le mystère de ces mains bleues, la tante obsédée par ses clefs, le grand père qui vit reclus, etc... Enfin bref, on ne s'ennuie pas un seul instant et c'est avec beaucoup de joie que l'on rentre dans l'intimité de cette famille un peu particulière.
Au niveau du dessin, rien de bien nouveau. Le style Dethan est superbe comme d'habitude. Les couleurs et les décors sont soignés et les personnages sont expressifs à souhait.
Difficile de ne pas succomber devant tant de fraîcheur et de poésie. Après avoir lu cet album, on se sent apaisé et heureux.
Laissez-vous tenter, vous ne le regretterez pas.
A suivre !
Je suis assez d'accord avec l'avis de Ro.
Personnellement, j'avais fini par m'attacher un peu à ce Cinjis Qan. Mais bon, Cothias nous offre ici un récit tout à fait conventionnel, sans surprises et certaines mauvaises langues diraient même: sans relief. Cependant, la précision historique est indéniable et de ce fait, cela rend cette série très instructive.
Le dessin de Griffo est très réussi. Cet auteur est, apparemment, à l'aise dans tous les genres.
En résumé, cette bd est intéressante à lire mais pas indispensable.
Une bonne surprise, j'avoue. :)
Oui, c'est encore une série dérivée de Sillage, et les mauvaises langues diront que Delcourt et les auteurs cherchent à se faire des couilles en or en pressant le citron jusqu'au bout (bon, je suis un poil d'accord, sauf que... sauf que tant que c'est bon, je m'en fous).
En fait, j'avais peur que ce soit "juste" quelques histoires sans intérêt, style Le Collectionneur d'où finalement on ne tirait pas grand chose, mais ce n'est pas le cas, ce 1er album est un bon album.
Alors bien sûr, toutes les histoires ne m'ont pas plu, ça aurait été trop beau, mais j'ai beaucoup aimé la dernière histoire par exemple (j'ai oublié le nom du dessinateur, honte sur moi) ou encore celle de Bessadi (c'est une brute en dessin, j'adore).
Le clin d'oeil aux doom like avec l'histoire de capture the flag (de Spinger il me semble) m'a fait marrer aussi. :)
Donc finalement, j'aime bien ce 1er tome, et j'attends de voir qui d'autre encore pourrait y participer. Ne doutons pas que JDM continuera à collaborer avec de jeunes auteurs, et d'autres plus expérimentés, ce qui n'est pas pour me déplaire :)
Bon c'est quand même pas si mal que ça, du moins c'est loin d'être le moins bon truc que j'ai lu. Je ne suis pas très passionné par le ping-pong et je ne connaissais pas tous ces termes techniques "top spin" etc. On retrouve un peu le stéréotype du gars moyen et banal qui est super fort en fait et qui a un talent caché à révéler. Son copain se la pète alors qu'il est tout le contraire, il ne rit jamais, parle peu.
Ca pourrait devenir un peu chiant sur 5 tomes si ça devient un Slam Dunk version ping-pong. Mais je ne pense pas car le public n'est pas le même et l'auteur ne cherche pas à faire de l'humour.
Le dessin de Matsumoto est très précis et assez loin des "codes" du genre. Les gueules de ces personnages notamment le professeur de ping-pong sont torturées, ridées, avec des dents pourries etc.
Par contre le glossaire fait par Akata à la fin est exemplaire, j'ai été épaté. Ils présentent le ping-pong, et les lieux dessinés par l'auteur, des explications sur plusieurs choses typiquement japonaises que le lecteur occidental ne pourra pas saisir. C'était vraiment très intéressant.
J'ai été plutôt agréablement surpris par cette série. Si le dessin du premier tome n'est pas encore au point, la suite devient vraiment impressionnante. Cette histoire démarre plutôt lentement et classiquement mais on accroche vraiment. L'histoire prend une tournure plutôt inattendue au milieu du premier tome et se complique tout en se bonifiant sur les deux tomes suivants. Le quatrième tome est par contre décevant car on a l'impression que l'auteur saborde toutes les pistes qu'il a lancées auparavant pour finir au plus tôt. C'est un peu surprenant, mais l'ensemble tient parfaitement debout. Une bonne série pleine d'action et bien prenante.
L’époque moyenâgeuse dans laquelle évolue notre héroïne est emprunte de magie et de surnaturel. Aria, guerrière solitaire, sillonne diverses contrées dans un but qu’elle seule peut connaître. Grâce à Weyland, nous sommes plongés au cœur des aventures de cette farouche guerrière (une sorte de Thorgal au féminin). Le dessin très réaliste, toujours signé Weyland, est très agréable à l’œil et ajoute donc un plus indéniable à la qualité de cette bd !
