On le lit et quand c'est fini bah voilà c'est fini, pas grave !! Le scénario est moyen, le dessin est très moyen et le lecteur fatigué y trouvera un peu d'action pour se bouger les fesses. Rien de bien extraordinaire mais ça permet de passer le temps.
Les goûts et les couleurs de chacun ne se discutent pas, mais franchement cette Bd est plutôt d'un classissisme exemplaire. Pas du tout comparable à XIII.
Le dessin est plutôt bien, surtout les batiments et les voitures... criant de vérité, par contre pour le scénar, on s'ennuie, c'est du film d'espionnage réchauffé... rien d'original. en bref passer votre chemin.
A emprunter, mais pas à acheter
TaC
L'histoire de ce peintre embarqué avec des pirates est originale, d'autant plus que le périple des pirates puis du peintre ensuite n'ont rien de commun.
Côté dessin, je n'aime pas franchement. On hurle au chef d'oeuvre devant la couverture du tome 2 par exemple, mais moi je n'aime pas plus que ça. Bon, c'est pas moche, mais il faut aimer et ce n'est pas mon cas.
Mais surtout, ce que je n'aime pas vraiment dans Isaac, c'est... Isaac lui-même. Je n'aime pas le personnage et je le trouve antipathique. Alors évidemment, comme c'est lui qu'on suit les 2/3 du temps, j'ai un peu de mal à apprécier le tout.
Néanmoins, il n'en reste pas moins que l'histoire est bonne par son originalité et que le tout est assez captivant.
Après lecture des tomes 4 et 5 :
Au fil des tomes, je décroche vraiment complètement de cette série. La bonne impression des débuts et surtout du tome 2 sont complètement oubliées pour moi car je ne me retrouve vraiment pas dans le personnage d'Isaac dans ces derniers tomes. Les intrigues en ville (pourquoi appeler cette série le pirate alors que finalement passé le tome 3, on ne parle plus du tout de marine ou de pirates ?) m'ennuient totalement et surtout je n'aime carrément pas les personnages, leurs comportements, leurs histoires, rien. C'est bien simple, j'ai dû me forcer pour finir le tome 5.
Bon, déja son nom c'est Malcom...voilà voilà...
Sinon, bien qu'assez original, il n'y à rien de bien transcendant, la scène du viol est crue en effet.....et nécéssaire, joli contraste avec le monde rose bonbon mais un doute subsiste en la matière en ce que je n'ai pas été fichu de comprendre en définitive si cette B.D nous fait l'apologie ou la contestation d'un monde rose bonbon ou tout va "trop" bien, voire une critique des univers Manichéens ( à cause de son troublant final, naze et mièvre qui casse tout).
Enfin, moi je l'ai lue à la sauvette dans une bouquinerie, j'ai pas du tout bien comprendre ( qui a dit "Cherche pas d'excuses"???).
Apparemment les premiers albums de Guerse et Pichelin, ces deux tomes sont très différents. José est un gros looser, et emmerdant en plus; dans le tome 1 il squatte un bar, boit, reste scotché au comptoir tel un vieux chewing-gum, et est chiant.
Dans le tome 2, il doit "accueillir" une voisine à dîner, mais manque de bol un pote frimeur (et tombeur, forcément) débarque à l'improviste. Là José c'est le côté looser qui est mis en avant.
Cette collection a un format italienne bien spécial, 9 x 21cm, pour 44 pages. Les histoires sont peu développées, mais leur nature même participe à cela. Les scénarios n'ont aucune prétention, mais les histoires sont amusantes sans pour autant rien avoir d'exceptionnel, et le dessin est déjà très bon.
A lire si vous en avez l'occasion.
Ce n'est pas tant le dessin qui me dérange, même si le 1er album, n'est pas très beau (après cela s'améliore nettement) mais plutôt le scénario...
Cela part d'une idée originale : La magie veut retrouver la place qu'elle occupait, il y a fort longtemps et renvoyer la secte des chrétiens dans les profondeurs de l'oubli...
Mais cependant, en lisant cette BD, nous avons l'impression de retomber dans une sorte de monde parallèle à Troy. En effet, les caractères des personnages sont franchement du réchauffé.
* Merlin = un melange de Hébus (Alcool) et du maitre Nicolède (magie)
* Gwynned = un mélange de garcon manqué (Lanfeust) et le côté rebelle de Cixi (mais pas coquin !), et puis si c'était du même auteur je dirais bien aussi Nävis dans sillage !
