Si graphiquement cette série bénéficie d'un réel savoir faire et de personnages hauts en couleur, je ne m'avoue guère convaincu par le scénar... Ca se lit vite, on s'attend à être pris dans un truc qui va se révéler palpitant, et on reste résolument sur sa faim.
J'ai mis un trois sur cinq somme toute honorable, pour la beauté des dessins.
Je vais relire les cinq premiers tomes d'ici peu pour voir si je reste sur ces impressions très mitigées.
aprés relecture....
Non, non, non, j'accroche pas. Le scénar tourne à vide. Et puis, aprés une deuxième lecture plus réfléchie, un truc me saute aux yeux dans le graphisme, jamais on a droit à des plans larges. Tout est centré sur les personnages. Cela donne à la lecture le sentiment d'être toujours collé le nez dans le guidon. On a pas le recul, qui nous ferait apprécier le décor dans son ensemble. alors ? fressato ne serait il à l'aise que dans l'approche des personnages ?
Wahahou ! Comme dirait ma grand mère, "ça nous rajeunit pas" ! Je lisais Pim Pam Poum dans le journal de Mickey quand j'étais tout mino (et l'air de rien, ça date un peu quand même).
Ca me faisait beaucoup rire de voir un gars avec des yeux sur le nez (si si, regardez bien les dessins) et les histoires m'éclataient. C'était presque une bible pour mon frère et moi, on essayait de faire autant de conneries.
Il y a quelques mois, je suis tombé sur un album d'occaz chez mon libraire. J'avais limite la larme à l'oeil, et mon libraire me l'a offert.
Bon, maintenant, faut avouer que ça a vieilli ce truc... mais c'est géant quand même. :)
Il est clair que Challenger est une bd que souffre nettement d'un manque de perspective. Ceci dit, si vous n'êtes pas trop difficiles elle s'avère plutôt agréable à lire. Cette série est en fait une adaptation du roman de Conan Doyle : "Le Monde Perdu". Malheureusement on sent que les auteurs ont survolé le sujet sans vraiment l'approfondir. Le dessin de Patrice Sanahujas est dans la même veine c'est-à-dire plutôt banal. Mais bon, la lecture n'en souffre pas et si le petit coté rétro de cette série vous plait... bah... laissez-vous tenter ! De plus, on la trouve facilement dans les bacs à occaz.
Vous n'en garderez pas un souvenir impérissable mais vous passerez un petit moment sympa !
Bof bof ce premier tome, les dessins sont pas mauvais mais rien d’extra ; les couleurs elles sont pas terribles et ne facilitent pas du tout la lisibilité des planches.
Pour le scénar là aussi c’est très moyen, l’histoire est peu intéressante et difficile à suivre, les persos sont trop stéréotypés le heros beau et fort, la fille belle et mystérieuse, le méchant bien méchant vive les clichés…
En gros rien de nouveau avec cet album, passez votre chemin !!!
Ce premier tome d'Asphodèle ouvre la collection "Insomnie" des éditions Delcourt. Que dire de ce tome...
On va commencer par le point positif, le dessin est vraiment très beau, les scènes avec les visions de la medium sont vraiment sublimes, tout en rouge sang c'est vraiment magnifique. En dehors de ces scènes on peut déplorer par moment des couleurs trop flashis et des visages assez laid. Le découpage est intéressant et dynamique !
L'histoire quand à elle n'est pas à la hauteur de mes éspérances, devant nous faire peur et nous rendre insomniaque, ça n'a pas marcher pour moi, mais je conviens bien que cela est très dur de faire une BD terreur. L'histoire n'est pas des plus originales même si elle est bien amenée et tout de même intéréssante.
Le point négatif est quand même qu'elle se lit très voire trop vite à cause de planches sans textes...et on reste un peu sur notre faim.
J'attends de voir le second et dernier tome, qui sait s'il peut me rendre insomniaque...
Le problème de cette série, c'est qu'elle lorgne quand même fameusement vers l'autre série de Hardy : Pierre Tombal. On imagine même très bien pas mal des gags de ces deux albums transformés en gags de Pierre Tombal. L'autre problème, c'est que, tout comme avec Pierre Tombal, les auteurs ont vite fait le tour de la question. En deux albums, l'inspiration s'essouffle déjà, les gags deviennent répétitifs... C'est dommage, ils n'ont pas su donner à leurs personnages une épaisseur qui leurs aurait permis d'aller plus loin que le simple album d'humour.
