Un dessin vraiment sympa, très coloré, très attirant, d'ailleurs c'est pour le dessin que j'ai lu l'album.
Par contre, côté scénario... parfois des reprises de blagues (qui ne me faisaient déjà pas rire avant d'être mises en dessin), parfois des gags pas drôles, et puis des rots, des doigts dans le nez, bon, je crois qu'on a compris, l'album est destiné aux moins de 10 ans.
Une mention spéciale, tout de même, pour le gag de la roulette russe, qui m'a fait mourir de rire.
Dav a du talent, il lui manque un bon scénario pour décoller.
«Planète Kratochvil» se présente sous forme d’un gaufrier de six cases au décor très homogène : la surface de la planète (fortement courbée), assaisonnée de quelques tout petits volcans, un ciel noir agrémenté de quelques planètes…
L’abondance de personnages est en rapport : Kratochvil, un extraterrestre qui lui ressemble comme deux gouttes d’eau (à part les antennes), et un autre extraterrestre, identique au premier.
L’histoire, comme vous pouvez l’imaginer, n’en est pas vraiment une. Le ton est très posé, calme, limite ennuyé, à l’instar de Kratochvil. L’humour est assez décalé, étrange, mais fait quand même parfois sourire.
Cela dit, ne connaissant pas par ailleurs ce personnage, cet album me laisse dans l’ensemble plutôt perplexe et sur ma faim...
Le résumé vous paraît bizarre et incompréhensible ? C'est normal, l'album est comme ça. On a l'impression de prendre l'histoire en cours de route, et dès la deuxième case on ne comprend plus grand-chose. Les aventures qui arrivent enuite sont sans queue ni tête et se produisent un peu comme dans un rêve très désorganisé.
Le dessin est typique de Matt Konture, on aime ou n'aime pas...
Pour ma part je ne trouve tout simplement aucun argument pour donner envie de lire cet album. :(
Bof, bof… Après la lecture du tome 1, j'hésite à me pencher sur le n°2…
Une histoire sans grande originalité, une narration peu créative, des dessins corrects, mais sans plus… Rien de bien folichon.
Cette série manque à mon avis singulièrement de maîtrise. On ne peut pas dire que j'ai détesté, mais elle m'a inspiré une profonde indifférence…
Tout comme Kael, impossible d'accrocher à cette série.
Point positif : la mise en page est impressionnante, et le dessin de Thierry Robin franchement sympathique.
Mais voilà… C'est lent, c'est long… Limite chiant.
Déjà, il m'a fallu un moment pour comprendre que c'était du fantastique (Qui a dit "andouille"?!). L'histoire semble se dérouler dans un songe brumeux permanent, et on ne sait jamais où se situe la frontière entre le rêve et la réalité. C'est très bien fait… Mais franchement désagréable. Ca m'a un peu fait penser à La Mer de la fertilité, de Mishima… Un de mes souvenirs de lecture les plus pénibles.
Ensuite, et surtout, je n'ai réussi à m'attacher ni à l'histoire, ni aux personnages.
Bref, une déception.
Encore une série typique des éditions Fluide Glacial, qui, au même titre que la plupart des autres de leur catalogue, n'ont qu'un intérêt limité en tant qu'album, la lecture des différentes pré-pub du mag' se suffisant largement à elles-mêmes.
Bon, premier défaut de cette série : c'est ultra inégal ! Ca se veut original en surfant sur la vague du n'importe quoi et du grotesque (humour auquel je suis assez réceptif, la plupart du temps), mais les différents gags oscillent du cultissimement drôle à l'épouvantablement banal, hélas.
D'où justement l'inutilité, à mon sens, de s'offrir les albums de cette série.
Le dessin, lui aussi, fait preuve d'une irrégularité au sein même d'un album, que je trouve assez déconcertante, dans le sens où l'auteur change de style pif paf comme ça, d'une page à l'autre, sans que cela ne soit réellement justifié.
C'aurait pu être bien, cette série, très bien, même ! Mais ce qui en ressort à mes yeux, c'est surtout un mélange étrange, sans véritable cohésion... Dommage !
"Du charme et du dynamisme tout de cuir vêtus, 100000 volts d'inconscience derrière des taches de rousseur. Fine fleur du pilotage fulgurant, c'est elle, Nanouche, cette jeune et pétillante cascadeuse qui, pour la moindre bagatelle, n'hésite pas à défier les limites de l'impossible."
Voilà comment est parfois présentée Nanouche.