* A ça vous ajoutez Excalibur (épée au pommeau d'ivoire), un curé maléfique (que l'on confondrait presque avec un Thanos), un petit nain qui a le même répertoire de chanson que Cixi.
En résumé, c'est certainement une bonne BD pour qui n'a jamais lu "Lanfeust de Troy", mais bon pour les autres, je pense que vous pouvez passer votre chemin ou l'emprunter à un ou une amie qui l'aurait...
Le problème avec les "recueils" ou albums collectifs à thèmes, c'est que bien souvent la contrainte du thème et celle de la longueur très limitée de l'histoire posent problème.
C'est le cas ici, et je me suis ennuyé tout au long de ces 7 histoires.
Celle de Cromwell et Ruffner (en fait 3 histoires courtes de deux pages) tire un peu son épingle du jeu, en jouant sur le registre "variations d'histoires très courtes sur un même thème", mais en 3 histoires on a tout juste le temps de commencer à apprécier la bêtise des personnages et la dérision et le côté grotesque et grossier de l'ensemble.
Les styles graphiques, très variés, sont plutôt plaisants, mais bon, c'est censé être une bande dessinée, pas un bouquin d'illustrations...
Bref, jetez-y un oeil si vous la trouvez quelque part, mais à part pour un collectionneur, l'intérêt de cet album est très limité.
C'est gras et à la longue c'est un peu répétitif mais il y a deux ou trois gags vraiment poilants. Dans l'ensemble ça passe. Le dessin n'est pas tip top et c'est parfois un peu chiant.
Un truc à lire quand on attend quelqu'un à la Fnac.
Dans la série des "suites" passez moi celle du très bon "7 Vie de l'épervier"!
Je m'étonne déja, qu' après s'être attelé à une prolongation, les auteurs en finissent au bout de 4 tomes. J'ai eu l'impression que l'idée de faire une suite (idée saugrenue) s'est éteinte aussi vite qu'elle s'est allumée mais que, étant commencée, il a tout de même fallu finir (le plus vite possible).
Alors cette fois ci on part pour le Nouveau Monde suivre Ariane qui recherche son Pôpa, et même si l'aventure se laisse suivre et qu'on note de bonnes réflexions par-ci par-là, on regrette (comme disait fort justement un autre) en définitive que cette suite gâche toute la fin des "7 V D E" qui était parfaite et aurait du s'arrêter là.
Juste un bon point pour le dessin, même si le "trop réaliste" n'est pas mon genre.
Quand à cette histoire de finir cette série le plus vite possible, je citerai pour exemple la scène de la pendaison, où après avoir fait semblant d'insérer des rebondissement dans l'histoire ( le duel imprévue ) histoire de nous donner quelques chose à nous mettre sous la dent, les auteurs délivrent nos héros à l'aide d'un orage providentielle ( comme je le dis toujours: c'est bien foutue la vie).
Eh ben, encore trouvé par hasard sur les quais, cette Bd est plus qu'étrange. Certes on y trouve deux grand maîtres de la BD, Jodorowsky avec des scénarii à tendance divine et mystique!
Et Moebius à qui l'on doit de si beaux albums SF.
Ils nous on créé un oeuvre assez étrange! Les personnages sont ahuris et totalement fanatiques.
Le prof est très destabilisé dans sa vie et la religion lui sert d'exutoire. Elysabeth quant à elle est totalement persuadée d'être élue des dieux, bref une illuminée. (pas prude du tout pour une illuminée d'ailleurs!)
Je n'ai pas lu les deux tomes suivants. J'avoue ne pas du tout en avoir envie.
J'espère m'y mettre un jour, car la fin du 1er laisse une drôle d'impression, un peu dérangeante je dirais... bah un jour peut-être mais ce n'est certes pas un priorité.
Côté dessin, moebius me déçoit un peu! j'étais habituée à quelque chose de différent.
Comparé à "l'incal" où au "monde d'edena" ou encore "la Déesse", cet ouvrage me paraît moins travaillé.
Mais comme c'est du réaliste, peut-être est-ce l'atmosphère désirée par les auteurs ?
La catégorie adulte dans ma bibliothèque est un choix délibéré de censure car autant l'incal est abordable dès douze ans, autant ce livre contient une ambiance très dépravée (ce n'est pas que du sexe, mais quand même!)
Ce n'est pas une BD culte, rien d'extraordinaire, mais les amateurs des auteurs référencés seront peut-être curieux de la découvrir !
