Humpf !!!! Nan hein ! Ca m'énerve, ça, tiens...
Algernon Woodcock, j'ai vraiment apprécié : un scénario bien fait, bien conçu, bien travaillé, illustré par un Sorel en grande forme, bref, du bon !
Mais que vois-je, dans le sac d'un ami, dans le train ? Conte des hautes-terres, youpidou, ce ne peut être que bon ! avec une aussi belle couverture, en plus, ouaou !
Hop, lecture... mais c'est quoi ce truc... Bon bon bon... deux contes incipides dont, certes, le dessin n'est pas mauvais, mais faisant bien pâle figure comparés aux 8 planches du maître Sorel. Des histoires vraiment pas interressantes, bien vieillottes, limites conte de Grimm. Et surtout, un ennui ferme, au final. Argh.
Le dessin est quant à lui en noir et blanc. Pourquoi ? je cherche encore ! Car ça, c'est de la planche couleur photocopiée ou je n'y connais rien : j'ai tout simplement l'impression de lire Fluide Glacial. Ca fait un peu cher le Fluide, et on ris beaucoup moins :(
Bref, rien de justifié, c'est très mauvais, et j'ai vraiment peur de la suite. beurk :(
Bon c'est toujours une jubilation intense de poster un avis différent de tous ceux qui le précèdent - Cassidy connait bien ce plaisir :) mais moi ça ne m'arrive pas fréquemment - donc cette fois c'est mon tour. En même temps c'est risqué donc je vais tacher d'expliquer clairement pourquoi je me suis royalement emmerdé sur Outlaw.
J'ai l'impression (sans vouloir faire de généralités) que pas mal de gens (j'ai pas dit tous) qui aiment la piste des ombres ou Outlaw ne sont pas vraiment fan de western: Kael et Nao par exemple le disent clairement. Dès lors ils tombent sous le charme d'une BD qui est finalement très différente des autres du genre. Que ce soit le dessin de Fourquemin qui est tout sauf réaliste, les couleurs aussi ternes que possibles ou l'histoire, on est à 10 000 lieues de ce qui se fait habituellement dans le genre. Pour certains c'est un bon point, preuve d'originalité. Moi je trouve que ça donne un peu dans l'exercice de style: "attention les gars, vous avez jamais vu ça avant".
Le scénario proprement dit me fait halluciner: la mère du héros est morte mais revient tout le temps l'engueuler en lui disant que c'est la dernière fois qu'il la voit. Il rase la moquette mais il tombe sur un alcoolo qui lui dit que son père était le plus grand des bandits donc aussi sec il devient bandit et monte une équipe (quel leadership tout à coup); pi en fait non il se rappelle qu'il était prospecteur donc zou en route vers la rivière. C'est quoi cet enchainement pourri? L'auteur avait-il envie d'aborder plusieurs genres le plus vite possible, sans se préoccuper de l' intérêt scénaristique?
Les dessins sont par contre vraiment pas mal (d'où mes deux étoiles) mais j'ai l'impression que cette BD n'est pas vraiment à mélanger avec les autres du genre western. Pour être tout à fait honnête, moi qui suis assez client des westerns, ça me fait un peu mal de voir qu'Outlaws et La piste des ombres sont mis en avant parce que ça tient plus d'une variation autour du western (après on aime ou pas, c'est très subjectif comme d'habitude) que du western proprement dit.
Bon ben déjà comme pas mal de monde j'aime pas du tout du tout les dessins de Tamiazzo. Quand Morvan bosse avec des mecs dont le style s'inspire du manga (style Buchet sur Sillage) ça le fait plutôt bien mais quand l'inspiration arrive à ce degré là, ça ne me plait plus du tout. J'ai l'impression d'avoir la bouche de Nicky Larson et les yeux du tombeau des lucioles à toutes les pages (vous aurez compris que je ne suis pas très fan de manga, que ce soit en dessin ou à la télé).
Une fois passée ma répulsion première, je me suis dit, lisons quand même, Morvan aux manettes c'est souvent du tout bon. Ben manque de bol, voilà un de ses rares scénar qui ne m'emballent pas. Déjà c'est vachement pompé sur Verhoven; ils capturent une grosse bestiole méchante qui peut permettre de faire gagner la guerre. Mais à part ça il ne se passe pas grand chose; ils sont fiers de leur capture, ses comparses veulent la tuer, d'autres humains veulent la capturer et Morvan développe la moitié du deuxième tome sur la relation que noue un des gamins avec la créature. Kael écrit que ça lui a noué le ventre (avis que je respecte) mais moi j'ai trouvé ça mielleux de bons sentiments (un peu comme le tome 5 de Sillage). C'est sur que je ne suis pas la personne la plus réceptive à ce genre d'histoire (on va finir par croire que je suis un gros lourdeau insensible) donc à vous de juger.