Difficile en effet de résister au joli minois de cette jeune femme qui n'a peur de rien, et se balade souvent court vêtue -faut dire qu'il fait souvent chaud dans ses aventures (mais pas à poil, hein, ça a été publié dans Tintin, ce truc !!)
Ses aventures, sans être trépidantes, sont plutôt sympathiques, plaisantes en raison du dessin de Renoy, qui rappelle un peu celui de Dany dans sa veine semi-réaliste (Bernard Prince...). Dommage qu'aucun scénariste n'ait proposé de collaboration à Renoy, il aurait pu faire carrière...
Et bé ! Les deux avis d'avant sont joyeux : 5* et 1*, comme ça pas de jaloux. Remarquez je pense que cette série ne pourra s'attirer que des louanges ou au contraire les pires critiques qui soient. On aime ou on n'aime pas Le théorème de Bell.
Avant tout, c'est quoi ce foutu théorème ? Le théorème de Bell démontre que la physique quantique ne peut s’interpréter en tant que théorie déterministe locale. Il apporte la preuve que toute réalité ne peut être que non-locale, c’est-à-dire que nous vivons dans un univers holistique, dans lequel le tout agit sur la partie et vice-versa. (source : ENS de Lyon)
Partant de ce principe, Schulteiss nous pond 3 tomes qui auraient parfaitement pu se fondre en un seul, tant le découpage à la fin des 2 premiers est artificiel. Le dessin est laid. Il n'y a pas d'autre terme. Ou alors quand je lis sur BDP que le dessin de Christophe Blain est laid (NDA : n'importe quoi!), il faudrait plutôt dire que celui de Schulteiss est carrément horrible. Les couleurs semblent avoir été choisies par Kévin, 6 ans, champion de pipeau à la collégiale de Palavas les Flots.
Le découpage est d'une banalité confondante, sûrement réalisé par Momo, 8 ans, le pote de Kévin, qui est lui champion de lancer de bille dans la cour de récré.
Bon, je vais arrêter d'être méchant. Mais cette BD aurait pu être une belle réussite avec un dessin plus abouti, un trait plus serein, un découpage plus travaillé. Au lieu de ça, trois tomes au lieu d'un seul, des longueurs inutiles, et au contraire des scènes importantes très très mal réalisées (la bataille fluviale du tome 3 notamment : il s'agit d'un point important de l'histoire, et c'est vraiment mal monté !).
S'appuyer sur un énoncé mettant en cause la physique quantique pour écrire une BD, c'est tout de même original ; et c'est le grand mérite de cette œuvre. Cette trilogie ne manque pas d'atouts, il y a de l'idée, c'est certain. Schulteiss n'a pas choisi un sujet facile, et réussir ce genre de BD est autrement plus difficile que de pondre un vulgaire Broll de Broy (ce nom est imaginaire, toute ressemblance avec une série ayant existé serait tout à fait fortuite).
Bon, mis à part tout ça, c'est une BD très très bizarre, mélangeant la physique quantique donc, mais aussi l'espionnage, la vie dans une cale de rafiot désaffecté, les hôpitaux psychiatriques, les viols sous les douches etc... Y'a du meurtre gratuit, du viol, le héros est un véritable s*******, et c'est parfois limite quand même. Dans le tome 2 on est carrément en pleine pornographie l'espace d'une page ou deux. Vous l'aurez compris, ce n'est pas une BD à mettre entre toutes les mains et à réserver à un public averti. C'est dommage que Schulteiss soit parti dans une direction aussi noire, aussi dure, et surtout le plus gros reproche, n'est pas tant dans le ton qu'il a adopté mais plutôt dans le graphisme qu'il a mis en œuvre. C'est franchement LE point faible, rédhibitoire même :(
Mouais ... La série commence plutôt bien, les personnages et le scénario sont intéressants, mais passés 4 ou 5 albums, ça n'avance plus ! Par exemple le T10 ne met en scène qu'une unique bataille, certes impressionante, mais attendre si longtemps un tome pour ça ...
Au niveau des dessins, c'est pas fameux fameux non plus, des fois ça fait vraiment brouillon ! Et les couleurs ne rattrapent pas le tout ... Cependant ça se laisse lire !
C'est donc une série qui commence fort bien, mais qui finit par tirer en longueur ...
Rien de vraiment original ni de particulièrement exaltant dans cette bande dessinée. En plus une guerrière qui se promène en string (bon ok pas tout le temps) au 17è siècle au Japon, ça me laisse sceptique :) (déjà une femme guerrier et en plus qui montre ses fesses à tout le monde:)). A voir la suite ...