Prostituées, histoire glauque, orphelin, chasseurs de prime, petits malfrats, magot qui attire toutes les convoitises ; tout l'attirail classique du western est là. Berthet, spécialisé dans le decorum américain, n'a pourtant fait qu'une incursion dans ce genre. La faute au scénario de Foerster, un peu bancal et mou ? Possible. La faute aussi, peut-être, à un dessinateur en petite forme (sauf sur la fin de l'album), qui fait plutôt de l'alimentaire sur ce coup-là. Dans le genre, Marini et Desberg avaient fait mieux (par la suite, il est vrai) avec L'Etoile du désert.
Cependant cela reste assez agréable à lire, même si ça s'oublie vite.
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Salem la Noire
Série sans grande prétention, Salem la Noire n'en est pas moins attrayante, divertissante. La lecture des deux premiers tomes s'est en effet très bien passée, avec toutefois l'impression étrange que cette BD aurait plus eu sa place dans le catalogue de Soleil Prod. que de Delcourt : Univers Heroïc Fantasy typique, couleurs à l'ordi familières des ouvrages de l'éditeur toulonais, dessin tout en rondeur... Le scénario est ultra-classique, et l'ambiance change beaucoup entre le premier et le second tome. En effet, le deuxième opus de la série possède un côté délirant beaucoup plus prononcé que le premier : parodie du seigneur des anneaux, jardin elfique aux formes phaliques, jeux de mots plus ou moins heureux selon les cas... En fait, cette série se retrouve un peu le cul entre deux chaises : à la fois sérieuse par la quête qui se dessine petit à petit en arrière plan, à la fois comique par les situations, les dialogues... mais dans les deux cas, tout juste moyenne. De la bonne petite BD sans prétention, d'où ma note. Le dessin est un peu gras à mon sens... et je me demande si tout cela ne vient pas de l'encrage lui-même, tant le second de couverture en crayonné est classe. Au final, les décors sont carrément sympas, mais les personnages ne sont pas vraiment attachants, pas très jolis non plus... Bref, une bonne petite série pas prise de tête... plutôt bien menée, il faut l'avouer.
Chroniques de la lune noire
Au début de la série, j'étais accro. Histoire pleine de rebondissements, personnages nombreux et typés, bref, un truc qui vous happe et vous oblige à acheter la suivante. Mais là, je trouve dommage. L'histoire se fatigue, se répète, tourne en rond, rien de bien nouveau ni de passionnant. Un célèbre adage dit : "Les histoires les plus courtes sont les meilleures". Mais ça ne m'empêche pas d'acheter chaque nouveau volume, curiosité oblige. Si vous êtes fana de BD, je pense que ça vaut la peine de l'avoir dans sa bibliothèque.
Les Forêts d'Opale
Tiens, c'est pas trop mal tout ca. Un univers semblable à celui de Lanfeust, et le même type de personnages. C'est moins axé sur l'humour et plus sur l'exploitation d'un univers certes peu original. Les 3 premiers tomes sont pas trop mal ficelés, et donnent envie de connaître la suite. Boaf, il faut bien que quelques unes des bd grand public soient réussies, sinon où irait le monde...
Eva aux Mains Bleues
C'est toujours un réel plaisir de se replonger dans le monde merveilleux de l'enfance avec ses senteurs et ses ambiances si caractéristiques. Tous ces souvenirs qui se bousculent dans notre tête remontent à la surface grâce à cet album qui est empreint de sensibilité et qui réveille en nous tant de choses agréables. Isabelle Dethan nous offre une fois de plus un récit de qualité et il est clair qu'elle seul pouvait nous concocter une histoire telle que celle-ci. Elle nous raconte les vacances d'une petite fille chez sa grand-mère. Dans une ambiance feutrée, nous suivons donc Eva avec le sourire aux lèvres. Difficile de faire autrement car chacune des pages est un vrai bonheur. La galerie des personnages est également très riche. La grand-mère et le mystère de ces mains bleues, la tante obsédée par ses clefs, le grand père qui vit reclus, etc... Enfin bref, on ne s'ennuie pas un seul instant et c'est avec beaucoup de joie que l'on rentre dans l'intimité de cette famille un peu particulière. Au niveau du dessin, rien de bien nouveau. Le style Dethan est superbe comme d'habitude. Les couleurs et les décors sont soignés et les personnages sont expressifs à souhait. Difficile de ne pas succomber devant tant de fraîcheur et de poésie. Après avoir lu cet album, on se sent apaisé et heureux. Laissez-vous tenter, vous ne le regretterez pas. A suivre !