Je ne serai pas aussi dur qu'Arzak mais c'est vrai que j'ai été également un peu décontenancé. Sorel est indéniablement un grand dessinateur mais il use et abuse ici des effets de style ce qui rend parfois la lecture difficile. Quant à l'histoire, je suis pas sur d'avoir tout compris; il y a vraiment des passages qui manquent de cohérence (logique me direz-vous pour une histoire sur la folie) donc ça mérite vraiment une relecture: soit j'étais un peu fatigué soit Sorel croit le lecteur plus intelligent qu'il n'est soit il a raté son histoire. Je suis pas trop vantard mais je pense pas être le plus idiot des lecteurs de BD et j'étais pas spécialement fatigué (en plus j'adore Lynch et Poe donc je suis censé être assez réceptif).
Lou Cale est une bd qui est clairement influencée par le cinéma américain d'après-guerre. Tout les pontifs du genre y sont bien présents et ma foi, tout ceci est bien agréable. L'ambiance très hollywoodienne donne un coté très kitch au récit et bien évidament les filles sont très jolies.
Cependant, je trouve que le scénario est un peu faible et que les personnages manquent cruellement de pronfondeur. Résultat: on s'ennuie parfois à la lecture de cette série. Par contre, ce qui est remarquable dans cette bd c'est l'esthétisme et le découpage. Sur ce point là, je dois reconnaitre que les auteurs ont fait du bon travail. Mais cette manière de travailler est assez courante chez Warnaut et Raives.
Ceci m'amène à vous parlez du dessin qui, lui, est de toute beauté même si certains pourront lui reprocher d'être trop classique.
En résumé, je dirais que cette série n'est pas indispensable sauf si vous êtes amateur du cinéma américain des années 50 et que vous n'êtes pas trop regardant à la qualité du scénario !
Sombre histoire, sombres dessins... et sombre intérêt.
Ca se veut cru, et ça tombe à plat. Ca se veut dur, et ça frise le cliché. Narration assez particulière, mais hélas maladroite.
Bref, c'est une bonne bd au conditionnel, c'est à dire que "ça aurait pu être bien si...".
Dommage !
Apres la queue de singe, la queue de renard ! :)
Toriyama a compris le business et a choisi de garder les mêmes pots avec lesquels il nous avait concocté Dbz !
Bon perso, moi je suis pas fan ! DBZ, c'était un bon délire, mais la je trouve que l'aspect "n'importe quoi" a moins de charme !
En plus, les persos sont moins attachants, bref, ça m'a pas transcendé.
Bof... Je n'y ai pas trouvé un grand intérêt,si ce n'est le fait que c'est de lanfeust et de ses potes dont il est question dans ces"gnomes de troy". Il y a bien quelques passages marrant, mais bien trop rares.
Après kid lucky, les gnomes de troy et peut être encore d'autres albums que je ne connais pas, quelles seront les prochaines BD inspirées du petit spirou?
J’ai bien accroché sur la couverture, et les dessins en général. C'est non seulement tout à fait adapté aux enfants (puisque c'est la cible) mais aussi d'une incontestable beauté. Les effets de lumières sont vraiment beaux (ceux du médaillon par exemple), ça accentue encore la magie de cette BD.
L’histoire en elle même est plutôt originale et plaisante, mais je trouve que ce 1er tome aurait pu être creusé un peu plus quand même. Je sais, faut que ça reste simple, mais bon c'est parfois un peu trop simple, et c'est dommage.
J'aurais aimé savoir sous quelle forme ont été publiées ces histoires à l'origine, car le regroupement des 3 en un seul album me paraît très artificiel tant le lien entre elles semble ténu. Mais bon, peut-être me trompé-je, "La Géométrie de l'obsession" existait peut-être déjà tel quel aux États-Unis. Enfin bref, passons, là n'est pas le principal.
Malgré les idées originales qu'elles contiennent et la qualité des dessins, aucune de ces trois histoires de m'a réellement séduit : trop courtes, trop absconses pour mon petit cerveau qui aime les choses simples... Chaque fois, ça commence plutôt bien et puis finalement, on est déçu. Cela dit, cet album a quand même un mérite non-négligeable : contrairement à tant d'autres, Mazzucchelli fait de la BD "artistico-intellectuelle" sans verser dans l'autobiographie nombriliste et/ou la philosophie de prisunic.
N'empêche que j'ai vraiment pas accroché.