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Django Renard
Un dessin vraiment sympa, très coloré, très attirant, d'ailleurs c'est pour le dessin que j'ai lu l'album. Par contre, côté scénario... parfois des reprises de blagues (qui ne me faisaient déjà pas rire avant d'être mises en dessin), parfois des gags pas drôles, et puis des rots, des doigts dans le nez, bon, je crois qu'on a compris, l'album est destiné aux moins de 10 ans. Une mention spéciale, tout de même, pour le gag de la roulette russe, qui m'a fait mourir de rire. Dav a du talent, il lui manque un bon scénario pour décoller.
Planète Kratochvil
«Planète Kratochvil» se présente sous forme d’un gaufrier de six cases au décor très homogène : la surface de la planète (fortement courbée), assaisonnée de quelques tout petits volcans, un ciel noir agrémenté de quelques planètes… L’abondance de personnages est en rapport : Kratochvil, un extraterrestre qui lui ressemble comme deux gouttes d’eau (à part les antennes), et un autre extraterrestre, identique au premier. L’histoire, comme vous pouvez l’imaginer, n’en est pas vraiment une. Le ton est très posé, calme, limite ennuyé, à l’instar de Kratochvil. L’humour est assez décalé, étrange, mais fait quand même parfois sourire. Cela dit, ne connaissant pas par ailleurs ce personnage, cet album me laisse dans l’ensemble plutôt perplexe et sur ma faim...
Glofluné Triblonto
Le résumé vous paraît bizarre et incompréhensible ? C'est normal, l'album est comme ça. On a l'impression de prendre l'histoire en cours de route, et dès la deuxième case on ne comprend plus grand-chose. Les aventures qui arrivent enuite sont sans queue ni tête et se produisent un peu comme dans un rêve très désorganisé. Le dessin est typique de Matt Konture, on aime ou n'aime pas... Pour ma part je ne trouve tout simplement aucun argument pour donner envie de lire cet album. :(
Les Larmes d'Ostasis
Bof, bof… Après la lecture du tome 1, j'hésite à me pencher sur le n°2… Une histoire sans grande originalité, une narration peu créative, des dessins corrects, mais sans plus… Rien de bien folichon. Cette série manque à mon avis singulièrement de maîtrise. On ne peut pas dire que j'ai détesté, mais elle m'a inspiré une profonde indifférence…
Rouge de Chine
Tout comme Kael, impossible d'accrocher à cette série. Point positif : la mise en page est impressionnante, et le dessin de Thierry Robin franchement sympathique. Mais voilà… C'est lent, c'est long… Limite chiant. Déjà, il m'a fallu un moment pour comprendre que c'était du fantastique (Qui a dit "andouille"?!). L'histoire semble se dérouler dans un songe brumeux permanent, et on ne sait jamais où se situe la frontière entre le rêve et la réalité. C'est très bien fait… Mais franchement désagréable. Ca m'a un peu fait penser à La Mer de la fertilité, de Mishima… Un de mes souvenirs de lecture les plus pénibles. Ensuite, et surtout, je n'ai réussi à m'attacher ni à l'histoire, ni aux personnages. Bref, une déception.
Absurdus délirium
Encore une série typique des éditions Fluide Glacial, qui, au même titre que la plupart des autres de leur catalogue, n'ont qu'un intérêt limité en tant qu'album, la lecture des différentes pré-pub du mag' se suffisant largement à elles-mêmes. Bon, premier défaut de cette série : c'est ultra inégal ! Ca se veut original en surfant sur la vague du n'importe quoi et du grotesque (humour auquel je suis assez réceptif, la plupart du temps), mais les différents gags oscillent du cultissimement drôle à l'épouvantablement banal, hélas. D'où justement l'inutilité, à mon sens, de s'offrir les albums de cette série. Le dessin, lui aussi, fait preuve d'une irrégularité au sein même d'un album, que je trouve assez déconcertante, dans le sens où l'auteur change de style pif paf comme ça, d'une page à l'autre, sans que cela ne soit réellement justifié. C'aurait pu être bien, cette série, très bien, même ! Mais ce qui en ressort à mes yeux, c'est surtout un mélange étrange, sans véritable cohésion... Dommage !