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Mort Linden
On le lit et quand c'est fini bah voilà c'est fini, pas grave !! Le scénario est moyen, le dessin est très moyen et le lecteur fatigué y trouvera un peu d'action pour se bouger les fesses. Rien de bien extraordinaire mais ça permet de passer le temps.
Alpha
Les goûts et les couleurs de chacun ne se discutent pas, mais franchement cette Bd est plutôt d'un classissisme exemplaire. Pas du tout comparable à XIII. Le dessin est plutôt bien, surtout les batiments et les voitures... criant de vérité, par contre pour le scénar, on s'ennuie, c'est du film d'espionnage réchauffé... rien d'original. en bref passer votre chemin. A emprunter, mais pas à acheter TaC
Isaac le pirate
L'histoire de ce peintre embarqué avec des pirates est originale, d'autant plus que le périple des pirates puis du peintre ensuite n'ont rien de commun. Côté dessin, je n'aime pas franchement. On hurle au chef d'oeuvre devant la couverture du tome 2 par exemple, mais moi je n'aime pas plus que ça. Bon, c'est pas moche, mais il faut aimer et ce n'est pas mon cas. Mais surtout, ce que je n'aime pas vraiment dans Isaac, c'est... Isaac lui-même. Je n'aime pas le personnage et je le trouve antipathique. Alors évidemment, comme c'est lui qu'on suit les 2/3 du temps, j'ai un peu de mal à apprécier le tout. Néanmoins, il n'en reste pas moins que l'histoire est bonne par son originalité et que le tout est assez captivant. Après lecture des tomes 4 et 5 : Au fil des tomes, je décroche vraiment complètement de cette série. La bonne impression des débuts et surtout du tome 2 sont complètement oubliées pour moi car je ne me retrouve vraiment pas dans le personnage d'Isaac dans ces derniers tomes. Les intrigues en ville (pourquoi appeler cette série le pirate alors que finalement passé le tome 3, on ne parle plus du tout de marine ou de pirates ?) m'ennuient totalement et surtout je n'aime carrément pas les personnages, leurs comportements, leurs histoires, rien. C'est bien simple, j'ai dû me forcer pour finir le tome 5.
Rose Profond
Bon, déja son nom c'est Malcom...voilà voilà... Sinon, bien qu'assez original, il n'y à rien de bien transcendant, la scène du viol est crue en effet.....et nécéssaire, joli contraste avec le monde rose bonbon mais un doute subsiste en la matière en ce que je n'ai pas été fichu de comprendre en définitive si cette B.D nous fait l'apologie ou la contestation d'un monde rose bonbon ou tout va "trop" bien, voire une critique des univers Manichéens ( à cause de son troublant final, naze et mièvre qui casse tout). Enfin, moi je l'ai lue à la sauvette dans une bouquinerie, j'ai pas du tout bien comprendre ( qui a dit "Cherche pas d'excuses"???).
José
Apparemment les premiers albums de Guerse et Pichelin, ces deux tomes sont très différents. José est un gros looser, et emmerdant en plus; dans le tome 1 il squatte un bar, boit, reste scotché au comptoir tel un vieux chewing-gum, et est chiant. Dans le tome 2, il doit "accueillir" une voisine à dîner, mais manque de bol un pote frimeur (et tombeur, forcément) débarque à l'improviste. Là José c'est le côté looser qui est mis en avant. Cette collection a un format italienne bien spécial, 9 x 21cm, pour 44 pages. Les histoires sont peu développées, mais leur nature même participe à cela. Les scénarios n'ont aucune prétention, mais les histoires sont amusantes sans pour autant rien avoir d'exceptionnel, et le dessin est déjà très bon. A lire si vous en avez l'occasion.
Le Chant d'Excalibur
Ce n'est pas tant le dessin qui me dérange, même si le 1er album, n'est pas très beau (après cela s'améliore nettement) mais plutôt le scénario... Cela part d'une idée originale : La magie veut retrouver la place qu'elle occupait, il y a fort longtemps et renvoyer la secte des chrétiens dans les profondeurs de l'oubli... Mais cependant, en lisant cette BD, nous avons l'impression de retomber dans une sorte de monde parallèle à Troy. En effet, les caractères des personnages sont franchement du réchauffé. * Merlin = un melange de Hébus (Alcool) et du maitre Nicolède (magie) * Gwynned = un mélange de garcon manqué (Lanfeust) et le côté rebelle de Cixi (mais pas coquin !), et puis si c'était du même auteur je dirais bien aussi Nävis dans sillage ! * A ça vous ajoutez Excalibur (épée au pommeau d'ivoire), un curé maléfique (que l'on confondrait presque avec un Thanos), un petit nain qui a le même répertoire de chanson que Cixi. En résumé, c'est certainement une bonne BD pour qui n'a jamais lu "Lanfeust de Troy", mais bon pour les autres, je pense que vous pouvez passer votre chemin ou l'emprunter à un ou une amie qui l'aurait...