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Les Contes des Hautes Terres
Humpf !!!! Nan hein ! Ca m'énerve, ça, tiens... Algernon Woodcock, j'ai vraiment apprécié : un scénario bien fait, bien conçu, bien travaillé, illustré par un Sorel en grande forme, bref, du bon ! Mais que vois-je, dans le sac d'un ami, dans le train ? Conte des hautes-terres, youpidou, ce ne peut être que bon ! avec une aussi belle couverture, en plus, ouaou ! Hop, lecture... mais c'est quoi ce truc... Bon bon bon... deux contes incipides dont, certes, le dessin n'est pas mauvais, mais faisant bien pâle figure comparés aux 8 planches du maître Sorel. Des histoires vraiment pas interressantes, bien vieillottes, limites conte de Grimm. Et surtout, un ennui ferme, au final. Argh. Le dessin est quant à lui en noir et blanc. Pourquoi ? je cherche encore ! Car ça, c'est de la planche couleur photocopiée ou je n'y connais rien : j'ai tout simplement l'impression de lire Fluide Glacial. Ca fait un peu cher le Fluide, et on ris beaucoup moins :( Bref, rien de justifié, c'est très mauvais, et j'ai vraiment peur de la suite. beurk :(
Outlaw
Bon c'est toujours une jubilation intense de poster un avis différent de tous ceux qui le précèdent - Cassidy connait bien ce plaisir :) mais moi ça ne m'arrive pas fréquemment - donc cette fois c'est mon tour. En même temps c'est risqué donc je vais tacher d'expliquer clairement pourquoi je me suis royalement emmerdé sur Outlaw. J'ai l'impression (sans vouloir faire de généralités) que pas mal de gens (j'ai pas dit tous) qui aiment la piste des ombres ou Outlaw ne sont pas vraiment fan de western: Kael et Nao par exemple le disent clairement. Dès lors ils tombent sous le charme d'une BD qui est finalement très différente des autres du genre. Que ce soit le dessin de Fourquemin qui est tout sauf réaliste, les couleurs aussi ternes que possibles ou l'histoire, on est à 10 000 lieues de ce qui se fait habituellement dans le genre. Pour certains c'est un bon point, preuve d'originalité. Moi je trouve que ça donne un peu dans l'exercice de style: "attention les gars, vous avez jamais vu ça avant". Le scénario proprement dit me fait halluciner: la mère du héros est morte mais revient tout le temps l'engueuler en lui disant que c'est la dernière fois qu'il la voit. Il rase la moquette mais il tombe sur un alcoolo qui lui dit que son père était le plus grand des bandits donc aussi sec il devient bandit et monte une équipe (quel leadership tout à coup); pi en fait non il se rappelle qu'il était prospecteur donc zou en route vers la rivière. C'est quoi cet enchainement pourri? L'auteur avait-il envie d'aborder plusieurs genres le plus vite possible, sans se préoccuper de l' intérêt scénaristique? Les dessins sont par contre vraiment pas mal (d'où mes deux étoiles) mais j'ai l'impression que cette BD n'est pas vraiment à mélanger avec les autres du genre western. Pour être tout à fait honnête, moi qui suis assez client des westerns, ça me fait un peu mal de voir qu'Outlaws et La piste des ombres sont mis en avant parce que ça tient plus d'une variation autour du western (après on aime ou pas, c'est très subjectif comme d'habitude) que du western proprement dit.
La Mandiguerre
Bon ben déjà comme pas mal de monde j'aime pas du tout du tout les dessins de Tamiazzo. Quand Morvan bosse avec des mecs dont le style s'inspire du manga (style Buchet sur Sillage) ça le fait plutôt bien mais quand l'inspiration arrive à ce degré là, ça ne me plait plus du tout. J'ai l'impression d'avoir la bouche de Nicky Larson et les yeux du tombeau des lucioles à toutes les pages (vous aurez compris que je ne suis pas très fan de manga, que ce soit en dessin ou à la télé). Une fois passée ma répulsion première, je me suis dit, lisons quand même, Morvan aux manettes c'est souvent du tout bon. Ben manque de bol, voilà un de ses rares scénar qui ne m'emballent pas. Déjà c'est vachement pompé sur Verhoven; ils capturent une grosse bestiole méchante qui peut permettre de faire gagner la guerre. Mais à part ça il ne se passe pas grand chose; ils sont fiers de leur capture, ses comparses veulent la tuer, d'autres humains veulent la capturer et Morvan développe la moitié du deuxième tome sur la relation que noue un des gamins avec la créature. Kael écrit que ça lui a noué le ventre (avis que je respecte) mais moi j'ai trouvé ça mielleux de bons sentiments (un peu comme le tome 5 de Sillage). C'est sur que je ne suis pas la personne la plus réceptive à ce genre d'histoire (on va finir par croire que je suis un gros lourdeau insensible) donc à vous de juger.