Cinjis Qan
Je suis assez d'accord avec l'avis de Ro. Personnellement, j'avais fini par m'attacher un peu à ce Cinjis Qan. Mais bon, Cothias nous offre ici un récit tout à fait conventionnel, sans surprises et certaines mauvaises langues diraient même: sans relief. Cependant, la précision historique est indéniable et de ce fait, cela rend cette série très instructive. Le dessin de Griffo est très réussi. Cet auteur est, apparemment, à l'aise dans tous les genres. En résumé, cette bd est intéressante à lire mais pas indispensable.
Les Chroniques de Sillage
Une bonne surprise, j'avoue. :) Oui, c'est encore une série dérivée de Sillage, et les mauvaises langues diront que Delcourt et les auteurs cherchent à se faire des couilles en or en pressant le citron jusqu'au bout (bon, je suis un poil d'accord, sauf que... sauf que tant que c'est bon, je m'en fous). En fait, j'avais peur que ce soit "juste" quelques histoires sans intérêt, style Le Collectionneur d'où finalement on ne tirait pas grand chose, mais ce n'est pas le cas, ce 1er album est un bon album. Alors bien sûr, toutes les histoires ne m'ont pas plu, ça aurait été trop beau, mais j'ai beaucoup aimé la dernière histoire par exemple (j'ai oublié le nom du dessinateur, honte sur moi) ou encore celle de Bessadi (c'est une brute en dessin, j'adore). Le clin d'oeil aux doom like avec l'histoire de capture the flag (de Spinger il me semble) m'a fait marrer aussi. :) Donc finalement, j'aime bien ce 1er tome, et j'attends de voir qui d'autre encore pourrait y participer. Ne doutons pas que JDM continuera à collaborer avec de jeunes auteurs, et d'autres plus expérimentés, ce qui n'est pas pour me déplaire :)
Ping Pong
Bon c'est quand même pas si mal que ça, du moins c'est loin d'être le moins bon truc que j'ai lu. Je ne suis pas très passionné par le ping-pong et je ne connaissais pas tous ces termes techniques "top spin" etc. On retrouve un peu le stéréotype du gars moyen et banal qui est super fort en fait et qui a un talent caché à révéler. Son copain se la pète alors qu'il est tout le contraire, il ne rit jamais, parle peu. Ca pourrait devenir un peu chiant sur 5 tomes si ça devient un Slam Dunk version ping-pong. Mais je ne pense pas car le public n'est pas le même et l'auteur ne cherche pas à faire de l'humour. Le dessin de Matsumoto est très précis et assez loin des "codes" du genre. Les gueules de ces personnages notamment le professeur de ping-pong sont torturées, ridées, avec des dents pourries etc. Par contre le glossaire fait par Akata à la fin est exemplaire, j'ai été épaté. Ils présentent le ping-pong, et les lieux dessinés par l'auteur, des explications sur plusieurs choses typiquement japonaises que le lecteur occidental ne pourra pas saisir. C'était vraiment très intéressant.
Garous
J'ai été plutôt agréablement surpris par cette série. Si le dessin du premier tome n'est pas encore au point, la suite devient vraiment impressionnante. Cette histoire démarre plutôt lentement et classiquement mais on accroche vraiment. L'histoire prend une tournure plutôt inattendue au milieu du premier tome et se complique tout en se bonifiant sur les deux tomes suivants. Le quatrième tome est par contre décevant car on a l'impression que l'auteur saborde toutes les pistes qu'il a lancées auparavant pour finir au plus tôt. C'est un peu surprenant, mais l'ensemble tient parfaitement debout. Une bonne série pleine d'action et bien prenante.
Aria
L’époque moyenâgeuse dans laquelle évolue notre héroïne est emprunte de magie et de surnaturel. Aria, guerrière solitaire, sillonne diverses contrées dans un but qu’elle seule peut connaître. Grâce à Weyland, nous sommes plongés au cœur des aventures de cette farouche guerrière (une sorte de Thorgal au féminin). Le dessin très réaliste, toujours signé Weyland, est très agréable à l’œil et ajoute donc un plus indéniable à la qualité de cette bd !
Chiens de prairie
Prostituées, histoire glauque, orphelin, chasseurs de prime, petits malfrats, magot qui attire toutes les convoitises ; tout l'attirail classique du western est là. Berthet, spécialisé dans le decorum américain, n'a pourtant fait qu'une incursion dans ce genre. La faute au scénario de Foerster, un peu bancal et mou ? Possible. La faute aussi, peut-être, à un dessinateur en petite forme (sauf sur la fin de l'album), qui fait plutôt de l'alimentaire sur ce coup-là. Dans le genre, Marini et Desberg avaient fait mieux (par la suite, il est vrai) avec L'Etoile du désert. Cependant cela reste assez agréable à lire, même si ça s'oublie vite.