J'ai lu ces quatre tomes avec une certaine apathie. Malgré le caractère a priori original de cette aventure, cela ne m'a guère passionné. Les personnages sont peu intéressants, l'intrigue trop balisée, trop déjà vue. C'est de l'heroic-fantasy assez conventionnelle et le caractère marin du monde décrit n'ajoute pas grand chose d'original à l'affaire. Le rythme est assez lent, on pourrait facilement imaginer ces 4 tomes ramenés à 3 ou même à 2 albums.
Les explications et les éclaircissements arrivent au compte-goutte et de manière assez chaotique. Il faut attendre le tome 3 avant de commencer à comprendre la nature du monde décrit. C'est un peu tard !
Le dessin, peu original, se contente d'être "bien fait", mais est loin d'égaler, dans un registre proche, celui de Claire Wendling. Les couleurs du premier tome sont tout simplement hideuses, cela s'arrange, heureusement dans les trois tomes suivants.
A lire à l'occasion, mais dispensable, du même scénariste, lisez plutôt Les Lumières de l'Amalou, autrement plus convaincant.
Ce manga aurait pu être pas mal si cela n'avait été que de l'héroic-fantaisy mais malheureusement ce manga se dit X.
Dans un manga X y a du cul en général (c'est pour ça que ça existe !!!) mais là c'est le calme plat (2 3 scènes à tout casser).
C'est dommage car les dessins sont pas mal et l'histoire assez marrante mais ON VEUT DU CUL !!!!!!!!
Pour être clair, s'il y a une BD culte au monde, c'est celle-ci, tout simplement parce que c'est la première!
Si Rodolphe Töppfer (un Suisse) a été le premier à mettre des textes sous des dessins, Rudolph Dirks est lui à l'origine de la bande dessinée proprement dite.
En 1894, le New York World, appartenant à Pulitzer, publie "At the Circus in Hogan's Alley" de Richard Outcault, que certains considèrent comme l'ancêtre véritable de la BD. Pour lui répondre, son grand rival Hearst (magnat de la presse dont Orson Welles s'inspirera plus tard pour son Citizen Kane) publie en 1897 dans le New York Journal les "Katzenjammers Kids" (Pim Pam Poum en français) de Rudolph Dirks. Pour la première fois, des bulles sont ajoutées aux images qui forment un suite logique et par conséquent une histoire.
L'auteur quitta le journal en 1912, emmenant avec lui les deux enfants, Tante Pim, le capitaine et l'astronome. L'éditeur lui intenta un procès afin de les récupérer. L'arrêt de la cour est resté dans les annales : il autorisait Rudolph Dirks, le créateur, à poursuivre la série à la condition d'en changer le titre tout en permettant à l'éditeur de garder le titre de la série et d'en confier le dessin à quelqu'un d'autre.
C'est ainsi que Rudolph Dirks créa, pour le New York World de Pulitzer, "Hans and Fritz", bien vite transformé en "The Captain and the Kids", avec les mêmes personnages et le même dessin et que "The Katzenjammer Kids" se poursuivit dans le New York Journal, sous le crayon de Knerr. Il fut le dessinateur attitré de cette série jusqu'en 1949, année de sa mort. Elle a été publiée partout dans le monde et de nombreux journaux français l'ont périodiquement rééditée, principalement Mickey mais aussi Charlie Mensuel, L'Echo des Savanes et également des magazines portant leur nom tels Pim, Pam, Poum.
Une BD bon enfant qui vaut bien entendu plus pour ce qu'elle représente dans l'histoire de la BD que pour son intérêt graphique ou scénaristique. Ma note reflète mon plaisir de lecteur, non l'importance de cette BD dans l'histoire, auquel cas il faudrait mettre 5/5.
Pfff... C'est toujours la même chose, ce genre de série !
OK, les dessins sont sympas. OK, ce n'est pas une pure copie de Kenshin (l'idée ne m'a d'ailleurs jamais effleurée). Mais bon, voilà quoi... Le mec un peu niais qui dissimule des talents inimaginables, la nana garçon manqué faire-valoir qui, en fait, a un caractère bien plus sombre qu'il n'y parait, le bouffon de service qui est en réalité un grand combattant... Et l'amitié virile, le dépassement de soi, le sens de l'honneur... Blablabla... En plus, au fil des tomes, ça devient de plus en plus répétitif !
Tout ça pour dire que je ne comprends pas l'engouement pour cette série. Ce n'est pas nul, bien sur... Mais de là à trouver ça génial !
Le personnage de Yukimura Sanada me plait bien, par contre... Mais comme c'était la seule chose qui me faisait lire cette série, j'ai finalement revendu mes anciens tomes.
A réserver aux grands amateurs du genre, selon moi.