7 histoires de pirates
Le problème avec les "recueils" ou albums collectifs à thèmes, c'est que bien souvent la contrainte du thème et celle de la longueur très limitée de l'histoire posent problème. C'est le cas ici, et je me suis ennuyé tout au long de ces 7 histoires. Celle de Cromwell et Ruffner (en fait 3 histoires courtes de deux pages) tire un peu son épingle du jeu, en jouant sur le registre "variations d'histoires très courtes sur un même thème", mais en 3 histoires on a tout juste le temps de commencer à apprécier la bêtise des personnages et la dérision et le côté grotesque et grossier de l'ensemble. Les styles graphiques, très variés, sont plutôt plaisants, mais bon, c'est censé être une bande dessinée, pas un bouquin d'illustrations... Bref, jetez-y un oeil si vous la trouvez quelque part, mais à part pour un collectionneur, l'intérêt de cet album est très limité.
La Bite à Urbain
C'est gras et à la longue c'est un peu répétitif mais il y a deux ou trois gags vraiment poilants. Dans l'ensemble ça passe. Le dessin n'est pas tip top et c'est parfois un peu chiant. Un truc à lire quand on attend quelqu'un à la Fnac.
Plume aux vents (Les 7 vies de l'épervier - 2ème époque)
Dans la série des "suites" passez moi celle du très bon "7 Vie de l'épervier"! Je m'étonne déja, qu' après s'être attelé à une prolongation, les auteurs en finissent au bout de 4 tomes. J'ai eu l'impression que l'idée de faire une suite (idée saugrenue) s'est éteinte aussi vite qu'elle s'est allumée mais que, étant commencée, il a tout de même fallu finir (le plus vite possible). Alors cette fois ci on part pour le Nouveau Monde suivre Ariane qui recherche son Pôpa, et même si l'aventure se laisse suivre et qu'on note de bonnes réflexions par-ci par-là, on regrette (comme disait fort justement un autre) en définitive que cette suite gâche toute la fin des "7 V D E" qui était parfaite et aurait du s'arrêter là. Juste un bon point pour le dessin, même si le "trop réaliste" n'est pas mon genre. Quand à cette histoire de finir cette série le plus vite possible, je citerai pour exemple la scène de la pendaison, où après avoir fait semblant d'insérer des rebondissement dans l'histoire ( le duel imprévue ) histoire de nous donner quelques chose à nous mettre sous la dent, les auteurs délivrent nos héros à l'aide d'un orage providentielle ( comme je le dis toujours: c'est bien foutue la vie).
La Folle du Sacré-Coeur (Le Coeur couronné)
Eh ben, encore trouvé par hasard sur les quais, cette Bd est plus qu'étrange. Certes on y trouve deux grand maîtres de la BD, Jodorowsky avec des scénarii à tendance divine et mystique! Et Moebius à qui l'on doit de si beaux albums SF. Ils nous on créé un oeuvre assez étrange! Les personnages sont ahuris et totalement fanatiques. Le prof est très destabilisé dans sa vie et la religion lui sert d'exutoire. Elysabeth quant à elle est totalement persuadée d'être élue des dieux, bref une illuminée. (pas prude du tout pour une illuminée d'ailleurs!) Je n'ai pas lu les deux tomes suivants. J'avoue ne pas du tout en avoir envie. J'espère m'y mettre un jour, car la fin du 1er laisse une drôle d'impression, un peu dérangeante je dirais... bah un jour peut-être mais ce n'est certes pas un priorité. Côté dessin, moebius me déçoit un peu! j'étais habituée à quelque chose de différent. Comparé à "l'incal" où au "monde d'edena" ou encore "la Déesse", cet ouvrage me paraît moins travaillé. Mais comme c'est du réaliste, peut-être est-ce l'atmosphère désirée par les auteurs ? La catégorie adulte dans ma bibliothèque est un choix délibéré de censure car autant l'incal est abordable dès douze ans, autant ce livre contient une ambiance très dépravée (ce n'est pas que du sexe, mais quand même!) Ce n'est pas une BD culte, rien d'extraordinaire, mais les amateurs des auteurs référencés seront peut-être curieux de la découvrir ! A vous de voir quoi.