Nanouche
"Du charme et du dynamisme tout de cuir vêtus, 100000 volts d'inconscience derrière des taches de rousseur. Fine fleur du pilotage fulgurant, c'est elle, Nanouche, cette jeune et pétillante cascadeuse qui, pour la moindre bagatelle, n'hésite pas à défier les limites de l'impossible." Voilà comment est parfois présentée Nanouche. Difficile en effet de résister au joli minois de cette jeune femme qui n'a peur de rien, et se balade souvent court vêtue -faut dire qu'il fait souvent chaud dans ses aventures (mais pas à poil, hein, ça a été publié dans Tintin, ce truc !!) Ses aventures, sans être trépidantes, sont plutôt sympathiques, plaisantes en raison du dessin de Renoy, qui rappelle un peu celui de Dany dans sa veine semi-réaliste (Bernard Prince...). Dommage qu'aucun scénariste n'ait proposé de collaboration à Renoy, il aurait pu faire carrière...
Le théorème de Bell
Et bé ! Les deux avis d'avant sont joyeux : 5* et 1*, comme ça pas de jaloux. Remarquez je pense que cette série ne pourra s'attirer que des louanges ou au contraire les pires critiques qui soient. On aime ou on n'aime pas Le théorème de Bell. Avant tout, c'est quoi ce foutu théorème ? Le théorème de Bell démontre que la physique quantique ne peut s’interpréter en tant que théorie déterministe locale. Il apporte la preuve que toute réalité ne peut être que non-locale, c’est-à-dire que nous vivons dans un univers holistique, dans lequel le tout agit sur la partie et vice-versa. (source : ENS de Lyon) Partant de ce principe, Schulteiss nous pond 3 tomes qui auraient parfaitement pu se fondre en un seul, tant le découpage à la fin des 2 premiers est artificiel. Le dessin est laid. Il n'y a pas d'autre terme. Ou alors quand je lis sur BDP que le dessin de Christophe Blain est laid (NDA : n'importe quoi!), il faudrait plutôt dire que celui de Schulteiss est carrément horrible. Les couleurs semblent avoir été choisies par Kévin, 6 ans, champion de pipeau à la collégiale de Palavas les Flots. Le découpage est d'une banalité confondante, sûrement réalisé par Momo, 8 ans, le pote de Kévin, qui est lui champion de lancer de bille dans la cour de récré. Bon, je vais arrêter d'être méchant. Mais cette BD aurait pu être une belle réussite avec un dessin plus abouti, un trait plus serein, un découpage plus travaillé. Au lieu de ça, trois tomes au lieu d'un seul, des longueurs inutiles, et au contraire des scènes importantes très très mal réalisées (la bataille fluviale du tome 3 notamment : il s'agit d'un point important de l'histoire, et c'est vraiment mal monté !). S'appuyer sur un énoncé mettant en cause la physique quantique pour écrire une BD, c'est tout de même original ; et c'est le grand mérite de cette œuvre. Cette trilogie ne manque pas d'atouts, il y a de l'idée, c'est certain. Schulteiss n'a pas choisi un sujet facile, et réussir ce genre de BD est autrement plus difficile que de pondre un vulgaire Broll de Broy (ce nom est imaginaire, toute ressemblance avec une série ayant existé serait tout à fait fortuite). Bon, mis à part tout ça, c'est une BD très très bizarre, mélangeant la physique quantique donc, mais aussi l'espionnage, la vie dans une cale de rafiot désaffecté, les hôpitaux psychiatriques, les viols sous les douches etc... Y'a du meurtre gratuit, du viol, le héros est un véritable s*******, et c'est parfois limite quand même. Dans le tome 2 on est carrément en pleine pornographie l'espace d'une page ou deux. Vous l'aurez compris, ce n'est pas une BD à mettre entre toutes les mains et à réserver à un public averti. C'est dommage que Schulteiss soit parti dans une direction aussi noire, aussi dure, et surtout le plus gros reproche, n'est pas tant dans le ton qu'il a adopté mais plutôt dans le graphisme qu'il a mis en œuvre. C'est franchement LE point faible, rédhibitoire même :(
Chroniques de la lune noire
Mouais ... La série commence plutôt bien, les personnages et le scénario sont intéressants, mais passés 4 ou 5 albums, ça n'avance plus ! Par exemple le T10 ne met en scène qu'une unique bataille, certes impressionante, mais attendre si longtemps un tome pour ça ... Au niveau des dessins, c'est pas fameux fameux non plus, des fois ça fait vraiment brouillon ! Et les couleurs ne rattrapent pas le tout ... Cependant ça se laisse lire ! C'est donc une série qui commence fort bien, mais qui finit par tirer en longueur ...
Akameshi
Rien de vraiment original ni de particulièrement exaltant dans cette bande dessinée. En plus une guerrière qui se promène en string (bon ok pas tout le temps) au 17è siècle au Japon, ça me laisse sceptique :) (déjà une femme guerrier et en plus qui montre ses fesses à tout le monde:)). A voir la suite ...