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Les Gardiens du Maser
Si graphiquement cette série bénéficie d'un réel savoir faire et de personnages hauts en couleur, je ne m'avoue guère convaincu par le scénar... Ca se lit vite, on s'attend à être pris dans un truc qui va se révéler palpitant, et on reste résolument sur sa faim. J'ai mis un trois sur cinq somme toute honorable, pour la beauté des dessins. Je vais relire les cinq premiers tomes d'ici peu pour voir si je reste sur ces impressions très mitigées. aprés relecture.... Non, non, non, j'accroche pas. Le scénar tourne à vide. Et puis, aprés une deuxième lecture plus réfléchie, un truc me saute aux yeux dans le graphisme, jamais on a droit à des plans larges. Tout est centré sur les personnages. Cela donne à la lecture le sentiment d'être toujours collé le nez dans le guidon. On a pas le recul, qui nous ferait apprécier le décor dans son ensemble. alors ? fressato ne serait il à l'aise que dans l'approche des personnages ?
Pim Pam Poum
Wahahou ! Comme dirait ma grand mère, "ça nous rajeunit pas" ! Je lisais Pim Pam Poum dans le journal de Mickey quand j'étais tout mino (et l'air de rien, ça date un peu quand même). Ca me faisait beaucoup rire de voir un gars avec des yeux sur le nez (si si, regardez bien les dessins) et les histoires m'éclataient. C'était presque une bible pour mon frère et moi, on essayait de faire autant de conneries. Il y a quelques mois, je suis tombé sur un album d'occaz chez mon libraire. J'avais limite la larme à l'oeil, et mon libraire me l'a offert. Bon, maintenant, faut avouer que ça a vieilli ce truc... mais c'est géant quand même. :)
Challenger - Le Monde perdu
Il est clair que Challenger est une bd que souffre nettement d'un manque de perspective. Ceci dit, si vous n'êtes pas trop difficiles elle s'avère plutôt agréable à lire. Cette série est en fait une adaptation du roman de Conan Doyle : "Le Monde Perdu". Malheureusement on sent que les auteurs ont survolé le sujet sans vraiment l'approfondir. Le dessin de Patrice Sanahujas est dans la même veine c'est-à-dire plutôt banal. Mais bon, la lecture n'en souffre pas et si le petit coté rétro de cette série vous plait... bah... laissez-vous tenter ! De plus, on la trouve facilement dans les bacs à occaz. Vous n'en garderez pas un souvenir impérissable mais vous passerez un petit moment sympa !
L'Empire éternel
Bof bof ce premier tome, les dessins sont pas mauvais mais rien d’extra ; les couleurs elles sont pas terribles et ne facilitent pas du tout la lisibilité des planches. Pour le scénar là aussi c’est très moyen, l’histoire est peu intéressante et difficile à suivre, les persos sont trop stéréotypés le heros beau et fort, la fille belle et mystérieuse, le méchant bien méchant vive les clichés… En gros rien de nouveau avec cet album, passez votre chemin !!!
Asphodèle
Ce premier tome d'Asphodèle ouvre la collection "Insomnie" des éditions Delcourt. Que dire de ce tome... On va commencer par le point positif, le dessin est vraiment très beau, les scènes avec les visions de la medium sont vraiment sublimes, tout en rouge sang c'est vraiment magnifique. En dehors de ces scènes on peut déplorer par moment des couleurs trop flashis et des visages assez laid. Le découpage est intéressant et dynamique ! L'histoire quand à elle n'est pas à la hauteur de mes éspérances, devant nous faire peur et nous rendre insomniaque, ça n'a pas marcher pour moi, mais je conviens bien que cela est très dur de faire une BD terreur. L'histoire n'est pas des plus originales même si elle est bien amenée et tout de même intéréssante. Le point négatif est quand même qu'elle se lit très voire trop vite à cause de planches sans textes...et on reste un peu sur notre faim. J'attends de voir le second et dernier tome, qui sait s'il peut me rendre insomniaque...
Croqu' la vie
Le problème de cette série, c'est qu'elle lorgne quand même fameusement vers l'autre série de Hardy : Pierre Tombal. On imagine même très bien pas mal des gags de ces deux albums transformés en gags de Pierre Tombal. L'autre problème, c'est que, tout comme avec Pierre Tombal, les auteurs ont vite fait le tour de la question. En deux albums, l'inspiration s'essouffle déjà, les gags deviennent répétitifs... C'est dommage, ils n'ont pas su donner à leurs personnages une épaisseur qui leurs aurait permis d'aller plus loin que le simple album d'humour.