Mother
Je ne serai pas aussi dur qu'Arzak mais c'est vrai que j'ai été également un peu décontenancé. Sorel est indéniablement un grand dessinateur mais il use et abuse ici des effets de style ce qui rend parfois la lecture difficile. Quant à l'histoire, je suis pas sur d'avoir tout compris; il y a vraiment des passages qui manquent de cohérence (logique me direz-vous pour une histoire sur la folie) donc ça mérite vraiment une relecture: soit j'étais un peu fatigué soit Sorel croit le lecteur plus intelligent qu'il n'est soit il a raté son histoire. Je suis pas trop vantard mais je pense pas être le plus idiot des lecteurs de BD et j'étais pas spécialement fatigué (en plus j'adore Lynch et Poe donc je suis censé être assez réceptif).
Lou Cale
Lou Cale est une bd qui est clairement influencée par le cinéma américain d'après-guerre. Tout les pontifs du genre y sont bien présents et ma foi, tout ceci est bien agréable. L'ambiance très hollywoodienne donne un coté très kitch au récit et bien évidament les filles sont très jolies. Cependant, je trouve que le scénario est un peu faible et que les personnages manquent cruellement de pronfondeur. Résultat: on s'ennuie parfois à la lecture de cette série. Par contre, ce qui est remarquable dans cette bd c'est l'esthétisme et le découpage. Sur ce point là, je dois reconnaitre que les auteurs ont fait du bon travail. Mais cette manière de travailler est assez courante chez Warnaut et Raives. Ceci m'amène à vous parlez du dessin qui, lui, est de toute beauté même si certains pourront lui reprocher d'être trop classique. En résumé, je dirais que cette série n'est pas indispensable sauf si vous êtes amateur du cinéma américain des années 50 et que vous n'êtes pas trop regardant à la qualité du scénario !
A quoi tu penses ?
Sombre histoire, sombres dessins... et sombre intérêt. Ca se veut cru, et ça tombe à plat. Ca se veut dur, et ça frise le cliché. Narration assez particulière, mais hélas maladroite. Bref, c'est une bonne bd au conditionnel, c'est à dire que "ça aurait pu être bien si...". Dommage !
Kajika
Apres la queue de singe, la queue de renard ! :) Toriyama a compris le business et a choisi de garder les mêmes pots avec lesquels il nous avait concocté Dbz ! Bon perso, moi je suis pas fan ! DBZ, c'était un bon délire, mais la je trouve que l'aspect "n'importe quoi" a moins de charme ! En plus, les persos sont moins attachants, bref, ça m'a pas transcendé.
Gnomes de Troy
Bof... Je n'y ai pas trouvé un grand intérêt,si ce n'est le fait que c'est de lanfeust et de ses potes dont il est question dans ces"gnomes de troy". Il y a bien quelques passages marrant, mais bien trop rares. Après kid lucky, les gnomes de troy et peut être encore d'autres albums que je ne connais pas, quelles seront les prochaines BD inspirées du petit spirou?
Gargouilles
J’ai bien accroché sur la couverture, et les dessins en général. C'est non seulement tout à fait adapté aux enfants (puisque c'est la cible) mais aussi d'une incontestable beauté. Les effets de lumières sont vraiment beaux (ceux du médaillon par exemple), ça accentue encore la magie de cette BD. L’histoire en elle même est plutôt originale et plaisante, mais je trouve que ce 1er tome aurait pu être creusé un peu plus quand même. Je sais, faut que ça reste simple, mais bon c'est parfois un peu trop simple, et c'est dommage.
La Géométrie de l'obsession
J'aurais aimé savoir sous quelle forme ont été publiées ces histoires à l'origine, car le regroupement des 3 en un seul album me paraît très artificiel tant le lien entre elles semble ténu. Mais bon, peut-être me trompé-je, "La Géométrie de l'obsession" existait peut-être déjà tel quel aux États-Unis. Enfin bref, passons, là n'est pas le principal. Malgré les idées originales qu'elles contiennent et la qualité des dessins, aucune de ces trois histoires de m'a réellement séduit : trop courtes, trop absconses pour mon petit cerveau qui aime les choses simples... Chaque fois, ça commence plutôt bien et puis finalement, on est déçu. Cela dit, cet album a quand même un mérite non-négligeable : contrairement à tant d'autres, Mazzucchelli fait de la BD "artistico-intellectuelle" sans verser dans l'autobiographie nombriliste et/ou la philosophie de prisunic. N'empêche que j'ai vraiment pas accroché.