Le Bateau feu
J'ai lu ces quatre tomes avec une certaine apathie. Malgré le caractère a priori original de cette aventure, cela ne m'a guère passionné. Les personnages sont peu intéressants, l'intrigue trop balisée, trop déjà vue. C'est de l'heroic-fantasy assez conventionnelle et le caractère marin du monde décrit n'ajoute pas grand chose d'original à l'affaire. Le rythme est assez lent, on pourrait facilement imaginer ces 4 tomes ramenés à 3 ou même à 2 albums. Les explications et les éclaircissements arrivent au compte-goutte et de manière assez chaotique. Il faut attendre le tome 3 avant de commencer à comprendre la nature du monde décrit. C'est un peu tard ! Le dessin, peu original, se contente d'être "bien fait", mais est loin d'égaler, dans un registre proche, celui de Claire Wendling. Les couleurs du premier tome sont tout simplement hideuses, cela s'arrange, heureusement dans les trois tomes suivants. A lire à l'occasion, mais dispensable, du même scénariste, lisez plutôt Les Lumières de l'Amalou, autrement plus convaincant.
Dark Wirbel
Ce manga aurait pu être pas mal si cela n'avait été que de l'héroic-fantaisy mais malheureusement ce manga se dit X. Dans un manga X y a du cul en général (c'est pour ça que ça existe !!!) mais là c'est le calme plat (2 3 scènes à tout casser). C'est dommage car les dessins sont pas mal et l'histoire assez marrante mais ON VEUT DU CUL !!!!!!!!
Pim Pam Poum
Pour être clair, s'il y a une BD culte au monde, c'est celle-ci, tout simplement parce que c'est la première! Si Rodolphe Töppfer (un Suisse) a été le premier à mettre des textes sous des dessins, Rudolph Dirks est lui à l'origine de la bande dessinée proprement dite. En 1894, le New York World, appartenant à Pulitzer, publie "At the Circus in Hogan's Alley" de Richard Outcault, que certains considèrent comme l'ancêtre véritable de la BD. Pour lui répondre, son grand rival Hearst (magnat de la presse dont Orson Welles s'inspirera plus tard pour son Citizen Kane) publie en 1897 dans le New York Journal les "Katzenjammers Kids" (Pim Pam Poum en français) de Rudolph Dirks. Pour la première fois, des bulles sont ajoutées aux images qui forment un suite logique et par conséquent une histoire. L'auteur quitta le journal en 1912, emmenant avec lui les deux enfants, Tante Pim, le capitaine et l'astronome. L'éditeur lui intenta un procès afin de les récupérer. L'arrêt de la cour est resté dans les annales : il autorisait Rudolph Dirks, le créateur, à poursuivre la série à la condition d'en changer le titre tout en permettant à l'éditeur de garder le titre de la série et d'en confier le dessin à quelqu'un d'autre. C'est ainsi que Rudolph Dirks créa, pour le New York World de Pulitzer, "Hans and Fritz", bien vite transformé en "The Captain and the Kids", avec les mêmes personnages et le même dessin et que "The Katzenjammer Kids" se poursuivit dans le New York Journal, sous le crayon de Knerr. Il fut le dessinateur attitré de cette série jusqu'en 1949, année de sa mort. Elle a été publiée partout dans le monde et de nombreux journaux français l'ont périodiquement rééditée, principalement Mickey mais aussi Charlie Mensuel, L'Echo des Savanes et également des magazines portant leur nom tels Pim, Pam, Poum. Une BD bon enfant qui vaut bien entendu plus pour ce qu'elle représente dans l'histoire de la BD que pour son intérêt graphique ou scénaristique. Ma note reflète mon plaisir de lecteur, non l'importance de cette BD dans l'histoire, auquel cas il faudrait mettre 5/5.
Samuraï Deeper Kyo
Pfff... C'est toujours la même chose, ce genre de série ! OK, les dessins sont sympas. OK, ce n'est pas une pure copie de Kenshin (l'idée ne m'a d'ailleurs jamais effleurée). Mais bon, voilà quoi... Le mec un peu niais qui dissimule des talents inimaginables, la nana garçon manqué faire-valoir qui, en fait, a un caractère bien plus sombre qu'il n'y parait, le bouffon de service qui est en réalité un grand combattant... Et l'amitié virile, le dépassement de soi, le sens de l'honneur... Blablabla... En plus, au fil des tomes, ça devient de plus en plus répétitif ! Tout ça pour dire que je ne comprends pas l'engouement pour cette série. Ce n'est pas nul, bien sur... Mais de là à trouver ça génial ! Le personnage de Yukimura Sanada me plait bien, par contre... Mais comme c'était la seule chose qui me faisait lire cette série, j'ai finalement revendu mes anciens tomes. A réserver aux grands amateurs du genre, selon moi.